Premier épisode | Épisode précédent
À 6h30 Stéphane arrive dans ma cellule et me réveille, il détache ma chaine et enlève mon collier, il m'apporte mes affaires qu'il est passé chercher chez moi et souligne que, même au boulot, je ne porterai pas de boxer. Je tente de protester, mais il me souhaite une bonne journée pour le travail et sort. Encore un peu dans le brouillard, je me lève, me lave et descends prendre le petit-déjeuner. J'organise ma journée dans ma tête puis je remonte me préparer. Finalement, ça ne se voit absolument pas que je ne porte rien sous le pantalon et donc, je pars travailler.
Journée intense pendant laquelle je pense à mon nouveau " chez moi" et j'ai honte, mais je finis par ne plus y penser, car les réunions s'enchainent. Je sors tôt ayant bien organisé le tout et je rentre, monte, me fous à poil, mets mon collier et ma chaine, me lave puis je travaille devant mon ordinateur.
À 19h, Romain entre et me détache, j'en profite pour lui demander s'il sait ce qu'on fait ce soir et il me répond que nous sommes uniquement à la disposition de Julien. Nous descendons pour le diner, arrivés à la table, nous attendons que Julien vienne s'assoir pour en faire autant. En tirant ma chaise, j'y vois un gode fixé sur l'assise. Un rapide coup d'oeil vers mes collègues m'indique que nous avons tous les mêmes chaises. Romain s'est déjà empalé dessus et gémit pendant que ça rentre à fond. Pour ma part, j'y vais doucement. Les premières minutes du repas se font dans un silence pesant puis Julien nous annonce qu'il a recruté un nouvel esclave et qu'il nous faudra l'accueillir chaleureusement.
- On le connait, il arrive quand ? Demande Romain.
- Ouais tu le connais Romain et il est au premier à mariner dans ma pisse.
- C'est qui ? Demande Stéphane.
- C'est Greg, répond Julien en se mettant à rire d'un air suffisant et dédaigneux.
- Un de tes meilleurs amis ? Tu en fais ton esclave ? S'exclame Stéphane l'air stupéfait.
- J'en fais une pute comme vous et il s'est offert librement comme vous, ne vous ai-je pas donné ce que vous m'avez demandé ? Ne m'avez-vous pas tous imploré de faire de vous ce que vous êtes aujourd'hui ? Ne vouliez-vous pas être mes esclaves sans condition ?
Le ton est arrogant, il nous toise, nous regarde d'un sourire sadique, la façon dont il a tourné ses questions ne nous permet pas de le contredire.
- Oui, poursuit Stéphane, tu as raison. Je suis juste surpris qu'un actif nous rejoigne et c'est ton ami...
- C'est un pote et maintenant une pute comme vous. Entre pote et pute, il n'y a qu'une lettre qui change. Quant au fait qu'il soit actif, c'était avant, il aura sa cage comme Romain et Yan. Estime-toi heureux que je ne t'en impose pas une également.
Stéphane baisse la tête et termine son assiette. Julien poursuit.
- Vous êtes mes esclaves parce que vous l'avez voulu, mes décisions n'ont pas à être commentées, je vous rappelle que vous êtes libres de partir quand vous voulez.
Personne n'ose répondre, j'ai failli intervenir en expliquant que je n'ai bientôt plus de logement, mais... Il me répondra qu'il paye les loyers pour le moment et que j'ai accepté alors je la ferme. Le reste du diner se passe en silence et lorsque Julien se lève, je vois Romain et Stéphane détacher les lanières qui maintenaient le gode en place pour les passer autour de leur bassin. Je les imite et me lève avec mon gode fermement fixé. Vaisselle rapide, nous rejoignons le Maître au salon, il s'est mis totalement nu et est affalé dans le canapé à regarder la télé.
