Un bruit sourd me réveille et une sensation humide au niveau de l’entrejambe fait augmenter ma libido. Je mets quelques temps à comprendre la situation dans laquelle je suis. Les souvenirs resurgissent petit à petit et ma vision s’éclaircit alors qu’une étoile filante traverse le ciel. Une douce bise caresse mon corps nu et cette sensation humide me donne de plus en plus de plaisir.
Je ne sais plus vraiment ce qu’il s’est passé avant que je m’endorme, c’est le black-out. Mais je me rappelle que j’avais commencé à draguer un homme mûr. Il devait avoir la quarantaine, blond et les yeux bleus. Je ne sais pas trop ce qu’il m’a pris, mais je ne me suis pas réellement attardé sur son physique. Tout ce dont je me rappelle c’est qu’il m’excitait énormément lorsqu’il était proche de moi.
Je sens alors une main glissée sur mon ventre velu, le caresser et remonter jusqu’à mon cou. Je regarde à qui appartient cette main et je rougis en voyant ce bel inconnu. Il me sourit en voyant que je me suis réveillé et recommence à me sucer. Je vibre de tout mon être en le sentant s’appliquer à la tâche.
Je me redresse légèrement et remarque qu’on est au bord d’une piscine extérieur. Je suis appuyé sur mes coudes et l’observe dans sa manœuvre. Il a l’air de prendre son pied en me pompant de la sorte, en tout cas, moi c’est le cas. Il suce trop bien. Je me relaisse tomber sur le dos et je profite de ce délice qu’il m’offre.
Il finit par lâcher ma queue et embrasser mon corps de l’aine à mon cou, puis il remonte vers ma mâchoire et se positionne sur mes lèvres qu’il embrasse tendrement. Il me sourit à nouveau et moi je l’observe ailleurs. Pensif. Je me demande où est-ce qu’on est et ce qu’il s’est passé depuis mon dernier souvenir.
- Alors petit marmotte, t’as bien dormi ? Me demande-t-il alors.
- On est où ? réponds-je sans répondre à sa question.
Il regarde autour de lui, puis me regarde à nouveau dans les yeux. Ses yeux bleu électrique me transcendent de haut en bas et je suis comme paralysé. Ma queue se fait d’un coup plus douloureuse et je tente de me redresser. Mais en faisant cela je regrette immédiatement. Mon cul me lance et je n’ai pas d’autre choix que de me lever pour essayer de calmer la douleur.
Je sens alors une présence dans mon dos et une main descendre le long de mes reins pour aller se loger sur ma rondelle. Un courant électrique passe alors de mon anus à la racine de mes cheveux et je suis secoué d’un énorme frisson. Je sens son souffle chaud s’échouer dans mon cou et il me sert d’un coup contre lui. Ma queue n’a rien perdu de son excitation et me fait encore douloureusement mal. Je sens contre mon cul douloureux son sexe en érection. Il m’a l’air bien monté, dommage que je ne me souvienne plus de ce qu’il s’est passé plus tôt.
Je me retourne alors face à lui et m’agenouille face à son sexe bandé. Je le prends en bouche et commence des vas et viens qui ont l’air de l’exciter. Je l’entends gémir et cela me fait mettre plus d’entrain à cette fellation. Par moment je le fixe en le suçant et je le vois perdre pied. Il me sourit et approuve ce que je lui fais. Je finis par lâcher son sexe et je reste à genoux face à lui, attendant de voir ce qu’il veut faire maintenant.
- Mets toi à quatre pattes et montre moi ton trou, m’ordonne-t-il.
Je m’exécute, ignorant ce trou en question qui me lance encore, et je me retrouve à quatre pattes le cul cambré vers lui. Je sens ses doigts glisser de ma fesse droite jusque dans ma raie et venir titiller mon trou. Il en fait rentrer un, je me cambre, j’ai mal, mais j’adore. Il en rentre un deuxième, toujours la même sensation, mais il semble chercher quelque chose. Il appuie alors sur un point sensible qui me fait gémir et je l’entends rire légèrement.
Il retire ses doigts, j’entends un bruit de flacon qu’on ouvre et je sens son gland se positionner derrière moi. Je ne bouge plus, j’attends qu’il me la mette et il me fait languir. Mon sexe me fait toujours mal et je commence à pleurer de frustration. Je le supplie de me la mettre et il me la rentre d’un coup de rein. Je cris de douleur, mais il n’en a que faire, et il commence à me pilonner sauvagement. Puis il ralentit, fait des vas et viens langoureux et je commence à gémir de plaisir.
