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Piscine
3 | Piscine d'antan
9h du matin, comme chaque jour j'ouvre les portes de la piscine pour accueillir les nageurs.
Employé depuis 20 ans, j'ai pris l'habitude de faire une ronde de surveillance avant l'arrivée du public. Je commence par vérifier la propreté et la température des bassins ainsi que l'exactitude de l'horloge. Ensuite, je remplis le pédiluve, vérifie l'eau des douches et les vestiaires. En passant, j'en profite pour enfiler ma tenue de travail, la plus cool au monde : un t-shirt blanc et un short de bain rouge. C'est l'avantage de travailler toute la journée dans un endroit chauffé à plus de 25 degrés. Pieds nus, je m'installe au guichet et vérifie les caisses.
Quelques minutes plus tard, les premiers nageurs arrivent et défilent. Mon travail peut enfin commencer, il s'agit de racler les douches, rappeler les nageurs à l'ordre : ne pas courir au bord de la piscine, mettre correctement son bonnet de bain, etc. Le temps passe vite jusqu'au moment où je vois arriver à la piscine un père et son fils. Je reconnais tout de suite le fils aux traits de sa mère que j'ai bien connue ici même il y a de nombreuses années. Je m'en rappelle comme si c'était hier :
Je venais d'être embauché et faisais pas mal de zèle pour être sûr de garder mon poste : je vérifiais cinq fois par jour la propreté des toilettes, passais systématiquement racler l'eau dans les douches et dans les cabines individuelles que nous avions alors. C'est à cette époque que j'ai vu arriver un jeune couple à la piscine. La fille était canon, blonde, avec un corps mince et une poitrine à tomber. Ils semblaient fort amoureux et aimaient être tactiles : ils se tenaient pas les hanches, n'hésitaient pas à se coller et se faire des baisers lorsqu'ils attendaient pour la consigne.
Alors que mes souvenirs remontent à la surface, je revois le père quelques années en arrière et distingue plus nettement les traits de la mère dans ceux du fils. Quelques instants plus tard, lorsqu'il sera en slip de bain, je n'ai pu m'empêcher de regarder son derrière, le même que celui de sa mère qui m'avait fait tant d'effets et qui pourrait encore me faire bander vu le début d'érection que ces souvenirs provoquent...
Le jeune couple était très gentil. A l'époque, beaucoup de nageurs n'étaient pas particulièrement sympathiques avec moi en raison de mes origines maliennes. La mentalité dans cette petite ville était différente et un jeune homme noir au guichet ne suscitait pas l'enthousiasme. Pourtant j'essayais d'être agréable avec tout le monde en souriant le plus possible et en me montrant dévoué à mon travail. Ma couleur de peau n'a jamais été un problème pour eux, nous avons sympathisé et c'était toujours très agréable de discuter avec eux, même s'il était difficile pour moi de ne pas jeter mon regard sur le corps de la demoiselle dès qu'elle était en maillot de bain. Plusieurs fois, j'ai du abréger la conversation car l'effet dans mon short de bain commençait à se voir. D'autant plus que j'ai hérité d'un très long morceau de viande entre les cuisses que ce soit au repos ou au garde à vous et que cela limite fortement les possibilités d'être excité en public.
Quelques mois plus tard, j'apprendrai que la fille jouait de ses charmes devant moi par pure provocation sachant que son copain était à ses côté. Ses postures, ses caresses discrètes sur la poitrine, son ventre et le haut de ses cuisses n'étaient pas du hasard. Cela lui faisait de l'effet de me chauffer devant son copain.
Tout s'est accéléré lorsque ce dernier n'est plus venu avec elle à la piscine suite à un changement d'horaire de travail. Elle a commencé à devenir plus tactile avec moi, me touchant l'épaule ou le bras. Un jour alors que nous parlions après sa séance de natation, elle a continué à me parler tout en partant vers les cabines. Je l'ai suivie avec ma raclette et l'excuse de vérifier si le sol était bien sec. A ma grande surprise, une fois dans la cabine, elle n'a pas refermé la porte et s'est déshabillée devant moi. Mon sang africain a tout de suite irrigué mon membre et je me suis retrouvé dans une position délicate.
