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HISTOIRE

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Au boulot ni vu ni connu

J’ai toujours fantasmé sur les mecs en costume. Selon moi, le costume est aux hommes ce que la lingerie est aux femmes. Ça a un vrai pouvoir érotique. Et j’ai la chance d’avoir un homme qui doit porter un costume quotidiennement au travail ! Chaque jour, quand je vois William dans sa chemise et sa veste cintrée, avec ses belles fesses super bien moulées dans son pantalon, je suis dans tous mes états. Parfois, je ne peux pas m’empêcher de lui sauter dessus dès qu’il passe la porte pour lui arracher ses vêtements. Il lui est aussi déjà arrivé d’être en retard au boulot en partie par ma faute. Quand nous sommes dans la salle de bain le matin et qu’il enfile son costume, je ne peux pas retenir mes mains baladeuses. J’aime me plaquer dans son dos pour lui faire sentir l’effet qu’il me fait. La tentation est presque toujours trop forte et il me rend mes caresses qui se terminent parfois avec nos deux corps suants sur le sol de la salle de bain. Bref, mon mec me fait fantasmer à mort !

Malgré tous les endroits où nous avons déjà fait l’amour, il y en a un que nous n’avons pas encore barré sur notre liste : le lieu de travail. Ce n’est pas que nous soyons pudiques ou réticents à l’idée de mêler le boulot et le sexe. L’occasion ne s’est simplement jamais présentée. Nous avons des horaires très différents et je ne me suis rendu qu’une fois ou deux à son bureau. Il travaille en tant que directeur des ressources humaines pour une grande compagnie internationale et fait très régulièrement des heures supplémentaires. Quant à moi je suis prof, ce qui fait que j’ai un horaire plus léger (je veux dire par là que je suis moins présent sur mon lieu de travail, ce n’est pas pour autant que je me tourne les pouces à la maison).

Un mercredi comme un autre, nous nous préparons tous les deux le matin dans la salle de bain, en échangeant des confidences tactiles comme à notre habitude, puis chacun part de son côté. Le mercredi étant pour moi une demi-journée, je rentre à la maison vers 13h. Vers 14h, je reçois un appel de William, ce qui est très inhabituel (nous n’échangeons normalement que des messages durant la journée).

- Allô ?

- C’est moi, répond-il (j’ai l’impression d’entendre une pointe de stress dans sa voix). S’il-te-plait, dis-moi que tu es déjà rentré à la maison !

- Oui, comme chaque mercredi, pourquoi ?

- Je viens de me pencher pour ramasser un dossier par terre et j’ai entendu un gros « crac ». Mon pantalon vient de se déchirer derrière !

- Je t’avais dit d’y aller mollo avec la malbouffe, t’as fini par prendre trop de poids ! lui réponds-je en plaisantant.

- Je suis pas d’humeur à rire, je suis censé avoir une conférence Zoom dans trente minutes et une réunion avec le reste de mon équipe dans 1h30 ! Je peux pas rester le cul à l’air. En plus comme je n’ai pas de caleçon c’est encore pire, je vais exposer ma lune à tout le bureau ! Tu peux m’apporter un autre pantalon le plus vite possible ?

- Je vais faire de mon mieux mais j’en ai au moins pour une trentaine de minutes.

- C’est déjà ça. Je serai en conférence Zoom, personne ne verra mon cul. Et d’ici là, je ne bouge pas de ma chaise.

Nous raccrochons et je m’empresse d’aller chercher un nouveau pantalon dans la garde-robe puis Je me mets en route vers son bureau. Heureusement, à cette heure-ci, les routes sont quasiment vide. J’arrive donc comme prévu un peu après 14h30. Là-bas, tout le monde me connait, étant donné que ce n’est un secret pour personne que je me tape le boss ! Plusieurs personnes m’interpellent mais je leur réponds gentiment que j’ai une urgence. Je trouve rapidement le local de mon mec. J’entre sans frapper ; il est assis à son bureau et il me fait rapidement un signe de la main pour m’enjoindre de ne pas faire de bruit car sa conférence Zoom a déjà commencé. J’entends en effet des voix parler anglais avec différents accents, provenant de son ordinateur. Je m’assieds et j’attends patiemment. De longues minutes s’écoulent et je commence à m’ennuyer. De temps à autres, certains collègues de William font irruption dans la pièce mais font rapidement demi-tour lorsqu’ils comprennent que le boss est occupé. Dix minutes passent. Puis vingt. Puis trente. Je tourne en rond et je m’occupe comme je peux sur mon téléphone.

