J'adore fumer. Croyez-moi il n'y a pas de meilleure sensation que celle de rouler un nouveau pett alors que le précèdent commence tout juste à vous monter à la tête. Ce que je préfère c'est me faire un bon deux feuilles, avec un double tonc, du tabac à rouler et surtout un bon petit teuch aussi gras que du beurre de Marrakech. Voilà, ça c'est ma définition du bonheur. Se vautrer sur un canap complètement crevé, une bonne techno, allumer son pett et entendre le foyer crépiter sous les inspirations.
Je suis ce qu'on appelle communément un petit producteur. Je fais moi même pousser ma propre beuh, provenance direct d'Afghanistan. On a beau dire tout ce qu'on veut, mais les arabes ont apporté au monde sans doute les trois plus grandes merveilles modernes : la médecine, les chiffres arabes et la weed! Putain vous pouvez pas imaginer la différence entre ma beuh et celle des autres dealos. La mienne a été importée de sous les balles et les bombes et c'est de la zone la plus dangereuse du monde que j'ai obtenue les meilleures graines de cannabis qui n'aient jamais poussé sur Terre et mes amis étaient bien contents de m'avoir dans leur répertoire. Demandez à n'importe qui en Ile-de-France qui s'y connaisse un petit peu en fume et demandez-lui d'où provient la meilleure beuh présente sur Paris, vous pouvez être sûr à 99% qu'on vous donnera mon blaze : Toby l'Agriculteur.
Pour me décrire un peu, je suis un mec de 1m81 pour 75kg de muscles secs et finement taillés. Taille fine, épaules larges, cou volumineux et trapèzes marqués. J'ai des dreads blondes qui me tombent jusqu'aux omoplates, des yeux verts, une mâchoire carrée, une barbe mal rasée régnant sur une peu hâlée et dorée. Je porte un écarteur à l'oreille gauche, un anneau métallique au téton droit, un cockring en fer épais mettant en valeur mon entre jambe, et enfin un Prince Albert volumineux pendant mollement au bout de mon large gland. Mon paquet est sans aucun doute ma plus grande fierté : 15 centimètres par 4 au repos, pour 22x5,5 en activité d'où pendait continuellement une grosse paire de couilles qui tient à peine dans une main. Ma queue est imposante et imberbe, tout le monde semble l'admirer au travers de mes jeans, elle attire continuellement les regards. Moi ça me fait bien bander d'imaginer les gens qui me regardent se branler en pensant à moi.
Ce soir là j'arrive à 1h du matin chez mon pote. L'intérêt quand on vend de la bonne weed c'est que tout le monde veut être ami avec toi, et quand je dis tout le monde c'est toute catégorie sociale confondues. C'est pourquoi j'avais été invité dans un sublime triplex parisien à Trocadéro. L'appartement faisait au moins 400m carrés et les lieux avaient été investis par une centaine de jeunes, tous des fils a papa, des filles a maman qui ne sortaient qu'en présence de leur col de chemise repassé. La Jeunesse Dorée se la coulait douce en s'enquillant des shots de tequila par dizaines, skiant sur la C ou encore se gavant de para.
-TOBY! S'exclama le propriétaire des lieux.
Elliott était un client régulier de longue date, une sorte de fils de parvenu qui trainait dans les grandes écoles sans avoir la moindre idée de comment il y était entré.
Il me prit dans ses bras, il puait la tise et était agité de spasme, les yeux partant dans tous les sens.
-Tu t'es tapé une poutre non? Demandai-je avec un sourire en regardant ses yeux.
-T'imagines meme pas comment elle est bonne gars, elle est quasiment pure! Tu veux un rail?
-Non t'inquiète, je tourne au bedo frère.
Il me saisit le bras et le brandit en l'air avant de crier.
-Ce mec produit la meilleure weed de tout Panam les gars, alors soyez cool avec lui!
Il me lâcha et me dit d'aller me servir un verre. Je déambulais entre les corps et les costumes Prada de ces gosses de riche. Moi je portais un T-Shirt a manche longue gris et un jean noir, mes habituelles bottines en cuir noir patinées par la vie parisienne au pied, je faisais tâche dans ce décor de luxe et cette population qui se plaint de payer l'impôt sur la fortune. J'arrivais à saisir une teille de vodka, une Belvedere tient. Je m'éclipsais de la foule pour monter au dernier étage qui donnait sur la Tour Eiffel. En faisant grincer le parquet je me posais dans ce qui semblait être une chambre d'enfant en bas âge. La chambre n'était pas immense et contenait un lit en mezzanine sous lequel se trouvait une petite table. J'arrachais la couette du lit et l'étalais au sol pour me vautrer dessus. Un remix de Gesa émanait de mon portable tandis que je sortais mon matos à fume. Feuilles slim, tonc, tabac à rouler et teuch. 3 minutes plus tard j'allumais mon bedo fraichement roulé lorsqu'un bruit de pas dans l'escalier de bois me sortit de mon monde. En tournant la tête à gauche j'entraperçu une fille suivie de deux mecs.
