En général, je ne suis pas tellement attiré par les mecs plus jeunes que moi et pourtant, l'été dernier à Nice, lorsque j'ai croisé Mehdi pour la première fois, j'ai tout de suite eu envie de le sentir contre moi et en moi.
C'était dans un sex shop avec des salles de ciné porno dans lequel j'ai passé plusieurs après-midi et où ça baisait bien. Allez savoir pourquoi, avec Mehdi, ça a été différent. Physiquement, il est assez mignon je trouve même s'il est un peu fin pour mon goût, assez grand, environ 25 ans (alors que j'en ai 28), cheveux courts et très noirs, torse quasi imberbe mais jambes super poilues et légèrement arquée, une queue circoncise d'une dureté terrible quand il bande. Pendant les vacances nous nous sommes vus trois ou quatre fois et, durant l'année qui vient de s'écouler, il est venu me voir deux fois à Lyon. Sa dernière visite remonte à mai dernier et je dois dire qu'on a passé pratiquement deux jours à poil dans mon appart sans sortir du tout.
Ce que j'aime chez lui c'est sa virilité, son côté macho (je suis persuadé qu'il couche aussi avec des filles) et son look savamment "caillera" (en effet, il est en survêt tout le temps). Il fait vraiment mec et a une attitude de bonhomme. Je sais que je ne suis là que pour lui vider les couilles.
D'autre part, je suis plutôt maniaque et j'ai adoré voir ses Airmax, ses calbuts déformés et ses chaussettes blanches trainer un peu partout chez moi. Ca faisait vraiment "présence de mâle".
Côté cul, tout a démarré dès que nous sommes montés dans l'ascenseur après que je sois allé le chercher à la gare de la Part Dieu. Il m'a embrassé, tripoté, m'a attiré contre lui. J'adore son visage, il ne se rase pas tous les jours et a de grands yeux noirs avec de longs cils.
Dès que nous sommes entrés dans l'appartement, il m'a collé contre un mur et m'a déshabillé entièrement. J'étais nu devant lui lorsqu'il a baissé son survêt et que sa bite a jailli déjà super dure.
"Suce" m'ordonne-t'il. Je me mets à genoux et je commence à passer ma langue sur son gland. Il bande très dur. Il a un peu transpiré et je peux sentir l'odeur de "fond de caleçon" dans les poils de ses bourses et de son pubis. Je dois dire que ça m'explique encore plus. Il enlève son blouson et son tee shirt et je continue à le pomper de plus belle. Il me relève et m'embrasse très longuement. Je bande aussi
"À quatre pattes !" Je me mets en position sur le canapé du salon, me cambre, écarte les jambes et je le sens derrière moi. Il a déchiré l'emballage d'une capote qui était dans la poche de son survêt. Il a tout prévu. Il crache dans mon cul, écarte mes fesses et entre en moi. J'ai mal le temps d'un quart de seconde mais je ne veux pas qu'il sorte et je serre les dents. Il continue à progresser en moi.
Je sans sa queue large et dure, ses couilles presque contre les miennes. Il sait ce qu'il fait. Il commence à aller et venir en moi lentement, puis de plus en plus vite. Il me tient fermement par les épaules.
"C'est ça que tu voulais !"
Il me pilonne très durement et j'aime ça. Je gémis un peu. C'est violent mais je me laisse faire. Je sais que ça va être comme ça tout le week end comme la dernière fois. Il éjacule en poussant un cri dans la capote et sort doucement.
"Une douche ?"
Je n'ai pas éjaculé mais tant pis, c'est lui le mâle. Il décide. C'est finalement sous la douche qu'il me fera jouir en me pinçant cruellement les tétons. Tout le week end, nous avons baisé, bu de la bière, mangé des pizzas et baisé encore. J'aime beaucoup quand Mehdi vient me voir.
Chopassif
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