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HISTOIRE

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Baisé par mon pote l'hétéro

Je roulais sur une route de profonde banlieue non éclairée bordée de bois. Putain ce connard habitait pas si loin que ça, mais qu'est ce que ça avait l'air paumé... Je ne sais même pas pourquoi ça m'étonnait encore, ça faisait 3 fois que j'allais chez lui, mais je ne pouvais m'empêcher de me dire que ce connard de Jay habitait dans le trou du cul du monde! Gif-sur-Yvette que ça s'appelait. Ils avaient de l'humour les cons qui avaient nommé ce bled. Gif-sur-Yvette, Bourg-la-Reine, Choisy-le-Roy... On dirait pas comme ça mais c'est l'éclate de vivre en banlieue parisienne.

Je m'arrêtais encore à un feu rouge. Putain il n'y avait personne à 00h sur cette départementale perdue et je devais encore m'arrêter. Heureusement, la destination en valait le coup. Mais d'ailleurs où allais-je?

Je vais tenter de vous résumer notre histoire avec Jay avant de mon commencer mon récit.

Un jour, vers 23h étais dans le RER qui stationnais à Châtelet. Je vois alors arriver un gars, bien costaud, look de racaille un peu beauf, le visage carré, la barbe mal taillée et une peau qui semble avoir souffert à l'adolescence. Bref, un mec, un vrai, qui n'a pas peur de te regarder dans les yeux. Je le vois rentrer dans mon wagon et venir s'assoir dans mon wagon, sur les sièges à côté des miens. Personne d'autre n'était présent, de plus ces RER sont à deux étages, offrant plus d'intimité. Bref il était à côté de moi. Le RER reste encore et toujours à quai. Je le vois alors dégainer du fond de son calbut un pochetard de teuch, des slims et de quoi faire un toncar. Il commence à effriter son teuch sans gêne (et il faisait bien) lorsqu'il remarqua que je le regardais.

-tu peux checker si les contrôleurs montent pas stp?

J'hochais la tête en souriant, tournant mon regard vers la fenêtre donnant sur le quai auquel était toujours stationné le RER.

Il finit de rouler son pett alors que le RER était toujours à quai. Enfin le chauffeur alluma son micro et sa voix raisonna dans tous les wagons.

-veuillez nous excuser pour ce stationnement prolongé. Départ immédiat.

Le micro grésilla, les portes se fermèrent et le RER se mit en branle. De son côté le gars avait allumé le bedo et commençait à le fumer. De gros nuages s'échappaient de sa bouche. Il remarqua à nouveau que je l'observais.

-tu veux tirer?
-ouais pourquoi pas...

Je m'asseyais sur les fauteuils en face des siens. Il me passa le joint et je tirais dessus. Putain c'était du bon teuch.

-tu t'appelles comment, me demanda-t-il.
-Yvin et toi?
-Jay.
-c'est ton vrai nom ou...?
-ouais non t'as cru mes darons ils m'avaient appelé Jay?!

Il éclata de rire en tirant sur le pett. Au fur et à mesure du voyage du RER, on faisait de plus en plus connaissance. Il était cuisinier dans un lycée sur Paris et vendait de la weed à ses heures perdues. Il me fila son numéro pour que je le contacte le jour où je voudrais pécho.

Je descends à mon arrêt de RER, putain le bâtard, son shit aurait pu démonter un cheval tellement il était fort. Je rentre chez moi, me pose devant mon ordi. Je voyais tout flou, tout tournait autour de moi, putain de trip. Je me décide à envoyer un message à Jay pour lui dire à quel point son teuch m'avait perché. On se met alors à discuter par sms. Je lui avoue que quand je suis défoncé, je n'ai qu'une envie : baisé. On en rigole je lui dis mater un porno, lui annonce être gay, ça l'étonne puisqu'apparemment je n'en "avait pas l'air". On continue de discuter, j'apprends qu'il est bien porté sur le cul aussi le coquin et surtout qu'il a déjà joué dans un porno : Jacquie et Michel, production made in France monsieur Mélanchon! Putain ce mec a déjà jouer dans un porno. À cette révélation je me mets à bander comme un porc, j'essaye de savoir quel est le titre de cette oeuvre, mais il stoppe immédiatement mes fantasmes en m'annonçant que la vidéo n'est visible qu'aux membres inscrits du site et que, de plus, lui même n'a pas idée du titre de cette vidéo.

