Quand j'avais vingt-cinq ans, à l'école supérieure, je connaissais un beau garçon de dix-huit ans, Fred, qui fréquentait le même cours que moi. Il était assis deux rangs devant moi, si bien que je le voyais de dos et parfois de profil quand il tournait la tête.
Ses yeux sombres, son nez retroussé dans son visage bronzé m'inspiraient un désir fou. Rentré chez moi, je bandais en pensant à lui et souvent cela se terminait par une branlette dans mon lit en l'imaginant en train de s'exciter, de se branler et de juter ! Oui, j'avais une terrible envie de Fred !
Au fil des jours il finit par sentir mon regard et se retournait vers moi, je détournais alors mon regard, mais il n'était pas dupe. Un après-midi, je le croise dans un couloir, il me salue en souriant comme toujours, puis m'arrête et me demande :
- Qu'est ce que tu me veux à me regarder sans arrêt ? Gêné, je ne réponds rien.
Les jours suivants, je ne peux m'empêcher de le regarder sans arrêt tellement j'ai envie de lui, je bande dans mon jean en le contemplant.
Cette fois, comme je ne répondais toujours pas, il me dit : - J'en ai marre que tu me regardes sans arrêt, si tu veux qu'on fasse connaissance, viens chez moi cet après-midi.
Je lui réponds le coeur battant :
- OK,
Il habite une chambre d'étudiant et cet après-midi, il me reçoit vêtu d'un t-shirt trop court blanc qui fait ressortit son ventre et son nombril au teint bronzé et d'un petit short en jean, ce genre de short qui me rend fou et me fait bander aussitôt ! Mais sur lui, ce petit short me fait un effet terrible ! Ses cuisses musclées et bronzées que j'ai envie de caresser, d'embrasser, envie de le faire jouir, je distingue à travers le tissu de son short la forme de sa bite et cela me fait bander plus encore !
Il m'invite à m'assoir, m'offre un verre d'alcool, et me dit :
- Alors, tu veux me voir ! Je vois bien que tu es excité quand tu me regardes, eh bien, tu vas être content !
Je bafouille :
- Mais je ne...
- Ne dis rien, regarde !
Et il me regarde en ôtant lentement son t-shirt, dévoilant son torse musclé en se déhanchant, il sourit vicieusement en palpant lentement son petit short dont le tissu se tend lentement poussé par une barre qui s'allonge et durcit, il me rend fou de désir !
Il serre sa barre à travers le tissu en souriant et me disant :
- C'est ça qui t'excite, hein ! Je vois que tu bandes, cochon !
Oui, je bande à mort, avec un regard vicieux, il fait :
- Moi aussi, je bande ! Regarde !
Et il détache sa ceinture, ouvre son petit short très très lentement, qu'est ce qu'il me fait bander, le salaud ! Je n'en peux plus et je détache à mon tour la ceinture de mon jean pour libérer mon épieu brûlant. Son short descend sur ses genoux, je vois enfin sa bite raide qui se dresse, longue, aux veines saillantes, à genoux sur son lit, Fred saisit sa bite raide et sa main commence à aller et venir, dégageant et recouvrant tour à tour son gland brillant dans la lumière, il me regarde avec un sourire prometteur et murmure : - Mmmm, c'est bon, non ? Je t'excite hein !
Oh oui ! Je suis excité à mort, je voudrais qu'il me branle, me suce, me fasse jouir !
Mais je suis une peu déçu, il va se faire jouir devant moi et SANS moi ! C'est ça qui l'excite... Je ne peux m'empêcher de branler mon épieu, tant pis je vais me faire jouir en le regardant et même temps que lui ! Oui, sa respiration devient saccadée, il gémit de plaisir, il halète en me souriant :
- H !...Je vais Jouir !....H !...Tu aimes ? Et accélérant sa masturbation : - h !...H !...H !...MMMMM !...OOOOOH !...H !...JE... VIENNS !
Son foutre gicle puissamment de son gland, fou de luxure en le voyant jouir, je me branle à fond la caisse, je crie :
- H !...QU'EST-CE QUE T'ES BEAU QUAND... QUAND... TU JOUIS !...OUAIS !...JE JUUUTE !
Me voyant juter comme lui, Fred me dit :
- J'ai pas fini !...Viens ! J'ai encore du jus !
Mon jean sur mes chevilles, ma bite qui jute encore, je le rejoins sur son lit, en m'embrassant, il me dit :
- T'es content ? Je....Je bande de nouveau !
Il saisit mon épieu redevenu dur comme acier et son poing va et vient délicieusement,
Il murmure :
- J'vais t'faire juter !...Branle-moi encore ! Ouais à fond !
Enlacés bouche contre bouche, la bite raide de l'un dans la main de l'autre qui vont et viennent de plus en plus vite, il crie :
- H !...OUAIIIIS !...À FOND LA CAISSE !...OUH !... QUE C'EST BOON !
Nos corps se cambrent, nos spermes giclent de nouveau et se mêlent à notre sueur, je ne peux que murmurer :
- Oui,....H !...C'est bon !
- On recommence ? Fait Fred.
- Pas... Pas maintenant ! Je... suis... épuisé !
- Pas moi ! Regarde ma bite, je bande encore !
Fred se cambre devant mon visage sa barre dure frôle mes lèvres, Je suis épaté par sa fougue alors que je suis épuisé ! Son gland frôlant ma bouche, il me dit :
- Suce-moi !
Sucer la bite de ce beau garçon m'excite à nouveau, j'ouvre les lèvres, il introduit son gland dans ma bouche, puis la hampe chaude, c'est bon de sentir la belle bite de Fred dans ma bouche, il donne des petits coups de reins en haletant :
- H !...Tu aimes ? ... J'vais juter dans ta bouche ! MMMMM....C'EST BON ! H !...H ! Son foutre n'en finit pas de gicler dans ma gorge, j'ai du mal à avaler, mais j'aime le sperme de Fred !
Et cela me fait bander à nouveau !
- Ah ! Tu rebandes ! fait Fred, viens, j'vais sucer ta grosse bite !
Et Fred engouffre ma bite, la sentir dans sa bouche et le voir la sucer me met dans un état indescriptible, je m'enfonce, me retire, m'enfonce... je sens monter mon sperme, je prends Fred par les cheveux, c'est trop bon, dans un cri :
-AAH ! Mon sperme jaillit éclaboussant la gorge et le beau visage de Fred, ravi de l'aventure !
Fred :
- Maintenant c'est moi qui suis épuisé ! On transpire et nous sommes couverts de sperme ! On remettra ça un de ces jours, quand tu me regarderas, je comprendrai et ça m'excitera, on bandera tous les deux !
Frank
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