Cela fait maintenant quelques temps que nous sommes ensemble et que nous évoquions de mettre un peu de piment dans notre vie sexuelle.
Nos sentiments étaient intacts l’un envers l’autre mais nous avions besoin de nous amuser, de réaliser quelques fantasmes. Nous nous sommes rendu compte que nous n’avions ni l’un ni l’autre fait un plan à plusieurs. Très exclusif l’un et l’autre, un brin jaloux, nous avions convenu que si l’opportunité se présentait, nous n’hésiterions pas.
Ainsi, nous avions rendez-vous place de la cathédrale pour passer l’après-midi ensemble et se promener dans les rues de Strasbourg. Nous avons pris la direction de la place Gutenberg puis avons emprunter la rue du Vieux-Marché-Aux-Poissons pour rejoindre les quais de l’Ill qui traversent Strasbourg. La nouvelle zone complètement piétonne permet de déambuler au gré des envies, des rêves.
Après plus d’une heure de marche, nous souhaitions nous arrêter quelque part boire un verre quand soudain, Esteban se rappela qu’il attendait une livraison Amazon pour un livre qu’il avait besoin pour ses cours de Physique à la rentrée.
Donc, nous nous sommes rendus chez lui dans le quartier sud de Strasbourg plus connu pour ses matchs de football que pour sa villégiature, même s’il fait bon vivre dans le quartier. Nous arrivons devant sa porte au premier étage au fond du couloir à droite. Son appartement qui donnait sur la Route de Colmar permettait d’observer les trams qui passent les uns après les autres.
Esteban a consulté le site de livraison rapide et la livraison était prévue entre 17h20 et 18h. Il était 15h30, nous avions donc largement le temps de nous détendre. Il me propose de boire un café que j’accepte volontiers.
Il me montrait l’avancée de son Devoir Maison assez complexe. Le livre qui est en cours de route allait fortement l’aider à finaliser son DM. J’étais un peu gêné de l’empêcher de travailler studieusement pour qu’il se prépare convenablement pour la rentrée alors que je suis déjà installé professionnellement et en vacances « repos » pour la semaine entre les fêtes de fin d’année.
Il était tout proche de moi, assis à table située entre la cuisine ouverte sur la pièce unique de son studio. Son genou me frôlait légèrement au fur et à mesure de sa démonstration. Au fond de la pièce, entre les deux fenêtres donnant sur la rue, son canapé-lit encore ouvert me laissait imaginé que sa nuit fut assez mouvementée tellement les draps étaient dans tous les sens, avec qui ? Seul peut-être…
Le contact de nos genoux nous fait retourner nos visages l’un en face de l’autre, nos lèvres ne sont plus qu’à quelques centimètres l’un de l’autre, ma main passe sur le bas de son dos, comme pour l’enrouler, nos lèvres se rapprochent pour qu’elles s’unissent dans un tendre baisé. Sa main caresse ma joue, nos nez se bataillent au rythme des coups de langues dans la bouche de l’autre. Ma main continuait d’explorer le bas de son dos en soulevant son t-shirt bleu à l’effigie de son héros de manga préféré.
Soudain, il soulève ses bras me faisant comprendre que ce vêtement était de trop et que la température augmentait sensiblement. Toujours assis sur le tabouret, mes jambes se tournèrent vers lui, écartées, pour l’accueillir debout. Ses bras se placent sur mes épaules, ses lèvres reviennent sur les miennes et sa langue explore au plus profond ma bouche. Notre baiser était tendre, langoureux et savoureux.
Mes pouces et mes index se sont placés devant le bouton de son jeans pour les ouvrir les uns après les autres. Il tomba à ses chevilles en un coup. J’ai glissé mes pouces dans son boxer qui avait le visage de Pikachu complètement déformé à l’avant. D’un geste délicat, je glisse l’élastique du bout de tissu sur ses cuisses et d’un mouvement de pied, il l’a fait rejoindre le pantalon.
Sa bouche quitta la mienne ce qui me permit de poser quelques baisers dans son cou. J’ai allongé ma langue pour la faire glisser sur la glotte et lécher son thorax légèrement poilu. Je me dirige vers son téton droit pour frotter ma langue sur celui-ci et le faire durcir. Plus bas, sa queue était déjà bien bandée et dressée à quatre-vingt dix degrés. Il était fraichement rasé du pubis et la vue de cette belle queue dressée me fit fondre littéralement. J’entrepris un suçon sur son téton tout en baissant mes mains sur les deux globes arrière en les massant.