On continue de discuter. Et à partir de ce soir là c'est devenu comme une traduction : on s'appelle certains soirs pour fumer ensemble, discuter et tout. Et plus on fumait ensemble au tel, plus ce gars commençait à me faire triquer comme un malade. Il représentait pour moi le fantasme absolu. L'hétéro bien viril, à la sexualité inébranlable, qui fume, qui boit, parle de meuf, de cul et de caisse. Un mec, un vrai, encore une fois. Plusieurs fois il m'invita chez lui pour fumer ensemble, mais en face à face. Rien ne se produisit jamais. La première fois il ne s'arrêta jamais de parler, malgré la fume et la tise. La seconde fois il m'annonça quand j'arrivais chez lui qu'il avait invité 2 autres potes et que le plan c'était de se poser dans un parc. La troisième fois sa soeur est arrivée 10minutes après moi. Pourtant, à chaque fois que nous nous parlions par sms, des sous entendus sortaient et ma curiosité perverse à son égard semblait l'amuser. Parfois j'avais l'impression que je l'avais saoulé en le chauffant un peu trop et pourtant c'était lui qui engageait à nouveau la discussion 3 jours plus tard.

Le feu passa au vert. Je démarrais rapidement, faisant vrombir le moteur. Bon, ce soir serait peut être le bon. Nous serons seul, ses darons étant partis à Oslo, sa soeur était chez son copain et ses potes faisaient une soirée entre eux où il n'allait pas à cause de la fatigue dont il souffrait. Il avait juste envie de passer une soirée calme, tranquille, posée avec ses amis Jack Da, teuch et Yvin. Et j'étais heureux qu'il m'ait proposé cette petite soirée "entre couille", j'avais ramené mon meilleur teuch (fourni par un gars qui le fabrique lui même à partir de plan de cannabis d'Afghanistan) et l'absinthe familiale de 13 ans d'âge que personne ne buvait à part moi et dont l'absence dans la cave à alcool de mes parents passerait inaperçue.

J'arrivais enfin chez lui. Une maison de profonde banlieue, dans un style presque campagnard. La rue n'était même pas éclairée. Je l'appelais sur son portable. J'attendis 3 sonneries avant qu'il ne me réponde.

-salut Jay, je suis devant chez toi avec deux potes, absinthe et teuch d'Afgha...
-ben restez pas dehors comme des cons, fais les rentrer que je les rencontre rapidement!

Je raccrochais, le sourire aux lèvres. Je fermais ma voiture et m'approchais de sa demeure. Je poussais la porte et la refermais derrière moi.

C'était une maison grande mais pas immense non plus. Le genre de maison que ses parents n'auraient pas pu se payer en étant dans Paris ou même en banlieue. Elle était décorée avec mauvais goût, avec un papier peint aux teintes oranges et des portes en bois à carreaux "travaillés". Le tout empestait la famille moyenne feintant d'apparaître plus aisée qu'elle ne l'était.

Un bruit de chasse d'eau se fit entendre suivit de pas. Je vis alors descendre de cet escalier trop propret pour paraître ancien, Jay. Vêtu d'un caleçon en tissus fin au long drapé qui me laissait deviner la forme et l'épaisseur de son manche viril ainsi que d'un débardeur gris. Je pouvais distinguer une musculature forte mais légèrement recouverte d'une fine pellicule de graisse mais surtout un membre d'environ 12 cm sans bander qui semblait plutôt large. Putain, la soirée débutait bien.