Alors qu'elle s'essuyait avec sa serviette de bain, me lançant des regards coquins, elle m'a tendu la main, attrapé le bras et emmené dans la cabine. Je pouvais enfin voir de près sa magnifique poitrine. Mon sexe à travers le short de bain pointait tellement fort qu'il touchait son ventre. Elle a alors glissé ses mains sous mon t-shirt palpant longuement et avec douceur mes abdominaux et mon torse musclé. Elle ne me lâchait pas des yeux. Ses mains se sont ensuite dirigées vers mon short de bain, se sont glissées à l'intérieur et ont saisi fermement mon manche. Je devais retenir mon orgasme pour ne pas salir mon uniforme de travail mais mon Dieu que j'étais excité !
En se collant à moi, elle m'a enlevé mes vêtements et m'a poussé sur la banquette. Assis face à ce corps magnifique, elle a saisi ma nuque et a attiré mes lèvres charnues vers son sexe. Je ne me suis pas fait prier : léchant, suçant et variant les profondeurs de pénétration de ma langue pour lui arracher toujours plus de gémissements jusqu'à l'orgasme. Elle a ensuite enfilé sa petite culotte avec un petit sourire de garce marquant un arrêt brutal à ce moment et me laissant les couilles pleines et la bite dure comme une barre de fer... J'étais complètement dépité mais ne pouvait rien faire.
Ce n'est que quelques mois plus tard que j'ai pu prendre ma revanche. Elle s'était mariée entre temps et attendait un enfant. Son magnifique corps s'était déjà bien arrondi et ses seins avait pris de l'ampleur lorsqu'elle est revenue à la piscine avec une idée bien précise en tête. Après quelques longueurs, elle m'a demandé de la rejoindre dans la cabine et m'a expliqué que son mari ne la prenait plus parce qu'il avait peur de faire mal au bébé. La pauvre était complètement en manque et je comptais en profiter.
Dans les cabines, ma main sur son épaule, j'ai exercé une pression pour lui faire comprendre de ses mettre à genoux. Si elle voulait jouir, il allait falloir qu'elle obéisse. J'adorais la voir sucer mon gland et ma grosse bite noire rentrant le plus possible dans sa gorge. Sous son ventre rebondi, je voyais qu'elle se caressait. Lorsque je l'ai relevée, elle a cru que j'allais la prendre comme elle le souhaitait mais je comptais lui faire payer la frustrations qu'elle m'avait fait endurée.
Je l'ai donc retournée et ai présenté mon sexe sur sa rondelle. Elle s'est un peu crispée mais ce jour-là c'était elle qui devait me faire plaisir. Lubrifiée par sa salive, j'ai enfoncé une bonne partie de ma queue. Quelle excitation de voir le contraste entre mon corps noir et la blancheur de la peau de ses fesses. Son derrière était tellement serré que je lui ai envoyé la sauce avant d'avoir pu enfoncer totalement mes 23cm. Les jets n'en finissaient pas, son cul était complètement inondé.
J'ai remis mon uniforme et lui ai dit en me penchant et m'adressant à son ventre :
- Reviens la semaine prochaine à la même heure, si tu veux un petit frère !
Cela ne l'a pas fait rire du tout mais la semaine suivante, elle était bien au rendez-vous avec ses yeux suppliants…
Contre la paroi de la cabine, j'ai fini par la pénétrer. C'était une expérience très étrange. Elle était aux anges et je devais d'une main l'empêcher de crier. Mon autre main sentait son ventre bouger et réagir à la pénétration au rythme des va-et-vient. Cette fois-ci, mes 23cm étaient bien rentrés et j'ai servi à boire à son vagin comme il se doit. C'était ma tournée, puis une deuxième, une troisième.
Absorbé dans mes souvenirs, la queue dressée sous le bureau, je regardais le père et le fils se diriger vers les bassins. Quelle drôle d'histoire, dire que pendant un moment ce jeune homme a probablement eu ma queue collée sur le front…
Camozzzor
camozzzor@gmail.com
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