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6 | Piscine décevante
9h du matin, j'approche de la maison délabrée de mes grands-parents. Je m'en veux tellement... Pourquoi me suis-je lancé ce défit de faire perdre du poids à mon papy en l'emmenant à la piscine ?
Me lever ce matin a été tellement difficile après la nuit que j'ai passée. Mon plan cul était une excellente réussite, qu'est-ce que j'ai morflé ces dernières heures ! J'aurais voulu remettre ça jusque midi mais je dois me contenter d'un plug dans le cul pour calmer la chienne en moi. Il faut d'ailleurs que je le retire discrètement avant d'arriver chez mes grands-parents...
Quelques minutes plus tard, le plug dans la boîte à gants et le cul libre, je passe le pas de la porte et découvre avec horreur que mon Papy est devenu horriblement gras depuis la dernière fois que je l'ai vu.
Assis et prenant son petit déjeuner, on devine sous ses vêtements de gros seins lourds comme ceux d'une femme et un ventre d'alcoolique qui tombe entre ses cuisses.
Je suis perplexe, flottera-t-il dans la piscine ou devrais-je le laisser dans le petit bassin faire la baleine pour distraire les enfants ?
Enfin... une promesse est une promesse. Et puis, il faut que j'entretienne mon magnifique corps sculpté comme une statue grecque. C'est décidé, je ferai mes longueurs sans trop me préoccuper de lui.
Une fois son petit déjeuner terminé, nous partons. Pour dire vrai, les choses ne sont pas si faciles, il arrive difficilement à entrer dans ma voiture et j'ai peur pour mes amortisseurs.
La cargaison embarquée, elle me dit que ça sent bon dans ma voiture. Je voudrais lui répondre que c'est l'odeur du plug que je viens de me retirer du fion mais je réponds simplement merci. Durant tout le trajet, j'espère juste qu'il n'ouvrira pas la boîte à gants, gros comme il est, il serait capable de mettre le plug en bouche pour voir si cela se mange.
Lorsque nous atteignons finalement la piscine, j'ai une énorme surprise en voyant le black à l'accueil. Je ne pourrai jamais oublier son visage ni sa bite d'ailleurs. Ayant un petit faible pour les hétéros, je m'amuse régulièrement avec le site de rencontre de ma meilleure amie. C'est là que j'ai chauffé ce black qui a tout dans le slip et rien dans le cerveau. Il ne m'a pas fallu longtemps pour le rendre totalement accro. Il a du se dire que sa minable drague d'hétéro fonctionnait enfin.
D'abord, il a fait semblant de s'intéresser à moi mais les questions ont rapidement tourné autour du sexe. J'ai deviné qu'il ne cherchait qu'un plan cul. Ses grosses couilles de black devaient être bien remplies car après une simple photo de mon amie en décolleté, il s'est complètement lâché en m'envoyant des photos torse nu puis des gros plans de sa queue bien dure en dessous d'une pilosité typiquement africaine. Je lui ai demandé de m'envoyer des vidéos de lui branlant son énorme tronc d'arbre.
La dernière vidéo était la plus mémorable. On le voyait allongé sur son lit avec la télévision en bruit de fond. Il était face à la caméra, les jambes écartées, on pouvait le voir haleter alors qu'il secouait sa bite de plus en plus fort jusqu'au point de non-retour. A ce moment là, il a fermé les yeux et crié :
- Regarde bien ma grosse queue, c'est ça qu'il te faut dans ta petite chatte ! Je vais t'engrosser directement avec du bon foutre made in Africa !
Je dois dire que j'étais assez excité en l'entendant parler comme cela, surtout en voyant ses jets de sperme fuser sur son torse et sa queue, puis les coulées de foutre dégouliner contrastant avec sa peau.
Je le regardais du coin de l'œil alors qu'il me rendait la monnaie avec un grand sourire. S'il savait...
Dans les vestiaires, Papy ne me lâche pas d'une semelle et fait son show que j'appellerais "le striptease de l'hippopotame".
J'ai tellement honte. Quand il se retrouve nu, il ne pense même pas à cacher le petit vers de terre qu'il a entre les jambes. Dire que mon père est sorti de ce truc ridicule. Je ne pense qu'à me changer au plus vite et qu'on ne m'associe plus à lui.
