Avec mon jumeau

Chapitre 1

Bonjour à tous, je vais vous raconter l’histoire d’un plaisir fraternel. Je m’appelle Jules, je mesure 1m80, je suis plutôt imberbe, cheveux courts châtains, avec des yeux bleus. Au moment du récit j’ai 19 ans.

Nous sommes une fratrie de 4 enfants. Mon grand frère, Théo, avait 21 ans. Mon petit frère, Raphael, venait tout juste d’atteindre ses 18 ans. Et enfin, mon frère jumeaux, Robin, de 19 ans évidement, et de descriptif physique identique au miens.

Tout a commencé il y a plusieurs mois, mon frère jumeaux, Robin, s’était cassé la gueule en faisant du vélo avec ses potes. Malheureusement pour lui, après une visite des urgences, il était revenu avec une fracture du coude droit et du poignet gauche. Il avait donc un plâtre de chaque coté. Celui de droite partait de la main et remontait jusqu’au niveau de l’épaule, bloquant ainsi son coude à angle droit. Alors que celui de gauche n’immobilisait que son poignet et son avant-bras, lui laissant donc la mobilisation du coude gauche.

Toutefois, il se trouvait relativement entravé pour les gestes de la vie courante. Et donc à son retour des urgences, il était venu dans ma chambre pour me demander si ça me dérangeait de l’aider un peu. Car cela le gênait de devoir être aider par notre mère, n’ayant plus l’âge d’un enfant. J’avais évidement accepter de l’aider, sans penser à toutes les conséquences que cela pourrait avoir.

Le soir venu, Robin est venu me voir de nouveau.

- Ju’, tu serais dispo pour m’aider à me laver ? Me demanda-t-il gêné

- Euh, oui, maintenant ? Demandais-je

- Oui. Maman est déjà en train de préparer le diner, donc faut pas trop trainer.

Nous sommes donc tous les deux partis vers la salle de bain. Le médecin avait été clair, le plâtre ne devait absolument pas se trouver mouillé. On décida donc de le laver au robinet. Je l’aidais à retirer son t-shirt. Puis il arriva a retirer son jean seul. Il retira enfin son caleçon et ses chaussettes. Plus jeune nous nous étions régulièrement vus nu, mais cela se faisait plus rares depuis notre majorité. Il avait des fesses bien musclées.

Je pris donc un gant de toilette et commençais à le nettoyer, je passais ma main sur son torse, ses bras, ses aisselles, son dos, et ses jambes.

- Jules …

- Oui ?

- Tu sais, faut aussi que tu me laves les fesses et la bite. Je ne vais pas pouvoir le faire tout seul … Me dit-il

- Ah oui, en effet.

Je passais donc un gants de toilette sur ses fesses, et un passage rapide dans sa raie. Puis j’approchais le gant de toilette vers sa queue.

- Attend ! T’es fou, tu vas me faire mal avec ça ! Fais le à mains nues plutôt.

Je retirais donc le gant de toilette. Je mis du savon entre mes mains, que je fis mousser, puis j’approchais mes mains de son intimité. Ma main droite attrapa sa verge, au repos. Je frottais un peu, puis le décalottais, permettant ainsi à ma seconde main de lui nettoyer le gland. Une fois fini, je passais un coup rapide sur ses testicules. Je le rinçais, l’essuya, et l’aida enfin à s’habiller. Une fois fini, nous avons regagner le salon pour aller manger.

Les premiers jours se passèrent normalement. Je l’aidais pour se laver une fois par jour.

Au 4ème jour, je fus surpris de le voir commencer à bander alors que je commençais à lui laver la queue. En quelques secondes, il était totalement en érection. Je ne fus pas surpris de retrouver mes 18 cm. Nos queues étaient bien identiques.

- Désolé … Me dit-t-il tout penaud. Avec ces trucs je n’arrive pas à me branler, donc forcement, je réagis un peu au quart de tour.

- Ahah ! Tu m’étonnes ! J’y avais pas pensé.

Je continuais de le savonner. Mon contact avec son gland le fit sursauter. Je lui proposais donc de le branler. Il accepta sans hésiter. Je me mis donc à masturber les 18 cm bien tendus de mon frère. Au bout d’a peine 5 minutes, il éjacula 4 longs jets de sperme sur le carrelage.

- Merci frangin !

- T’inquiètes, faut bien se rendre service !

Je lui relavais donc la queue, puis l’aida à s’habiller.

Les jours passèrent, et mon frère me demandait tous les soirs de le branler pendant que je le lavais. Je dois bien reconnaitre que tout cela commençait fortement à m’exciter. Je me savais bi, et mon frère le savait aussi. Il l’était également. Je commençais à fantasmer un peu sur la situation.

Un soir, après l’avoir masturbé, je dis à Robin:

- Si un jour ça m’arrive, je te préviens, tu auras intérêt de venir me vider aussi. Dis-je en rigolant.

- Ah ouais ? Je vais te devoir des services ?

- Bah oui

- J’aime pas être redevable, tu sais bien. T’as pas une autre idée de service que je peux te rendre ?

- Pas vraiment …

La situation m’excitait, et je commençais clairement à bander. Robin s’en aperçu.

- Tu bandes ?

- Non !

- Mais si ça se voit ! Puis il tendit sa main gauche et me toucha l’entre-jambe du bout des doigts. Si tu bandes !

- Oui, bah moi aussi j’ai des besoins. Et te voir bander m’a fait bander. Répondis-je.

- Déshabille toi ! Me lance Robin

- Ah non, tu me touches pas avec tes trucs là. Dis-je en désignants ses plâtres

- Allez, fait moi confiance !

J’obéis et baissa mon pantalon et mon boxer. Dévoilant ainsi mes 18 cm. A ma grande surprise, mon frère, toujours à poils, s’accroupis et s’installa en face de ma queue bien tendue. Puis il approcha sa tête, et goba d’un trait l’ensemble de mon sexe. Il se mit alors à faire des vas-et-viens. Il me suçait divinement bien. Tellement qu’en seulement cinq minutes j’avais déjà envie de jouir. Je l’ai prévenu au tout dernier moment. Suffisamment pour qu’il libère ma queue et que j’éjacule 5 jets de sperme sur son torse.

- Bon bah t’es bon pour me relaver le torse, couillon ! Me dit Robin en s’esclaffant.

Le jour suivant ressembla à la veille. Je le branlais, et lui me suçait. La suite fut encore plus interessante …