Ville spatiale

6 | UN AUTRE MONDE

Chapitre-2

Après le récit palpitant de Bruce sur son aventure avec trois anges. Je demande aux jumelles et à nos deux capitaines de nous rejoindre.

Bruce n’a toujours pas retrouvé la mémoire concernant sa discussion avec les bactéries envahisseuses.

Cette équipe est volontairement resserrée autour de la famille. Nous avons foi dans notre unité, pour décider des meilleures actions à conduire.

De plus, il me parait compliqué de faire accepter nos positions à l’ensemble de l’équipage, en prenant en considération le témoignage de mon Bruce, qui était en plein délire fiévreux et qui ne se rappelle rien.

Je prends la parole et décris la situation :

« Je vous ai demandé de venir, car il me semble que nous avons peut-être une piste sur cette bactérie inconnue qui a déclenché la panique sur notre vaisseau.

Il faut que je vous parle des propos que m’a tenu Bruce lorsqu’il était en plein délire.

Tout ceci est assez troublant, mais pourrait bien nous donner la réponse, et nous permettre de poursuivre notre voyage vers une planète ou toutes les conditions seraient réunies pour nous donner la possibilité d’installer notre colonie.

Je veux vous expliquer que j’étais présent cette nuit, au chevet de Bruce. Il était dans un état délirant, et soudain, le calme s’est emparé de lui.

Malgré son état, il s’est relevé pour s’asseoir dans son lit. Il me regardait fixement, mais ses pupilles étaient totalement dilatées, ne laissant plus aucune place à ses iris.

Il m’a alors adressé la parole, et m’a dit ces mots étranges :

« Je sais David, je sais tout ». Il respirait fort et semblait porté par une force inconnue. Après avoir repris son souffle, il a poursuivi :

« Nous ne sommes pas seuls ici David. Ils sont venu me voir, ils m’ont observé attentivement et m’ont parlé. Ils m’ont dit que nous étions bons et que nos cœurs étaient purs. Ils sont la maladie, et occupent la totalité du vaisseau. Ils m’ont dit que cette part de l’espace, n’est accessibles qu’aux âmes pures et bienveillantes. Ils nous ont observé en pénétrant nos corps par l’intermédiaire de cette bactérie. Les bons vivront, mais les autres périront, car leur place n’est pas ici ».

Il ne lâchait toujours pas mon regard, et de ses yeux hagards il a poursuivi :

« David, ils m’ont dit de te dire que nous étions les élus, que tout était à recommencer, mais que nous y parviendrons autour de ce que nous sommes. Plusieurs fois ils m’ont répété « choisissez le trou de lumière, choisissez ce qui vous éclaire », et ils sont partis ».

Tout le monde se regarde un peu abasourdis par ce témoignage.

Je leur explique, que la possibilité qu’une manifestation surnaturelle, ait pris possession du vaisseaux, semble la meilleure option. Pourquoi ne pas accepter l’irrationnel quand il devient une piste sérieuse ?

Helena nous indique que les délires dus à la fièvre vont chercher les infos dans ce que conserve le cerveau. Pour elle l’option de cette attaque bactérienne, semble le plus plausible. Jamais Bruce n’aurait pu délirer sur un souvenir inexistant.

Chacun s’accorde dans la discussion engagée, à ce que notre stratégie s’engage sur les révélations transmises par notre ancien malade.

Aurions-nous pénétré une zone sanctuarisée, qui repousserait la présence des humains destructeurs à l’âme immorale ? Ce qui me fait aller dans ce sens, c’est que globalement, le message transmis est positif et correspond à l’état d’esprit qui nous anime.

Notre objectif depuis le début va dans ce sens : devenir une civilisation pleine de respect de l’autre, avec des valeurs de bienveillance. Cette soif d’accumuler des biens et des richesses, est seule responsable des malheurs de notre terre nourricière.

Nous concluons que cette force inconnue, a très certainement détruit, ceux qui ne correspondaient pas aux critères d’exigence pour traverser cet espace réservé à un nouvel espoir.

Je pense qu’il faut se focaliser sur les dernières paroles bactériennes : « choisissez le trou de lumière, choisissez ce qui vous éclaire ».

Je suis persuadé que notre salut doit venir d’un point lumineux qui nous dirigerait vers notre destination finale.

Je propose à Bruce que nous allions immédiatement donner les nouvelles directives au poste de commandement. Il s’agira de rechercher un point lumineux dans ce défilé de corps célestes.

Une fois sur place et sans expliquer nos motivations, nous mettons à nouveaux nos astronomes au travail. Ils sont chargé à ce stade, de repérer dans notre environnement sans fin, un point lumineux qui aurait valeur de phare des étoiles.

