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Soirée costumée

Il y a quelques mois, mon partenaire William et moi nous sommes lancés dans une grande aventure : nous avons déménagé aux Etats-Unis. Depuis, nous découvrons peu à peu les coutumes américaines. Fêter Halloween comme il se doit fait partie de ces traditions. En Europe, nous n’avions plus célébré cette fête depuis plus de 15 ans, quand nous étions encore enfants. Ici, le weekend d’Halloween, on peut trouver une fête à chaque coin de rue. C’est donc tout naturellement que nous avons été invités à une soirée privée chez un ami.

Le lendemain, on se met en quête de trouver un costume. Devrait-on opter pour un déguisement dans le thème horreur, du genre Scream, comme on aurait tendance à le faire en Europe ? Ou plutôt un déguisement sexy, comme un flic avec ses menottes ? Pour se décider, on se rend dans l’un des nombreux magasins dédiés aux costumes. Là, les rayons sont immenses et nous avons l’embarras du choix. Après avoir envisagé différentes options, mon mec se décide pour un pharaon tandis que je jette mon dévolu sur un déguisement de gladiateur. Les deux déguisements sont plutôt légers, avec une tunique et des manches courtes, mais dans le sud des Etats-Unis, il fait plus de 25 degrés à la fin du mois d’octobre.

Le jour de la fête arrive. On se prépare en enfilant nos costumes avant d’admirer le résultat dans le miroir. Le résultat n’est pas mal du tout ! Nos bras et nos jambes finement sculptés sont bien mis en valeur. Je m’approche de mon chéri langoureusement.

- Tu veux tâter mon glaive ? lui dis-je en lui faisant un clin d’œil. Il me répond par un petit rire.

Je glisse alors ma main sous sa tunique et palpe son sexe enfermé dans son boxer.

- On dirait qu’il y a quelque chose qui cloche avec ton costume, lui fais-je remarquer.

- Ah bon ? Qu’est-ce qu’il y a ?

- Je ne pense pas que les hommes dans l’Egypte antique portaient des boxers, alors j’ai bien peur que tu doives l’enlever.

- T’es fou ? La tunique m’arrive à peine aux genoux, si j’ai le malheur de m’asseoir et d’écarter un peu les jambes, tout le monde va avoir droit au spectacle.

- On ne discute pas ! Je veux avoir le souci du détail, tout doit être historiquement correct.

Je passe alors mes deux mains sous sa tunique, j’attrape l’élastique de son sous-vêtement et je le fais glisser le long de ses jambes.

- Beaucoup mieux non ? On se sent plus libre hein ?

- Je dois avouer que c’est pas mal. Et toi, c’est comment en-dessous ? dit-il en passant à son tour sa main sous mon déguisement et en caressant mes fesses nues.

- Aussi libre que toi ! Par contre, vas-y mollo avec tes mains baladeuses, lui dis-je quand il s’approche de mon membre. Regarde dans quel état tu me mets.

En effet, mon sexe déforme mon costume d’une manière qui laisse peu de place à l’imagination, tant le tissu est fin.

- T’as l’intention d’aller camper ? T’as déjà monté ta tente ?

- Tsss ! Tu te crois malin ? Rends-toi plutôt utile et fais quelque chose pour régler le problème.

- Je ne vois qu’une solution…

Il s’agenouille devant moi, relève ma tunique et ma bite jaillit devant sa bouche. Ni une ni deux, il l’enfourne voracement en me branlant frénétiquement. L’effet ne se fait pas attendre. Il ne me faut même pas trois minutes avant de relâcher tout mon jus au fond de sa gorge. Je me réajuste et on vérifie dans le miroir que tout est parfait. William a du mal à cacher son excitement.

- Et pour mon « souci », tu comptes faire quelque chose ? me demande-t-il.

- Je compte bien profiter un peu de ta situation avant de te soulager, lui dis-je malicieusement. Allez, en route ! On est déjà en retard, comme d’habitude. Ou je devrais plutôt dire « comme ta bite rude ». Il lève les yeux au ciel et on se met en route.

