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3 | Les choses bien en main
Cette aventure dans les toilettes m'a beaucoup perturbé. Plus que je n'aurais imaginé au premier abord. La scène passe souvent en boucle dans ma tête, surtout quand je fais l'amour à Muriel, ma femme et que je lui mets deux doigts dans la chatte. Je me revois, la main d'un inconnu fouillant mon fondement, ma langue léchant l'urine, mes jouissances incontrôlées... Ça décuple mon plaisir, je suis excité comme un jeune puceau et vu les gémissements qu'elle pousse, mon épouse n'a pas l'air de s'en plaindre.
Si seulement elle savait...
Par contre, depuis cette aventure, je n'ai pas eu d'autres relations masculines. Je résiste tant bien que mal. Sur mon lieu de travail, (surveillant-sauveteur à la piscine municipale de ma ville) je ne tente aucun geste déplacé, aucun regard appuyé. Je reste le plus professionnel possible. Pourtant, le renflement de tous ces maillots de bain me met au supplice. Surtout quand de jeunes éphèbes passent sous ma chaise en se massant discrètement le paquet. Ça me fait aussitôt dresser la queue. Heureusement, mon speedo noir et mon t-shirt XXL empêchent de voir.
Je profite souvent de mon temps de pause pour traîner dans les vestiaires. Officiellement pour récupérer les bonnets de bain ou les serviettes oubliés, plus secrètement, pour surprendre un beau mâle en train de se changer.
Et c'est vrai que lors de mes inspections je découvre que certains n'utilisent pas de cabine pour se dévêtir. Peut-être par claustrophobie ou manque de temps. Ils se déshabillent là, au milieu des casiers.
Quand j'en repère un, je fais semblant de chercher quelque chose et je mate en douce le mec qui se désape. Certains me sourient pendant qu'ils baissent leur boxer, d'autres en profitent pour engager la conversation. Ils savent qui je suis, et il n'est pas rare de les voir en semi-érection ou en train de se toucher le gland tout en discutant de choses et d'autres. Je bande aussitôt et les plus vicieux finissent par s'en apercevoir.
Mon autre lieu de prédilection sont les toilettes. Elles se situent près des douches, à la sortie du vestiaire homme. Dès que j'aperçois les trois urinoirs, je ne peux m'empêcher de repenser à mon premier dépucelage anal.
J'attends avec impatience mon temps de pause pour me rendre dans les les toilettes. Les trois urinoirs sont sans séparation, très proches les uns des autres. Je me positionne sur celui du milieu et fait mine d'uriner. Généralement, il ne se passe guère plus d'une minute avant qu'un homme ne vienne se soulager à côté de moi. Vêtus seulement de nos maillots de bain, il est difficile d'avoir la moindre intimité. Cela me permet de détailler l'anatomie de mon voisin en toute discrétion.
La plupart des hommes se trouvent un peu gênés de voir le maître-nageur dans ce lieu insolite. Certains font demi-tour, d'autres finissent par approcher. On se retrouve alors coude à coude à cause des urinoirs étroits. J'en profite pour jeter un œil prudent. Généralement ils restent très pudiques et se tournent légèrement du côté opposé en tentant de recouvrir leur sexe avec la main. Quelques-uns assument assez bien et conservent leur position, offrant l'ensemble de leur virilité à mon regard en coin. Il y en a même qui, me reconnaissant, posent quelques questions sur le fonctionnent de l'établissement. J'aime ces moments de discussion car je peux observer sans aucune retenue leur queue qu'ils manipulent jusqu'à les faire durcir. Car certains ont bien compris mon manège et se prêtent au jeu. Tout en parlant, ils dégagent le bout de leur gland, repoussent un peu le prépuce ou le décalottent complètement. Cette dernière action me fait dresser la queue sans me toucher et j'ai souvent droit à une œillade discrète de leur part sur l'engin qui s'allonge à côté d'eux. Ma grosse bite (20X6) ne passe pas inaperçue. Je la laisse prospérer en descendant complètement l'élastique du maillot. Je lis souvent l'admiration ou le brin de jalousie dans l'œil de mon voisin. Généralement, il ne peut résister plus longtemps. Il empoigne son manche bandé qu'il branle jusqu'à éclabousser la faïence de l'urinoir d'un foutre abondant. Je revois mon vieux cochon m'obliger à laper la pisse. Je résiste à la tentation d'en récupérer un peu de ce jus une fois mon voisin parti. Ce n'est pas l'envie qui m'en manque mais je suis sur mon lieu de travail et en service. Je prends suffisamment de risques comme ça sans en rajouter.