Des gémissements sortaient de sa bouche à intervalle régulier qui me faisait déduire qu’il appréciait ces caresses et ses baisers tendre.
Je le pris par les hanches et le retourna pour déposer quelques bisous dans la nuque. Ses mains prirent appuis sur son tabouret. Je m’abaissais vers l’entre-reins. Ma langue se tendit pour se glisser dans sa raie. Je me mis à genou pour avoir le visage à hauteur de ses fesses que je saisie d’une main chacune. Je les écartais légèrement que ma langue puisse s’y glisser avec plus d’aisance. Il se courba entièrement sur le tabouret et sa rondelle s’exposa naturellement à ma langue non loin d’ici. Le bout de celle-ci effleura ce petit trou fraichement lavé. Les lapements ont été réguliers pour lui soutirer des gémissements plus profonds. Ma langue explore plus profondément l’ouverture anale en s’installant avec plus de vigueur, humidifiant les parois et léchant l’intérieur sur quelques centimètres.
Il se frottait les tétons qui étaient encore bien durs, ses yeux étaient fermés approuvant ce DM plus issu de la Science de la Vie et de la Terre que de Physique qui devait terminer.
Je titillais sa rondelle avec mon index en accompagnement de ma langue, puis j’y ajoutais mon majeur, ne laissant aucune chance à Esteban de ne pas jouir, l’écartement des doigts permettant à ma langue de bien entrer et lécher l’intérieur de son ouverture. Avec mon autre main, je la glissai entre les jambes pour saisir son sexe et le caresser, du gland aux bourses tout en le masturbant avec délicatesse.
Il évita de jouir en se redressant et en se retournant face à moi. Il m’enleva sauvagement mon polo. Je me suis levé et ouvert mon jeans que je retirai immédiatement. Il se mit à genoux devant moi et me lécha le boxer qui me moulait la tige bien tendue grâce à le plaisir partagé auparavant.
Ses dents glissaient sur mon sexe tendu, ses mains caressaient mes cuisses et mes mollets, ses cheveux chatouillaient le bas ventre. D’un coup sec, il baisse mon tissu tendu, ma queue est dressée au-dessus de son front. Il me lèche les bourses, avale une boule après l’autre en la suçant me faisant monter dans le ventre des sensations d’excitation pures. Son majeur se tend vers le bas de ma raie et s’introduit doucement dans la rondelle. Avec l’autre main, il saisit mon sexe pour le braquer vers le bas. Mon gland perce ses lèvres et au contact de la langue, le prépuce se retire pour laisser le gland à l’air libre entre son palais et sa langue.
Je sens de plus en plus son doigt explorer mes entrailles, il ajoute l’index et profite de l’espace pour effectuer frénétiquement des va-et-vient. Ma queue est raidie mais tendue vers le bas. Il s’avance sur mon manche à s’en racler la gorge. Il effectue sans cesse cette opération jusqu’à n’avoir plus d’air. Mes mains sont sur sa tête pour le guider bien profondément.
Quand il reprend son souffle, je passe mes mains sur son dos pour le caresser et lui faire des massages. Ses doigts explorent toujours encore mes entrailles. Il reprend le gland en bouche et le suce goulument l’humidifiant pour d’autres manœuvres à venir.
L’excitation est intense. Il se relève et se couche sur le lit derrière nous, libérant ses jambes de son pantalon et son boxer. J’en fais de même avec mes tissus posés délicatement sur mes chevilles. Je m’avance vers lui, ses pieds étaient posés sur le bord du lit écarté.
L’invitation était trop belle, mais je voulais d’abord saisir sa bite que j’engouffra dans ma bouche afin de le sucer. J’en profitais pour glisser mes doigts vers son trou et y introduire, un doigt, puis deux, puis trois. Ils se recourbaient lui frottant les organes à proximités. Ses allers-retours dans sa rondelle et sa queue à la merci de ma langue le faisait onduler le corps et lâcher des râles de plaisir résonnant dans l’appartement. L’autre main se tendait vers un téton pour le pincer pendant l’acharnement buccal et anal.
Je sors sa queue de ma bouche qui se dirige vers ses boules que je suce l’une après l’autre. Je retire mes doigts de ses entrailles, puis je me redresse. Je présente mon gland devant son ouverture bien préparée. Il enroule ses jambes autour de mes hanches.
Il me supplie du regard que j’entre en lui. Son envie se retrouve dans ses yeux qui fixent les miens maintenant sans se quitter.
