Je sors avec Dimitri depuis déjà quelque temps et ma vie s'organise autour de cette relation. Si je conserve pour l'instant mon appart, je n'y suis pas très souvent et nous vivons ensemble la plupart du temps. Ceci dit, je trouve qu'il est un peu tôt pour transporter toutes mes affaires chez lui-même si je pense qu'il en a très envie. On change c'est incroyable. Moi qui étais farouchement attaché à ma liberté et qui vivais entre sex friends et coups d'un jour, je ne suis pas du tout gêné de n'avoir plus qu'un seul partenaire pas plus que sa possessivité ne me dérange. J'avoue que je trouve même ça très flatteur. Il faut dire qu'il m'excite énormément et bien plus encore que quand nous baisions épisodiquement. J'ai envie de lui tout le temps et notre vie sexuelle est plus que remplie. Il lui arrive régulièrement de me sauter sous la douche le matin et tous les soirs, lorsque le macho rentre, j'ai droit à mes coups de queue que j'attends avec impatience. Quant au weekend, si nous n'avons rien de prévu, nous le passons en grande partie au plumard.
En dépit de cela, j'évite de penser trop quand je bosse, car je bande instantanément (rien qu'en écrivant j'ai la gaule mais chut...) et je m'imagine comment je vais m'occuper de lui. Vous me direz que ça tourne un peu à l'obsession, mais comme je sais que c'est pareil pour lui, je me dis que c'est juste une attirance réciproque et très très forte.
En général, nous ne nous voyions pas la journée lorsque nous bossons, mais la semaine dernière, avec la canicule que nous avons subi, je me suis permis de prendre une fois où deux, une pause déjeuner un peu plus longue. J'ai eu alors l'idée de le surprendre pour l'emmener manger dans un endroit climatisé. J'ai donc sauté dans le métro malgré la chaleur et me suis rendu à son bureau. Il dirige une petite entreprise qui a l'air de bien marcher et dont les bureaux se trouvent à quelques stations (dont un changement) de mon travail.
Je savais que mon initiative lui ferait plaisir, mais pas vraiment ce qui allait arriver. Je l'ai appelé en sortant du métro pour lui proposer de nous retrouver dans un restau où nous étions déjà allés il y a quelques semaines. Il me répondit :
" Monte un moment. Je finis un truc. Je suis tout seul ".
Il déverrouilla la porte d'entrée et je montai dans l'ascenseur pour le retrouver. Ses bureaux se trouvent au premier étage dans un appartement qui a été transformé et ils sont très bien climatisés ce qui allait me soulager du côté pénible de mon trajet en métro.
" Salut... "
Pour toute réponse il m'attira vers lui et me roula une pelle magistrale avec la langue qui me fit bander instantanément. Je sentais qu'il en était de même pour lui. Il me repoussa sans dire un mot et fonça jusqu'à la porte pour la verrouiller.
" J'ai envie que tu me pompes. "
Je ne m'y attendais pas, mais j'obéis sans aucun souci, je commençai donc à défaire sa ceinture, baisser la braguette de son pantalon de costard tandis qu'il enlevait sa cravate et déboutonnait sa chemise. Il portait un slip blanc immaculé (je le savais, car j'adore le regarder s'habiller le matin), je le baissai et m'accroupis devant lui pour commencer à lécher ses grosses couilles. Comme je vous l'ai dit déjà, il est impressionnant de par sa stature et, bien qu'il soit bien monté (je dirai à peu près 20 cm plutôt large), sa queue semble très normale par rapport au reste de son corps.
Il alla s'assoir dans un des fauteuils de son bureau et fit tomber son pantalon et son slip en bas de ses jambes. Je trouvai la situation excitante et je déboutonnai mon jean à mon tour pour libérer mon sexe qui commençait à être à l'étroit. Je me mis à genoux devant lui et commençai à le sucer très lentement en tenant la base de sa bite dans mes mains et en caressant ses couilles. Son odeur mêlée au restant de son parfum m'attire. Je suis très sensible à ça. En plus, ce qu'il faut expliquer, c'est que son gland mouille pas mal quand il est excité et que j'adore jouer avec son prépuce. C'est donc très excité que j'ai commencé à me dire que je le ferais bien jouir dans ma bouche (ce qui est très nouveau pour moi également).