Il est maintenant 15h15. William regarde sa montre et me fait un signe de la main. Je m’approche et je le vois griffonner quelque chose sur une feuille. « La conférence s’éternise, si ça continue comme ça je n’aurai pas le temps d’aller me changer avec ma réunion à 15h30. Tu veux bien m’aider à changer de pantalon ? » Je lui lance un regard interrogateur, parce que je ne suis pas sûr de comprendre. Il fait alors un geste désignant tour à tour le pantalon que j’ai en main puis celui qu’il porte. Ensuite, il recule sa chaise et je comprends le message : je dois l’aider à se changer pendant qu’il continue sa réunion en ligne. Je me mets alors à genoux et je passe sous son bureau. Heureusement, c’est un grand meuble donc il y a pas mal de place. C’est un bureau en bois ancien, avec des tiroirs de chaque de chaque côté et une paroi dans le fond.

Je commence par enlever ses chaussures. Je m’attaque ensuite à la boucle de sa ceinture, puis ouvre le bouton et la fermeture éclaire de son pantalon que je fais glisser le long de ses jambes. Je constate l’étendue des dégâts : il ne s’est pas loupé, le trou à l’arrière est énorme ! S’il s’était baladé comme ça dans les couloirs, au mieux ses collègues l’auraient complimenté sur son beau cul, au pire ils auraient appelé les flics pour exhibitionnisme ! Je prends alors le nouveau pantalon et avant de lui enfiler, je prends quelques secondes pour admirer sa belle bite au repos et complètement à découvert, qui a toujours des proportions honorables. Il me donne une tape sur l’épaule pour m’indiquer de me dépêcher. Je fais alors passer le vêtement de rechange le long de ses jambes, ferme le bouton et la fermeture éclair en prenant soin de ne coincer ni poils, ni peau, et referme finalement la boucle de la ceinture.

Maintenant que je suis là, je n’ai plus envie de partir et mon esprit s’échauffe. Rapidement je pars à l’assaut de son entrejambe. Je commence par caresser lentement ses cuisses tout en remontant vers ses couille. Évidemment, il essaye de m’arrêter en attrapant ma main, mais comme il est en conférence Zoom, sa caméra est allumée et il a une dizaine de regards braqués sur lui. Bien sûr, aucun de ses interlocuteurs ne voit ce qu’il se passe sous le bureau, mais il ne peut pas faire de gestes trop brusques sous peine d’éveiller les soupçons. Je force alors je passage et il n’a pas d’autre choix que de me laisser faire. Je masse alors allègrement son entrejambe et bien qu’il soit dans une situation inconfortable, son excitation est belle et bien présente. Sa queue se déploie sous le tissu pour atteindre sa taille maximale en quelques secondes. J’ouvre alors sa fermeture éclair et plonge ma main à l’intérieur pour en faire sortir sa bite que je commence à branler. Il fait des mouvements de bassin, signes que ça lui fait de l’effet. Je décide qu’une simple branlette n’est pas suffisante et je m’attaque à son sexe à pleine bouche. De légers bruits de succion se font entendre. Il me rappelle alors à l’ordre en serrant ses genoux contre ma tête. Je comprends le message et je m’applique à être plus silencieux.

Soudain, on entend deux coups frappés à la porte et avant même d’obtenir une réponse, une personne entre dans le bureau. Je m’applique toujours à faire une bonne pipe à mon mec, lorsque son collègue lui demande :

- Tu en as encore pour longtemps ? On t’attend dans la salle 203.

William lui fais un signe « 5 » de la main, indiquant que la conférence Zoom touche à sa fin. J’entends alors le visiteur s’approcher tout près du bureau, juste à côté de la paroi derrière laquelle je suis caché, et déposer un dossier sur la table. Je ne cesse pas ma fellation pour autant mais je fais tout mon possible pour ne faire aucun bruit.

- C’est l’ordre du jour. Jettes-y un œil avant de venir à la réunion.

Puis il fait demi-tour et referme la porte. Quelques secondes plus tard, les mouvements de bassin deviennent plus amples. Je sens qu’il est prêt à venir, alors je redouble d’effort et dévore sa bite. Soudain, il se crispe, serre les genoux contre ma tête et m’envoie plusieurs jets de sperme chaud au fond de la gorge. Il éjacule sans émettre le moindre son, quelle maitrise de lui-même ! Je range alors sa bite et referme sagement son pantalon. Je sors de sous le bureau en prenant garde de ne pas me montrer à la caméra. Je fais mine de m’essuyer le coin des lèvres et il me regarde avec des yeux qui en disent long : la situation l’excite à fond ! Je retourne m’asseoir pour patienter la fin de sa conférence.

