Premier épisode | Épisode précédent
4 | Le beau quadra
J'ai continué à traîner dans les vestiaires et autour des toilettes. Je savais que je devais faire attention et que le moindre regard insistant pourrait être mal interprété. J'ai redoublé de vigilance jusqu'au jour où j'ai aperçu un homme un peu plus âgé que moi (autour de la quarantaine) pisser tranquillement à l'un des urinoirs. Un beau mec tout en muscles et à la pilosité discrète.
Je me suis approché et me suis installé juste à côté de lui, tout en évitant de le regarder. J'avais la main qui tremblait. J'étais pleinement conscient que ce que je m'apprêtais à faire s'apparentait à de la folie pure mais depuis l'épisode du jeune lycéen (voir chapitre 1), je ne contrôlais plus mes pulsions sexuelles.
J'ai baissé mon maillot de bain sous les couilles et j'ai empoigné ma queue. Le simple fait de la toucher l'a faite se redresser. Bientôt nos coudes se sont touchés. J'en étais presque gêné.
C'est là que j'ai remarqué que la tête du mec avait tendance à pivoter de mon côté. Je l'ai surpris plusieurs fois à plonger le regard en direction de mon entrejambe. Il souriait franchement et semblait se délecter du spectacle qui s'offrait à lui. J'ai bien tenté de cacher mon érection avec mon autre main, mais mes 21cm avaient pris de l'ampleur.
J'ai machinalement regardé vers mon voisin tout en continuant à uriner tant bien que mal. Il était bien conservé pour son âge. Ça se voyait qu'il faisait du sport. Son ventre plat et ses cuisses puissantes en attestaient. Mais ce qui m'a le plus perturbé c'est de voir mon beau quadra bander. Oh, il n'en avait pas une très grosse, autour de 16cm, mais de voir ce type s'amuser à se branler en sachant que j'étais le maître-nageur et qu'il risquait gros, ajoutait à mon excitation.
J'ai sentis ma résistance faiblir. Ce gars me tenait sous son contrôle par la seule volonté de sa queue. Il m'a souri tout en continuant à se masturber. Je l'ai regardé à mon tour. Il voyait bien que j'étais intéressé et ce salaud en profitait. Il s'amusait à étirer l'épais prépuce devant lui. Il pinçait son bout de peau et tirait dessus comme pour l'allonger. Sa bite était courte mais parcourue de veines larges et violettes. Elle lobotomisait peu à peu mon cerveau.
J'ai repris confiance en moi. Après tout, il suffisait de rester discret. Et puis, je me sentais de plus en plus envoûté par ce que je voyais. Je n'arrivais plus à détacher mon regard de ce superbe zob.
Il a fini par expulser les dernières gouttes avant de se tourner vers moi.
- Hoaw... Ça soulage. Fallait que ça sorte!
Il m'a vu rougir avant que je ne me décide à sortir une banalité affligeante.
- Heu!!! Oui... il faut bien changer l'eau des olives de temps en temps.
Il s'est rapproché de moi, jusqu'à me frôler et a rajouté en baissant la voix.
- C'est comme les couilles, faut que ça se vide, sinon...
J'ai saisi l'insinuation. Je suis devenu rouge comme une écrevisse. Ça a eu l'air de l'amuser car il a poursuivi, hilare:
- Et puis, plus on fait sortir les dernières gouttes en la secouant, plus on a envie de la secouer encore plus fort. Et après, regardez le résultat!
Il m'exhibait à présent sa bite tendue qu'il branlait sans aucune gêne.
- Et le problème c'est que quand ça commence à se redresser, ça se voit tout de suite dans le maillot. Et du coup, faut pas sortir des toilettes comme ça, surtout pas! (il me fit un clin d'œil complice). Faudrait pas choquer ces dames, hein?
- Je... Oui, c'est sûr...
