Chapitre 1
Salut, je m’appelle Esteban et j’ai tout juste 22 ans. Je vais vous raconter des histoires qui ne me sont pas arrivées, mais qui m’ont énormément fait fantasmer. Tout d’abord, je me décris : je mesure 1m68 pour 56 kg. Plutôt musclé : je fais de l’athlétisme et du renforcement musculaire. J’ai les cheveux bruns et les yeux de la même couleur. J’ai une barbe que j’essaye de tailler pour que ça ne fasse pas crade et je suis plutôt poilu. Il faut savoir que je déteste les poils, du moins les miens. Je les trouve laid et si je le pouvais je les éradiquerais de la surface de mon corps.
Cette histoire que je vais vous raconter est un fantasme qui ne se réalisera jamais. Je venais de me faire recaler par mon meilleur pote et il m’avait complètement rejeté. J’étais détruit par tout ça et la seule chose que je voulais, c’était que mes stupides émotions se taisent. Heureusement pour moi, il y avait mes nouveaux amis que je m’étais fait au début de l’année scolaire. L’un d’eux s’appelait Arnold et il avait un petit frère qui s’appelait Guillaume (les prénoms sont changés par soucis d’anonymat).
Guillaume était plus jeune que moi. Je ne l’avais pas souvent vu, mais dès que je le voyais, j’en profitais pour le taquiner. Il me répondait souvent et un jeu s’était installé entre nous. Je l’aimais bien ce p’tit, il me faisait oublier certains de mes problèmes. Seulement, je me suis trop rapidement attaché à lui et ça allait me porter préjudice.
Guillaume avait les cheveux blonds, des lunettes et il était plus grand que moi en taille. Je ne connaissais pas très bien son anatomie, en même temps je ne l’avais jamais vu sans vêtement.
Un jour où j’étais chez mon ami Arnold pour jouer à un jeu sur PlayStation, peu avant la rentrée scolaire, son frère n’était pas là, il était rentré plus tard que lui. Je ne m’attendais pas à le voir et mon cœur s’affola en le voyant arriver. Comme d’habitude il râla auprès de son frère, car il squattait la console de salon, alors que Guillaume était beaucoup plus souvent dessus que mon ami. Ça a fini en dispute où les deux en sont gentiment venus aux mains.
Je voulais prendre part à leur dispute pour aider… Guillaume, mais je suis resté à ma place à les regarder en souriant bêtement devant leurs enfantillages. Malheureusement, ce qui devait arriver arriva et l’un d’eux se fit mal. C’était le plus jeune qui vit rouge et commença à réellement s’énerver contre son grand-frère.
Voyant que ça allait dégénérer, je décidai de les séparer et Guillaume, furieux, s’exila dans sa chambre. Arnold était légèrement remonté lui aussi, mais finalement on se remit à jouer. Seulement, je n’étais plus dans le jeu. Je ne faisais que penser au petit frère de mon ami et je voulais aller voir comment il allait.
Finalement, je trouvais l’excuse d’aller aux toilettes pour aller le voir. Je toquai à la porte de sa chambre qui était ouverte et je le vis à son bureau en train de travailler. Intrigué par son travail, je m’approchai de lui jusqu’à être juste derrière son dos. Je me penchai en avant, à hauteur de son oreille, et observai ce qu’il faisait. Je pouvais aussi sentir son odeur enivrante et mon cœur palpitait dans ma poitrine.
- Pourquoi t’es venu ? me demanda-t-il.
Il n’avait pas réagi lorsque je m’étais approché, alors je ne m’étais sûrement pas attendu à ce qu’il m’adresse la parole. J’en fus légèrement déstabilisé et ma respiration s’accéléra légèrement.
- Pourquoi stresses-tu ?