-je te présente Absinthe, je levais mon bras gauche d'ou pendait la bouteille, et Bon Shit Sa Mère.

Il se gratta la cuisse et dit, en gardant son bedo coincé au coin de ses lèvres :

-et voici Pettou, en allumant son joint, et Jack Da est resté là haut, il est un peu timide mais tu verras il se laisse connaître.

Je le suivit à l'étage, pouvant observer son cul musculeux rouler sous mes yeux au travers de ce fin voile de tissus. Nous traversâmes un couloir, poussâmes une porte avant d'arriver dans son antre.

Sa chambre était spacieuse car aménagée sous les toits. Des posters de voitures, de filles en maillot de bain, de footballeurs jonchaient les murs. Il y avait un lit deux places complètement défait, une commode en bois provenant sans doute d'Ikea, un bureau avec un ordinateur portable d'un ancien temps, un écran plat, un canapé et une chaine Hi-Fi d'où un violent rap sortait. Le sol quant à lui était recouvert de vêtements sales, de bouteilles de bière, de cendriers improvisés, de magazines de sports et surtout et avant tout, de poussière. Une vraie piaule de jeune en gros.

Il s'affala dans son canapé rapiécé, tirant sur son joint, les cuisses suffisamment écartées pour que je puisse tenter d'apercevoir une couilles qui pendait le long de sa cuisse. Putain, il fallait absolument que je le fasse boire.

-t'as déjà goûté l'absinthe?
-non jamais mais c'est encore un de tes alcool de tapette?
-oula non gars, cette absinthe là est interdite en france tellement elle est chargée. 82% d'alcool! Mes darons ont du la ramener de Pologne!

Je le vis se redresser sur le canapé, regardant avec envie la bouteille.

-sert moi une bassine gars, je veux me déchirer la gueule !

Je prit un mug qui trainait au bord de son bureau et le remplit copieusement. En théorie il ne faudrait pas y revenir à moins de vouloir tenter le coma éthylique.
Je m'asseyais également dans le canapé et sortait mon shit de ma poche de veste pour commencer à rouler un royal voyant de la beuh trainer par terre.

-alors comment ça va depuis la dernière fois gros?
-tranquille gars, tranquille. Tu sais en juillet et aout je suis invisible normalement. Je taffe à mort. Je fais 6 jours par semaine du 6h30-21h.
-ah ouais putain, vous taffez comme des porcs. Et demain t'es en congé du coup?
-ouais, enfin. C'est pour ça, ce soir je voulais me démonter la gueule sans avoir à me galérer pour me ramasser. Merci de me soutenir dans ce choix mon ptit PD!
-t'inquiète gros c'est normal.

Nous continuâmes à discuter de tout et de rien pendant un long moment. Je voyais son mug d'absinthe se vider petit à petit et son visage rougir de chaleur au fur et à mesure. Il fumait comme un pompier et je voyais bien que ce con commençait à se perdre dans ses phrases, ses mouvements étaient saccadés, il galèrais même à trouver sa bouche pour tirer sur ses petts. De mon côté j'étais bien aussi. J'avais 5 bedo à mon actif et 3 verres de whisky coca. Moi aussi je mourrais de chaud.

Jay se leva, son joint pendant au coin de ses lèvres pour se diriger vers la fenêtre.

-putain je meurs de chaud gars, pas toi.

Il tenta d'attraper une brise mais il échoua. Il s'essuya le front de son avant bras, me permettant d'apprécier ses aisselles poilues luisantes de transpiration.

-fout toi à poil si t'as trop chaud gars!
-t'aimerais bien hein, voire ma grosse queue!

J'éclatais de rire en le voyant s'attraper le paquet et l'agiter devant moi d'un air fier.

-mec je voulais dire que t'avais qu'à enlever ton T-Shirt si t'as chaud. Mais si tu veux virer ton calbut aussi je suis pas contre!
-je me disais bien que les PD ça pensait qu'à ça.

