Premier épisode
Chapitre-2
Moi c’est Marco, bomec style latino, brun grand, tablettes de chocolat. J’ai 23 ans, et j’ai surpris mon mec, qui me trompais avec un amant plus âgé. Je suis rentré plus tôt à la maison, et lui, qui ne supportait pas que je le sodomise, avait l’énorme bite de son amoureux, tout au fond de ses boyaux.
Après deux ans de vie commune, je lui ai demandé de s’en aller définitivement, sans se retourner. J’ai changé de boulot, changé d’appartement, et décidé de partir mi-aout, seul, pour une quinzaine de jours de vacances dans un camping à Saint Tropez. Après une première soirée agitée et juteuse, dans un lieu de rencontre au bord de l’eau, je me réveille dans mon bungalow.
J’ouvre les yeux, il est déjà 10h00. Cette première nuit a été bonne, mais pas assez réparatrice pour mon petit anus qui me rappelle à l’ordre. J’ai rangé la salope dans un coin, persuadé qu’elle ne tardera pas à revenir.
Aujourd’hui c’est le Marco paisible qui fait surface. Je suis bien décidé à prendre ma journée en main. Après un petit déjeuner décontracté sur la terrasse de mon emplacement, je décide, d’une fin de matinée bronzette, au bord de la grande piscine du complexe.
Les transats sont désertés pour cause de grosse canicule, il fait très chaud déjà en ce 15 août Tropézien. Je repère un coin bien tranquille sous un grand palmier, et installe ma serviette sur le relax.
Je m’allonge sur le dos, mon slip de bain bleu ciel est déjà bien tendu. Ici le slip de bain est obligatoire et je me lance dans un repérage des paquets les mieux remplis.
Mon regard fini par se poser sur un groupes de jeunes. 5 filles jouent au volley contre 4 garçons âgés d’une vingtaine d’année. Bien que persuadé d’avoir à faire à un groupe d’hétéros, mon regard insistant, se pose régulièrement sur les 4 joueurs et sur un en particulier.
Je les vois régulièrement se retourner à tour de rôle dans ma direction, et soudain, le beau blondinet bien bronzé que je convoitais, se détache du terrain de jeu et vient dans ma direction.
Il est petit de taille, mais l’ensemble est magnifique, un petit être attendrissant. Son bronzage cuivré met en valeur ses pectoraux biens dessinés et ses biceps satinés. Son slip de bain laisse présager d’un bel outil. Un profil et des dents parfaites. Les yeux bleus du charmant jeune homme, plongent dans les miens.
Il s’approche de moi avec un grand sourire et me lance : « Salut, moi c’est Juan, on est 4 garçons à jouer contre 5 filles, ça te dirait de nous aider à faire une équipe complète ? on fait quelques parties et après on se jette dans la piscine si tu veux ».
Ses yeux semblent me supplier, et je ne peux résister à la main tendue que j’attrape en faisant un grand bon de mon transat.
Sa main est douce et chaude. Il comprime affectueusement la mienne pendant quelques secondes et m’entraine sur le terrain.
Ses copains sont différents de lui, moins charismatiques et le regard plus brut.
Il y a un jeune rebeu, Karim, la peau bien foncée et une petite barbe de 3 jours. Il est plus grand que ses collègues. Un macho en puissance, qui se dandine et joue des muscles devant les 5 filles. Un pur hétéro qui semble cacher un énorme engin sous le peu de tissus de son slip de bain.
Laurent et François sont deux frangins, ils doivent être un peu plus jeunes que les deux autres, guère plus que 18 ans. Les corps sont maigres, mais les slips sont pleins. Deux frangins boutonneux, blonds et frisés, qui sortent juste de l’adolescence, mais qui ont un visage bien agréable et deux paquets bien remplis.
La salope se met déjà en marche et je ne peux la retenir. L’entracte est terminée. Je me lance à corps perdu dans le match. Mes longues heures d’entrainement à la salle portent leurs fruits. J’aide l’équipe à combler son retard, je permets même d’égaliser dans les 5 dernières minutes.
Juan est aux anges, il me saute au cou et me pose un gros smac sur la joue. Les autres se congratulent entre eux.
5 minutes encore au compteur, les filles en face sont épuisées, et dans une dernière envolée, je cloue le ballon au sol dans le camp des filles.
La partie est gagnée. Juan déboule à nouveau comme un fou sur moi, il m’attrape par la taille, me relève avec force et en me reposant, pose un nouveau smac, mais sur ma bouche cette fois.
Le temps semble s’être arrêté, il me fixe des yeux comme je le fixe. Ses mains se sont posées sur les miennes qu’il me caresse du bout des doigts.
