Un jour de vacances

Nous sommes en vacances près de Saint-Raphaël depuis samedi. Dimitri a tout réglé. Des amis à lui nous ont prêté leur maison pendant qu'ils sont partis aux États-Unis. Nous n'avions rien prévu, car nous ne sommes ensemble officiellement que depuis le mois de juin et je me demandais comment nous allions faire pour profiter de cette semaine de vacances commune. Nous sommes bien installés et je dois dire que l'endroit est vraiment agréable. La maison est de plain-pied et il y a une piscine. De plus, vu qu'il n'y a pas de vis à vis, nous pouvons nous balader et nous baigner à poil très facilement ce qui n'est pas pour me déplaire. Je peux donc voir l'immense silhouette de mon mec sans aucun vêtement à loisir.

Je vous l'ai déjà dit, mais Dimitri est très grand. Il mesure 1m92, il est légèrement dodu et très très poilu. Bien qu'il s'approche petit à petit de la cinquantaine, il n'a que très peu de poils blancs. Pour vous le décrire en détail, il porte une barbe courte et son crâne est tondu sans être rasé. Il a de très grandes mains, de très grands pieds (il chausse du 47 voire 48) et il n'est pas toujours simple de lui trouver des pompes. Pendant ces vacances, lorsque nous sortons, il porte toujours des shorts assez courts qui mettent en valeur ses cuisses puissantes, des baskets avec des chaussettes blanches et des t-shirts ou des polos. Je défie bien ceux qui ne le savent pas de deviner qu'il est gay. En plus, il a une attitude " très hétéro ". Il est protecteur, voire même un peu macho. C'est le mâle alpha méditerranéen parfait. C'est même un peu un cliché. J'avoue que ça participe pas mal à mon attirance pour lui.

Dimitri aime le cul. De ce côté-là, je suis servi. Nous baisons vraiment beaucoup et, vu que nous sommes tout le temps ensemble et uniquement tous les deux, c'est très facile. Hier, par exemple, nous étions à poil sur la terrasse. Il était allongé sur un transat et j'ai eu envie de lui terriblement. Son corps poilu, sa grosse queue et son paquet m'appelaient si on peut dire. Je suis passé devant lui et je l'ai rejoint. J'ai commencé à lui lécher longuement les couilles. J'adore, car elles sont grosses et que, lorsqu'il transpire légèrement, elles sentent un peu le mâle. Consciencieusement, j'ai passé ma langue de chaque côté, sur les bourses, dessous, il a commencé à bander comme un dingue. Il faut expliquer qu'il a la gaule dès que je le touche et c'est aussi mon cas. Je suppose que c'est fréquent pour un début de relation.

Doucement, j'ai décalotté son gland et j'ai commencé à le sucer. Il n'avait pas dit un mot, mais j'ai senti ses grosses paluches se crisper sur ma tête. Je me suis dit que j'allais le faire jouir avec ma bouche et j'ai commencé à faire entrer sa bite le plus profondément que je pouvais dans ma bouche. Elle est assez large, mais maintenant, j'y arrive très bien.
" Tu vas me vider les couilles ! "
" Ouais. "
" Allez pompe ! "
Je redoublai d'efforts et il bandait maintenant tellement dur que je sentais qu'il allait éjaculer dans ma bouche. Étant donné qu'il est sous prep et que, de toute manière, je pense que nous n'avons pas d'autres partenaires, je n'ai aucune appréhension. Il continuait à me maintenir la tête sur sa queue.
" Bouffe ! "
J'adore quand il est autoritaire et je m'applique à me soumettre à ses désirs. C'est un peu dans ma nature donc je n'ai pas vraiment d'effort à faire.

Il me repousse et se lève d'un coup. Il m'entraine près de la table de jardin et me fait assoir sur une chaise.
" Allez continue, lèche-moi les boules ".
Je m'exécute bien volontiers. J'adore quand il me donne des ordres. Je m'applique. Il fait chaud et il transpire. J'adore l'odeur de son corps. En plus, il est déjà bronzé donc je le trouve encore plus attirant. Il met sa bite dans ma bouche et ses mains puissantes me tiennent la tête encore plus solidement. J'aime bien quand il joue le pacha et qu'il est assis, mais comme ça, ça me plait aussi. Il commence à me pincer les tétons, au début tout doucement puis de plus en plus fort. J'adore ça et je gémis tout en avalant le plus que je peux de sa bite.