J'éclatais à nouveau de rire tandis qu'il revenait devant moi, qui n'avait pas bougé du canapé, et enlevait son débardeur dévoilant son torse musclé et légèrement gras, au bas ventre minutieusement poilu tout comme sur les pecs.

-pourquoi tu rigoles toi?! Me lança-t-il d'un air faussement sérieux en titubant, essayant tant bien que mal d'attraper la bouteille de Jack Da. Il en bu une longue gorgée, du whisky collant sur son menton et venant perler sur les fins poils de son torse musculeux.
-ca me fait juste marrer de voir que tu crois que nous les PD on pense qu'à la queue.

Il me jugea du regard comme si je venais de dire quelque chose qui n'avait aucun sens.

-ben vous pensez à quoi alors?
-ben je sais pas moi, on pense à... Putain c'est quoi ces questions gars! On éclata de rire ensemble. Genre tu veux que je réponde quoi à ça ?! On pense à la politique et à la dichotomie du bien et du mal.

Il n'en pouvait plus de rire, il était obligé de s'appuyer sur son bureau pour ne pas s'effondrer.

-non mais sérieux tu veux que je te réponde quoi ?! Vas-y, vous pensez à quoi vous les hétéros?
-ben on pense aux meufs gars, on pense à baiser des meufs! Alors va pas me faire croire que vous pensez pas à la bite! Moi je passe 50% de ma journée à rêver d'une belle petite chatte bien rasée qui mouille comme une fontaine et bien béante.
-bon j'avoue que je passe 50% de ma journée à penser à des queues, c'est vrai!
-ah ben tu vois, j'avais raison. Il chopa sa queue et ses couilles au travers du tissus et se les malaxa, m'hypnotisant immédiatement. Vous pensez qu'à ça vous les tantouzes!
-arrête de toucher ta bite comme ça gars, tu vas finir par bander, et moi aussi!

Il reprit son bedo et fit un pas dans ma direction en tirant dessus, sa main gauche toujours entre ses cuisses.

-pourquoi? Ca te fait grimper ta ptite bite de tapette de me voir me toucher la queue?

Il tirait sur son bedo, un sourire malsain aux lèvres tandis qu'il tirait sur son manche, ses yeux enfoncés dans les miens.

-si tu continues il y a des chances, dis-je en riant, en tentant tant bien que mal de cacher ma trique en changeant de position. Putain il fait chaud ici non?
-t'as qu'à te foutre à poil si t'as chaud.

Je le regardais avec un air de défis me levait et virait mon T-Shirt, mon torse finement musclé et imberbe à sa vue. Tou comme la bosse déformant mon jean. Décidant de rentrer dans son jeu, je décidais de mener le game.

-tu vois un peu ce que tu me fais faire? Fis-je, un petit sourire pervers au coin des lèvres, et montrant de mes doigts mon entrejambes tendu.

Il baissa les yeux et remarqua ma trique au travers de mon épais jean. Il n'en perdit pas moins son sourire et tira à nouveau sur son joint en continuant de jouer avec sa queue qui, me semble-t-il avait commencé à gonfler.

-c'est moi qui te met dans cet état mon ptit PD?
-je dirais que c'est toi, la tise et le bedo! Mais putain, on dirait aussi que je te fais sentir bizarre non?

Il baissa les yeux vers son calbut dans lequel sa bite prenait un peu plus de place.

-ouais vite fait, mais bonne chance pour me faire bander. Je kiffe les meufs, pas les gars je te rappelle.
-ah ouais, tu veux parier que j'arrive à te faire triquer?
-oula pas de problème, ça risque pas d'arriver, désolé pour toi.
-on va voir ça. Assieds toi sur le canap.

Il se laissa tomber sur le canapé, renversant une bouteille de bière vide, s'asseyant dans un nuage de fumée épaisse et blanche. Comme le mec qu'il était, il écarta ses jambes suffisamment poilues et musculeuses.
De mon côté je m'étais penché sur le bureau pour changer le rap qui ronronnait dans le fond depuis le début. Je mettais alors un bon petit son electro aux sonorités excitantes et suaves.

