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5 | Piscine intergénérationnelle
9h du matin, comme tous les matins depuis mon départ à la retraite, je bois mon café en lisant mon journal. A 63 ans, je profite de la vie avec ma femme. On profite d'ailleurs un peu trop... Les restaurants et autres repas lourds finissent par se voir lorsque je mets mes anciennes chemises ; les boutons semblent souffrir le martyre tant le tissu est tendu.
Lorsque je me regarde dans le miroir, il faut bien avouer que mon gros ventre prend tout la place même s'il est en partie caché par sa pilosité grisonnante. Je n'ai jamais eu de complexe mais il était temps que je me remette à faire un peu de sport.
Ma femme, mon docteur et surtout mon petit fils m'ont incité à faire de la natation, un sport adapté aux personnes âgées car il ne fait pas souffrir les articulations, paraît-il.
Ce matin, je vais donc à la piscine avec mon petit fils. C'est plus motivant d'y aller à deux.
Alors que je termine mon café, j'entends une voiture se garer et la porte d'entrée s'ouvrir. Mon petit fils vient d'arriver. A 19 ans, il respire la joie de vivre, souriant et plein d'énergie, j'apprécie beaucoup sa présence d'autant qu'il est très bien élevé et veut toujours me faire plaisir.
Alors que je me lève pour l'embrasser, je sens qu'il vient de se raser. La peau de ses joues est douce et sent l'après-rasage. Je vais probablement l'irriter avec ma barbe d'ours mal lêché. Comme de juste, il se caresse la joue après ce contact et je vois sa peau de blondinet rougir.
Après avoir échangé quelques paroles, nous partons pour la piscine qui se situe dans le village voisin. Je paie les entrées et nous partons nous changer dans les vestiaires.
Ayant fait l'armée, je ne suis pas pudique et me change sans complexe. Je me retrouve assez vite nu et ne tente absolument pas de me cacher. Mon petit fils à côté de moi lui ne prend pas son temps, il se déshabille vite et enfile rapidement son maillot de bain. Je ne comprends pas sa pudeur alors qu'il est jeune, musclé, rasé de la tête aux pieds et bien mieux bâti que moi... Son rasage intégral des parties intimes ne laisse en effet pas de doute, malgré la rapidité avec laquelle il se change.
Dans le vestiaire par contre, il y a un homme qui ne cache rien. On le croirait sorti d'un magazine de bodybuilding ; crâne rasé, tatouages sur une bonne partie du corps, et un énorme engin entre les cuisses, tellement large que l'on aperçoit le bout de son gland rosé. Personne ne peut dire qu'il ne l'a pas remarqué dans le vestiaire.
Quelques minutes plus tard alors que je sors enfin des vestiaires, je vois que mon petit fils et le Musclor en question sont en train de parler dans le bassin à la ligne centrale. Je me dirige vers le bassin et commence à faire mes longueurs près du bord. Je nage plutôt mal, sans même mettre la tête dans l'eau mais cela me fait du bien de faire un peu de sport.
A chaque longeur, lorsque j'arrive à côté des plongeoirs, deux hommes d'une vingtaine et d'une quarantaine d'années se chamaillent dans la piscine... Ils ne font pas vraiment attention à moi et à plusieurs reprises ils me frôlent ou me donnent de légers coups de coudes ou de pieds. Cela m'irrite un peu...
Après un énième coup, je m'arrête près d'eux alors qu'ils sont tous les deux la tête sous l'eau. Tournant mon gros ventre vers eux, à quelques dizaine de centimètres de leur tête, je décide de vider ma vessie sur eux pour me venger de leur impolitesse... Faisant semblant de reprendre mon souffle, je dirige mes hanches au plus près. Je rigole intérieurement de mon vilain coup, je suis content comme un chien qui va marquer son territoire. Puis, je sens le soulagement arriver ; la chaleur de mon fluide transperçant mon maillot, se rependant dans l'eau, effleurant les corps de ceux qui m'entourent.
En repartant pour une autre longueur, je me demande s'ils se sont rendus compte de quelques choses, s'ils ont senti le léger courant chaud sur leur corps...
Au même moment, je vois mon petit fils et Musclor partir vers les vestiaires. Le temps de finir péniblement ma longueur, je ne les vois pas revenir et en conclu qu'ils sont partis se doucher. Je sors du bassin et me dirige vers les vestiaires puis les douches mais n'y vois personne.
Je pars donc vers les toilettes voir s'ils y sont. Aux urinoirs, il n'y a personne mais une des cabines de toilettes est fermée. J'entends des bruits à l'intérieur. Pour en être sûr, je me baisse et regarde sous la porte. Je vois 4 pieds dont deux que je reconnaîtrais entre mille pour les avoir vu grandir...