D'un coup, il me relève. Il me roule une pelle magistrale avec la langue et s'aperçoit que je bande aussi comme un malade. Il me mordille un téton et pince l'autre de plus en plus fort. Je me lâche complètement et ma tête vient s'appuyer contre son torse. Je gémis. C'est excellent et j'ai envie de me branler et d'éjaculer sur les dalles de la terrasse. Il ne l'entend pas de cette oreille et je sais qu'il ne me laissera pas m'en tirer comme ça.
Il me penche sur la table de la terrasse et commence à me bouffer le cul. Je sens sa langue, mais aussi sa barbe un peu irritante. J'évite de me branler, car sinon je vais jouir tout de suite.
" Je te l'ai dit, tu vas me vider les couilles. Tu ne croyais quand même pas que tu allais le faire avec ta bouche. On a le temps. "
Je gémis de plus en plus. J'adore qu'on me bouffe le trou et il fait ça très bien. Sa langue entre de plus en plus profondément en moi.

Quand il voit que je suis suffisamment ouvert, il se relève et je sens son gland entrer dans mon cul très lentement. Il fait bien gaffe à ne pas me faire mal alors que, certaines fois, il rentre comme un sauvage. Il me choppe par les épaules et s'enfonce en moi. Très vite, je sens son pubis contre mes fesses et ses couilles contre les miennes.
" C'est ce que tu voulais. Tu m'as bien chauffé ! "
Il commence à aller et venir très profondément, mais très lentement en moi. D'habitude il est plus bourrin, mais on dirait qu'il a envie d'autre chose. Je le sens, il est quand même bien monté. Je n'ai jamais mesuré, mais je dirai pas loin de 20 cm. J'ai connu plus gros, mais c'est bien. Je gémis. Il s'enfonce encore plus et fait de petits allers-retours.

Tout d'un coup, je sens ses mains autour de mon cou. Il serre un peu, jusque ce qu'il faut pour ne pas m'étouffer et pour me faire bander davantage. Il commence à me pilonner plus fort. C'est vraiment très intense. Je respire comme je peux et ses doigts se serrent et se relâchent autour de mon coup. J'ai déjà fait ça avec d'autres, mais Dimitri maitrise ça très bien et je prends un pied d'enfer. Il me défonce comme le mâle dominant qu'il est et je me sens complètement à lui. C'est une curieuse sensation que je n'ai éprouvée que rarement avec des sex friends et des mecs de passage. C'est excellent. Je commence à me branler, mais il relâche son étreinte et me bloque les bras.
" Pas question. C'est moi qui décide. "
Quelques coups de queue bien profonds supplémentaires et j'ai envie qu'il jouisse en moi, mais non, ce n'est pas de ça qu'il a envie. Il se retire, me retourne contre lui. Il me roule une nouvelle pelle et me fait allonger sur le dos et sur la table. Il relève mes jambes et rentre en moi d'un coup en m'arrachant un cri. Je sais qu'il n'aime pas que je sois silencieux du coup je ne me retiens pas. Je le sens encore mieux comme ça. C'est excellent.

En même temps, il me pince cruellement les tétons. Il sait, car nous baisions déjà occasionnellement avant d'être ensemble, que ça m'excite énormément.
" Allez, branle-toi ! "
J'obéis et tandis qu'il entre de plus en plus profondément en moi et qu'il me pince les tétons, je ne mets pas longtemps à jouir sur mon ventre. Contre toute attente il se retire et me relève. Je suis un peu étourdi, mais il me fait m'accroupir devant lui et commence à se branler. Au bout de quelques secondes, je reçois une quantité impressionnante de son sperme sur le visage, le crâne, le cou et les épaules. Il a juste un peu râlé et tout est sorti.
" Aller p'tit gars, à la douche ! "

Nous entrons dans la maison et nous passons dans la salle de bain qui est en fait une douche à l'italienne (je n'aime pas trop ça, mais c'est vrai que ça a un côté pratique). Il fait couler l'eau sur nous. Elle n'est pas très chaude, mais devient vite à la bonne température. Il m'embrasse dans le cou en me savonnant le corps. Je me retourne et lui rends la pareille. J'adore lui passer le gel douche. Comme il est hyper poilu (en général même un peu dans le dos, mais il s'est fait épiler pour les vacances ne gardant que le torse), j'ai l'impression de le shampouiner. C'est assez excitant. Nous nous embrassons sans parler tout en laissant couler l'eau sur nous. Il sort le premier, s'essuie, je coupe l'eau et le rejoins, il me sèche avec une inattendue douceur.

