Voilà 3 jours que j'étais sur Paris, je venais d'y emménager pour mes études. Venant d'avoir mon bac, c'était le jour de mon anniversaire. 18 ans, enfin. Malheureusement je les passais seul, je ne connaissais personne sur Paris. Mon appart était encore rempli de carton que j'entreprenais d'ouvrir lorsque j'ouvrai la porte de ma salle de bain. J'y découvris une immense glace. Je m'y reluquais. Un vrai minet. J'étais de taille moyenne, avec une taille très fine, un torse musclé mais pas trop sur lequel tous mes muscles étaient parfaitement bien dessiné. Départ la chaleur de ce mois de septembre, je décidais d'enlever mes vêtement. Mon petit boxer moulait à merveille mon beau petit cul bien ferme et musclé. J'étais totalement imberbe.
Il était 22h30 lorsque devant mon miroir j'eu soudain l'envie de découvrir Paris by night et surtout la vie gay à Paris. Dans mon bled de la Lozère je n'avais pas vraiment eu le temps de découvrir ce milieu. C'est donc en sortant un T-shirt blanc et un jean bien taillé bleu clair de mes cartons que je sortis de mon nouveau chez moi pour me rendre dans le marais. J'y trainais longuement dans les rues avant de tomber sur un bar, le Raidd Bar. Les lumières étaient roses, et le lieu bondé. Des gars de toute corpulence et tailles m'entouraient. Je sentais des mains se poser sur mon petit cul de jeune chienne. Je commandais un verre, que j'engloutis rapidement pour m'occuper tant je ne savais pas comment me comporter dans un tel lieu ou tout semble être permis. J'avais finis mon verre depuis une dizaine de minutes lorsqu'un type d'environ 25 ans, vêtu d'un T-shirt moulant et d'un jean vint m'accoster. Il avait un air dur et sévère et surtout un regard vicieux qui me fit bander en quelques secondes.
- tu veux en prendre? me dit-il en me tendant une fiole de poppers d'une main tandis que son autre tenait une bouteille d'eau.
- c'est quoi?
- Du poppers.
-ca fait quoi?
- peut pas t'expliquer, t'inquiète, c'est pas dangereux, ça monte en quelques secondes et redescend une ou deux minutes après.
J'acceptais qu'il me place la fiole sous les narines et respirait son contenu. Je me sentis soudain tout chose, je crevais de chaud tout d'un coup mais j'étais tellement bien dans cette foule, sous cette lumière rose avec de la musique qui me perçait les tympans.
- t'as soif? me demanda-t-il en me présentant la bouteille d'eau.
Encore sous le coup du poppers j'acceptais. Je bu de grosses gorgées avant de lui rendre. Il me fit reprendre du poppers.
De nouveau je sentis cette chaleur m'envahir, un chatouillement se faisait sentir dans le creux de mes reins qui me donna envie de me faire troncher la chatte là tout de suite, au milieu de cette foule. Mais mon beau mâle avait disparut. Je le cherchai des yeux plusieurs minutes puis je me résignais, continuant à danser seul au milieu de cette foule où tout le monde se matait et se caressait. Je commençais à prendre goût à cette soirée entre PD où tu sais que tu vas finir avec un gars ou plusieurs dans ton pieu (ou ailleurs). C'est alors que je sentais comme un poids me tomber dans l'estomac. Je n'étais plus bien du tout, mes membres commençaient à être lourd, j'avais envie de vomir. Avais-je trop bu? je n'en savais rien, j'étais incapable de réfléchir. D'ailleurs j'avais du mal à marcher dans cette foule qui m'avait tant excité. J'arrivais enfin face au videur qui me laissa sortir puis rerentrer pour descendre au toilettes.
-Alors petit minet, on va pas bien? me lança un homme d'une 30aine d'années qui remontait des toilettes.
Je voulu me retourner mais je manquais une marche tant ma tête tournait. J'arrivais par je ne sais quel miracle en bas en un seul morceau. Je tenais à peine debout lorsque je réussi à m'appuyer contre le lavabo devant lequel se trouvait une glace.