J’entre légèrement mon gland dans son cul, puis le retire. J’y retourne en ressortant immédiatement. Je fais cela plusieurs fois de suite afin de l’exciter encore plus. Nos yeux ne se quittent toujours pas.
Il gémit et se caresse ses tétons pendant ses entrées infructueuses, les pincent, les tortillent dans ses doigts puis, quand je suis en lui entièrement, il tend ses bras pour saisir mes tétons durs eux aussi pour leur adjuger le même traitement.
J’entre en lui plus profondément afin que le gland se décalotte dans ses entrailles. Son gémissement de plaisir se fait entendre dans tout le couloir, stoppant même son voisin qui tapait du marteau pour planter un clou. Je coulisse centimètre par centimètre en lui me couchant sur lui, mettant mes mains au-dessus de ses épaules pour me maintenir toujours face à ses yeux. Ses jambes entourent mes hanches. Mon pubis se colle à l’entrée de son trou, je suis entièrement en lui, lui arrachant encore un gémissement puissant. Son sexe est si dur, qu’il colle mon ventre et je sens son gland frotter au rythme de mon avancée en lui.
Je reviens vers l’extérieur, sortant doucement mon sexe de lui avant de mettre mes mains sous ses aisselles, ses bras maintenant réunis autour de ma nuque. Quand il ne reste que mon gland, je pousse fortement vers l’intérieur et commence à pilonner doucement dans un premier temps puis de plus en plus vite le laissant gémir pour qui veut bien l’entendre. Le voisin, soit il avait terminé ses travaux, soit il s’est arrêté pour profiter du son sans l’image.
Je me rapproche de sa bouche pour que nos langues se rejoignent. Elles se croisent au rythme de mes mouvements en lui avec ma queue. Il en profite parfois d’être à proximité de mon oreille pour la mordiller.
Au moment d’être au fond de lui, je le saisie par les hanches et je me roule sur le lit. Il reste empalé sur moi. Il s’assied sur moi, jambes repliées autour de mes hanches, mon sexe entièrement en lui. Il se cambre légèrement vers l’arrière puis monte légèrement grâce à ses genoux et ses pieds, se laisse retomber entièrement. Il réitère sans s’arrêter ses mouvements de plus en plus rapidement. En sautillant sur le dard, il m’embrasse sauvagement à pleine bouche. Je saisie chaque fesse dans mes mains en suivant son rythme effréné. En me redressant, j’arrive à lui lécher les tétons alors qu’il continue avec vitalité de s’empaler sur mon chibre.
A ce rythme, on va exploser rapidement et il se sait. Il ralentit ses mouvements avec son arrière-train. Son sexe frotte contre mon ventre, ses boules reposent sur mon pubis.
Soudain, il se retire de mon emprise, se met debout devant moi et me présente son sexe à ma bouche. Il l’introduit dans ma bouche et effectue des allers-retours. Son sexe se raidit et je sens jaillir sur la langue plusieurs jets. Son bras en profite pour s’allonger vers la queue pour me retirer le préservatif et me branler.
Recevoir cette dose impressionnante de jus m’excite au plus au point. Il s’agenouille devant moi, saisie mon sexe en bouche que je lâche les jets de sperme dans sa cavité buccale. Après m’avoir nettoyé, il se couche à côté de moi, on s’embrasse et on mélange nos jus grâce à nos langues qui ne veulent plus se quitter.
Nos corps sont enlacés et l’odeur de sa peau m’enivre. Il se retourne et nous prenons la position de la cuillère et reprenons notre souffle.
Quelques instants après, je lui caresse la hanche, la jambe, puis passe sur la raie. Il écarte légèrement ses cuisses ce qui me permet de poser mon pouce à l’entrée de sa vulve masculine. Je l’enfonce entièrement ce qui nous fait raidir tous les deux notre sexe.
Mon pouce laisse la place à ma queue bien dure déjà et je l’enfonce doucement. Il est couché sur le ventre maintenant et je m’applique à le pénétrer entièrement, il a écarté un maximum ses deux jambes me laissant le champ libre. Les mouvements sont courts mais profonds qui le font à nouveau gémir fortement.
Je me retire qu’il puisse se retourner. Il met ses jambes sur mes épaules et j’entre d’un coup en lui, lui arrachant un cri ne laissant pas de doute sur notre pratique. Il va finir par se faire expulser si son voisin venait à se plaindre à lâcher des cris comme ça, pas à cause du bruit, mais par jalousie qu’il ne puisse pas en faire autant.