Quelques minutes plus tard, je l’entends enfin saluer ses interlocuteurs puis mettre fin à l’entretien. Il me dit :

- Il était temps, j’en avais ras-le-bol ! Et toi, tu perds rien pour attendre !

Il me roule une pelle d’enfer, et je sens que rien n’a dégonflé au niveau de son entrejambe. Je suis moi-même dans tous mes états, tant la situation m’excite.

- Viens avec moi ! me dit-il.

Il attrape l’ordre du jour sur son bureau et nous quittons la pièce. Nous déambulons dans les couloirs et nous croisons quelques collègues. Plusieurs d’entre eux jettent un regard furtif à l’entrejambe de William ou à la mienne. Il faut dire que nos bosses sont encore assez visibles pour peu qu’on y prête un peu attention. Je sais que pas mal de ses collègues sont gays, je suis sûr qu’ils n’en perdent pas une miette.

Nous arrivons à notre destination : les toilettes du personnel… William en pousse la porte le premier et vérifie qu’il n’y a personne à l’intérieur. Il m’attrape ensuite par le col et me pousse dans une des cabines et referme la porte sans prendre la peine de tirer le verrou. Sans perdre de temps, il me plaque contre la paroi, se met à genoux et ouvre mon pantalon d’où jaillit ma bite qui disparait instantanément au fond de sa bouche. Il me suce durant pendant deux minutes puis, n’y tenant plus, se relève, baisse son pantalon et se penche contre le mur. Le message est clair. Je le lubrifie avec mes doigts mouillés et je positionne mon gland à l’entrée de son trou. Avant même que j’entreprenne un mouvement pour entrer, il s’empale de lui-même sur ma queue. Pris par surprise, je laisse échapper un grognement. Il commence alors des va-et-vient frénétiques, comme si on n’avait plus baisé depuis des semaines.

Après quelques minutes dans cette position, il me fait sortir de son trou, me fait m’asseoir sur le WC et réenfile ma bite au fond de lui. Il ne fait aucun effort pour être discret, jusqu’à ce qu’on entende la porte des toilettes s’ouvrir puis des bruits de pas s’approcher et aller dans la cabine à côté de la nôtre. On n’arrête pas nos mouvements pour autant, en prenant cependant garde à faire le moins de bruit possible. Le type d’à côté quant à lui ne fait quasiment aucun bruit, il est sûrement en train de checker son fil d’actualité sur son téléphone. Après de longues minutes, nous entendons le mec refermer son pantalon, tirer la chasse et s’en aller. Notre baise reprend de plus belle et il ne me faut que quelques mouvements supplémentaires pour venir dans le cul de William. Je n’ai pas autant de self contrôle que lui et quelques grognements m’échappent. Nous nous rhabillons, vérifions que nous avons une apparence convenable puis nous sortons des toilettes. Nous tombons nez-à-nez avec le collègue qui a fait irruption quelques minutes plus tôt dans le bureau. Son regard se pose brièvement sur notre entrejambe. C’est l’un des fameux collègues gays de mon mec. Il est plutôt pas mal d’ailleurs.

- Qu’est-ce que tu fous ? Tout le monde t’attend déjà dans la salle de réunion, on était censés commencer il y a un quart d’heure.

- Désolé, j’ai eu un souci vestimentaire à régler… Je fonce.

Il m’embrasse puis se dirige au pas de course vers sa prochaine réunion. Et dire que personne ne se doute que sous son pantalon, son cul déborde de mon sperme…

- C’est malin d’avoir mis le boss en retard avec votre partie de jambe en l’air ! me dit le collègue, en m’adressant un grand sourire.

- Hein ? De quoi tu p…

- Arrête, on me la fait pas. J’ai vu deux paires de jambes dans la cabine des toilettes et j’ai reconnu vos chaussures. Mais je dois dire que même si je n’avais pas droit au spectacle, c’était sympa de vous imaginer baiser dans la cabine juste à côté. J’en ai même un peu profiter pour me soulager moi-même.

En disant cela, il passe la main au niveau de son sexe que je vois frémir sous le tissu.

- Ne dis rien à William, lui dis-je. Il en mourrait de honte s’il savait qu’un de ses collègues directs l’avait grillé.

- T’es fou ? Jamais je n’oserais dire ça à mon boss ! Ce sera notre petit secret, dit-il avec un clin d’œil.

Nous nous saluons et je quitte les bureaux. J’envoie un message à mon mec : « Merci boss pour ce bel après-midi ! J’ai hâte que tu rentres à la maison, je n’en ai pas fini avec toi… »

TomParis

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