-je dois vraiment y aller, mon chauffeur est en bas. On se verra une prochaine fois.
La jeune fille au long cheveux bruns, moulée dans une courte robe noire et perchée sur d'immense talons leur lança un regard de braise et se mordilla la langue avant de tourner les talons, manquer de tomber et rentrer dans la chambre où je fumais mon pett. Elle semblait complètement bourrée et s'essuyait régulièrement le nez.
-c'est du shit ou de la beuh? Me demanda-t-elle en cherchant son sac.
-Du teuch, fait maison.
Elle bugua l'espace d'une seconde sur mon entre jambe qui était particulièrement proéminent dans cette position avant de reprendre ses esprits et d'avancer incertainement vers moi, ses yeux assombris par l'eye liner et le far a paupière noir. Elle était vraiment bandante avec ces belles jambes fines et ses bons petits seins... Elle se pencha vers moi et me demanda d'une voix suave et sensuelle :
-je peux tirer une barre?
-Bien sur, répondais-je avec un sourire en coin, mes yeux enfoncés dans les siens.
Elle prit le joint, tira dessus avec comme une lueur de défis dans le regard. Elle inspira la fumée avant de la faire ressortir lentement par sa bouche pour l'inspirer par le nez. Elle me jugeait su regard avec un sourire, un nuage épais et blanc reliant ses narines à ses sublimes lèvres. Elle me rendis enfin le pett en me soufflant la fumée au visage.
-merci beaucoup et à une prochaine fois...
Elle se pencha pour me faire la bise et en profita pour me tâter l'épaule. Elle se releva toujours avec ce petit sourire aux lèvres avant de tourner les talons et de passer entre les deux mecs qui étaient toujours sur le pas de la porte. Elle se glissa entre eux en frôlant leur pecs de la main et descendit l'escaliers. Les deux gars l'avaient suivi du regard.
-c'est une belle petite allumeuse votre copine là. Lâchais -je en tirant sur mon bedo.
Sans se retourner les deux mecs acquiescèrent avant que l'un d'eux ne sorte un paquet de Marlboro et en extirpe deux clopes. Chacun prit la sienne et ils vinrent s'assoir à côté de moi.
-tu t'appelles comment?
-Toby, l'agriculteur. Et vous?
-Hippolyte et Lancelot.
Je ne le remarquais que sur le coup, mes ces deux gars étaient jumeaux. Tous deux avec des cheveux bruns et bien coiffés avec un corps svelte et sans doute bien dessiné.
-elle vous a chauffé ?
-T'imagines même pas.
-Attends elle vous a chauffé tous les deux?
-Ouais...
-Mais lequel l'aurait baisé si elle était restée ? Demandais-je en faisant tourner la teille de vodka ainsi que mon bedo. Chacun d'eux prit une gorgée et plusieurs taffs.
-Ben en ce qui concerne les meufs, on a des délires un peu particuliers...
Les deux frères échangèrent un regard complice avant de se tourner vers moi.
Intrigué et excité par cette remarques, je refis tourner la bouteille de vodka et entame le roulage d'un autre bedo alors que je n'avais toujours pas finit le précèdent.
-c'est à dire? Fis-je curieusement en roulant.
-Ben on aime bien partager quoi. Et généralement ça fait bien mouiller les filles d'avoir des frères jumeaux en face d'elles...
Il rirent bêtement en se regardant avec presque du désir dans les yeux. Je voyais ça et le spectacle ne m'était pas déplaisant. Je leur fit passer la fin de mon pett qu'ils finirent au moment ou j'allumais le suivant. Je pris une gorgée de vodka et eux aussi. Ils commençaient à perdre un peu l'équilibre, riaient pour un rien, leur température montait.
-et vous trouvez facilement des filles pour les sauter à deux?
-Oh tu sais, sans vouloir nous venter, avec le corps qu'on a, c'est pas très dur... On montre nos abdos et elles se mettent à 4 pattes comme des grandes.