Dans la voiture, je pose innocemment ma main sur sa cuisse. Mais il me connait bien : il écarte les jambes comme si de rien n’était, tout en gardant les yeux fixés sur la route. Je remonte le long de sa cuisse en prenant tout mon temps pour le faire languir. Parvenu à son entrejambe, j’empoigne son sexe déjà dur comme la pierre et je commence à faire des va-et-vient. Au premier feu rouge, nous nous arrêtons à côté d’une autre voiture. William tente rapidement de recouvrir sa queue avec sa tunique mais je l’en empêche.

- Il fait noir, il ne peut pas voir ce qu’il se passe. À la limite il peut distinguer une forme bizarre mais il ne peut rien voir distinctement. Et même si c’est le cas, il est plutôt pas mal non ? En plus on dirait qu’il va aussi à une soirée, il a l’air déguisé.

Bien qu’il n’y ait pas de lampadaire et qu’il fasse donc très sombre, le type d’à côté regarde fixement dans notre directions. Je ne vois pas vraiment ses yeux mais on dirait qu’ils sont dirigés vers l’entrejambe de mon mec. Peut-être que ce n’est pas si discret que ça, finalement… L’idée m’excite un peu et je redouble d’efforts pour branler William, sans même essayer d’être discret, tout en fixant le conducteur. Le feu passe au vert. Il nous jette un dernier regard et j’ai l’impression qu’il nous fait un clin d’œil, même si dans le noir, je ne pourrais pas le jurer, puis il démarre et s’éloigne.

Un quart d’heure plus tard, on arrive à la soirée, sans trop s’avoir à quoi s’attendre. La baraque est immense, du genre de celles qu’on voit dans les films américains (beaucoup de clichés sont vrais). Il y a une bonne trentaine de voitures garées le long de la route, on ne s’attendait pas à autant de monde.

On ne prend pas la peine de sonner, de toute façon, personne ne nous entendrait, compte tenu du volume de la musique. On entre donc et se dirige immédiatement vers le bar. Nous ne connaissons quasiment personne, à l’exception de notre hôte et deux ou trois autres invités. Le maître des lieux, déguisé en Aladin (pour bien frimer en montrant ses abdos à tout le monde… bon c’est vrai qu’il est super bien foutu) nous accueille et nous présente à Dracula, Freddy Krueger et à un faux pompier assez canon.

On se serre généreusement une rasade d’alcool dans les célèbres gobelets rouges puis on fait le tour de la propriété. Il y a un peu de tout : des personnages issus de films d’horreurs, des uniformes en tout genre, du policier au pilote d’avion, en passant par l’infirmier, des déguisements qui ne cachent pratiquement rien, comme un Tarzan bodybuildé… Bref, il y en a pour tous les goûts et tout le monde semble avoir fait un réel effort pour revêtir un costume de qualité. Pendant que je balaie la fête des yeux, quelque chose me frappe.

- Tu n’as pas l’impression qu’il y a un truc bizarre ? dis-je à William. Regarde un peu autour de toi.

Il jette un regard aux alentours et après quelques secondes, je le vois plisser les yeux. Il semble avoir compris aussi.

- Pas une seule fille… lâche-t-il. Je pense qu’on est tombés dans un guet-apens ! Même si ce n’est pas vraiment un problème, la plupart des mecs ici sont un plaisir pour les yeux.

- Tu as le feu au cul mon amour ? Tu veux que j’appelle le pompier sexy pour qu’il l’éteigne avec la lance incendie qu’il a dans son pantalon ? Au vu de la taille de sa bosse, ça doit être un fameux tuyau ! Et ça a l’air de te faire de l’effet !

Sa trique est de retour et il n’a aucun moyen de la cacher, à part en mettant ses mains devant.

- T’en fais pas, à mon avis ça ne dérangera personne ici, je suis pratiquement sûr que tout le monde est gay ici. Mais si ça te gêne tant que ça, viens.

Je le prends par le bras et l’amène dehors. Il n’y a pas grand monde à l’extérieur, les gens préfèrent ne pas trop s’éloigner du bar. Je l’entraine à côté de la piscine et on s’affale chacun sur une chaise. Quelques mètres plus loin, un groupe de quatre mecs déguisés en rugbymen discutent boulot en buvant de la bière. Sur ma chaise, je leur fais face tandis que mon mec leur tourne le dos.