Il recommence à accélérer et je gémis un peu plus fort. J’adore ce qu’il me fait et je me sens défaillir sous cette vague de plaisir qu’il me procure. Mes bras de me soutienne plus et je me retrouve la tête contre le carrelage qui entoure la piscine. Le cul relevé, la tête au sol, je trouve cette situation très excitante. Je sens sa main venir branler ma queue à la même vitesse que ses coups de bite.
Je gémis encore plus fort et, dans un ultime coup de rein, je jouis sur le sol sans retenu. Je le sens peu de temps après me remplir le cul et se retirer. Je me mets alors sur le dos, le sourire aux lèvres, sur un petit nuage. J’observe le ciel étoilé et je le sens venir près de moi. Je n’entends que nos deux respirations rapides et je me sens bercer par cette belle nuit d’été. Je sens mon esprit partir à nouveau et dans un dernier élan de lucidité je soupire : « Merci pour cette nuit de folie ».
***
Je me réveille sur un lit double. Le plafond est blanc et il fait bon dans cette chambre. Je suis allongé sur le dos, nu de la tête aux pieds, un drap recouvre mon entrejambe. Mes souvenirs reviennent petit à petit et ce trou de mémoire que j’ai eu cette nuit laisse place à ce qu’il s’est passé.
Cet homme que j’ai dragué a accepté mes avances et m’a fait monter au septième ciel. On en aura fait des cochonneries cette nuit. J’entends alors une porte s’ouvrir et je le vois rentrer. Il n’est pas habillé et son sexe pend entre ses cuisses. Il me regarde en souriant que je lui rends.
- Alors marmotte, bien dormi ?
- C’est le même surnom que cette nuit, dis-je en riant.
- Oui, il ne plait pas ? Tu t’es endormi après avoir joui trois-quatre fois, puis je t’ai réveillé en te suçant et…
- Oui je me souviens, l’interromps-je en souriant.
- Tant mieux, dit-il en riant. Je t’ai apporté une crème pour ton cul, tu m’avais l’air de souffrir cette nuit.
Je le sens monter sur le lit, me retourner sur le ventre et venir appliquer la crème sur mon cul. Ses mains me massent et je me laisse faire. Il fait ça bien et je me surprends à gémir de bien-être. Je sens ses mains malaxer mes deux lobes fessiers, puis venir caresser mon dos et il me retourne.
Je ne l’avais pas senti, mais je bande et il le remarque. Il rit en me voyant dans cet état et je rougis. J’ai un peu honte, je n’avais pas l’intention de bander pour un simple massage. Il me regarde tendrement dans les yeux et rapproche sa tête de la mienne. On échange pendant quelques instants nos souffles, puis il pose ses lèvres contre les miennes. Elles sont charnues, mais aussi très bonne. On s’embrasse langoureusement et je ne comprends plus trop ce qu’il se passe.
Il faut dire que j’ai un bel homme qui m’embrasse dans son lit et, qu’en plus de ça, il ne me laisse pas indifférent ce bougre. Il finit par se redresser et sourire de toutes ses dents.
- De tous les jeunes avec qui j’ai pu coucher, tu es le seul qui m’est le plus réceptif et, en plus, c’est toi qui m’as abordé. Je dois être béni haha !
- Il faut dire que tu ne m’as pas laissé indifférent non plus, dis-je en souriant. Mais bon, maintenant que je bande… j’ai le droit à une gâterie ? ajoute-je en faisant la moue.
- Raaahh les jeunes je vous jure !
Il se penche alors sur mon entre-jambe et commence par me lécher le gland. Je ne tarde pas à couiner. Il s’y prend bien et je ne mets pas longtemps à venir dans sa bouche. Il me regarde alors avec tout mon sperme en bouche et vient m’embrasser partageant ainsi avec moi ma semence.
Puis on passa la journée dans son lit à profiter l’un de l’autre (avec quelques ‘bêtises’, je l’avoue).
J’espère que cette histoire vous a plus, n’hésitez pas à me le faire savoir. Elle sort tout droit de mon imagination. Je tenais à le faire savoir ^^
L'agent Wolfy Écrivain
monsieurwolfy.wix@gmail.com
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