-Ouais je vois bien ce que vous voulez dire. Mais vous vous êtes déjà embrasses qd vous baisiez une fille?
Je leur fit passer le bedo et ils se regardèrent un moment.
-non je crois pas... Non...
-Non... Ou alors je m'en souviens pas, ce qui est bien possible.
-Mais un corps de gars ça vous dérange pas?
-Non... Non ça me dérange pas, après je sais pas pour toi hippo...
-non non, c'est limite l'inverse.
-Comment ça?
-Ben je sais pas... C'est quand même esthétique un corps bien musclé.
-Ouais... Des pecs, des abdos... Des gros bras... C'est presque bandant.
Tous deux se regardèrent et éclatèrent de rire. Moi je regardais la scène avec amusement, les cuisses écartées, je sentais ma queue s'épaissir.
-et vous pensez que vous seriez capable d'embrasser un gars?
Tous deux se regardèrent un moment.
-ben je sais pas... Dans l'action, avec une fille qui nous pompe, pourquoi pas.
-Ouais j'avoue que ça me dérangerais pas. Sentir la chaleur d'une bouche sur ma queue et en même temps embrasser un pote... Ou toi..
Je voyais dans leur regard que l'idée que j'avais semé dans leur esprit commençait à germer. Ils se regardaient avec un air gourmand. Hippolyte prit le pett, introduit le foyer dans sa bouche tandis qu'Ulysse, comprenant ce que voulait son frère, vint placer ses lèvres contre celles de son frère. Hippolyte expira sur le brasier et vint placer ses mains musculeuse derrière la nuque de son frère tandis qu'Ulysse inspirait la fumée de la souflette avant de la faire ressortir par son propre nez. Ils se regardait dans les yeux, une lueur vicieuse agitant leur pupille. Enfin ils se séparèrent, Ulysse avait la tête qui tournait. Il laissa son dos se reposer au sol en passant sa main sur son front et en expirant le peu de fumée qu'il lui restait dans les poumons.
-c'était bon?
-Ah putain ouais...
Ulysse semblait être dans un autre monde. Il se caressait le torse et commençait à onduler son bassin. Je prit le pett des mains d'Hippolyte et enfourna à mon tour la fraise dans ma bouche, Hippolyte plaça alors ses lèvres sur les miennes. Il me prit la nuque des mains et m'ébouriffa les cheveux au fur et à mesure que je soufflais sur le brasier et que la fumée passait via le tonc de ma bouche à la sienne avant de parcourir son oesophage, d'aller se loger dans les poumons pour y délivrer le THC qui allait être acheminé par le sang jusqu'au cerveau, avant de repartir par le chemin inverse et de finir sa course éjectée par le nez d'Hippolyte. Lorsque j'eu finit, Hippolyte se prit la tête dans les mains et se mit des gifles pour se réveiller.
-ah putain il démonte ton teuch!
-Ouais je sais, je le fais moi même.
Hippolyte enleva sa chemise sous le coup de la chaleur, dévoilant un sublime torse imberbe et bien formé.
-tu me fais passer la teille? Je meurs de chaud...
Je pris la Belvedere et au moment de la lui passer la retins.
-je te la passe mais je veux que tu verses la vodka dans la bouche de ton frère et que tu boives la tise de sa bouche.
Je n'eu pas à insister pour qu'Hippolyte accepte en riant. Ulysse était toujours allongé sur le dos et se caressait le ventre lorsqu'Hippolyte versa une grosse gorgée de vodka dans sa bouche.
-relève toi Ulysse, faut que Toby puisse mater... dit-il avec un léger sourire en ma direction.
Ulysse se redressa lentement, les yeux fermés. Hippolyte glissa sa main droite derrière la nuque de son frère tandis que sa main gauche caressait ses pectoraux. Il n'avait plus que d'yeux pour son frère. Il approcha son visage du sien et leurs lèvres se touchèrent enfin avant de s'entrouvrir pour s'embrasser timidement au départ. Puis leur langue se firent plus insistantes, leurs caresses plus amples. Ulysse glissa sa main sur les hanches d'Hippolyte qui continuait d'embrasser avec gourmandise son frangin. La vodka perlait au bout de leurs lèvres, leurs mentons avant de finir sa course entre leurs deux pectoraux. Je tirais sur mon joint en admirant ce sublime spectacle incestueux. Je me caressais l'entre jambe qui grossissait à vue d'oeil, jouant avec mon PA, ne perdant pas une seule miette de ce qui se déroulait devant mes yeux.