-des règles à fixer avant que je commence? Demandais-je avec fair-play.
-tu me fais peur gars!
-t'inquiète tu risques rien vu que tu "ne banderas jamais pour un mec", rétorquais-je avec un petit sourire.

Il sourit et s'enfonça confortablement dans son canapé avant de descendre légèrement son calbut comme pour laisser plus de place à ses volumineuses couilles.

-la seule règle que j'impose est simple, enfin peut être pas pour les PD comme toi, mais interdiction d'utiliser tes mains! NO HANDS BITCH! Si tu dois me faire bander c'est avec ton attitude. Et je te rappelle que je kiffe les meufs bien soumise et salope.

J'appuyais sur play avant de lui répondre que oui, je m'en souvenais.

La musique démarra et je vis dès le début qu'il était intéressé parce que ce je faisais. Je lui prit donc le bedo de la bouche et me fit face à lui, ondulant du bassin comme le font les strip teaser, le joint coincé dans ma bouche, mes mains glissant sur mon torse transpirant. Je jouais de mes hanches fines, me mettant de profil, me cambrant au maximum sans jamais perdre le contact visuel. Je prit la bouteille de Jack Da et en bu une longue gorgée dont la moitié finit sur mon torse. Je le voyais, le vice habitant ses yeux, ses deux mains croisées derrière sa nuque.

Je me déhanchais comme un strip teaser le ferait, jouant avec le rebord de mon jean dans le creux de mes reins. Je me lis face à lui, défaisant le bouton de mon jean, puis tirant la fermeture éclair en bas. Je pivotais sur mes talons, me cambrais comme une chienne et fit lentement glisser mon jean à mes chevilles, révélant mon petit cul ferme et musclé moulé dans mon boxer gris. Je pris une bouteille de bière à moitié remplie qui traînait là et me la versais sur le torse. Le liquide moussa en dévalant ma musculature avant de finir sa course guidé par mon V sur le tissus de mon boxer, dessinant des motifs sombre d'humidité sur le tissus de mon boxer. Ma main glissa lentement sur mes abdos puis sur mon entrejambe pour jouer avec mon paquet. Ses yeux ne bougeaient pas de moi, un sourire stupide figé sur son visage.

Je m'accroupis sensuellement avant de m'allonger sur le sol. J'activais alors mes lombaires et ondulait de la manière la plus explicite possible mon bassin contre le sol, mes yeux plantés dans les siens, dans une attitude provocatrice. J'avançais petit à petit dans sa direction en continuant mon manège. Dans cette position, inférieur à lui je remarquais très clairement que je commençais à lui faire de l'effet. Je me relevais lentement en me cambrant au maximum, mon visage entre ses cuisses, je me mis dos à lui, mon cul en face de son visage, que je fis descendre en ondulant mes hanche jusqu'à ce que mon cul frole sa queue raide d'excitation. Je me frottais la croupe entre ses cuisses et je remarquais bien qu'il rêvait de m'attraper les fesses pour les maltraiter.

Je remontais mon cul cambré devant son visage, et entreprit de jouer comme une petite allumeuse avec l'élastique de mon boxer avant de le baisser complètement, dévoilant mes deux fesses imberbes et rebondies à sa vue. Je me penchais pour faire descendre mon boxer à mes chevilles tout en gardant mon cul au niveau de ses yeux que je vis se fixer sur mon petit trou tout transpirant d'excitation.

Alors que j'enlevais mon boxer de mes pieds, je sentis un mollard atterrir sur mon petit trou et deux mains s'écraser sur mes fesses dans deux fessés bien violentes qui me firent gémir de plaisir.

-hein t'aime ça...

