Premier épisode | Épisode précédent
Après avoir repris ses esprits, Mathieu se rhabille et me tend un peignoir. Il me propose un petit bain dans la piscine. Je suggère qu’on prenne une petite douche d’abord histoire d’enlever toutes les traces de cette après-midi salissante.
- Bonne idée, je vais te montrer un truc.
Il m’emmène à l’autre bout du jardin dans une dépendance en briques rouges. Je me demande ce qu’il me réserve encore comme surprise. Il ouvre une grande porte cochère et me fait entrer dans une grange poussiéreuse.
- C’est tout droit
Je le suis jusqu’à une petite porte située au fond du bâtiment. Il attrape une clé accrochée à un clou et la fait glisser dans la serrure. La porte s’ouvre en grinçant. Il entre, cherche l’interrupteur et allume. Je découvre une salle de 25m2 environ complètement recouverte de carrelages blancs. Sur la partie haute des murs courent des tuyaux de cuivre surmontés d’une dizaine de pommeaux de douches.
- C’était un ancien centre équestre ici et il y avait des douches pour les employés. On les trouvait jolies alors on les a gardées.
J’imagine alors de jeunes palefreniers musclés se lavant les uns face aux autres sans pudeur après une dure journée de labeur. Peut-être s’observaient ils. Peut-être même s’amusaient ils à comparer le dessin de leurs abdos, la grosseur de leurs biceps, la taille de leur queue. Je les vois bien se déshabiller rapidement et jeter leurs vêtements sur le petit banc en bois à l’entrée de la pièce. Se savonner en riant sous l’eau jaillissante, se donner de petites tapes viriles sur les fesses, jouer l’ambiguïté et laisser leurs belles queues gonfler. Qui avait la plus longue, la plus épaisse, le plus gros gland ? Le perdant du concours n’avait d’autre choix que de se mettre à genoux sous la douche et d’attendre que les 5 ou 6 autres déversent sur lui leur jus de mâle encore chaud. Toutes ces pensées étaient en train de m’exciter. Quand soudain une pluie d’eau glacée me sort de mes songes.
Ma queue se recroqueville d’un coup sous l’effet du choc thermique. Mathieu arrive en rigolant.
- Ta ptite queue n’aime pas l’eau froide ?
- Pfffff
Alors que l’eau commence à chauffer, je vois Mathieu enlever ses vêtements et les jeter sur le banc en bois. Il s’approche de moi et fait glisser mon peignoir à terre. Nous sommes nus au milieu des jets d’eau qui nous éclaboussent. La belle bite de Mathieu a repris de la vigueur alors que je cache d’une main ma queue rétrécie. Il rigole. Moi aussi.
Il attrape un savon, s’approche de moi et commence à me savonner vigoureusement le torse, puis le ventre. Il me pousse la main et commence à me caresser la bite avec le savon. L’effet est immédiat. Ma queue reprend rapidement une forme honorable. Le savon s’aventure entre mes fesses. Mathieu glisse un doigt dans mon cul. Je me laisse faire, puis un deuxième. Je me tortille. Ma bite s’est gonflée d’un coup. L’eau, le corps de Mathieu, les doigts de Mathieu… je ferme les yeux.
Le bruit de la porte qui s’ouvre me fait sursauter.
Deux mecs se tiennent devant nous. Tous les deux grands, les épaules larges, le teint halé. Le premier, 28 ou 29 ans environ, porte une salopette sans t-shirt, ses bras sont épais, musclés. Ses épaules sont rondes et bronzées. Il a une casquette rouge sur la tête, des bottes vertes aux pieds. Le second à peine plus âgé est encore plus baraqué que le premier. Son t-shirt blanc, mouillé de sueur, laisse apparaître des pectoraux puissants. Des poils noirs sortent de son t-shirt. Ses traits sont secs, ses yeux d’un bleu profond. Il est très bronzé lui aussi et dégage une virilité hors du commun.
- Alors Mathieu, encore en train de faire visiter…
- Ou de TE faire visiter… enchaîne l’autre.
- Salut les gars, lance Mathieu d’un air naturel, envie de vous rafraichir ?
Les deux mecs se jettent un regard et en un instant se dessapent devant nous. Le premier fait tomber les bretelles de sa salopette, défait les deux boutons sur les côtés et fait descendre la combinaison à ses chevilles. Il ne porte pas de sous-vêtements. Je suis sous le charme du corps de ce jeune paysan, tout en muscles. Ses bras sont puissants, ses pecs sont carrés, imberbes, ses épaisses cuisses laissent apparaître tous leurs muscles, ses fesses sont rebondies et uniformément bronzées elles aussi. Entre ses jambes une fine toison noire souligne une queue au repos de bonne taille. Je dirais 13 ou 14 cm, épaisse, traversée par deux longues veines bien apparentes et entourée de deux grosses couilles très rondes. Je commence à transpirer d’envie. Le second enlève alors son t-shirt et laisse apparaitre un torse poilu, suant et très musclé. Il baisse son jeans et son slip d’un blanc douteux semble cacher un monstre. On a tous les trois les yeux aimantés par ce slip, qu’il fait descendre doucement. Sa queue emprisonnée dans le tissu prend de l’ampleur. La base de l’énorme cylindre apparaît alors. Il continue à faire descendre le slip doucement, jusqu’au moment ou un monstre d’une vingtaine de centimètre et d’une épaisseur impressionnante jaillit d’un coup. Je n’ai jamais vu une queue de cette épaisseur, surmontée d’un gland plus gros encore et légèrement violacé. Le mec regarde nos visages surpris en rigolant.
- Je prends Mathieu, tu te fais l’autre.
Nables
anthoine02@gmail.com
Autres histoires de l'auteur :