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11 | Toilettes pour hommes
Dès que ses yeux ont croisé les miens, j'ai su que je devenais sa proie. Il me fixait régulièrement tout en enchaînant les longueurs. Du haut de ma chaise de surveillance, je pouvais admirer son dos puissant, sa peau ferme, ses muscles sculptés par des heures d'entraînement. Ce type devait faire un métier physique, dans la construction ou dans l'armée. Il avait la gueule d'un gradé ou d'un chef de chantier, ça devait pas rigoler souvent avec lui. Il émanait de sa présence une force naturelle qui n'appelait aucune contestation. Un simple regard était signe de soumission. Aussi, quand il s'est approché de ma chaise et qu'il s'est palpé la queue à travers le maillot, j'ai su ce qu'il attendait de moi. J'ai appelé Monica pour me remplacer et j'ai filé direct vers les toilettes pour hommes.
Je ne l'ai pas repéré,tout d'abord. J'ai cru qu'il avait filé en direction des cabines, mais lorsque l'une des portes des WC a grincé, je n'ai plus eu de doutes. J'ai poussé la porte, fébrilement. Il se tenait là, debout, jambes écartées, magnifique dans son maillot de bain bleu-roi. Il m'a pris la tête d'autorité et m'a forcé à m'accroupir face à sa queue emprisonnée dans le lycra.
- Tâte d'abord ce qui va te soumettre.
J'ai sorti une langue timide et j'ai commencé à lécher le tissus humide. Sa texture était douce et il en émanait une forte odeur de chlore. Je me suis souvenu de ma première queue. C'était aussi à la piscine, pendant mon boulot, mais cela se passait à l'infirmerie avec un élève de terminale. (voir le chapitre 1). Je lui avait suçoté la queue à travers l'étoffe. Des souvenirs remontaient au fur et à mesure dans ma mémoire. Ça me paraissait tellement loin, cette queue monstrueuse que j'avais sucé. Cela avait été une expérience unique qui m'avait fait découvrir une autre facette de ma personnalité. Oui, même si je l'avais toujours combattu, j'aimais les bites... oui, j'aimais me faire doigter... et oui, j'aimais par dessus tout me faire baiser par des manches démesurés qui me cassaient le cul et me faisaient gueuler comme la dernière des catins. Et celui que j'avais sur le bout de la langue ne dérogeait pas à la règle. Ce bâton de chair était énorme, menaçant, mais tellement parfait pour éteindre l'incendie qui ravageait mes entrailles.
-Oh! Réveille-toi, on n'a pas toute la journée. Allez libère la bête et montre moi tes talents de suceuse.
Je me suis exécuté, insensible au fait d'être traité au féminin. Putain, l'engin!!! Pas aussi long que celui du lycéen mais un bon 23cm, fièrement dressé. Un peu le même profil que le monstre de Mohamed, mais encore plus épais à sa base. Bordel, ils sont tous montés comme des étalons... Moi, à côté, avec mes 19cm, je fais presque pitié...
- Alors, t'attends quoi!
Et sans plus de formalité, il m'enfourne son engin jusqu'au fond des amygdales. Je manque m'étouffer tant la manœuvre est violente. J'enroule ma langue autour de son gland, comme j'avais appris à le faire ces derniers temps. Je coulisse le long de sa hampe veinée. Sa respiration accélérée m'indique clairement qu'il aime la manière dont je lui aspire la queue. Je commence à prendre mon rythme de croisière quand soudain, il m'agrippe la nuque avec ses mains et me baise la bouche comme il l'aurait fait avec une chatte. Il me prodigue plusieurs gorges profondes qui me font venir les larmes aux yeux. Je suffoque, mais lui continue son pilonnage en règle. Je suis devenu son jouet sexuel et chaque coup de boutoir me rappelle qui est le Maître.
- Ouais, petite pute, c'est ma queue que tu reluquais depuis plusieurs semaines...
- Hummrrgghh !!!
- Tu voulais-y goûter, c'est ça?!
- HURRMMMGGGHHH !!!
- Bingo! Ben t'as gagné, elle est bien au chaud dans ta petite gueule de pédé. C'est ça, aspire-la bien, montre-moi que tu la veux. Hummm... C'est le kif d'avoir un maître-nageur à mes pieds qui se goinfre de ma bite.
Tout en m'humiliant, il me maintient plusieurs secondes avec sa queue bien profond. J'ai du mal à tout avaler tant son membre est monstrueux. Lui, semble perdre patience. Il veut que je le gobe totalement et que ses boules poilues viennent buter contre mon menton.
- Respire un bon coup, je vais te maquer comme la pute que t'es.
Il me saisit par les cheveux et s'enfonce le plus loin possible. Je m'étouffe avec sa hampe épaisse. Ma bouche arrondie tente de coulisser sur sa longue colonne, mais il me maintient fermement la tête. Ma bave commence à inonder la commissure des lèvres, elle coule sur mon menton. Je suis surpris par la lourdeur de sa bite, soudain. Comme une énorme matraque de chair qui me violente le gosier. Je sens nettement le gland glisser à l'intérieur de ma gorge. Je manque d'air, je vais m'évanouir...