Les filles râlent d’avoir perdu et s’approchant de nous, s’exclament : « le plus dur c’est de perdre contre des tapettes ». Elles rient fort et s’échappent vers le bord de la piscine.
Les 3 autres partent aux trousses des filles, et les poussent directement à l’eau. Il s’ensuit un bain collectif ou garçons et filles se mélangent dans des cris d’amusement.
Juan et moi restons seuls. Il a délicatement posé une main sur mon épaule et me donne une petite caresse furtive sur la joue.
Je lui souris. Il est timide pour ses 20 ans. Je sens que je dois faire le premier pas. Je lui demande à l’oreille s’il veut me suivre jusqu’à ma cabane en plastique. Il me fait signe que oui en hochement de tête.
En entrant dans le bungalow, je le prends dans mes bras et pousse mes lèvres sur les siennes. Ma langue envahit sa bouche. La sienne s’enroule sur la mienne dans un baiser des plus profond.
Il est beau et donne envie de croquer tout son corps. Son odeur de transpiration m’enivre et me pousse à humer tout ce corps torse nu. Je glisse ma main sous ses aisselles et me shoot en les portant au nez.
Juan m’interrompt un instant et me dit : « Tu sais, Marco, je suis hétéro, je n’ai jamais eu de relation avec un homme. Quand je t’ai vu sur ton transat, j’ai eu comme un déclic, une incroyable et irrésistible envie de toi ».
Je suis fier qu’un jeune hétéro se soit attardé sur moi. Je regarde son slip tendu au maximum et pose ma main dessus pour sa première fois.
Son visage est angoissé, ses yeux sont hagards pendant que je m’affaire à caresser son sexe par-dessus le tissus.
Je l’entraine dans la petite chambre à coucher et m’allonge sur le lit. Je lui fais signe de me rejoindre. Avec enfin un sourire, il s’allonge contre moi. Nous sommes torse nu tous les deux et sa main vient se poser sur mon téton qu’il commence à cajoler du bout de ses doigts.
Je le laisse entreprendre et découvrir mon corps. Il devient très réactif et fait maintenant glisser ses mains sur toute mon anatomie. Il caresse mes cuisses, revient sur mon thorax, et fini par prendre ma tête en y approchant la sienne.
Tendrement, il m’embrasse et se sert contre moi. Sa langue est maintenant plus aventureuse et s’éternise contre la mienne.
Juan fini par laisser glisser sa main sur mon sexe. Il le touche lui aussi à travers le tissus bleu ciel. Ses doigts le prennent et semblent s’y attacher.
Toujours ses lèvres contre les miennes il commence à faire glisser mon maillot très tendu. Mon sexe libéré vient me frapper le ventre. Sa main le rattrape, il ferme les yeux et profite de ce morceau chaud qui frétille.
Je retire sensuellement le maillot devenu inutile et de mes deux mains, je baisse le sien. Son sexe apparait bien raide et luisant.
Un beau morceau de 18 cm et un gland vraiment bien large comme son sexe, qui doit bien faire 5cm.
Nous sommes nus tous les deux. Nos corps se frottent, nos sexes se touchent et se partagent la mouille abondante.
Juan a maintenant posé son corps sur le mien, il me recouvre entièrement et sa peau douce, tannée par le soleil me fait du bien. Mon érection est titanesque, mais je le vois embarrassé pour s’aventurer entièrement. Alors, je le fais se redresser sur ses bras et me glisse jusqu’à son sexe que je gobe en un seul coup.
Mes lèvres jouent avec son prépuce, laissant apparaitre et disparaitre son gros gland qui semble trépigner et au bord de me lâcher sa purée.
Juan, savoure et pousse de petits soupirs du plaisir découvert. Je sais que pour cette première fois, il ne tiendra pas longtemps. Alors je m’allonge sur le dos et fait glisser son visage jusqu’à mon sexe qu’il regarde stoïque.
Je lui caresse ses jolis cheveux blonds, ce qui semble efficace pour le sécuriser. Il finit de se pencher sur mon pénis bouillant et l’avale d’une seule traite. Il l’aspire, fait des mouvements de ses lèvres, mais fini par trouver un rythme très plaisant.
Ses yeux expriment la gourmandise, pendant que son sexe bave allègrement tout contre ma jambe. Juan est sensuelle, ses mains poursuivent les caresses de mon corps pendant que sa bouche coulisse tout le long de ma hampe.
Mais le mâle qu’il est, semble reprendre pleinement possession de ses moyens. Le pas d’un échange avec le même sexe est maintenant franchi pour lui. Il a compris qu’il est maître de son scénario.
Ses yeux droits dans les miens, il me relève les deux jambes et se glisse contre mon fessier.
