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Après quelques minutes, Stéphane vient me détacher en silence, nous sortons du salon bleu, les mâles sont dans la cuisine à parler de moi et s'apprêtent à partir apparemment personne n'est en état pour un nouveau round pas plus que moi. Nous montons rapidement pour ne pas nous faire remarquer. Dans la salle de bains, Stéphane m'a fait couler un bain chaud, j'y prends place, il me lave et me rappelle pourquoi je suis là, que ce qui m'est arrivé est normal et se reproduira. Je profite de ce bain qui me fait du bien.
- Tu prends ton temps dans le bain et ensuite tu retournes en cellule, dit Stéphane en sortant.
Je m'enfonce dans l'eau bien chaude, j'y plonge ma tête comme pour me purifier, mais je me dis aussi que j'aime ce que je vis, je reste dans l'eau très longtemps. Je sors de la baignoire, je me sèche et ouvre la porte pour me diriger vers ma cellule, j'entends Julien dans l'escalier " monte, pièce habituelle ", ces mêmes mots qu'il m'a dits vendredi soir pour me faire devenir son esclave. Je ne suis qu'un trophée pour lui, un parmi tant d'autres, je ne suis rien qu'un esclave qui s'est offert librement. Il n'aime personne, mais il fait l'amour comme personne... J'attends que la porte de la pièce habituelle se ferme et je sors pour me diriger vers ma cellule. J'attache ma chaine, je me regarde dans le miroir qui n'avait pas attiré mon attention jusque là. Je tombe à genoux et je m'insulte de tous les noms en me caressant le corps. Si ma queue n'était pas en cage, je banderais et me branlerais comme un taré. Je suis excité, un esclave consentant et mon job c'est d'obéir à mon Maître.
A 18h, Julien entre dans ma cellule, je suis devant l'ordinateur à consulter mes mails. Je lâche tout et file immédiatement sur le matelas. Il s'avance vers moi, très souriant et avenant.
- Très bon boulot aujourd'hui, tu as été une très bonne pute.
Je couine et je m'allonge sur le dos en écartant les cuisses. Julien se déshabille et s'allonge à côté de moi, il me caresse, dépose des baisers sur ma peau, il est tendre et doux.
- Tu as pris cher aujourd'hui, tu veux vraiment que je t'encule ?
- Je t'appartiens Julien, ce que je veux ne compte plus.
- Voilà ce que j'aime entendre, je suis très content qu'en à peine 2 jours tu aies si bien assimilé les choses.
Et pour joindre la parole à l'acte, il s'allonge sur moi et m'encule sachant que ça me chauffe encore après la meute qui m'est passée dessus. Pour autant, il comble un vide, pas celui d'un cul qui a besoin d'une bite, mais celui du bâtard qui a besoin d'être pris par son Maître. Et il me fait l'amour avec douceur, je me laisse faire, je me sens apaisé par ce moment de tendresse, je n'ai même pas mal en fait, je suis vraiment bien. Lorsqu'il sort de mon cul, il s'assoit sur le matelas et me demande de le pomper très lentement. Pendant que je le suce avec dévotion, il m'indique que ses amis ont vraiment apprécié de me prendre de cette manière et que lui a adoré regarder. Bien entendu ce genre de situation sera renouvelé régulièrement parce que j'ai accepté de servir de cette manière et il a de très nombreux amis qui ne demandent qu'à être vidés le weekend comme en semaine. J'ai bien compris qu'il me demande de le sucer pour que je ferme ma gueule pendant qu'il me donne toutes ces informations. Il y a quelques heures, j'aurais sans doute joué les offusqués, maintenant, j'écoute avec attention pour le satisfaire. Il ne me demande pas si j'ai compris ou si je suis d'accord, il me laisse lui faire du bien et lorsque ma gueule reçoit ses jets de sperme chaud, je me mets à couiner de plaisir et je me régale de sa semence, je lui bouffe la queue comme un affamé et j'avale son sperme en gémissant comme si j'avais un orgasme. Je l'entends rire, sa main se pose sur ma tête, signe que je ne dois pas la relever, il pisse et je bois bruyamment cet autre nectar, boire à la source est tellement humiliant et délicieux. Il reste assis, adossé contre le mur à me caresser les cheveux, je n'ose pas bouger.