J'étais livide, blanc, les yeux rouges et explosé, ma tête tournait tellement... C'est alors que réapparu mon beau mâle. Il portait une veste sans manche et une casquette, une vraie dégaine de bûcheron et il en avait la carrure, viril, incroyablement musclé, il était la représentation de la masculinité.
-ca va pas? me dit-il en s'arrêtant derrière moi.
-Je... J'ai... tête... j'ai la tête qui... tourne... Je suis pas bien du touuuut.
Il lâcha un petit sourire de sarcasme comme pour signifier " ils tiennent pas ces minets " avant de se rapprocher de moi.
-Ah ouais t'as pas l'air bien... fit-il en voyant mon reflet de plus prêt. Tu veux que je te ramène chez toi?
- Non non c'est bon... t'inquiète... Je vais.... bien...
J'étais tellement essoufflé, parler me coûtait tellement.
- T'es sûr?
Et soudain je m'effondrais, me cognais la tête contre le lavabo avant de me tomber littéralement dessus. Ma tête dodelinait de tous les côtés, la bouche à semi ouverte.
- Mec arrête regarde, tu tiens même plus debout. Allez viens je te raccompagne.
- Non lâche moi! je vis bien!
- tu vis bien?
- suis... Je voulais dire " suis "... t'as compris? ou t'as pas compris?
Sans attendre plus de mots il me saisit par les dessous de bras et me souleva pour me remettre debout.
- Allez viens, je te raccompagne, tu me fais pitié.
Je continuais de clamer mon désarroi, je voulais rester, mais il s'en moquait et me fit grimper les marches en m'appuyant sur son épaule. une fois dehors je continuais de le suivre. Il était sur son portable tandis que je continuais à divaguer.
- Je peux avoir ta bouteille?
Il me la tendit machinalement et je bu toute l'eau qu'elle contenait avant de la laisser tomber par terre.
Nous marchâmes un long moment sans qu'il ne m'adresse la parole. Les rues s'enchainaient sans même que je ne les reconnaissent.
- On va où?
- chez toi.
- Ok...
On entra dans un immeuble, prit un ascenseur. J'eu l'impression que cette ascension dura des heures. La porte s'ouvrit enfin, j'étais dans un pire état encore que quand j'étais sortit du bar. Il ouvrit la porte de mon appartement, la ferma derrière nous et m'allongea sur mon lit. Enfin, j'y été arrivé, j'étais chez moi...
- dors bien petit gars.
Je m'endormis d'un coup tandis que mon cerveau semblait tourbillonner. Je me réveillais quelques minutes plus tard l'esprit tout autant embrumé mais avec un brin de conscience supplémentaire. Les draps puaient. Ils puaient vraiment, ils me donnaient envie de vomir. Je relevais la tête pour les regarder, ils étaient marrons clairs avec plein de tâche de graisse. Tout comme les murs de cette pièce. Ma chambre n'avait pas cette taille là ni même ces draps là. Je mer retournais avec difficulté, les yeux roulant dans leur orbite. Le mâle état toujours là, debout, fixe, toute son attention focalisée sur son portable. Que faisait-il... Il prit quelque chose sur l'autre double lit également présent dans la pièce et le posa devant ma tête sans même me regarder. J'observait cette chose, elle était noir en une sorte de silicone et rectangulaire. De la musique en sortit tout doucement au départ puis de plus en plus forte. C'était un assemblage de basse fréquence et de beats répétitifs agrémentés de fréquences aiguës. Vu mon état, ce son me mit dans une transe improbable. J' n'arrivais vraiment plus à réagir, mon cerveau ne comprenait plus ce qui se déroulait devant moi.
Enfin je compris. Je n'étais pas chez moi, et surtout la raison de mon état venait sans doute du liquide se trouvant dans la bouteille de ce type, mais que voulait-il faire de moi?
C'est alors que je remarquai que je ne portais plus que mon petit boxer. Je me mis alors à gigoter, effrayé par cette situation.
Le mâle s'approcha alors de moi, toujours avec son air sévère et me décocha une énorme torgnolle qui me fit oublier ce que je voulais faire. Je restais donc complètement stone devant cette montagne de muscle.
C'est alors que j'entendis la porte s'ouvrir. Des bruits de pas se firent entendre.