- Yan, tu montes dans la pièce habituelle, tu détaches Greg et tu l'emmènes dans ta cellule, il a interdiction de se doucher, tu t'offres à lui pour la nuit, demain on l'installera dans sa propre cellule. Précise-lui que tu es son cadeau de bienvenue et que c'est sa dernière nuit d'actif.
Stéphane et Romain se sont installés sur le canapé aux côtés du Maître et je les vois commencer à le caresser, ils s'embrassent à 3, j'ai envie de les rejoindre, mais j'ai des ordres alors je monte.
J'entre, je trouve Greg, solidement enchainé qui baigne dans une mare de pisse et je visualise sa bite, il bande à fond. Je le détaille, c'est un superbe mâle, très musclé et très poilu. Je n'avais pas vu son corps en entier quand il avait enculé Romain et il était bien entendu habillé lors de l'épisode du bar. Je reste admiratif quelques secondes, nous nous soutenons du regard puis je lui annonce la décision de Julien. Ses yeux pétillent immédiatement, il se met à sourire et me demande de venir m'empaler sur lui. J'attrape un préservatif et le mets en place puis je vais pour le détacher.
- Non, surtout pas, empale-toi sur ma queue en me laissant enchainé s'il te plait.
La demande m'étonne, mais m'excite terriblement, j'ôte mon gode et m'assois d'un trait à fond sur cette queue dressée en gémissant de plaisir. Je reste immobile un long moment à regarder Greg dans les yeux, les bras tirés au-dessus de la tête et solidement fixés en arrière puis, je prends l'initiative de récupérer un peu de pisse pour lui masser le torse. Je sens sa queue se tendre encore plus dans mon cul, il lâche un gémissement de plaisir qui me motive à poursuivre mon action et je commence tout doucement à le branler avec mon cul. Je l'asperge intégralement, visage et cheveux inclus du liquide dans lequel le Maître l'a fait mariner puis je me penche et l'embrasse à pleine gueule un bon moment avant de me redresser pour admirer son superbe torse poilu et humide, ses poils ont noirci au contact de la pisse, ça le rend plus viril et bandant que jamais... Mais je me lève et le détache alors qu'il me demande de continuer.
- Julien a donné des ordres, je dois t'emmener dans ma cellule pour la nuit, tu y feras ce que tu voudras une fois là-bas.
Nous sortons de la pièce, je l'emmène " chez moi ", les gémissements qui proviennent du salon indiquent qu'ils prennent beaucoup de plaisir en bas, mais nous continuons notre chemin. Une fois entrés dans ma cellule, Greg va s'allonger sur mon matelas le temps que j'attache ma chaine puis il me tend ses bras, je le rejoins, nous nous embrassons et enlaçons longuement. À un moment, je sens qu'il me pisse dessus, je couine et j'ouvre les vannes de mon côté générant chez Greg un gémissement de plaisir. Nos bouches ne se dessoudent pas, nous nous roulons dans notre pisse en nous embrassant fougueusement, nos mains courant sur nos corps pendant une éternité. Puis j'attrape la queue raide de Greg et le regarde droit dans les yeux.
- C'est la dernière fois qu'elle va servir, demain elle sera en cage comme la mienne, alors fais-toi plaisir...
- On a le temps non ? Si j'ai bien compris, je dors ici, sur ce matelas, avec toi, dans nos pisses... C'est ça que je kiffe comme jamais, je ne pensais pas que ça me ferait autant d'effet... Et j'adore t'embrasser, dit Greg en me choppant par le cou pour que nos bouches se ressoudent.