- Tu auras ta récompense mercredi soir, tu passeras la nuit avec moi et Stéphane. Dit-il avant d'ajouter, par contre, tu as joui pour la dernière fois hier, ta queue restera en cage.
Je couine, mais pas de plaisir en entendant ses mots, j'ai toujours aimé me branler et jouir, il sent mon corps se contracter alors que j'ai toujours sa bite dans la gueule.
- Seul Stéphane a ce privilège, tu dois comprendre qu'ici ton plaisir ne compte pas et ta jouissance non plus.
Je n'arrive pas à contenir un sanglot et je chiale bien qu'ayant toujours la queue de mon Maître au chaud.
- C'est bien que tu chiales, ajoute-t-il en continuant de me caresser les cheveux, c'est que tu prends pleinement conscience que maintenant, ton seul plaisir sera celui de me contenter ou de contenter Stéphane. Pour mes potes, c'est comme si t'étais une pute, sauf que c'est gratuit et que tu as accepté en connaissance de cause, on est bien d'accord sur ces points Yan ?
Je ne réponds rien, je garde sa bite dans la gueule, je fais juste un petit " hmmm hmmm " avec un léger signe de tête positif pour lui confirmer qu'il a raison. Il continue de me caresser les cheveux de longues minutes. Je finis par tourner la tête pour le regarder, j'ai les yeux humides, ma main droite commence à lui caresser le torse, ses yeux se baissent sur moi, il sourit à pleines dents.
- Tu es une très bonne pute Yan, tu me plais depuis le premier jour, je suis ravi de t'avoir à mes pieds pédale...
Qui pourrait penser que ces mots sont réconfortants ? Et pourtant, ils le sont pour moi, il m'a accordé de l'attention. Il se décale pour se lever, je me mets à genoux sur le matelas, il s'habille en me regardant, il sourit, sans doute amusé par le fait que, sans m'en rendre compte immédiatement, j'ai la gueule ouverte comme si je n'en avais pas eu assez. Il s'approche et me roule une longue pelle baveuse puis il détache ma chaine.
- Descends diner, j'ai un pote qui veut se vider et passera vers 21h ce soir, il aime se faire pomper très longtemps et tu es le mieux placé pour ça. En remontant, tu prendras le pot de capotes à ton nom sur la table, aucun mec ne t'encule sans capote sauf moi par contre, tu bouffes et tu bois sans rechigner.
Il sort sans que j'aie le temps de répondre, en même temps, il sait que je vais répondre " à tes ordres "... Je descends donc à la cuisine et je prends mon diner, Romain me rejoint, on échange des banalités et des blagues comme si la situation était normale. Stéphane arrive un peu plus tard, nous discutons à 3 et rions ensemble. Puis je vois l'heure, je monte avec mon pot et le pose sur mon bureau une fois dans ma cellule. Je fais un léger ménage, car elle est propre et j'attends cet ami de Julien qui aime se faire pomper et entre à l'heure pile.
Un mec d'environ 35 ans, plutôt mignon, je me mets à genoux par terre et je baisse la tête, il ne parle pas et s'avance vers moi, il s'immobilise à quelques centimètres de ma gueule et j'attends ses ordres...
- T'attends quoi pédale ? Tu veux faire un scrabble ou faire ton taf de pute ?
Je redresse la tête et défais les boutons de son jean, je le baisse lentement avec son slip et je me retrouve face à une queue raide circoncise que je gobe et suce lentement. Il gémit directement.
- Hn ouaiiiiis, vas-y suce bien salope, mais très lentement et mets tes mains dans le dos tarlouze.