-C'est là?
- Ouais c'est ici mec, amuse toi.
Avant que je n'ai réussi à me retourner, je me prit une putain de fessée sur le cul qui me fit gémir. On me baissa le boxer.
- Elle a un bon ptit cul de salope ta chienne.
- T'es le premier, lâche toi, faut l'ouvrir pour les autres.
On m'enfonça alors un énorme doit dans le trou qui me fit grimacer. Le doigt fit des aller retours frénétiques avant de sortir.
- elle est pas propre?
- Mec je l'ai ramener d'un bar en la droguant, tu crois vraiment que j'aurai pris le temps de la laver? Je touche pas cette chienne moi.
Le doigt se renfonça de plus belle entre mes fesses imberbes et me ramona. On me les enfonça ensuite dans la bouche en m'insultant de salope et de pute à merde. Pendant qu'on me salissait la gueule avec des doigts sales une queue me défit les entrailles. Je morflais, pas de lubrifiant, pas de salive, juste le frottement entre ma chatte et la bite. Cette queue me semblait énorme, elle ne cessait de se planter dans mon trou qui me brûlait de douleur. Enfin elle entama sa ressortit mais elle se lança dans de frénétiques aller retours. Je sentais le mec qui me cassait la chatte allongé sur mon dos. Il respirait fébrilement en me traitant de chienne, de garage à bite.
J'entendis à nouveau la porte se rouvrir.
Il n'y eu pas d'échange de paroles, seuls quelques bruit de papiers froissés et des pas qui s'approchaient de moi. Je vis alors une montagne se planter devant mes yeux explosé. On me souleva la tête, m'appuya sur les joues pour me faire ouvrir la gueule et m'enfonça une énorme queue dans la gorge. J'étais empalé des deux côté, incapable de réagir ou même de parler. Je me contenter d'emettre de léger sons, des couinements, des râles. Ma gueule, déformée par l'imposant membre qui me limait le gosier produisait des bruit de cavité creuse et mouillée. Quand la queue de dernière sortais, celle de devant s'enfonçait encore plus dans ma gorge et inversement.
La bite qui me tronchait la chatte s'enfonça soudain au maximum et ne bougea plus. Je sentis alors du sperme gicler dans mes entrailles. La queue sortie et ne recentra plus. j'entendis le mec refermer son pantalon et se casser sans dire un mot et ferme la porte derrière lui.
La bite à l'avant en revanche n'avait de cesse de me démonter le palais. J'avais la gueule trempée de salive tant il me pilonnait la gorge.
- elle est bonne ta chienne.
Il n'y eu aucune réponse.
La queue sortit de ma gorge, me laissant enfin respirer. Le gars me tira au bord du lit de manière à ce que mon cul coulant de foutre et grand ouvert se trouve sur la tranche. La bite s'enfonça lentement en moi, je finis par gémir de douleur mais un peu de plaisir. Elle ressortit entièrement.
- mec, elle est pas propre?
- si vous êtes pas content vous avez qu'à lui faire décrasser votre queue après putain!
Quoi? Décrasser leur queues après? Qu'est-ce que ça voulait dire?
La bite replongea dans mes entrailles et me fouilla le ventre, me secouant rapidement et férocement. Je morales tellement et personne ne venait m'aider. Mon esprit ne pouvait luter. Je me mit à gémir come une chienne, me cambrant de plus en plus.
- ouais c'est ça ma chienne, ouvre bien ta chatte pour moi, allez.
Trop drogué pour réfléchir j'obéis et attrapais chacune de mes fesses d'une main pour bien les écartés.
- putain de grosse salope ça! elle les vaut!