Cette fois-ci il s’était retourné vers moi et ses yeux bleus me fixaient d’un sérieux impassible. C’était la première fois qu’il me regardait ainsi, et c’était aussi la première fois que nos têtes étaient si proches. Mon regard ne pouvait s’empêcher de s’attarder sur ses lèvres que je rêvais de goûter. J’étais comme paralysé. Paralysé devant mes sentiments. Paralysé devant lui. Paralysé face à mes désirs.
- Je… je crois que… que…
Je n’eus pas le temps de finir ma phrase qu’il me coupa en m’embrassant. Je n’y répondis pas. J’étais en plein conflit intérieur. Son frère était à côté et c’était son petit frère. Mais j’en rêvais depuis si longtemps que l’envie d’enfin pouvoir passer à autre chose, faisait renaître en moi de l’espoir. Alors je me laissai aller et laissai couler la passion dans ce baisé.
Je ne savais pas si c’était bien, je ne m’étais même pas posé la question, je me contentais de profiter du moment. On finit par se séparer et mes yeux devinrent fuyant. J’avais trahi mon ami en embrassant son frère. Je sentis alors la main de Guillaume se poser sur ma joue et tourner mon visage vers lui.
Il me regardait tendrement, comme j’avais toujours rêvé qu’il me regarde, et il me sourit comme pour me rassurer. Il se leva ensuite pour aller fermer la porte et revint vers moi. Il m’embrassa avec fougue cette fois-ci et je laissai mon désir parler à ma place. Nos habits tombèrent au sol, je voyais pour la première son corps complètement imberbe et, d’elle-même, ma bouche vint goûter sa peau.
Il gémissait de plaisir tandis que moi je descendais le long de son torse. J’arrivai au niveau de son entrejambe recouvert de son pantalon. Je pouvais voir à travers son membre qui tendait le tissu. Je voulais le voir, le toucher et je n’allais pas m’en priver. Je commençai à le caresser à travers le tissu et le souffle de Guillaume se fit plus erratique.
Impatient et curieux, j’ouvris son pantalon et le baissai en même que son caleçon. J’en profitai pour observer sa queue en érection qui pointait vers moi. Elle était entourée d’une fine toison blonde et était bien au-dessus de la moyenne. Je regardai le petit frère de mon pote dans les yeux, il me supplia du regard de m’occuper de lui.
Gentil comme j’étais, je ne pouvais pas refuser et je commençai doucement à le branler. C’était plaisant de sentir son sexe dans ma main et lui, il kiffait comme jamais. Je finis par venir lécher son gland et il commença à gémir timidement. Au plus je léchai son gland, au plus j’avais envie de la prendre intégralement en bouche.
Je ne me fis pas attendre et commençai par de légers vas et viens pour finir par le gober en entier. J’adorais le sentir dans ma bouche et ma langue caressait son sexe dans tous les sens. Mes gorges profondes commencèrent à lui faire de l’effet, car il posa ses mains derrières ma tête et commença à diriger la pipe que je lui taillais.
Il y alla rapidement et moi je me laissais faire. Je ne me savais pas aussi soumis, mais je prenais mon pied à me faire ramoner la gorge de cette manière. Il finit par venir dans ma bouche et j’avalai tout.
Je me relevai et l’embrassai en souriant. Il y répondit et j’entendis Arnold m’appeler. Je m’excusai honteux auprès de Guillaume, voulant être plus longtemps à ses côtés, et sortis de sa chambre pour rejoindre son frère dans le salon.
- Bah alors, t’en as mis du temps, j’ai bien cru que t’étais tombé dans le trou et que j’allais devoir appeler les secours, annonça-t-il en riant.
- Excuse-moi, c’était la grosse commission, expliquai-je avec une arrière-pensée pour son frère.
Il hocha la tête et on reprit la partie (il avait joué en solo en m’attendant). J’entendis alors la porte de la salle de bain se fermer et je souris car je savais qui c’était. Et je savais pourquoi !
L'agent Wolfy Écrivain
monsieurwolfy.wix@gmail.com
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