Il relâche la pression et je tombe sur les talons en bavant des litres de salive et en me tenant le haut de la gorge, tant la pénétration a été brutale. J'ose le regarder avec des yeux de chien battu. Il sourit tout en promenant sa queue sur mon visage. Il repositionne le gland à l'entré de mes lèvres.
- T'inquiète, tu vas t'y habituer, t'es une bonne suceuse, toi.
Et aussitôt, il repart à l'abordage. J'ouvre bien grand la bouche, je n'ai pas la volonté de résister. Il sait que ce n'est pas ce que je préfère. Il voit bien la douleur qu'il m'inflige, à la limite du supportable, mais j'ai trop envie qu'il me soumette, qu'il me nourrisse de son sperme comme la chienne que je suis devenue. Je suis en manque, j'ai besoin de sexe. Ma queue, ma bouche, mon cul en réclament. Oui, à cet instant, j'ai cessé de réfléchir... Surtout ne pas penser à ma femme, mon fils, mes potes hétéros, à mon job... Putain, je suis dans une cabine de chiottes, à la piscine municipale en train de me faire défoncer la gueule, n'importe qui pourrait nous surprendre, d'ailleurs j'entends des mecs se soulager contre les urinoirs, mais moi, tout ce que je veux, c'est donner du plaisir à un inconnu qui prend un malin plaisir à me dominer.
Il retire une nouvelle fois sa queue, utilise ses doigts pour desserrer mes lèvres et me crache directement dans la bouche. Je n'ai pas le temps de recracher qu'il m'enfonce son mandrin jusqu'à la garde.
-Ah, ça coulisse mieux.
Il s'est calé bien au fond, m'empêchant de respirer. Ses larges mains me maintiennent solidement. Il trouve enfin l'angle désiré car son nœud descend à travers ma trachée, pénétrant dans mon œsophage. Une de ses mains vient agripper ma gorge. Il doit sentir clairement sa grosse prune déformer mon gosier. Il actionne ses doigts de bas en haut. Bordel, le mec se branle la queue à travers mon cou... et moi qui manque d'air!
Il comprend que je vais me trouver mal car il ressort presque aussitôt. J'ai les yeux gonflés, à quatre pattes sur le carrelage. Je tousse fort et crache un peu de bile.
- Hey, ça va?!
Un nageur vient de frapper à notre cabine, inquiet de l'agonie qui est la mienne.
- Oui, pas de problème! J'ai juste avalé de travers.
Mon acolyte ne s'est pas démonté, il a répondu du tac au tac, et quand le curieux est reparti il me relève de force et appuie son visage contre le mien. Je tends les lèvres, espérant un baiser de réconfort de sa part.
Une claque s'abat sur ma joue gauche.
- Bas les pattes, j'suis pas pédé. Allez, enlève ton maillot...
Je m'exécute, anxieux de ce qu'il va en faire. Il ne va quand même pas me le confisquer. J'aurais l'air malin, moi le maître-nageur, à poil dans les locaux. Mais il le retourne, le sniffe un peu à l'emplacement de mes boules puis se branle furieusement dedans. Quelques secondes plus tard, je vois un torrent de sperme jaillir du méat et inonder le tissus. Bordel, il l'a copieusement crémé. Il y en a partout à l'intérieur, des traînées blanches, épaisses, qui imbibent progressivement le nylon. Il s'essuie avec, puis me le tend.
-Tiens, tu peux le remettre.
Je reste interloqué.
-Tu vas pouvoir porter pendant ton service la trace d'un vrai mâle. Je veux te voir rougir devant tout le monde quand ton cul aspirera ma semence, assis sur ta chaise.
Je remets mon slip de bain, extrêmement gêné. La sensation est troublante. Ça colle sur ma queue, c'est gluant, chaque partie de mon bassin est en contact avec son foutre, particulièrement au niveau des poils de ma raie. Bon sang, il a juté une sacrée dose...
Quand je retourne près du grand bassin, je suis abordé par des nageurs qui me demandent quelques conseils. Je réponds tant bien que mal, tout en sentant quelques gouttes fuiter le long de mes cuisses. Je n'ose imaginer l'état de mon maillot de bain. Heureusement qu'il est de couleur noire et que j'ai opté pour un t-shirt XXL qui le dissimule, à l'exception de mes couilles.
Mon beau mâle alpha a repris son entraînement. Il nage encore une demi-heure avant de se hisser hors de l'eau. Tout en se séchant avec sa grande serviette de bain, il ne cesse de m'observer. J'ai repris mon poste d'observation, il n'y a plus grand monde, la piscine va fermer. Je sens mes couilles barbouillées de son sperme séché. Ça colle de partout et ça commence à puer. Je devrais aller prendre une douche, mais au fond de moi, je suis fier de porter les traces de cet homme si dominant. J'envisage même de dormir ce soir dans le lit conjugal avec mon slip de bain tapissé de sa semence pendant que ma femme est à neuf cents bornes de là.
J'en suis là de mes pérégrinations, lorsqu'il me fait signe d'approcher. Je descends de ma chaise et me dirige vers lui.
- Samedi prochain, je te prends le cul. Désignant le grand bassin. Là, dans la piscine.
Il se colle à moi et m'empoigne les couilles.
- Compris???
Ceven X
hellocevenx@gmail.com
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