Je file vers les bassins pour y trouver du répit mais un vieux chauve tatoué qui ressemble à Monsieur Propre se met à me coller comme une grosse limace, il me suit même dans ma ligne. J'ai l'impression d'être dans une maison de repos. L'horreur durant toute la séance même si je dois reconnaître, malgré mon caractère infecte, qu'il nage vite pour un vieux débris. J'imagine d'ailleurs qu'il prend des produits dopants pour nager comme ça à son âge.
N'en pouvant plus, je prends l'excuse de devoir aller aux toilettes pour fuire ce pot de colle... Peine perdue, il me suit, se flanque à côté de moi aux urinoirs et me mate.
Merde, je ne dois pas pisser mais je n'ai pas le choix, je ne peux pas repartir comme ça. Je me force au maximum pour faire sortir quelques gouttes de ma queue pour la forme et alors que j'espère en avoir fini. Ce gros beauf me fait un commentaire et me dit de regarder comment il pisse bien et beaucoup...
Non mais sérieusement, qu'est-ce que j'ai fait au bon Dieu pour mériter ça ? Je n'en peux plus, il ne va jamais me lâcher. Il ne bouge plus depuis dix secondes et me regarde avec un air d'abruti, la bite à l'air. Je ne sais pas ce qu'il veut. Peut-être que je la lui secoue.
Au point où j'en suis, je tends la main pour lui secouer le zgeg défraîchi et réfléchis à quelque chose que je pourrais lui dire qui ne soit pas vexant. Je ne trouve rien.
Il en profite pour attraper ma main et me pousser vers une cabine. Merde merde merde, il a pris cela pour une invitation ! Je ne peux même pas le repousser car quelqu'un est entré aux urinoirs. Il me présente son gland, il me donne envie de vomir, il est tout ridé. Je l'embrasse faute de mieux mais ce vieux pervers m'ouvre la bouche et me glisse sa bite dedans. J'ai un goût de poisson pourri et d'eau de javel sur la langue et l'odeur qui va avec dans les narines sans pouvoir dire quoi que ce soit.
Je baisse les yeux en attendant que cela passe quand je remarque des pieds boudinés en dessous de la cloison des toilettes. Mon dieu, c'est Papy qui n'en perd pas une miette. Quel gros dégueulasse de voyeur.
Par chance, Monsieur Propre est un éjaculateur précoce. Mon supplice n'aura pas duré longtemps. Il me crache son jus dans la bouche et c'est bien la première chose qui me plaît depuis le début de la journée. Alors que je voudrais répandre le sperme partout dans ma bouche pour sentir au mieux les arômes, le vieux se met à m'embrasser. Serait-il amoureux ? Je ne sais pas mais en tout cas, ça ne doit pas lui arriver souvent d'avoir un tel canon qui le suce. Puis le miracle ! Il se tire aussi vite qu'il est arrivé.
Je sors des toilettes et tombe sur Papy qui m'attend, lui et son gros bide. Il me propose de partir ce que j'accepte en lui soufflant à la figure mon haleine chargée de sperme pour me venger de son espionnage.
Sous les douches, il se met à se tripoter et sa petite bite dépasse le pli graisseux de son ventre. Il doit croire que ca me plaît car il me fixe en se branlant. Il avoue à demi-mot qu'il m'a surpris dans les toilettes. Plus il s'astique et plus son ventre se balance comme un gros pudding, je suis sidéré. Enfin, il se met à grogner comme un porc, je pense qu'il fait une attaque cardiaque mais non, il est en train de juter trois petites gouttes sur la parroie de la douche.
Il a l'air calmé pour la journée, peut-être un peu honteux par une éjaculation si minable, il se rince et part vers les vestiaires. Je reste seul devant les goutes de sperme qui commencent à couler vers le sol. Moi qui adore plus que tout le jus, j'hésite à lécher les goutes... Quel serait le goût du jus de mon ancêtre, y aura-t-il une ressemblance génétique avec le goût du mien ? Prendrais-je le risque de me mettre à genoux, cambré, les cuisses écartées et de lécher le sperme sur la parroie jusqu'à ce que Papy ou quelqu'un d'autre entre dans la douche ? Je crois que vous connaissez la réponse.
Camozzzor
camozzzor@gmail.com
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