La queue me démolissait l'intérieur, je sentais que mon cul n'arrivait plus à se refermer. Le gars se mit alors à hurler et me démonter vraiment le trou. J'en tremblais de partout tandis que son foutre se répandait dans mon fondement. Il sortit mollement sa queue commençait à perde de la taille et me retourna pour que j'ai la gueule pendante dans le vide. Il plia les genoux et me présenta sa queue toute merdeuse devant la bouche. Sans pouvoir réfléchir je le lançais l'enfoncer dans ma gorge. Lorsque je comprit qu'elle était recouverte de ma merde j'eu un haut le coeur et me vomi dessus tandis que le gars éclatait de rire et sortait sa queue de ma gueule avant de partir. Je restais là, vautré sur le dos, la chatte baillante, la gueule puant la merde et le vomi, j'étais pitoyable. Je restais ainsi plusieurs minutes jusqu'à ce que je sois réveillé par une grosse claque dans ma gueule. J'étais tripoté de partout, par de nombreuses mains, je ne pouvais pas les dénombrer. Mon cul était malmené par quelque chose d'énorme tandis que d'autres mains me caressaient et me claquaient les fesses, mes les écartant, malaxant, pinçant. Je prenais très très très cher... D'autres mains me frappaient le corps tandis qu'une queue reposait sur ma gueule de minet drogué alors qu'on me baffait les joues. La queue s'enfonça doucement dans ma chambre tandis que j'entendis des bruit de flash, des râles masculins, la pièce semblait remplie de mâles en rut. On me souleva, m'empala sur une queue, je reposais donc à présent sur un buste musclé et velu, la queue revint se planter dans ma gueule mais surtout ma chatte reçu une autre bite. Elle força mon anneau anal et dans un sursaut s'enfonça d'un coup dans mes entrailles. Je me laissais balancer au rythme des queues qui me ramonaient. Je prenais de plus en plus de plaisir.
Du sperme jaillit dans ma gorge et je ne pu tout avaler tant le chibre en déchargeait. Le reste du foutre vint couler mollement le long de ma enchausser inférieur qui pendait d'une manière minable. Ma bouche fut aussitôt remplit à nouveau par un sex plus court mais surtout plus large qui me déforma les joues et la gorge. Une claque accompagna se changement. Une queue sortit de ma chatte après avoir juté je suppose, jetais trop ouvert pour le sentir à présent. Mon cul produisait des son écoeurant mes tellement excitant. Tout ce foutre me rendait dingue, j'étais au paradis. Les gars pataugeaient dans le foutre contenu par mes trous, c'était génial, tellement bon de savoir que j'avais reçu autant de jus de jouissance d'autant de mâles différents. L'espace dans ma chatte fut à nouveau comblé par une queue de taille moyenne. L'autre queue encerclée par mon cul se retira également. elle aussi fut rapidement remplacée par un calibre supérieur qui me fit à nouveau gémir de douleur.. une autre tub vint alors se poser sur mon menton, j'ouvrai alors au maximum la bouche pour réussir à lécher ces deux queues en même temps tandis que les deux mecs derrière moi se défoulaient en m'insultant de chineuse en chaleur, de gamin à gaver au foutre. Le paradis.
Ce petit jeu continua pendant de longues heures, les queues s'enchaînant, se remplaçant, une vraie tournante et je biffais ça, sentir des mecs se branler avec mes trous. Je n'avais aucun intérêt seul leur plaisir importait.
C'est alors que la dernière queue gicla dans ma chatte béante, mon cul laissa couler sans doute les 5 foutres précédents qui vinrent se répandre sur cet énorme chibre. Cette même queue vint se présenter à ma gueule qui l'accepta sans sourciller malgré la couche de merde et de jus bien gras et blanc qui la recouvrait. Je la décrassait entièrement avant de finir par me vomir dessus tant le gout était infâme. La queue sortit de ma gorge, fut rangée dans le froc de son proprio qui sortit en fermant la porte derrière lui.
- C'était le dernier, me lança le mâle qui m'avait amené ici.
- Tu m'as rapporté 1050 Euros ma salope.
Je tournais la tête pour voir le mâle exhiber ses billets de 10 et 20.
- J'ai bien fait de me lancer dans le commerce des pédales dans ton genre. Maintenant il faut allez dormir.
Il posa ses billets et s'approcha de moi un torchon blanc à la main. Il me plaqua contre le nez et la bouche. L'effet fut quasi immédiat, je sombrait sur l'instant.
A suivre.
Envoyez moi des mails pour me dire ce que vous avez pensé de mon histoire, pour me poser n'importe quelle question et m'informer de votre volonté de voir une suite apparaitre.
18a Bi Muscle
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