Je soupirais de contentement tant ça faisait longtemps que je rêvais qu'il me saute.
Il m'écarta mes deux globes de chaire pour admirer ma chatte luisante de sa salive. Il souffla un "putain" avant d'enfoncer son visage mal rasé dessus. Sentir la chaleur de sa langue, la moiteur de sa bouche, la dureté de sa barbe contre mon cul me fit triquer comme une chienne.

De temps en temps il le claquait le cul pour me rappeler qui était le Maitre, que j'accueillais avec plaisir en ronronnant de bonheur.

Il me mit alors un de ses longs et musculeux doigts dans le trou.

-putain t'as une vraie chatte toi, on y rentre comme dans du beurre... Je suis sur que tu peux en prendre plusieurs...

Il enfonça un deuxième doigt dans mon petit trou de salope.

-ouais voilà, tu kiffes hein? Tu fais doigter comme une meuf.

Je n'arrivais pas à retenir mes gémissement, il me parlait tellement bien, je me sentais tellement à ma place... Il introduisit sans trop d'attention un troisième doigts dans ma chatte. Il les secoua, ce qui me fit haleter.

-putain quelle salope, t'as le trou bien ouvert quand même... Viens me pomper la chienne...

Il sortit ses doigts de ma chatte et s'affala encore plus dans le canapé, écartant encore plus ses cuisses. Il m'appuya sur la nuque pour bien me positionner entre ses jambes de mâle.

-tiens, lèche les doigts qui t'ont fouillé, lèche les bien ma salope, montre moi que t'es un bon PD...

Il m'enfonçait ses doigts jusqu'à la glotte, me faisant manquer de vomir.

-allez, bouffe ma queue à travers mon calbut. Il me colla le visage entre ses cuisses. Je sentis le membre à demi raide pendant virilement. Bouffe la bien...

Je l'entendis prendre de quoi rouler un autre joint. 5 minutes plus tard il l'allumais déjà et le savourais tandis que je trempais son calcif de ma salive de pute.
Il fit sortir sa queue de son calbut par une cuisse et m'enfonça la gueule dessus, putain que c'était bon j'avais enfin sa bite dans un de mes trous. Et quel putain de morceau il avait, un bon 21x5 lourd et volumineux qui empeste le mâle. Il m'enfonçait brutalement la gorge sur sa queue, poussant des râles virils tandis que je bavais comme un morveux sur ses couilles tant la baise de gorge ne me laissait pas de répit. De temps en temps il me forçait à avaler sa bite encore plus profondément, dépassant ma glotte ce qui avait pour effet de me faire m'étouffer sur ce sublime manche de chair fièrement dressé au fond de ma gorge.

-relève-toi salope.

J'obéis et il le plaça sur le dos, vautré sur le canapé. Il me coinça les pieds derrière la tête et cracha sur la chatte si violemment exposée. Combien de fille avait-il tringlé dans cette même position, sur ce même canapé. J'allais dorénavant faire partie de sa collection de femelles qu'il avait démonté sur ce vieux canapé rapiécé.

Il planta d'un coup son membre dans ma chatte et me fit hurler, il me colla une baffe monumentale.

-ta gueule salope, encaisse et ferme là !

Il me bourra la chatte sans aucun respect. D'une main il appuyait sur une de mes cuisses, de l'autre il me maintenait la bouche fermée, m'écrasant littéralement la gueule sous son poids au travers de sa paume de main musculeuse.

Que c'était bon de sentir sa bite aller et venir dans mon trou. J'avais vraiment l'impression d'être son objet, une sorte de fleshjack plus évolué mais un fleshjack tout de même, un sex toy amélioré rien de plus. Il glissait dans mon fondement, me cassant le cul en deux sous ses râles masculins d'animal en rut assouvissant son besoin le plus primaire : se vider les couilles.