La journée se termine. Toutes ces péripéties semblent derrière nous, et nous avons maintenant un objectif qui semble sérieux.

Je propose à mon étalon de décompresser un peu et pourquoi pas, d’aller nous rafraichir à un des deux pubs de notre astronef.

Le projet avait été bien pensé. Les concepteurs du vaisseau n’ont pas oublié la partie détente et convivialité.

Le pub « STARS » où nous nous rendons, est un endroit accueillant. Une piste de danse entourée d’alcôves pour 6 à 8 personnes, dans une déco d’étoiles lumineuses. La musique électro est excellente.

Nous sommes accueillis par deux jeunes bogoss, qui saluent les commandants d’une élégante révérence. Les deux jeunes sont superbes. A peine la vingtaine. Le haut des corps est nu, laissant apparaitre une peau veloutée et imberbe.

Certainement choisis pour leur ressemblance et symétrie. Ils ont des cheveux châtains mi-longs un peu dans le vent, et, une petite étoile en piercing à chaque sein suffit à rendre ces deux magnifiques garçons savoureux. Un collant en strass argenté, les pieds nus, ils nous mettent en appétit.

Bruce et moi ne pouvons, nous empêcher de caresser ces jolies têtes. Je stoppe mon géant qui commençait à tripoter les petites étoiles, mais ils ont l’air d’apprécier le traitement. Le paquet coincé dans les collants très serrés, semblent vouloir se déployer et nous rejoindre.

Ils nous accompagnent dans un box V.I.P et nous apportent très rapidement une bouteille glacée du célèbre et unique « Noésky ». Une version 60° et une robe caramel pour des bouteilles vieillies plusieurs mois.

La salle est grande, une centaine de clients, sont là et profitent de la piste, de la drague et de l’alcool.

Nos fonctions exigent notre sérieux, nous restons là à contempler toute l’agitation de ce club de l’espace.

Mais des gloussements, des rires, quelques bruits de succion, attirent notre attention dans le box voisin. Curieux comme il l’est, Bruce se penche et d’un air réjoui s’exclame : « mais vous êtes là les petits anges ? ».

A mon tour je découvre nos deux assistants, Pierre et Sam, affairés à se conter fleurette. Ils sont chauds et enlacés. Leurs combinaison de sortie est étirée de piquets bien droits entre les cuisses.

Ils sont heureux de nous retrouver ici par hasard, et nous les invitons à nous rejoindre dans notre espace privé.

Les verres trinquent et les bouteilles se vident. Les mains se promènent maintenant à volonté sur et entre les cuisses de toute cette équipée. Nous nous collons les uns aux autres, maintenant dans un minimum de retenue. C’est au tour des bouches de s’échanger. On voit déjà que les préférence se font, et que Bruce s’affaire à entreprendre Sam, pendant que Pierre est venu se blottir contre moi.

Les verres vides, nous recommandons une bouteille, qui à la surprise générale, nous est servie par les deux jeunes apollons qui nous ont accueilli un peu plus tôt.

Au contraire de nous deux plus réservés, Pierre et Sam invitent Virgile et José, ces deux beaux bébés, à se joindre à nous. Ils ont terminé leur service et sont enthousiastes à cette idée.

Du coup, la partie semble se corser avec ces deux nouvelles recrues qui semblent vouloir nous accompagner.

Et, comme si tout cela ne suffisait pas, Moussa et Boris qui viennent d’arriver au club, se joignent eux aussi à notre joyeuse tablée.

Hier nous étions dans le désarroi, et aujourd’hui nous avons fermement l’intention de fêter l’espoir.

A la stupéfaction de Pierre et Sam, les deux jeunes effrontés aux piercings, viennent s’asseoir sur les genoux des deux commandants.

Vous devinez bien que nous ne les chassons pas. Ma main entoure l’abdomen nu de Virgile, pendant que Bruce fait de même sur le jeune José en me souriant de nos faiblesses. Qu’elle aventure.

Dépité nos deux assistants se réfugient dans les bras des capitaines et roucoulent de plaisir à se faire toucher sous toutes les coutures. Leur déception n’aura pas duré longtemps.

Le pub semble vouloir fermer et nous annonce le dernier verre. Il était temps, nous sommes proches de l’ivresse incontrôlée que nous aimons tant.

Bruce et moi cogitons quelques instants et trouvons la solution d’aller nous réfugier dans l’ancien repère sadomaso du défunt commandant, au sein de notre palais.

Nous avons gardé la disposition et le matériel. Seul un bar a été rajouté, donnant un peu plus de décontraction à l’endroit qui était sordide.