Je commençai à accélérer le mouvement. La clim était très poussée dans son bureau du coup je n'avais pas chaud du tout et je me sentais parfaitement à l'aise. Il crispait ses mains sur ma tête. Il a de grosses paluches puissantes et ça m'excite de me sentir complètement à sa merci. Je le sentais au bord de l'éjaculation lorsqu'il m'arrêta net.
" Attends... Tu veux jouer ? "
Il se releva d'un coup, se débarrassa de son pantalon et de son slip. Il ne portait que sa chemise ouverte et il m'entraina vers son bureau. Il me fit pencher, acheva de baisser mon jean et mon boxer et commença à me bouffer le cul. La position était limite inconfortable, mais excitante et je sentais sa langue et les poils de sa barbe de quelques jours contre mon trou.
" J'ai envie de te défoncer... Tu ne seras pas venu pour rien ! "
Il se releva je je le sentis derrière moi. Son sexe entra dans mon cul d'un coup et je réprimai un cri (pas question d'alerter les voisins). Il me saisit par les épaules et commença à me pilonner. Je gémissais en étouffant un peu le son avec ma main. Il ralentissait puis accélérait, car il sait comme ça me fait monter aux rideaux. Le bord de son bureau était assez inconfortable, mais je me cambrai encore plus. Je le sentis se contracter et grogner. Je compris qu'il avait rempli mon cul. Il se crispa puis relâcha l'étreinte pour se retirer doucement. Cette petite séance m'avait un peu coupé les jambes et je manquai de m'effondrer sur le sol. Je me ressaisis. Me retournai et l'embrassai très langoureusement. Nous allâmes tant bien que mal vers les toilettes du couloir et nous essuyâmes avec des lingettes imbibées d'une solution dont je trouve toujours l'odeur, bien que fraiche, assez désagréable et nous rhabillâmes.
" C'était bien. J'ai bien fait de venir. "
" J'en ai eu envie toute la matinée. Les grands esprits se rencontrent. "
Nous nous nous sommes mis à rigoler et je me suis calé dans ses bras.
" Je t'invite à déjeuner ? "
" Non c'est moi qui ait proposé. Je paye ".
Il faut dire que, même si nous sommes loin d'avoir les mêmes revenus, je mets un point d'honneur à participer financièrement à tout. Il trouve que c'est de l'orgueil mal placé, mais je m'en fous. Je n'ai pas l'habitude d'être en couple et c'est comme ça que je vois les choses.
Nous sommes donc sortis dans la rue et la chaleur nous a saisis (la différence de température avec celle de ses locaux était énorme). Nous nous sommes précipités dans un petit restau du quartier où nous avions déjà mangé et où nous savions que nous pourrions être servis rapidement. Nous avons déjeuné en nous regardant droit dans les yeux et en plaisantant sur tout et rien. J'aime aussi ce genre de moment. J'ai réglé l'addition et je suis reparti prendre le métro non sans lui avoir fait un petit bisou en lui disant " à ce soir ". Je me fous de plus en plus du regard des gens.
Trajet faisant, je me suis dit que j'avais son sperme dans mon cul et ça m'a fait bander à nouveau. Moi qui ne baisais que sans capote, je suis quand même heureux de n'avoir plus qu'un seul partenaire pour tenter cette nouvelle expérience que je n'aurais jamais risquée avec un amant régulier et encore moins avec un coup de passage. Je suis arrivé à mon boulot légèrement après 14 heures et je suis resté un peu plus tard, car, d'ordinaire, je ne prends qu'une demi-heure pour déjeuner et je finis vers 16 heures. Je ne l'ai pas regretté.
En fin d'après-midi, je suis rentré à l'appart de Dimitri, je me suis longuement douché et j'ai commencé à jouer les " hommes d'intérieur ", en pliant ses slips et ses chaussettes (je plaisante, mais pas seulement). Quand il est rentré vers 18 H 30, nous avons remis ça, mais c'est une autre histoire...
Peut-être que je suis obsédé ou simplement amoureux, je ne sais pas, car ça ne m'était jamais vraiment arrivé. En tout cas, j'ai hâte que nous partions en vacances ensembles même si, comme elles n'étaient pas prévues, elles sont un peu improvisées. Je vous raconterai au retour... Peut-être.
Chopassif
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