La nouvelle maison

La nouvelle maison | 4

Je ne réagis pas mais je crois que j’ai bien fait de laisser Mathieu m’ouvrir le cul avec ses doigts. Je regarde la force de la nature s’approcher de Mathieu. Il le soulève sans difficulté et le plaque contre un mur sous l’une des douches.
- Lave moi.
Mathieu se baisse pour ramasser le savon, mais le mec l’attrape sous les bras et le plaque à nouveau contre le mur avec force.
- Avec la langue. Tu commences par les oreilles.
Le mec soulève à nouveau Mathieu pour qu’il puisse accéder à son visage. Mathieu commence à le lécher doucement autour d’une oreille. Il descend dans son cou, s’attarde sur son énorme pomme d’Adam, remonte, s’attaque au lobe de son autre oreille. L’énorme bite du mec est toujours au garde à vous. L’eau coule sur leurs corps bronzés.
- Sous les bras maintenant.
Le mec soulève à nouveau Mathieu comme une poupée et le retourne complètement. Il se retrouve la tête en bas tenu en l’air par la taille. Sa queue tape la tête du mec et son visage est enfoui dans une de ses aisselles bien poilue.
La situation me met dans un état d’excitation incroyable. L’autre mec s’est approché de moi. Il m’attrape par la taille et me retourne.
- Baisse-toi.
Je me baisse lentement. Il me met un de ses épais doigts de paysan dans le cul. Je pousse un cri. Il en introduit un second. Il plaque son autre main sur ma bouche. Mes cris sont étouffés. Je sens un troisième doigt forcer l’entrée. J’essaye de m’échapper. En vain. Il me reprend par les hanches, pousse mon dos vers le bas et tire mon cul vers lui. Il crache sur ma rondelle. Et je sens son gland entre mes fesses presque vierges. Il ne s’embarrasse pas de préliminaires. Je le sens forcer le passage. Je lance un regard désespéré à Mathieu qui finit de lécher le torse velu de son paysan et s’attaque à son énorme cylindre reproducteur. C’est en voyant ce membre énorme, sale et prêt à éclater que je me dis que je ne suis pas si mal tombé avec un mec à la bite beaucoup plus raisonnable. Je décide de le laisser entrer. Voyant que je ne lutte plus, je l’entends cracher sur sa queue et lubrifier son membre. Je tourne la tête vers lui, il a un regard attendri. Il commence alors à me pénétrer doucement, centimètre par centimètre. Je grimace et retiens un hurlement. Même s’il a décidé d’être doux, sa bite doit être très épaisse, j’ai l’impression d’étouffer par le cul… Je n’ai jamais ressenti ça auparavant. Il commence à me limer doucement en me tenant le bassin fermement. Je me relève, ce qui a pour effet de refermer mon cul sur sa bite et augmente ses sensations. Il commence à gémir.
De l’autre côté de la pièce Mathieu est à genoux entrain de lécher les doigts de pieds du géant poilu.
- Je suis bien propre maintenant. Ca me donne envie de te baiser, hurle-t- il de sa grosse voix. Mathieu donne-moi ton cul. Comme tu m’as bien nettoyé et que tu as été une bonne fille, tu vas avoir un traitement de faveur.
Il se tourne alors vers nous, regarde son pote s’agiter dans mon cul avec un air amusé.
- Hey les deux pd, allongez-vous par terre
Aussitôt son pote sort de mon cul et s’allonge dos à terre. J’observe la queue qui m’a déchirée et je me rends compte que je l’avais un peu sous-estimée. Sa bite bandée me parait longue et ses grosses veines gonflées l’épaississe considérablement.
Je m’allonge à mon tour à côté de lui.
- On commence par la plus petite bite et on augmente. En disant cela le mec soulève Mathieu un bras sous son dos et l’autre sous ses jambes et s’approche de moi. D’un coup sec il empale Mathieu sur ma queue. Il grimace. J’ai l’impression d’être un gode vivant.
- Ah bah ca rentre tout seul.
Il le soulève à nouveau et place le cul de Mathieu au-dessus de la queue de son pote. D’un coup sec il enfonce Mathieu sur ce pieu plus épais et plus long. Mathieu cette fois pousse un cri. Il essaye de se dégager, mais il est maintenu fermement. Il prend cher. Le mec en dessous commence à donner des petits coups de bassin. A chaque coup, Mathieu pousse un hurlement. Petit à petit les cris de Mathieu se transforment en gémissements. Le géant arrache alors Mathieu de la bite qui le transperce et le pose au sol. Il lui présente son énorme queue.
- Mouille la bien. Tu as trente seconde.
Mathieu se jette alors sur l’énorme morceau de chair. Je l’entends racler sa gorge et chercher le maximum de salive pour l’étaler du bout de ses lèvres et de sa langue. A peine une minute plus tard, le mec soulève à nouveau Mathieu. Il le plaque contre un mur, remonte ses jambes et les passe autour de sa taille. Il place directement son énorme gland contre la rondelle déjà bien ouverte de Mathieu qui a fermé les yeux. Je le vois serrer les dents. Le mec propulse sa bite aussi large qu’une cannette de coca dans le cul de mon ami. Mathieu se tend. Il devient rouge de la base de son ventre jusqu’au plus haut de son front. Il respire par saccade de plus en plus vite et de plus en plus fort. La bite n’est pas encore au fond. Il en reste encore la moitié soit dix bons centimètres à faire entrer. Mathieu tape de ses poings sur le torse de son bourreau pour faire passer la douleur, ce qui a pour conséquence de l’exciter encore plus. Il pousse comme une brute avec sa bite, puis la ressort un peu pour prendre de l’élan et la faire pénétrer encore plus loin. Il s’y prend à quatre reprises pour l’enfoncer jusqu’au bout. Mathieu est toujours haletant. Tous ses muscles sont tendus, comme s’ils allaient exploser. Le paysan ne le regarde même pas. Il reprend son va et vient en poussant des cris de plaisir. Mathieu est sa chose, soumis. Je le regarde. Je vois dans ses yeux que sa douleur s’est transformée en plaisir. Un plaisir violent et sauvage. Soudain il ouvre la bouche et pousse un râle en me fixant. Il est en train de jouir. Sa queue est prise de spasmes violents, son foutre est projeté sur le torse et le menton du mec qui le pilonne frénétiquement. Ce jet de foutre chaud le rend comme fou, il accélère le rythme, pousse des cris graves et sourds. Il déchire le cul de mon pote, fracasse ses deux énormes couilles contre ses fesses. Et dans un cri long et puissant il explose dans le cul de Mathieu.