J'obéis, je dois avouer que ses insultes m'excitent et je le suce très lentement comme ordonné. Il me laisse faire en soupirant de plaisir régulièrement.
- T'es fait pour ça, toi, on est bien dans ta gueule de pédé suceur de bites.
Je ne réagis pas et continue mon boulot. Après un long moment, il m'ordonne de le déshabiller, je m'exécute donc et le fait avec délicatesse et précaution. Une fois totalement nu, il s'assoit sur mon matelas.
- Reprends ta pipe enculé, toujours les mains dans le dos.
Il s'allonge en gardant les pieds au sol, je me redresse un peu plus pour le pomper et il gémit toujours. J'y vais lentement, j'en profite pour reluquer son torse qui est vraiment pas mal et bien viril. Il ne me regarde pas, sa tête est partie en arrière à fixer le plafond. Je me concentre sur sa queue, je la suce lentement, parfois je la sors de ma gueule pour embrasser son gland avant de la faire de nouveau rentrer en ouvrant grand la gueule pour refermer mes lèvres sur la hampe lorsqu'elle est entrée à fond et je la fais ressortir en serrant fort, mais très lentement. Je prends plaisir à l'entendre souffler, gémir et soupirer, je prends plaisir à le pomper, je prends plaisir à faire ce que je fais... Il me laisse faire très longtemps puis je sens une de ses mains me chopper par les cheveux et maintenant il me fait faire des allers-retours sur sa bite en me la faisant bouffer à fond, je bave.
- Ouais, c'est une bonne gueule à bite ça, t'aimes ça te faire fourrer la gueule hein bâtard ?
Je me contente d'un gémissement en signe d'approbation qui le fait rire, il intensifie le limage de ma gueule quelques minutes puis il se lève.
- Allonge-toi sur ton pieu, gueule en dehors du matelas que je puisse bien te fourrer maintenant.
J'obéis, il reste debout et rentre de nouveau sa queue dans ma gueule, une fois en place, il attrape ma chaine à 2 mains et commence à me baiser la gueule tout d'abord très doucement puis de plus en plus vite.
- Voilà, une bonne gorge profonde que je puisse te remplir ton estomac sac à foutre...
Je bave abondamment tellement il s'enfonce loin et je reçois un flot d'insultes pendant qu'il s'excite dans ma gorge, j'agrippe le matelas pour tenir son assaut bestial et dans un dernier râle tout en tirant sur ma chaine, me forçant à relever la tête pourtant coincée dans son entrejambe, il déverse son sperme au fond de ma gorge. Il reste longtemps immobile, j'ai du mal à respirer puis il se retire enfin, je tousse, ça le fait rire. Il se rhabille lentement pendant que je retrouve mes esprits, je n'avais jamais vécu ça, je le regarde alors qu'il ferme le dernier bouton de sa chemise, il me fait un sourire.
Il s'assoit alors sur le matelas à côté de moi et me caresse la joue puis il me roule une pelle.
- C'était super, tu as aimé aussi ? Demande-t-il.
- La fin c'était hard quand même, je ne suis pas habitué, dis-je un peu surpris par sa question.
- Ok, la prochaine fois je serai plus tendre alors, je pensais que tu voulais te faire traiter comme ça...
Je ne sais pas quoi répondre, l'incompréhension doit se lire sur mon visage.
- Romain adore qu'on le frappe, Stéphane aime quand c'est bestial, je pensais que toi aussi tu aimais ça, désolé si je suis allé trop loin... C'est un jeu, on le sait tous et chacun peut arrêter si ça va trop loin.
Il a raison, c'est un jeu, un jeu sérieux pour moi. Sans que je m'y attende, cet homme me fait m'allonger et se déshabille de nouveau, il reste de longues heures à m'embrasser et me caresser avant de partir vers minuit. Je m'endors avec le sourire, ce long moment de tendresse était délicieux.
Yan
ftasm@yahoo.fr
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