Les menottes, harnais, fouets, cordes, balançoires, cagoules et pinces à tétons sont tous là intacts. Plus que l’utilisation qui en est faite dans nos habitude, tout ce matériel rend l’ambiance de cet espace solennel et secret.

Deux canapés rouges, trônent au milieu de la pièce. C’est là que nous nous installons, dans une lumière feutrée très intimiste, et toujours une bonne musique sélectionnée par mon amant de beau-frère.

Les équipes là encore, semblent s’être constituées. Contre moi, Virgile a repris sa place. Pierre, dont la beauté rayonne, a lui choisit l’autre côté, se blottissant en même temps contre Boris, qui lui-même entoure mon cou de son bras droit.

Bruce semble se la faire pacha avec Moussa à ses côtés. Ils ont eux aussi, réciproquement, José et Sam sur leurs genoux. Sam qui a revêtu une cagoule pour le jeu, s’est déjà dénudé entièrement. Son sexe est bien droit et les deux grosses veines semblent palpiter de désir.

Il est plein de caresses pour notre boblack. Il déshabille langoureusement le beau torse ébène et s’attaque à ses tétons qu’il mordille. Assis sur la bosse énorme du capitaine, il écrase de ses lobes généreux, l’engin aérodynamique.

Bruce s’est dévêtu et n’a plus que son légendaire slip kangourou. Son sexe a passé la poche, et son gland tout puissant, brille de sa mouille abondante. José, entièrement nu, fait rouler son fessier harmonieusement sur le pieux de mon homme. Il est serré et accroché à son cou, son torse glissant sur celui de mon commandant de l’espace.

Tout le monde est maintenant complétement dévêtu, seules ces maudites chaussures nous rappellent notre voyage intergalactique.

Les mains promènent sur tous les corps. Virgile et José demandent du sexe. Ils veulent tous deux être d’abord couverts par les commandants. Bruce à l’idée de passer des menottes en acier qui relient les deux jeunes par les mains. Ils sont maintenant inséparables.

A genoux sur le canapé, leurs deux anus, sont pris d’assaut par les langues agiles de Pierre et Sam. Ils nous préparent les adonis comme offrande aux deux dieux des étoiles. Boris et Moussa ont pénétré les deux bouches de leur sexe. Les jeunes coquins sont gourmands et lapent en chœur, les tiges bien durs et les glands suintant et boursouflés des deux officiers.

Le travail terminé, nos assistants se redressent, et écartent les lobes généreux des deux suppliciés.

Les trous palpitent et semblent nous appeler. Nous nous avançons sentencieusement, Bruce et moi vers nos proies. Nos sexes semblent s’affoler au spectacle merveilleux des sphincters juvéniles qui se contractent.

C’est encore Pierre et Sam, qui attrapent nos engins d’une main. Ils les conduisent à l’entrée des petits trous serrés. Notre mouille effectue le travail, et toujours conduits par nos assistants, nos sexes sont vigoureusement enfoncés dans le boyau des deux serveurs qui poussent ensemble des hurlements de petites chiennes.

Nous nous défoulons de nos ardeurs une bonne dizaine de minutes. Les sexes coulissent en même temps et s’enfoncent à chaque fois harmonieusement, jusqu’à nos couilles bien pleines. Bruce joue de sa langue dans ma bouche. Sa main libre caresse délicatement mon dos.

Moussa et Boris, viennent alors récupérer les deux mâles restants et les font basculer sur l’autre divan. La partie va se jouer entre eux. Je connais le professionnalisme des deux capitaines et ne craint pas que l’ennui s’installe sur l’autre canapé.

Nous restons Bruce et moi, seuls avec nos deux jeunes amants du soir.

Nous décidons de ralentir le rythme initial, pour nous consacrer à donner un maximum de plaisir à ces jeunes âmes.

Nous les détachons et entamons plusieurs minutes de caresses profondes sur ces deux superbes corps.

Ils sont là dociles, posés nus sur le canapé.

Aux caresses, succède un léchage complet des corps.

Des jambes, nous remontons langoureusement jusqu’au haut des visages. Nous revenons lécher les deux sexes de bonne taille, 18 cm pour chacun d’eux. Nos bouches s’enfoncent sur les tiges bien raides et dégagent les prépuces de ces jeunes pénis. Nous gobons la totalité que nous enduisons d’une salive abondante.

Bruce a compris mon envie profonde et veut partager le même traitement. Les baiseurs vont devenir les baisés. Un instant de découverte avec l’homme de ma vie. Le partage des mêmes sensations et du même plaisir offert par ces deux pubères angéliques.

Nos bouches viennent manger celles de nos jeunes mâles, qui commencent à comprendre le scénario. Ils sont soudain plus entreprenant. Après s’être frais plaisir à profiter virilement de nos corps, ils nous préparent et répandent une abondante salive au creux de nos sphincters.