Le choc ! Vu les bruits de succion et les respirations rapides qui suivent, il n'y a aucun doute... Mon petit fils se fait un plan cul avec Musclor et vu la position des pieds, il doit être assis sur la planche et sucer l'énorme queue de Musclor que j'ai aperçue au repos tout à l'heure.
Je n'aurais jamais pensé cela de lui...
Choqué mais un peu curieux, je me rapproche et j'entends des gémissement virils de plus en plus forts, il doit bien s'y prendre. Je retiens ma respiration et écoute quelques minutes, le coeur battant la chamade. Puis, cela s'accélère à l'intérieur, les doigts de pieds de Musclor se crispent, il est en train de jouir ! J'imagine les coulées de sperme sortant tout droit des boules de Musclor inondant le visage de mon petit fils.
Je me demande s'il en a eu dans les cheveux et si lui aussi a joui. C'est probable vu la forte odeur de testostérone qui se dégage.
Ils vont probablement bientôt sortir, je rebrousse chemin vers les vestiaires et vois en effet quelques minutes plus tard Musclor sortir et se diriger vers les bassins sans prêter attention à moi. Il ne me reste plus qu'à attendre mon petit fils.
Moins de deux minutes plus tard, il sort également des toilettes, me voit et à l'air paniqué.
- Tu as fini tes longueurs ? Tu me cherchais ?
Alors qu'il me parle, je sens l'odeur du sperme dans son haleine. J'avais vu juste mais je n'aurais pas cru qu'il aurait du sperme plein la bouche. Ma femme ne me l'a jamais fait ... Ce n'est pas de son côté qu'il a hérité de ce côté déluré.
En tout cas, je découvre une autre facette du plus gentil de mes petits fils, celui à qui l'on donnerait le bon Dieu sans confession.
- Oui et non, allez suis-moi, lui dis-je en me dirigeant vers les douches.
Je me mets juste à côté de lui. On enlève nos maillots de bain, il se tourne à moitié vers le mur pour se savonner.
Moi je me retourne vers lui, le penis en érection caché sous mon ventre. Il n'est pas bien gros mais il le remarque tout de même et fait de son mieux pour ne rien laisser paraître. Je ne vais pas le laisser s'en tirer comme ça...
Je fais un demi-tour sur place et en profite pour frotter le bas de mon ventre et ma petite queue dure en décalottant. Il me regarde.
-Désolé, je bande, lui dis-je en désignant ma queue.
- Heu, ce n'est rien ça arrive, répondit-il embarrassé.
- C'est juste qu'on m'a dit qu'il y a une saloppe aux toilettes qui sucait tout à l'heure. Tu te rends compte ici, à la piscine. Ça m'a trop excité, il faut que je me branle pour évacuer!
- Heu, je ne sais pas ? C'était ... heu c'était qui ? Moi... quand j'ai été aux toilettes, je n'ai rien vu, dit-il en rougissant et en me regardant astiquer ma petite queue de plus en plus vite.
Le pauvre semblait complètement perdu, il ne pensait même pas à se tourner vers le mur et restait face à moi, les yeux braqués sur ma queue, l'air sidéré. Dans un grognement, j'ai poussé mes hanches vers l'avant, dirigé mon sexe à l'horizontale et me suis mis à juter. C'était trop bon ; sentir mes testicules se contracter et le sperme monter alors qu'il me fixait pour ne pas en perdre une miette.
Les deux premiers jets ont atteri sur le carrelage de la douche à une trentaine de centimètres. Quelle fierté de montrer ces jets toujours puissants à mon âge.
-Haaa, ça fait du bien ! Désolé, je ne t'ai pas éclaboussé j'espère, lui dis-je en rigolant.
Il ne répond rien.
Puis, je me rends compte que le dernier jet de sperme a coulé sur mes doigts. De ma main souillée, je lui tapote intentionnellement l'épaule laissant sur sa peau quelques gouttes visqueuses en lui disant:
-Désolé, je ne pouvais plus attendre!
- Heu, c'est rien ! dit-il reprenant enfin ses esprits, les yeux exorbités en fixant son épaule.
Je le regardais se tourner vers le mur et se savonner énergiquement les abdominaux, ses fesses se contractant en même temps.
Retournant dans les vestaires les couilles vides, j'aurais bien voulu être dans sa tête pour savoir qui de Musclor ou de son Papy l'aura le plus marqué aujourd'hui.
Camozzzor
camozzzor@gmail.com
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