Hippolyte saisit la bouteille de vodka et en versa à nouveau dans la bouche de son frangin qui l'avala goulument avant de chercher la bouche de son frère. Hippolyte attrapa la chemise d'Ulysse et la fit rapidement tomber au sol. Il descendit sa bouche son cou, puis ses pectoraux avant de jouer à mordiller ses tétons. Il remonta ensuite, encouragé par les soupirs virils de son frère, jusqu'à ces aisselles qu'il dévora avec avidité. Ulysse était dans un autre monde, il râlait de bonheur et plaquait la tête d'Hippo contre son aisselle parfaitement poilue. De son autre main il suivit sa colonne vertébrale avant de frôler l'élastique de son calbut. Je glissais alors le joint entre les lèvre d'Ulysse qui tira longuement dessus.
Ulysse poussa alors Hippolyte de son aisselle et le mit à 4 pattes violemment. Sa tête était à niveau de ma queue tandis qu'Ulysse lui malaxait le cul. Presque d'instinct Hippolyte enfonça son visage entre mes cuisses alors qu'une de mes mains jouait avec mon téton piercé et que l'autre accompagnait le mouvement de nuque du jumeau. J'entendis Ulysse donner une bonne fessée à son frère qui gémit de contentement. Il fit glisser le jean à ses chevilles et l'obligea à se cambrer. Hippolyte avait un cul magnifique, bien galbé, rebondis et parfaitement cambré.
Ulysse remonta le dos de son frère de sa main, passa dans le creux de ses reins avant de la faire glisser entre ses fesses. Il les caressa, les malaxa, les gifla et Hippolyte répondait en gémissant de plus belle et agitant son petit cul dans tous les sens comme pour montrer son contentement.
Je quittais alors mon jean et mon calbut. Je m'installais confortablement, écartais les cuisses et replaçais la gueule d'Hippolyte autour de ma queue. Ce dernier n'opposait aucune résistance, comme s'il avait pompé des queues tout sa vie. Je décidais de rouler un nouveau joint. Voir ces deux jumeaux se caresser m'excitait au plus haut point. De mon point de vue je pouvais voir la sublime cambrure d'Hippolyte, dont le petit cul était parfaitement bien moulé par le tissus de son calbut pour autant sa chatte suintait le désir et aucun bout de tissus ne pouvait cacher ça : l'odeur de la chatte de passif qui rêve de se faire démonter.
J'allumais enfin mon bedo et commençait à vraiment baiser la gorge de ce petit minet. Je lui bourrinais bien l'oesophage à grand coup de rein. Je le sentais saliver autour de ma bite, il pataugeait dans sa propre salive qui faisait reluire mon cockring métallique. Je tirais longuement sur mon bedo avant de le passer à Ulysse qui n'avait de cesse de baffer les fesses de son frangin. Je me penchais alors en avant, bloquant la gueule d'Hippolyte avec mon ventre, pour tâter son magnifique petit cul sans doute encore vierge de toute violente pénétration. Je voyais Ulysse regarder avec vice mes mains qui maltraitaient le cul de son frère. Plus il tirait sur le pett plus on sentait la perversion monter en lui petit à petit. Pendant ce temps Hippolyte était en train de se vider de sa salive sur mes couilles tant il était en gorge profonde depuis longtemps.