J'ai du mal à répondre tant ma gêne est évidente. Surtout que tout en discutant, il continue sa branlette. Il ne manque pas d'air, il sait pourtant que je pourrais le foutre dehors. Mais il m'a sous sa coupe. Il voit bien que mes yeux dévorent son manche tendu, que mes lèvres s'entrouvrent à chaque fois qu'une goutte de liquide pré-séminal suinte sur le bout du gland.
Il franchit le point de non retour en empoignant mon sexe bandé.
- D'ailleurs, ce ne serait pas raisonnable de retourner à votre surveillance dans cet état. Que diraient les gens s'ils voyaient le maître-nageur avoir la gaule dans son slip de bain?
- Je,... Je...
- Surtout que vous êtes plutôt bien monté. Si vous remballez votre barreau comme ça, il va dépasser de l'élastique.
Je suis complètement paralysé. Il est tout proche à présent, me branle avec brio et moi je reste sans réactions... Je suis en plein taf, j'ai en charge la responsabilité de dizaines de personnes et tout ce qui m'importe, c'est de me faire reluire la queue par un illustre inconnu.
Là, dans un chiotte ouvert aux quatre vents...
Il sent mon désarroi. Il devine que je pourrais arrêter tout. Le planter dans ces toilettes avant que l'on nous surprenne. Il m'assène alors le coup de grâce en se mettant à genoux. Il regarde ma queue fièrement dressée puis lèche mes boules. Il remonte mon bâton jusqu'au gland qu'il gobe avec délectation.
Ses deux mains agrippées à mes hanches, mon joli quadra fait coulisser sa bouche le long de ma verge abondamment lubrifiée par sa salive qui s'écoule en longs filaments depuis de la commissure des lèvres. Il me caresse les fesses tout en prodiguant une gorge profonde. Sa langue tourne autour de mon dard, je sens ma bite lui remplir la bouche en entier. Il sais y faire, le bougre. À chaque fournée, il m'arrache un gémissement que je veux le plus discret possible. Si on nous surprends, je suis cuit.
Mais mon plaisir reste le plus fort...
Je tremble de la tête aux pieds, me laissant porter par cette fellation divine. Ma queue se love bien bien au chaud dans cette bouche experte. Il creuse les joues, fait coulisser mon pieu encore plus loin, tout en me doigtant le cul. Putain, je bande comme jamais. Je vais pas tenir longtemps à ce rythme. Il le sent et accélère la cadence. Je n'en peux plus. Je pilonne cette bouche faite pour ça, mes mains plaquées sur sa nuque. Il me pompe avec tout son art, mais finit par s'étouffer devant la violence de mes coups. Je lui défonce la gueule façon train. Il encaisse super bien. Il vient chercher toute la longueur, bavant des litres de salive. Je le pistonne jusqu'à l'évanouissement. Il se racle la gorge, manque d'air, mais je m'en fou, je n'aspire qu'à une chose en cet instant: lui cracher ma semence dans sa belle gueule de mec mature,... et qu'il avale sans moufter.
Je me déchaîne jusqu'à lâcher de gros jets crémeux qui tapissent ses amygdales. Il râle à son tour et décharge sur le carrelage. Je reste quelques secondes sans réactions, étourdi par ce puissant orgasme. Mon suceur en profite pour se relever et disparaître.
Lorsque je me retourne, mon sang se glace. Un homme bedonnant, la soixantaine, d'allure nord-africaine, se tient debout à l'entrée des WC. Il a un téléphone potable à la main.
- Mais c'est ma petite pute de maître-nageur que je viens de filmer. Je suis sûr que tes collègues seront ravis d'apprendre que tu te fais sucer le dard pendant qu'ils bossent.
Il s'avance vers moi, m'agrippe par les cheveux et plante son regard haineux dans le mien.
- Je sens qu'on va bien s'amuser, toi et moi.
Ceven X
hellocevenx@gmail.com
Autres histoires de l'auteur :