Je rejoins mon poste de surveillance la queue douloureuse et tente de me concentrer sur mon job.
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J'ai résisté longtemps, je vous l'ai dit, autant par peur de l'inconnu que par crainte des conséquences. Je me contentais de regarder. Et puis un jour, j'ai franchi un cap supplémentaire, grisé par deux belles queues bandées.
Le jour où c'est arrivé, ce n'était pas la grande forme. Nous devions faire face à une épidémie de Covid. Je dus travailler plusieurs jours consécutifs pour pallier aux absences des collègues. En parallèle, nous nous étions disputés, Muriel et moi au sujet de Lucas (notre fils) conséquence de quoi, elle refusait tout rapport sexuel. J'avais les couilles pleines depuis plus de six jours. Ça bouillonnait et ça influait sur mon humeur. Je regardais de plus en plus le maillot des mecs et je tournais plus que de raison dans les vestiaires et les toilettes.
Dès qu'un homme pissait contre l'un des urinoirs, je me précipitais à côté de lui et sortais ma queue à moitié bandée. Je me branlais franchement. Souvent le mec remballait son matériel et quittait la salle en me lançant un regard noir. Mais comme j'étais le maître-nageur, il n'osait rien dire.
Jusqu'au jour où, ayant repéré un jeune d'une vingtaine d'année, je me suis positionné à côté de lui. J'ai sorti mon engin entièrement, après avoir baissé l'élastique du maillot. J'ai ainsi exhibé ma queue congestionnée et mes boules pleines d'une semaine. J'ai senti que je captais son attention. Il a détaillé mon service trois pièces sans sourciller. Ce jeune coq n'avait pas froid aux yeux. J'en ai profité pour entreprendre un léger va et vient ce qui a eu pour effet immédiat de faire dresser mes 20cm.
J'ai jeté un œil à son entrejambes. Il se branlait à son tour. Il imprimait des mouvements réguliers. Il pouvait s'enorgueillir de posséder une large queue bien longue, terminée par un gland violacé. Il m'a adressé un sourire complice puis s'est rapproché de moi jusqu'à me frôler avec son bras.
J'ai entendu des pas derrière nous. Je me suis retourné et j'ai vu un homme d'une cinquantaine d'année, bien conservé, torse puissant et velu, qui s'approchait de l'urinoir resté libre. Il s'est positionné sur ma gauche. Il a sorti une queue épaisse parcourue de grosses veines et s'est mis à pisser.
Je me trouvais entre deux beaux mâles, ma bite en totale érection. Sur ma droite, le jeune a poursuivi sa masturbation. Notre nouvel arrivant s'est tout de suite rendu compte de ce que nous faisions. Il a alors branlé sa belle bite pour la faire durcir. Il se décalottait à fond pour laisser apparaître son gros gland épanoui. Une telle vision m'a tellement excité, voir ces queues tendues de chaque côté, que je n'ai pu m'empêcher d'empoigner ces deux biroutes pour les branler en même temps. Elles se sont rapidement tendues. J'ai accéléré le mouvement de peur qu'un visiteur ne nous surprenne, et en moins de trois minutes, mes deux belles queues ont joui chacune en même temps, inondant la faïence de jets puissants. Une fois leur plaisir assouvi, mes deux acolytes se sont rapidement éclipsés, me laissant seul face à mon urinoir, la bite au garde à vous, le bout couvert de mouille. J'ai à peine eu le temps de poser les doigts dessus que mon barreau s'est mis à se cabrer en spasmes violents.
J'ai fermé les yeux, emporté par un flot insoupçonné de plaisir. J'ai craché huit grosses gerbes d'un foutre crémeux qui ont blanchies le bouton tout en haut de l'urinoir. Ma jouissance était telle que j'ai eu du mal à rester debout.
Bon sang, qu'est-ce qu'il m'arrivait de bander pour des mecs, moi qui n'aimait que les femmes. Qu'est-ce qui ne tournait pas rond dans ma tête?...
J'ai rejoint mon poste d'observation, des doutes plein le crâne mais les couilles vidées.
Ceven X
hellocevenx@gmail.com
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