Après quelques minutes à discuter et siroter nos verres, une mon esprit coquin revient à la charge. Je fais mine de m’étirer puis je relève une jambe et la pose sur l’entrejambe de William. Dans cette position, une jambe relevée et une jambe au sol, ma tunique est légèrement relevée et mon entrejambe serait très visible pour les rugbymen, s’il ne faisait pas si sombre et qu’ils étaient plus près. Nonchalamment, je commence à lui masser la bite avec mon pied. Évidemment, en quelques secondes, il devient extrêmement dur. Je dois dire que la situation m’excite moi-même, car je suis dans le même état, ce qui a pour effet de relever un peu plus le tissu de mon déguisement. De temps en temps, je croise le regard d’un des rugbymen qui jette parfois un œil distrait de notre côté. L’idée qu’il ait une vue plongeante sur mon entrejambe me traverse l’esprit mais je suis bien trop occupé à malaxer la queue de William. Subitement, après plusieurs minutes de ce petit jeu, il me dit :

- J’en peux plus, lève-toi.

Je suis un peu surpris : j’ai rarement entendu une intonation aussi autoritaire dans sa voix alors je ne pose pas de question et je me dégage de son sexe. Il se réajuste en la cachant avec sa tunique, même si « cacher » est un bien grand mot. Il peut tout au plus le couvrir, car c’est maintenant impossible de dissimuler la forme de son excitation. Il se contente de masquer la bosse au mieux avec sa main gauche, m’attrape le bras de son autre main et m’entraine vivement à l’intérieur. On se dirige vers les escaliers et on monte. Il y a beaucoup de portes, mais ce n’est pas étonnant quand on voit la taille de la maison. Il tente d’ouvrir la première mais elle est verrouillée, ainsi que la deuxième. La troisième ne l’est pas et nous nous engouffrons à l’intérieur. William ferme à clé rapidement, me plaque violemment contre le mur et me dévore la bouche.

- Tu te rends compte que c’est un gros cliché de film, de baiser dans une chambre pendant une fête ? parviens-je à dire lorsqu’il me laisse reprendre mon souffle. Il ne répond rien, trop occupé à se débarrasser de son costume. Je me mets aussi à poil et nous nous jetons sur le lit. Il se couche sur le dos et sans perdre de temps je m’assieds sur lui. Sa queue rentre instantanément. Sans plus aucune retenue, il me pénètre et fait de puissants allers-retours en moi. Je l’ai rarement vu aussi excité. Peut-être même trop, car il ne tarde pas à lâcher plusieurs jets de sperme dans mon cul, en retenant un grognement de plaisir.

On se rhabille puis on sort de la chambre. Dans l’escalier, on croise un des rugbymen qui étaient près de nous dehors. Il a l’air de comprendre directement ce qu’on était en train de faire à l’étage, parce qu’il nous adresse un grand sourire et nous demande :

- Alors, vous profitez bien de la fête ?

Ni William ni moi ne savons quoi répondre et nous nous contentons d’un rire gêné. Quelques minutes plus tard, alors que nous discutons tous les deux dans un coin du living, le rugbyman se dirige vers nous. Directement, mes yeux sont attirés vers son entrejambe. Son short est très court et malgré la pénombre, on distingue très clairement le contour de son sexe le long de sa cuisse gauche. On dirait que le gland est sur le point de sortir de la jambe de son short.

- Justin, dit-il en tendant la main.

Nous nous présentons à notre tour et je le contemple un peu plus en détails : il mesure quasiment la même taille que moi, environ 1m85. Il a plutôt une belle carrure, des épaule larges et des cuisses musclées. Il doit être sportif. Peut-être est-il réellement rugbyman. Son visage m’est familier. Il a des yeux verts, des cheveux châtains coiffés en brosse et une petite barbe de trois jours bien entretenue. J’essaye de me rappeler où je l’ai vu mais je n’ai jamais eu une bonne mémoire. Heureusement, la sienne a l’air meilleure.

- Vous n’avez pas attendu d’arriver à la soirée pour jouer, lâche-t-il. J’ai cru comprendre que aviez une bonne façon de passer le temps aux feux rouges.