A mon tour, le désir de l’avoir en moi me fait l’inviter, par quelques mouvements du bassin, à me pénétrer. Mon petit trou est bien ouvert. Ma sodomie vécu la nuit précédente l’a laissé bien distendu et le gel est inutile.
Juan ne tremble pas, et fort de sa virilité, il me titille l’ouverture en agitant son gland tout contre. Emporté dans un élan il enfonce d’un coup franc la totalité de son engin, et passe mes sphincters.
Son large pénis est délicieux. Juan est toujours plein d’attention et de gestes tendres. Il m’embrasse passionnément en commençant a me pourfendre de son sexe, jusqu’au plus profond de mon boyau. Son gland est envoutant. Il caresse et compresse ma prostate à chaque passage. Juan me fait l’amour comme il doit s’y abandonner avec ses conquêtes féminines.
Ma libido se déchaine, et la sienne semble prendre le même chemin. Je prends les choses en main et parviens à me retourner à 4 pattes, sans me détacher de lui. Je le veux plus profond et plus fort encore.
Juan découvre toute la liberté qui lui est offerte dans cette position, et commence à s’activer de plus en plus fort. Sa sensualité me comble et commence à déclencher mon processus orgasmique.
Il s’attarde et s’agite maintenant à bousculer ma prostate. C’en est trop pour moi, un jeune puceau va me déclencher un orgasme prostatique. Il poursuit encore plus violemment et l’instant magique arrive.
Je crie mon bonheur et mon jus s’échappe de mon sexe des seuls mouvements du sien. L’orgasme est puissant, mon sperme bien crémeux est abondant, et il s’écrase sur les draps blancs.
Juan voit son sexe pressé par mes sphincters qui se resserrent. Je l’entends rugir et s’activer tout au fond de moi. Son hurlement est à la hauteur de tout le jus qu’il déverse en moi. Je sens une dizaine de jets puissants qui me remplissent et me comble d’une chaleur intense.
Juan s’écroule sur moi. Il me serre de ses bras et poursuit ses caresses sur mes hanches et mes cuisses. Juan est tactile même après avoir joui.
Nous nous serrons l’un contre l’autre et reprenons les bisous de nos langues. Il respire fort, se relève doucement et me dit : « La vie est belle contre toi Marco. Je n’ai jamais eu un orgasme d’une telle intensité. C’est avec toi que j’ai vécu ça. Tu es trop sexe, trop beau, trop doux. Je voudrais rester comme ça avec toi, contre toi. Comment expliquer ce que je découvre ? C’est compliqué et simple à la fois je crois, et j’ai pas envie de me poser des questions ».
Nous sommes restés près de 3 heures allongés l’un contre l’autre à nous caresser et à nous embrasser. Nous avons longuement parlé de nous et avons refait l’amour deux fois avec autant de fougue et d’envie. J’avais l’impression de tomber amoureux de cette âme si sensible. Je sais, c’est rapide, mais le bonheur ne se commande pas, il se décide.
Le temps s’écoule bien trop vite. Je me surprends à l’observer avec émerveillement. Son accent est chanteur, comme ceux qui vivent ici. Il me charme et m’amuse de ses histoires qui se terminent toujours dans un grand rire partagé.
Il vient de terminer une prépa pour son entrée dans cette grande école. Il est passionné de culture, de photo et de pêche à la mer. Il est né les pieds dans l’eau et il ne peut se passer de cette communion, le plus souvent solitaire, avec la mer. C’est un être bien vivant tout court, doté d’une grande sensibilité.
Juan habite le petit village perché juste à côté. Il va sur ses 19 ans, et il a une chérie qu’il voit assez régulièrement. A la rentrée, il a été accepté dans une école d’ingénieurs sur Paris, à une dizaine de kilomètres de chez moi. Nous pourrons nous revoir me confie-t-il tout joyeux.
Joyeux, je le suis aussi vous pensez bien. Malgré son jeune âge, Juan est un gamin plein de bon sens. Je vois qu’il accepte cette sexualité qu’il vient de découvrir. Mieux, il est demandeur, et semble vouloir s’impliquer dans cette relation naissante. Il réfléchit vite et se donne des objectifs.
La chose certaine, c’est que nous ne sommes plus étrangers l’un à l’autre.
Nous rejoignons ses potes, à la piscine sur le coup des 18 heures.
Juan va devoir nous laisser, il prend son boulot de saisonnier. Il est serveur dans un bar réputé du vieux port, et termine son service très tôt le matin.
Nous nous quittons à regret, mais nous donnons rendez-vous le lendemain vers midi.
Ses copains qui le regardent s’éloigner finissent par dire qu’ils le trouvent bizarre aujourd’hui.
Fabiodimelano
fabiodimelano@gmail.com
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