Ulysse cala le joint au coin de ses lèvres, se releva, arracha presque le boxer de son frère avant de cracher sur son trou. Hippolyte gémit de bonheur sous ce mollard. Ulysse vira son jean et son calbut, gifla les fesses de son frère avant de planter sa queue au plus profond de la vierge chatte de son jumeau! j'étouffais le cri de douleur d'Hippolyte en l'enfonçant encore plus profondément sur ma queue, lui baisant littéralement la gueule dans des clapotis de salive. Son frère le bourrait bien, il savait tringler un cul c'était certain. Il lui collait de ces fessées, lui claquais les flans, lui tirait les cheveux en arrière, appuyait sur ses reins pour le forcer à se cambrer plus. Ulysse dominait son frère, ses râles masculins et ses coups de reins brutaux semblait exciter Hippolyte comme jamais. Ce dernier se déhanchais complètement sous les coups de queue, il s'écartait les fesses des ses mains, se flattait le trou de ses doigts, il se comportait comme une bonne chienne. Ulysse sortit sa queue de son cul avant d'y enfoncer sans ménagement 4 doigts. Hippolyte hurla de douleur, quelle pute. Je sortais à mon tour ma bite de son orifice pour venir me placer derrière sa croupe de chienne. Ulysse n'attendit pas pour planter son zob au plus profond de la gorge de sa pute de frère. Voyant cela ne pris ce cul de mes deux mains, écarta ses deux fesses et d'un coup puissant en violent je lui perforai la chatte. Je sentis son trou s'ouvrir sous la violence de mon coup de rein, mais plus rien ne comptais, j'avais ma queue dans une chatte, alors qu'on morfle ou kiffe je m'en battais les couilles. Je lui limais l'orifice, l'insultais, le baffais. Je voyais mes énormes couilles battre sa chatte à chaque aller retour dans un bruit de succion immonde tant sa chatte baillait et mouillait. Je m'appuyais de ton mon poids sur ses reins ce qui l'obligea à cambrer son cul au miximum. Je sortis ma queue pour l'y rerentrer ensuite. Et ainsi de suite. J'entendais sa chatte produire des bruits dégueulasses dus au aller retour des queues dans ses entrailles, le tout combiné au bruit continu d'étouffement et de clapotis produis par la baise de gorge dont il était victime. Chacun de ses trous était violemment utilisé, sans pitié, sans merci. Nous le baisions comme nous aurions baisé une poupée gonflable, nous nous branlions dans ses trous de putes. Ce n'était plus un être humain, uniquement un objet bon à démolir à coup de grosse bite.
Ulysse était un vrai mâle en chaleur, il lui bourrinait la gorge sans la moindre pitié. Sa queue longue et large glissait dans son oesophage, provoquant des hauts le coeur chez son pompeur. Il forçait le passage de sa glotte sans s'inquiéter du possible plaisir de son frangin. A cet instant précis Hippolyte et Ulysse n'étaient plus frère, Ulysse était le mâle, Hippolyte la femelle, la chatte, le trou.
Régulièrement Ulysse y allait trop fort dans sa défonce de gorge et Hippolyte vomissait sur la queue de son frère qui ne s'arrêtait pas pour autant de baiser ce trou si accueillant.
La scène était immonde, Ulysse et moi ne pensions qu'à notre plaisir et au meilleur moyen de faire souffrir cette putain de salope.
Soudain Ulysse augmenta la cadence, Hippolyte se mit a pleurer sous la violence des coups de bite au fond de sa gorge. Rapidement Ulysse planta sa queue au plus profond de la gueule de son frangin pour y cracher tout son foutre. Hippolyte ne put accepter ça et renvoya le tout dans un bruit immonde qui me fit encore plus triquer. Il se vomissait dessus, tandis qu'Ulysse perdu dans son orgasme ne pensait qu'à sa bite et continuait de lui limer la gorge, il lui ramonait la gueule, empêchant son frère de reprendre son souffle. Ce dernier ne cessait de déglutir sur cette sublime bite, se recouvrant de sperme et de son propre vomis. Voyant le foutre gicler dans tous les sens, suinter au coin des lèvres de notre pute, j'entrepris de lui démolir encore plus la chatte. J'y glissais mon pouce et lui écartais le trou avant de commencer à accélérer la cadence, je voyais ses fesses ondulaient sous mes coups de grosse bite, mes couilles battant violemment contre l'aures de sa chatte dans un bruit de succion humide. Soudain je sentis le foutre monter, je m'enfonçais au plus profond de ses entrailles ce qui eu pour effet de le faire vomir a nouveau. J'y déversais des Litres de foutre gras et visqueux, du foutre de mâle. Lorsque je sortis ma queue de son cul ce dernier ne se referma pas, il resta béant, grand ouvert, baillant au monde entier. Je lui claquais le cul, me rhabillais et me barrais.
Avant de quitter la chambre je me tournais a nouveau vers les jumeaux. Hippolyte semblait s'être évanouit planté sur la queue de son frère, son visage pataugeait dans le foutre visqueux et le vomit tandis qu'Ulysse reprenait ses esprit en fumant une clope, la queue toujours enfoncée dans la gorge de son frangin. Quel tableau de dépravation.
-si tu veux acheter à fumer un de ces jours, passe chez moi avec ton double, j'ai de quoi nous amuser encore plus...
Je quittais alors la pièce en titubant, la queue débordant presque de mon fut.
Dites moi si vous désirez une suite ou juste pour me faire part de vos avis et vos branlettes... ;)
PS: je change de pseudo, je passe de 18a Bi Muscle à Yvin
Yvin
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