" T'es vraiment une petite pute. "
" Ouais, mais t'aimes ça. "
" C'est clair. Tu m'as toujours bien plu et il y a longtemps que je voulais que notre relation évolue, mais je n'osais pas te le dire. "
" Ben tu vois, ça s'est fait tout seul. D'une part, tu t'es finalement bien éloigné de ton ex et d'autre part, je devais être prêt alors que je ne l'étais pas avant. "
Il faut expliquer qu'il a eu, durant longtemps et au début que je le connaissais, une relation trouble avec son ancien petit ami et que cela l'empêchait sans doute d'envisager une nouvelle liaison. D'autre part, j'étais un célibataire convaincu et je ne devais pas spécialement être facile à approcher.

" On s'habille. J'irai bien à Cannes. On aurait pu faire un restau. "
J'approuve l'initiative. Il enfile un slip (il ne porte que rarement des boxers), un short bleu ciel assez court, un t-shirt kaki qui lui va particulièrement bien, des chaussettes blanches de tennis et des baskets Adidas genre running. J'adore quand il a cette dégaine-là. Quant à moi, je me glisse dans un boxer et un jean et attrape le premier t-shirt qui me tombe sous la main.

Après avoir soigneusement refermé la maison nous montons en voiture, toutes vitres ouvertes et prenons la route jusqu'à Cannes. Je dois dire que je n'aime pas trop cette ville où tout semble un peu factice et où tout respire le fric. Ceci dit, c'est bientôt son anniversaire, et j'ai envie de lui faire un complément de cadeau (je lui ai déjà acheté des baskets blanches qui sont restées à Lyon) et je me dis qu'il doit y avoir de très belles parfumeries rue d'Antibes. Nous nous garons et nous marchons un peu le long de la mer. C'est vrai que c'est agréable.

Un moment plus tard, nous nous installons à la terrasse d'un café non loin de la rue où je voulais aller. Je prétexte une envie d'aller aux toilettes pour régler les consommations et m'éclipser furtivement pour lui trouve son parfum. Il est au téléphone et il n'a pratiquement pas remarqué que j'étais parti un peu plus longtemps que nécessaire. Je le soupçonne de vouloir régler certains problèmes de son entreprise pendant les vacances, mais, dans ce cas précis, ça m'a un peu arrangé. J'ai glissé le cadeau dans le sac en bandoulière que j'ai emmenée et ni vu ni connu.

Le reste de l'après-midi se déroule avec plaisir. Ce n'est pas mal quand même de se promener sur la côte en amoureux. Je pense que ça m'a sans doute manqué. Vers vingt heures, il avise un petit restaurant très sympa dans le vieux Cannes et nous dinons légèrement avant de remonter en voiture. La discussion est animée, nous rigolons bien, nous avons un peu bu, enfin surtout moi. Il est hyper raisonnable, car il doit reprendre le volant.
" T'es bien avec moi ? "
" Oui j'adore ces vacances. "
" J'ai encore envie. "
" Ca tombe bien, moi aussi. "
Il conduit vite. Je pose ma main sur sa cuisse. J'adore faire ça. Nous rentrons assez rapidement.

Il gare sa voiture. J'ouvre la porte de la maison et il me pousse à l'intérieur, me colle contre le mur et commence à m'embrasser. Je lui échappe en glissant le long de son corps pour m'accroupir. Je baisse son short et son slip et je commence à le sucer lentement.
" J'ai encore les couilles pleines. "
Qu'il ne s'inquiète pas, ça va s'arranger. Je le suce avec application. Il gémit un peu, me tient la tête. J'ai envie qu'il éjacule dans ma bouche et je voudrais tout avaler. Je ne sais pas si ça va lui suffire. Je m'accroche à ses jambes et je le pompe vraiment fort. Il bande comme un malade et je le sens se contracter. Il jouit et je garde sa queue dans ma bouche assez longtemps. Il décrispe ses mains, mais je passe ma langue autour de son gland et il gémit à nouveau. Je pense que ça lui a plu.

Nous allons dans la chambre. Il achève de se désaper, moi aussi et nous nous endormons assez vite, à poil collés l'un contre l'autre.