Après un moment, ses jambes retombent sur le lit et je me positionne sur lui. Je pose mes pieds sous ses aisselles, je m’empale sur son sexe, je prends un rythme intensif. Je reste avec ma rondelle au niveau de son gland l’invitant à me piner fortement. Il soulève ses hanches, me perce frénétiquement.
Son souffle s’accélère et un cri sortant de sa bouche ouverte me laisse aucun doute : il m’inonde les intestins.
En me retirant de son bout qui est un peu moins dur, il saisit mon gland en bouche, tu me croques le gland et utilise tes lèvres pour le masser. Je n’en peux plus, je vais te gicler une seconde fois. Mon premier jet vient se loger directement dans la gorge, le reste se déverse sur la langue et les quelques gouttes qui restent accrocher à l’ouverture de mon sexe se font lapées après son nettoyage.
On se recouche l’un collé à l’autre, nos langues et nos lèvres ne pouvant plus se séparer. On s’endort quand soudain, on sonne à la porte. Le livreur Amazon est là. Nu, la queue tendue, il ouvre la porte. J’étais encore sur le lit, visible de la porte avec la queue dressée également.
Le livreur a eu un mouvement de surprise, mais pas de recul. Il le fait entrer pour signer le bon de livraison. Il rougit en nous voyant ainsi. C’est un jeune blondinet d’environ 25 ans. En entrant, Esteban observe son fessier et son entre-jambe qui semble ou bien gonflé ou bien fourni d’origine.
Je me lève pour rejoindre le duo proche de la porte et Esteban le met vite à l’aise, l’embrassant dans le cou. Je le sers fortement aussi, l’embrassant de l’autre côté de son cou.
S’il avait une pause déjeuner, c’était le moment de la faire et il allait être mangé cru par deux mecs très en forme.
Je le retourne pour lu ôter sa veste, son pantalon, Esteban s’occupant de son pull et son t-shirt. Il sentait un peu le mâle qui a travaillé et en fin de journée, mais qu’importe, l’envie de faire un trio ne laissait aucun doute aux forces en présence.
Je lui saisie son visage et cherche sa langue au fond de la bouche. Esteban s’occupe de le dessaper entièrement, retirant le caleçon qu’il portait, mais qui le gênait plus qu’autre chose tellement il était tendu.
Il lui caresse les fesses alors qu’on continue à s’embrasser. Les doigts de Esteban se dirigent vers sa fente et il lui caresse la rondelle. Sa queue est dressée vers moi. Je la saisie avec la main pour lui prodiguer des caresses et décalotter cette belle queue qui surplombe deux grosses couilles pendantes.
Notre livreur reste debout mais se plis en deux vers ma queue qu’il saisit d’un coup en bouche. Il me suce avec vigueur et profondeur. Je lui touche plusieurs fois le fond de la gorge. Esteban se met derrière lui et lui lèche la raie et sa rondelle. Il le doigte avec deux doigts sans soucis. Ce n’est pas le premier passage, c’est certain tellement il s’ouvre bien.
Esteban se redresse derrière lui et s’empale sur lui. Il lui saisit les tétons pendant qu’il le « laboure ». Il reste figé et j’en fais de même dans sa bouche.
Après quelques instants, je me recule au bord du lit, laissant mes jambes au sol, mais couché sur le dos. Le livreur s’assied sur ma queue qui entre comme un couteau dans le beurre fondu, Esteban se positionne derrière lui et y pénètre également. Nous voici tous les deux prêts à signer le bon de livraison avec deux crayons dans la rosette du livreur.
Nos va-et-vient réguliers le font gémir. Il sent nos glands lui racler l’intérieur. Il saisit son sexe et se branle pendant nos mouvements.
C’est tellement excitant pour lui qu’il lâche son jus sur mon torse, enfin sur le coussin qui est en parti sous ma tête, un deuxième jet sur mon menton et le reste est déversé sur mon torse. Le jus se mêle à mes poils du torse et du pubis, déversant de haut en bas le stock de ce jeune homme.
Esteban et moi, avec ce spectacle ne tardons pas à venir, nos jets puissants l’inondant. Il y avait tellement de sperme que le jus dégoulinait le long des cuisses du livreur.
Nous étions hors circuit, Esteban et moi. Le livreur se rhabille et avant de nous quitter, se retourne et nous adresse un clin d’œil en ajoutant : « Continuez vos commandes sur Amazon, je reviendrai vous livrer ».
Cette histoire est totalement fictive et écrite avec un ami, j'espère qu'elle vous aura plu. A très vite !
L'agent Wolfy Écrivain
Autres histoires de l'auteur :