Le beau mec de la voiture d’à côté ! Je savais que je l’avais déjà vu. Apparemment, on était plus visibles qu’on ne pensait, dans la pénombre de la voiture.

- Votre jeu près de la piscine avait l’air amusant aussi, j’aurais bien voulu participer, ajoute-il.

Ce faisant, il attrape le tissu de la jambe de son short et le relève doucement, dévoilant une superbe bite. Nous sommes dans un coin de la pièce et il tourne le dos au reste des invités, donc personne ne s’aperçoit de son petit manège. William et moi nous régalons du spectacle.

- On pensait avoir été discrets, dis-je avec un sourire.

- C’était bien tenté, répond-il, mais je vois très bien, même dans le noir. La vue était plaisante en tout cas. Si on allait prendre l’air ?

Il remet son short en place et se dirige vers l’extérieur. Nous le suivons, comme hypnotisés. Ses fesses sont splendides, rondes et bien musclées. Nous nous éloignons de la maison, vers le fond du jardin. Celui-ci est délimité par quelques arbres. Nous passons derrière un sapin pour ne plus être visibles depuis la maison. Nous entendons encore distinctement certaines conversations et la lumière de la fête éclaire faiblement les arbres. Justin se tourne vers nous, relève la jambe de son short et découvre entièrement sa queue, maintenant bien bandée.

- Je n’ai eu droit qu’à des ombres indistinctes et des mouvements suggestifs jusqu’à présent. Ce serait sympa si j’avais droit à un show en bonne et due forme. Après tout, c’était ça le job des gladiateurs non ? me dit-il en désignant mon costume. Distraire le public.

En disant cela, il nous fixe chacun à notre tour, empoigne son sexe et commence à se masturber. William et moi comprenons très clairement le message. La situation est tellement enivrante. Ce type est canon et il a l’air d’être excité à mort. Alors je m’approche de mon mec qui bande autant que notre spectateur et moi. Je relève sa tunique pour dévoiler sa trique que j’attrape à pleines mains pour commencer à le branler. Je me mets à genoux et le suce énergiquement. Il n’essaye même pas de retenir ses gémissements, sûrement pour exciter encore plus notre mateur. Au bout de quelques minutes de va-et-vient, il pousse un long soupir et vient dans ma bouche. Je me relève et essuie les quelques gouttes sur mes lèvres. Justin est toujours en train de s’astiquer frénétiquement.

- Tu vas pas laisser ton mec dans cet état-là, si ? dit-il à William en pointant ma trique du doigt. Tu vas quand même lui retourner la faveur j’espère.

Mon mec ne se fait pas prier et s’agenouille à son tour. Il enfourne ma bite et m’offre une des meilleures pipes de ma vie. J’envoie mon jus au fond de sa gorge en lâchant un « Putain ! » de plaisir. Il se relève à son tour et nous nous tournons vers notre nouvel ami, nos bites en main. Quelques secondes plus tard, celui-ci ferme les yeux et crache de longs jets de sperme à une bonne distance, dont l’un atterrit sur mon pied nu.

- Merci pour le spectacle les mecs, c’était sympa. Je me faisais un peu chier à cette fête, heureusement que vous étiez là.

- Tout le plaisir est pour nous ! répond William.

Nous remettons notre tunique en place. De son côté, Justin recouvre son membre encore gonflé. Le bout de son gland dépasse encore un peu du short. Nous nous redirigeons vers la fête tous les trois. Une fois entrés, et alors que nous sommes sur le point de partir chacun de notre côté, Justin nous dit :

- Oh ! J’ai failli oublier… Il sort un bout de papier de sa poche et attrape un crayon sur la table. Voilà mon numéro, au cas où vous auriez envie de vous amuser à une autre fête.

J’attrape le papier en lui disant que ce serait avec plaisir puis nous nous quittons. Nous allons dire au revoir à notre hôte et quittons la fête. On arrive à notre voiture et on voit, quelques mètres plus loin, Justin entrer dans la sienne. Nous lui adressons un grand sourire en lui faisant signe. Vivement la prochaine soirée !

TomParis

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