Ce ramonage dura bien 20-30minutes durant lesquelles je me fis traité de tous les noms, baffer la gueule et le cul.
Il se crispa alors, je sentis sa puissante queue se raidir dans mon gouffre et il accentua ses mouvements, il semblait vouloir m'inséminer l'estomac... Ses derniers coups de reins furent si violent que j'en eu envie de vomir. C'est alors qu'il hurla, sa queue se contracta et je sentis de puissant jet de foutre partir s'écraser au fond de mes entrailles, comme pour me marquer. Putain j'avais son jus dans ma chatte, j'étais une de ses putes. Il ralentit la cadence avant de me baffer une dernière fois. Il sortit sa bite de mon cul béant et vint me la donner à bouffer. Trop heureux de gouter à son jus je sautais dessus comme une chienne affamée. Putain que son foutre était bon! J'en profitais également pour lui flatter les couilles de ma langue. Il s'écarta de moi et se vautra dans le canapé en rallumant un bedo. Il souffla de contentement et s'essuya le front de son avant bras.

-alors, t'as kiffé ?
-j'ai pas jouit...

Il me regarda sans comprendre.

-vous êtes pas comme les meufs? À jamais jouir malgré qu'on vous ai bien défoncé ?

Je lui lançais un regard docile.

-si bien sur...
-donc t'as kiffé.

Il tira longuement sur son bedo et se gratta les couilles.

-allez va te laver et rentre chez toi.

Je me relevais du canapé, le mal dans les cuisses, le dos et la nuque.

-putain t'as du foutre qui coule de ton cul... T'es grave toi...

Je sortis presque honteux de sa chambre. Je me lavais rapidement et retournais dans sa chambre pour ramasser mes fringues et mes affaires. Je me rhabillais rapidement pendant qu'il cherchait un film à regarder sur Netflix avec sa télécommande, il n'en avait vraiment rien à foutre de moi.

Une fois habillé et mes affaires ramassées je me dirigeais vers la porte sans rien dire.

-eh dis, j'aurai peut etre des potes qui voudraient se vider de temps en temps, parce que le bois de Boulogne ça revient cher à force... Ça te brancherait?

Interloqué par cette proposition je ne sus quoi dire...

-euh... Je sais pas..
-t'inquiète ils sont sympa comme moi, tu risques rien...
-ben pourquoi pas mais je les connais pas...
-tu les connaitras t'inquiète... Bon allez rentre chez toi, je suis crevé, je vais me mater un film et me pieuter...
-ok...
-allez rentre bien poto...

Je quittais sa chambre, descendais l'escalier, passais la porte d'entrée et retournais dans ma caisse. Au moment où je mettais le contact je reçu un sms.

"J'ai kiffé gars, je reste hetero mais jsuis pas contre de se refaire ca un de ces jours. Rentre bien et envoie moi un sls quand t'es arrive chez oit histoire que je sache si tu t'es planté sur un arbre ou pas ;)"

Je démarrais et commençais à rouler pour rentrer chez moi avec un petit sourire content aux lèvres. Putain encore un de ces feux rouges... Je m'y stoppais lorsqu'une sirène de voiture de police se fit entendre. Je checkais dans mon rétro... Putain... C'était pour moi... Je me garais sur le bas côté, je sentis le foutre couler de mon cul et l'appréhension monter en moi. Une ombre se posta devant ma vitre que je baissais.

-papiers du véhicule monsieur et test d'alcoolémie et stupéfiant.

Putain avec tout ce que j'avais pris, adieu mon permis... À moins que.... J'arrive à marchander... ;)

À suivre... (En fonction de vos mails :) )

PS : je change de pseudo, je passe de 18a Bi Muscle à Yvin

Envoyez moi vos avis, ou autre chose par mail... ;).

Yvin

flamby1995@hotmail.fr

Suite de l'histoire

Autres histoires de l'auteur : 22 ans, viril - bois de vincenne | Plan à 3 | Pute baisée en cam | Baisé par mon pote l'hétéro | Fete, dealer, jumeaux et weed | Honte à l'aéroport | Minet en tournante | Coach | Dominateur viril | Fac US : viol | Tournante sans pitié  | Ma vie sexuelle | Viol en soirée

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