Froid. Il faisait froid en ce premier jour du confinement, et je rêvais. Emmitouflé dans ma doudoune, je pensais à lui.
« Il était allongé sur le lit, complètement nu. Son corps était imberbe, musclé et son sexe était entouré d'une fine toison brune. Il observait tranquillement le plafond, et moi, c'était lui que j'observais. Son corps presque parfait me faisait bander, je rêvais de le toucher, de suivre de la pulpe de mes doigts ses muscles, jusqu'à sa queue à demi-molle.
Je voulais le sucer, sentir son sexe gonfler dans ma bouche, le lui lécher et la prendre en entier dans ma bouche. Je voulais qu'il prenne ma tête entre ses mains et qu'il gère la pénétration de son sexe dans ma bouche. Je voulais qu'il jouisse dans ma bouche, qu'il asperge mon visage et qu'il me regarde comme la salope que j'étais.
Je voulais qu'il prenne les choses en main, qu'il me déshabille sans que je ne puisse m'en rendre compte. Je voulais qu'il me caresse, qu'il bande fortement en me voyant, qu'il ait envie de moi. Je voulais qu'il me pince mes tétons, qu'il me les lèche, me les mordille et qu'il m'entende gémir de plaisir. Je voulais qu'il me branle, qu'il me suce et lèche la queue, et qu'il embrasse mon corps en entier.
Je voulais qu'il me positionne à quatre pattes, qu'il me caresse le cul et mon trou. Je voulais qu'il humidifie ses doigts, qu'il les rentre dans mon trou, qu'il y fasse des vas et viens et qu'il me prépare. Je voulais qu'il me lèche le cul et gémir sous les assauts de sa langue. Je voulais qu'il me prenne après avoir enfilé une capote et l'avoir lubrifié. Je voulais qu'il entre lentement, mais sans s'arrêter. Je voulais sentir son membre pénétrer mon cul, me l'ouvrir et sentir ses couilles toucher mes fesses. Je voulais qu'il commence à accélérer, à me labourer le cul, et gémir sans aucune retenue si ce n'est exprimé mon plaisir. Je voulais l'entendre pousser des gémissements rauques et le sentir encore et encore accélérer.
Je voulais qu'il me repositionne sur le dos, qu'il me pénètre à nouveau en m'embrassant. Je voulais me toucher en le sentant me pénétrer langoureusement, puis en accélérant. Je voulais qu'il tache mon coup de tâches violacées. Je voulais jouir en même temps que lui. Je voulais enlever sa capote et nettoyer sa queue de tout le sperme qui y était resté. Puis je voulais l'embrasser à nouveau, lui faire un câlin et me sentir heureux dans ses bras. »
Mince, je venais d'arriver à mon lieu de travail et j'avais mon érection qui déformait mon pantalon.
L'agent Wolfy Écrivain
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