Je monte en pression et chaleur rapidement, habituellement je me branle tous les jours et là ma queue est devenue inaccessible depuis vendredi, j'ai envie d'arracher cette cage, de laisser ma bite se dresser et de me branler frénétiquement. Je reporte mon désir sur le corps de Greg que je me mets à lécher, son corps musclé et poilu a un gout salé de transpiration et de pisse, le cliquetis de ma chaine n'aide pas à me calmer, je descends vers sa queue dressée que je lèche puis ses couilles que je gobe et il me donne la vue sur son cul velu et trempé. J'engouffre ma langue pour le lui bouffer et il en fait de même, nous gémissons de concert sous l'effet de nos langues, nous sommes terriblement excités l'un comme l'autre par ce 69 de bouffage de cul et nos membres nous entravent naturellement pour conserver cette position le plus longtemps possible. Nous roulons sur le matelas comme si nous avions besoin de nous imprégner encore de la pisse qui y stagne puis Greg revient vers ma gueule, il me lèche, me roule des pelles pour ensuite me faire mettre sur le ventre, je sens ses mains se poser sur mes épaules. Le mâle prend le dessus, il se saisit d'une capote, une fois enfilée, ses mains se reposent sur mes épaules et sa queue se présente devant ma rondelle. Il prend appui sur mon corps pour bien se positionner, je couine d'excitation, il est prêt, il va entrer et je sens que ça va être violent. Je ne me suis pas trompé, lorsque je le sens forcer pour s'avancer en moi, dès que le gland a entre ouvert ma rondelle, il s'enfonce d'un coup à fond et je me mets à hurler de plaisir. Il ne me laisse pas le temps de me ressaisir, il me pilonne directement et sauvagement en grognant pendant 10 bonnes minutes. Je sens la puissance du mâle, je m'offre à lui avec un plaisir immense, il me démonte et je réclame sa force. Puis il sort, me retourne avec une facilité déconcertante et pose mes mollets sur ses épaules, sans que j'ai le temps de réagir, il est déjà de nouveau en moi et je peux l'admirer, fier, fort, puissant, viril. Je fais passer mes jambes derrière mes coudes, je ne dis rien, j'ai la gueule grande ouverte, les yeux qui dévorent Greg, sa barbe d'une semaine, son torse velu et musclé... Il pose les mains sur mes épaules et reprend son pilonnage, je suis en transe, je couine, je gémis, je me mets à hurler à un moment tellement c'est bon, j'ai la tête qui tourne, je me sens " bizarre ", je baisse les yeux sur ma cage et je vois du foutre s'en écouler, je suis en train de gicler, une sensation incroyable s'empare de moi, c'est la première fois de ma vie que je gicle sans me toucher et l'excitation ne disparait pas comparé à d'habitude, c'est incroyable, j'en veux encore, encore plus. Greg s'aperçoit que j'ai giclé, il sourit. Faut pas me sourire quand on est barbu et poilu, je ne résiste pas à un homme comme ça... Mon foutre continue de se déverser sur mon ventre, Greg s'est immobilisé, il regarde le spectacle en silence et en sourire, je fonds...
Il sort de mon cul, je fais un " non " de la tête, j'ouvre la bouche pour lui demander d'y rester, mais il me fait signe de ne rien dire en posant son index sur sa bouche. Il se met à 4 pattes et s'avance vers mon ventre en me fixant, en souriant, je suis hypnotisé. Puis la pointe de sa langue vient récolter un peu de mon foutre, je la vois disparaitre dans sa bouche, il est en train de le goûter. Il y retourne en léchant cette fois et il le mange, il prend le temps de le garder en bouche, de bien respirer pour intensifier le gout, je reste immobile à le regarder faire. Et il plonge sa tête sur mon ventre, il dévore mon foutre, ses poils de barbe me chatouillent et accentuent encore plus mon excitation, je respire fort, j'ai lâché mes jambes et les repose sur le matelas, je me contente de le regarder faire comme si j'étais incapable de bouger. Il grogne, il gémit en se nourrissant de mon foutre, il soupire même d'aise et de plaisir. De temps en temps, il me regarde et sourit, il prend son temps.
Lorsqu'il a terminé de se régaler, il frotte son visage sur mon ventre et vient ensuite vers ma gueule, nous nous embrassons et je lui lèche sa barbe pleine de mon foutre pendant que je sens sa queue se frayer de nouveau un chemin dans mon cul.
Yan
ftasm@yahoo.fr
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