Leurs langues sont agiles et se fraient un chemin pour pousser au plus loin.

Les doigts nous fouillent et vont chercher la protubérance de nos deux prostates, pendant que nous gémissons d’une voix unie. Ces jeunes savent y faire et semblent enchantés de se préparer à pénétrer de leurs tiges généreuses, les deux derrières des commandants.

Respectueusement ils nous posent sur le dos et relèvent ensemble nos jambes au maximum. Nos yeux se plantent dans les leurs.

Ils pointent alors les glands sur nos orifices lubrifiés de leur salive et du precum abondant qui s’en échappe.

Ils s’enfoncent enfin, et sans difficulté ni accrocs, viennent toucher de leurs sexes épais, le plus profond de nos entrailles.

Virgile me partage généreusement sa langue. Comme envouté, il l’enroule de longues minutes autour de la mienne, l’agite quelquefois anarchiquement, et pousse des cris de délectation.

Toujours en chœur, ils reprennent un pilonnage de nos postérieurs de plus en plus musclé. Nous nous laissons envahir de se plaisir simple. Nos partenaires nous font l’amour et c’est bon.

Leur peau est chaude et dégage une douce odeur de coton. Je lèche le torse de mon partenaire, et m’abandonne au rythme du plaisir qu’il me donne. Mon Bruce est aux anges et commence à donner des signes précurseurs. Sa respiration devient plus rapide et m’entraine dans une montée en puissance.

A mon tour j’halète de plus en plus fort. Mon partenaire me regarde maintenant fixement. Je vois son plaisir arriver dans ses yeux et je sens son gland prendre encore plus de volume.

Je lui cris hystériquement de me remplir, de tout me donner. José est dans le même état que son pote, mais c’est Bruce qui lâche son jus en premier, sans jamais utiliser ses mains. Un grand cri rauque et son José est repeint du jus de mon homme, un jus épais et abondant qui s’échappe et flotte en filet autour de nos visages. Bruce hurle plusieurs fois du plaisir qui l’envahit. Ses contractions des sphincters font venir le jeune José aux tétons étoilés.

Il s’écroule sur mon Bruce en le remplissant de plusieurs jets, dont semble se délecter mon homme.

Un tableau envoutant, qui ne peut que nous déclencher Virgile et moi. Notre jouissance est synchronisée. Nous éclatons d’un orgasme peu ordinaire en même temps. Mes tremblements et grognements, s’associent aux siens. Il me roule une pelle magistrale. Mon jus s’échappe aussi sur son torse, pendant qu’il me remplit de plusieurs jets puissants. Je sens son foutre se rependre dans mes entrailles et s’échapper dans les airs à chacun des coups qu’il m’inflige encore.

Repus, nous restons là, nos amants sur nos corps et nous savourons ces instants de doux délices, en poursuivant de voluptueuses caresses.

Un calme passager, car nos amis d’en face, éclatent simultanément en cascade. Le brouhaha de ces cris orgasmiques, ne s’arrêtent que quand Moussa, victime d’un deuxième et violent orgasme consécutif, s’écroule sur le corps de Sam stupéfait de cette deuxième dose imprévue.

Nous nous remettons progressivement, nos orgasmes puissants et l’alcool ont eu raison de nous.

Le commandant Little avait eu la bonne idée de faire installer dans un coin, une grande douche collective à plusieurs jets, certainement pour purifier ses soumis. C’est à 8 que nous nous y réfugions pour reprendre quelque peu nos esprits.

J’aperçois Bruce glisser un mot aux oreilles de Virgile et José. Ils sont beaux, forts de cette jeunesse et de ces corps parfaits qui me font rêver.

Bruce s’approche de moi, il appui sur mes épaules m’engageant à m’agenouiller. Je pense comprendre l’action en cours. J’en suis persuadé quand les deux jeunes apollons, s’avancent vers moi sexe en main.

Les deux commencent alors à m’arroser de leur pisse chaude et claire. Mon torse, mon sexe, mon visage et ma bouche que j’ouvre avec envie, sont réchauffés de ce sirop envoutant. C’est un pied total.

Bruce à son tour vient m’inonder et glisse même son pénis et plusieurs jets dans ma bouche. Le jus de mon homme, fait exploser mon plaisir. Je me branle en même temps et sur les dernières gouttes de mon homme, j’explose d’une jouissance rare et rapide.

Du coin de l’œil, je m’aperçois que nos capitaines ont entrepris la même action sur nos deux autres jeunes qui eux aussi semble apprécier l’instant.

Une bonne nuit sera nécessaire pour récupérer si ce n’est nos forces, mais au moins notre fierté.