Laissez moi vous raconter une histoire. Mon histoire.
Je suis un jeune mec appelé Neya. 19 ans, bien foutu, la muscu a transformé mon corps en une statue grec aussi dure que du granit. Les longues heures passées sur le banc m'ont taillé des hanches sèches, des épaules larges, des pectoraux volumineux ainsi qu'un cul ferme et bien rebondi.
Donc 19 ans et étudiant. Etudiant en droit plus précisément. A la Sorbonne nouvelle. Autant dire qu'en amphi beaucoup de regards se tournent vers moi, qu'ils proviennent de mecs ou de meufs. Il faut reconnaitre que mon look est assez différent de celui des autres étudiants. tous tentent de s'habiller comme des gens respectables, avec des chaussures pointues, de petits cardigans, de mignons chinos tandis que je ne me fringue qu'en jogging basket, sweat a capuche accompagné d'un sac de sport remplis de fringues propres ou sales, de gel douche, de déo, de mon ordi portable.
J'étais assis dans le métro, ligne 8. La rame n'était pas spécialement remplie, j'écoutais de la musique, la tête dodelinant au rythme du train. J'avais les cuisses écartées, mon jogging un peu leste trahissait ma belle paire et l'épaisseur de mon membre et je sentais que le mec en face de moi n'arrivait pas à se concentrer sur son bouquin. Il faut reconnaître que je suis assez remarquable dans la vie en général, toujours coiffé de ma casquette, sans aucun sous vêtement, on admire en premier lieu ma musculature puis directement mon impressionnant entre jambe mis en valeur par le drapé du jogging. Avec un membre de 13cm par 5,5 au repos et des couilles toujours tombantes, difficile de ne pas le remarquer. J'adore ça, faire du freeballing, me balader uniquement vêtu d'un jogging, exhibant mon anatomie au monde entier. Je vois des regards envieux, des regards jaloux, des regards affamés. Mais tous semblent irrésistiblement attiré par ce monstre qui dort entre mes cuisses musculeuses uniquement caché par un morceau de toile. J'en retire un fort sentiment de puissance et de virilité que les autres mecs ne peuvent ressentir.
Le pauvre type est tout perturbé par ce spectacle, malheureusement pour lui, il est bien laid, aucune envie de le sauter.
Je descends à la suivante, mon sac brinquebalant au bout de mon bras. Je marche longuement dans les couloirs, cherchant fatalement qqun à mater le long de ces interminables escalators à Opéra. Un mec semble valoir le coup et deux nanas aussi. Rien d'extraordinaire. Je prends la 7. Le métro est complètement blindé. On est bien serré là dedans. Je m'engouffre dans la voiture, d'autres gens montent, je me retrouve coincé au milieu du wagon. Le train se met en branle. Plusieurs station défilent, tous comme les gens serré contre moi. Une vieille, une mère, un jeune, un deuxième jeune. Puis à une station de ma destination, un petit gars d'environ 23-24ans monte et se colle à mon torse et mon entre-jambe. Il baisse la tête et remarque la bosse que constitue ma queue. Il est immédiatement gêné en relevant la tête et en voyant mon léger sourire. Le train prend un tournant et je sens comme une main entre mes cuisses. Je ne jette même pas un coup d'oeil à ce type, devinant très bien ce qu'il venait de faire.
Le métro ralenti alors et s'arrête net. Dans un élan d'inertie, le petit mec est projeté contre moi et je sens parfaitement, l'espace d'une fraction de seconde, sa bite bien bandée dans son pantalon noir. Il retrouve l'équilibre, l'air de rien tandis que la lumière dans le wagon se coupe.
" nous vous prions de nous excuser pour cette momentanée coupure de courant, nous repartirons dès que l'incident sera terminé "
Voici les mots que nous déclara d'un ton monotone le conducteur de métro.
Il faisait un noir total dans la voiture, seuls les quelques passagers assis jouissaient d'un faible éclairage grâce à leur téléphone portable. On entendit rechigner de partout, les gens soufflèrent, grognèrent. Je ressentis alors à nouveau ces doigts sur mon zob bien épais mais cette fois ci, ils y restèrent. Ils se refermèrent sur ma paire de couille bien pendante, Ils relevèrent l'ensemble de mon paquet qui déborda de la paume de main du petit mec. Il me massa ainsi l'entre-jambe pendant plusieurs secondes avant de me branler véritablement. Ma queue commençait à se raidir et cognait contre la barre où tout le monde se tenait.
De la main qui me maintenait à la barre j'appuyais alors sur le crâne du petit mec, qui paniqué se laissa faire tandis que mon autre main baissait déjà mon jogging, dévoilant mon énorme queue veineuse. Le gars se baissa tant bien que mal dans le noir absolument et enfonça sa gorge sur mon pieu. Le connard, il savait pomper. De ma main qui tenait mon sac je lui maintenait la tête en position et entamais des coups de reins au fond de sa gorge. Cette petite salope ne pouvait faire aucun bruit d'étouffement tant elle avait peur de se faire repérer, je m'autorisais donc à lui limer le fond de gorge sans véritable pitié. Ce chien prenait cher, je sentais que d la salive coulait par litre de son menton alors que mes couille s'y cognait sans relâche. mon 20x6 était coincé dans la gueule de ce batard à jus qui avait dû flinguer son petit pull à force de baver dessus. Après facilement 5 bonnes minutes de limage en règle, sachant que je devais faire vite je commençais à laisser le jus monter.
Soudain le wagon fut rééclairé. mon fourre-bite voulu se relever mais je le maintains dans sa position, les gens étaient trop serrés pour le remarquer. Je continuais donc, avec plus de violence encore à lui démolir la glotte. Je vis par les fenêtres que le train entrait en gare. J'accélérais encore plus, le pauvre il ne devait sans doute plus respirer. Le train se stoppa doucement, l'orgasme arriva d'un coup, violemment je plantais mon gros calibre au plus profond de sa gorge de chienne, répandant mes grosses giclées de jus dans son oesophage. Les portes s'ouvrirent, les gens commencèrent à sortir, je le maintenais toujours. Je sortis alors rapidement ma queue de sa chatte buccale, laissant échapper un dernier crachat de foutre bien gras sur sa gueule et son épaule. Je rangeais ma queue dans mon jogging et sortais rapidement du métro, laissant ma cuve à jus se démerder dans cette embarrassante situation qu'est celle d'être retrouvé à genou , recouvert de foutre, le menton dégoulinant de salive et le pull trempé de bave dans une rame de métro.
Censier-Dubenton, je pris la 2eme sortie, la journée s'annonçait bien.
N'hésitez pas à m'envoyer des coms par mails ou dîtes moi si vous voulez une suite.
18A BI MUSCLE
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