Alors que j’étais confortablement assis dans la pénombre, la porte du hammam s’ouvrit. J’aperçus alors une silhouette fine et musclée s’avancer vers le banc. Le mec s’installa à côté de moi.
Le faible éclairage ne me permettait pas de voir clairement à quoi il ressemblait. Mon regard glissait sur le corps du nouveau venu, mais impossible de lui donner un âge ou de voir son visage. Je discernais des pectoraux, un ventre plat. Le mec releva une de ses jambes et posa un coude dessus. L’autre jambe légèrement écartée me permettait d’apercevoir un bel engin orné d’un cockring en métal.
Je bloquai sur la forme qui pendait entre les jambes de ce petit mec. Bel engin avec des proportions attrayantes de prime abord. La vapeur du hammam nous enveloppait et la moiteur provoquait une jolie demie molle. Je me tournai un peu vers lui et écartai les jambes.
La silhouette se tourna vers moi. Une main s’approcha de la mienne, puis remonta le long de mon bras et caressa mes pectoraux. Ses doigts titillèrent mon téton qui pointait. Puis la main glissa sur mon ventre et glissa sur ma cuisse. Les doigts fermes passèrent le long de mon sexe et se faufilèrent jusqu’à la naissance de mes fesses. Pendant cette rencontre tactile, je caressais les épaules et le haut du dos. Je passai sur l’avant du corps et vérifiai la tonicité du petit mec. Lorsque j’arrivai vers son entrejambe, mes doigts survolèrent délicatement le membre qui durcissait. Je caressai alors ses cuisses, muscles courts et toniques. Je me dis qu’il prenait soin de lui. Puis je remontai vers l’objet de mes désirs. Je pris à pleine main la paire de couilles que je soupesai adroitement. De beaux œufs que je devinais pleins et avides de se vider. J’empoignais le manche que je découvris large et dur. Ma main remonta jusqu’au gland et j’appréciai le cylindre épais et ferme.
Alors je commençai à branler la friandise. Le visiteur ne manquait pas de caresser mon torse fin et musclé de nageur. À nouveau, il pinça tour à tour mes tétons entre ses doigts. Puis, n’y tenant plus, je me penchai vers le sexe érigé. Je me posai mes lèvres contre le gland, puis je le fis glisser dans ma bouche. Excité comme je l’étais, j’avalai l’engin d’un seul coup. Le gland tapa au fond de ma gorge. Au-dessus de moi, j’entendis un soupir d’encouragement, aussi je poursuivis mes caresses et je suçai avec délice la queue raide et énorme du petit mec.
Il n’avait de cesse de me caresser. Et au fur et à mesure, ses doigts se dirigeaient de plus en plus vers mes fesses. Docile, je relevai une jambe et offris un accès direct à mon œillet. Le changement de position me permit d’engouffrer un peu plus profondément le sexe turgescent.
Mon bienfaiteur échappa un « oh » de plaisir, et pour me remercier, il introduisit un doigt dans mon œillet. Et là ce fut moi qui soufflai de bonheur. Rapidement, je sentis un deuxième doigt forcer l’entrée de ma grotte. Je poussai pour accueillir les deux visiteurs. Ma langue s’activait sur la hampe. Je voulais la sentir en moi. Je me relevais un peu et appréciais la dilatation des doigts experts. Le passage se faisait sans difficulté. Je déposais un peu de salive contre ma rondelle et glissais un doigt contre ceux du petit mec. Il approcha son visage de mon oreille.
-Tu la veux ?
-Oui.
J’attrapai une capote et la déroulai sur le manche. Puis je me levai et tournai le dos à mon visiteur. Je tenais fermement le manche et le présenta à ma rondelle. Le gland épais et dur buta contre l’entrée qui résista un peu. J’inspirai profondément et je m’abaissai sur le manche. Une chaleur intense m’inonda lorsque l’énorme engin s’engouffra dans mes entrailles. Je soupirai de bonheur.
-Tu vas bien la prendre, hein ?
-Oh oui.
-Allez, bouge dessus.
Alors les va-et-vient commencèrent. Je me laissais entrainer par le rythme et bientôt la verge coulissait dans mon conduit totalement dilaté. Mon cul avalait et accusait les coups de butoir avec délectation.
Le petit mec me bascula contre son torse. Appuyé contre lui de la sorte, je le sentis prendre en main le tempo. Il enfourna sa bite épaisse encore plus profondément. Il accéléra les mouvements et je gémissais comme une chienne.
-Tu kiffes ma teub ?
-Oh oui.
-Viens par-là !
Les bras autour de mon torse, il me retourna sur le banc, et me déposa les genoux bien écartés.
-Sans la faire sortir. Félicitations. Allez, écarte bien ton trou.
Il commença à me limer. Lentement d’abord, puis il ressortait sa bite pour mieux l’enfoncer entièrement. Je sentais mon trou rester ouvert. Il me baisa longuement.
À un moment, il s’arrêta, et je sentis son souffle sur ma rondelle. Très vite, sa langue lécha ma raie et il aspira mon trou.
-Bien ouvert, comme j’aime.
Puis il me pénétra à nouveau. Sa bite semblait ne jamais ramollir. Épaisse et dure, elle me pilonnait le fion. Mes gémissements l’excitaient. Quelque chose me disait qu’il se marrait.
-Je vais tout te donner, ok ?
-Ouais, vas-y.
Sa bite calée au fond de ma grotte, il cogna de plus en plus fort. Ses couilles battaient contre mon cul. Il me défonça la rondelle encore un moment, puis je le sentis se raidir. Sa bite se contracta plusieurs fois. Au fond de mon cul, le gland dur cracha son nectar. J’eus à peine besoin de me toucher que ma queue juta à son tour. Délicatement, il se retira. Je me retournai et retirai la capote pleine.
Sans rien demander, il poussa sa bite dans ma bouche.
-Nettoie !
Je gobai le monstre et nettoyai le gland qui restait encore dur et ferme.
Je restai un moment assis dans la vapeur et le regardai sortir. Dans l’entrebâillement de la porte, je vis le bel engin et son propriétaire sortir.
Lorsque j’allais prendre une douche, il était toujours là, de dos. Je le vis dans la lumière tamisée. Il se retourna et me fit un clin d’œil. Il tenait son sexe à la main, et fièrement, il me dit :
-Si tu en veux d’autre, je suis dispo.
À suivre…
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Balthazar
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