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HISTOIRE

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Ville spatiale

6 | UN AUTRE MONDE

Chapitre-1

Nous errons maintenant depuis près de 8 mois. Nous savons que notre périple peut être sans fin. Nous anticipons surtout qu’il risque d’être encore très long.

Notre petite famille garde l’espoir, et ne semble pas perturbée par cette vie à bord.

Les conditions de vie restent excellentes, d’autant que les jumelles et les enfant sont totalement épanouis dans l’espace palais ou nous avons tous aménagé. Les enfants ont fêté leurs 5 ans respectifs. Une belle fête, a été organisée avec plein de petites têtes qui courraient un peu partout.

Cela me fait réaliser que ces enfants ne doivent pas être privé d’avenir. Nous devons aboutir au plus tôt et trouver cette planète bis qui nous accueillera pour le nouveau départ de notre civilisation.

J’ai demandé à tous nos chercheurs astronomes, de redoubler d’efforts pour nous orienter vers les meilleures pistes.

Helena, arrive dans mon bureau essoufflée :

« Mon bébé », me dit-elle, « nous avons un soucis à bord, de nombreux passagers sont atteints d’une forte fièvre que nous ne comprenons pas. Nous avons plusieurs décès et les analyses, font état d’une bactérie inconnue.

Malgré la quarantaine, les cas continuent d’augmenter. Le laboratoire cherche des solutions, mais à cette vitesse de transmission, il est compliqué d’estimer l’ampleur de l’épidémie.

Notre objectif immédiat, est de trouver une thérapie qui fonctionne ».

Je la sens inquiète, la prend dans mes bras et tente de la rassurer :

« Tiens-moi au courant régulièrement de la progression. Il faut isoler un maximum de personnes et remettre en place un confinement. Je me charge de tout ça, mais soyons sereins, nous n’avons pas fait autant de kilomètres pour rien. Nous allons trouver le bon traitement, et bientôt je l’espère nous aurons un vrai chez nous. »

Bruce pénètre dans le bureau au même moment. Nous le regardons avec une certaine inquiétude. Des gouttes de transpiration perles sur ses tempes et son front.

Helena, pose ses mains sur son visage et m’indique qu’il est bouillant de fièvre. Il tient difficilement sur ses jambes et nous sommes obligés de le soutenir pour le conduire au centre médical.

Son corps que je caresse est brulant, ses mains aussi. Mon amant est abattu, les yeux rouges et la voix faible. A cet instant une crainte de le perdre m’envahit et me torture.

Nous l’installons dans une rare chambre privative disponible ou Helena et son équipe s’attaquent à des examens approfondis.

Je le laisse à regret, une longue caresse sur le visage. Je retourne tourmenté, gérer cette crise depuis la salle de commandement.

Les couloirs sont déserts, comme je l’ai demandé. Beaucoup d’absents et de malades aussi, au centre de commandement.

En début de soirée, je retourne voir mon Bruce, qui semble encore un peu plus affecté. Helena m’indique que depuis quelques heures, la fièvre le fait délirer, ce qui la rend assez inquiète.

J’étais avec Bruce la veille au soir et nous avons passé la nuit ensemble. Si contamination il y a eu, je le serais quoi qu’il en soit. Je décide donc de passer la nuit à son chevet, indiquant à mes équipes que je reste opérationnel 24h sur 24, installé au centre médical.

Un grand fauteuil m’attend dans la chambre de mon géant défait.

Je mange rapidement sur place avec Helena dans son bureau. Elle est en pleine réflexion sur la nature de ce mal. Aucun médicament n’a la moindre incidence sur cette bactérie énigmatique, la fièvre elle-même ne parvient pas à être maitrisée.

Je viens m’installer pour la nuit auprès de mon malade. Sa main, ses joues sont comme en feu. Il approche dangereusement les 42 degrés.

J’ai l’idée, de retirer son drap et de le dénuder totalement. Pendant de longues minutes, je passe un linge mouillé d’eau fraiche, sur tout son corps. Son sexe est mou et ses couilles flasques. Mon pauvre chéri est dans un sale état, lui qui d’habitude ne peut éviter une érection, lorsque mes mains l’effleurent.

Il ne réagit plus à mes demandes, et semble très agité, d’un fort délire fiévreux. Des larmes viennent brouiller mes yeux, la tristesse et l’angoisse ont raison de moi.

Je m’endors finalement à ses côtés, ma main caresse son avant-bras, mes paroles à voix basse, veulent le rassurer.

Deux heures paraissent s’être écoulées, quand une soudaine agitation de Bruce me sort de ma torpeur.

Il semble vouloir se débattre et prononce des mots incompréhensibles. Puis, il lance :

« David, David, David ». Je me colle à lui pour le calmer et lui dit que je suis là, qu’il ne s’inquiète pas.

Ses spasmes cessent comme ils sont arrivés.

Je le vois ouvrir grand les yeux, et tenter de se redresser dans son lit.

Il me regarde alors, et comme si l’instant s’arrêtait, il me dit d’une voix légèrement robotique :

« Je sais David, je sais tout ».

Je suis surpris de cette reprise de conscience subite et inquiet que ce soit l’imminence du pire.

« Nous ne sommes pas seuls ici David. Ils sont venu me voir, ils m’ont observé attentivement et m’ont parlé. Ils m’ont dit que nous étions bons et que nos cœurs étaient purs. Ils sont la maladie, et occupent la totalité du vaisseau ».

Je suis un peu abasourdi par ses propos, qui demeurent tout de même assez confus. Mais Bruce reprend :

« Ils m’ont dit que cette part de l’espace, n’est accessibles qu’aux âmes pures et bienveillantes. Ils nous ont observé en pénétrant nos corps sous la forme de cette bactérie. Les bons vivront, mais les autres périront, car leur place n’est pas ici ».

Etonnement, je découvre un autre Bruce, celui qui habituellement est mesuré, semble transporté par ses visions irrationnelles.

De plus il semble réellement en pleine possession de ses moyens. Son élocution est très calme et ses propos clairs. L’homme que j’ai en face de moi est éveillé, mais ses pupilles occupent tout l’iris de ses yeux, lui donnant un air robotique.

Il ne lâche toujours pas mon regard de ses yeux hagards et poursuit encore :

« David, ils m’ont dit de te dire que nous étions les élus, que tout était à recommencer, mais que nous y parviendrons autour de notre unité. Plusieurs fois ils m’ont répété « choisissez le trou de lumière, choisissez ce qui vous éclaire », et ils sont partis ».

De sa main, Bruce a tendrement pris ma tête et caresses ma nuque. Il reprend la parole et me dit :

« Je suis là mon bébé, je suis revenu. Sois en paix » et soudain, il se rallonge dans son lit et sombre dans un sommeil profond.

Je touche sa tête. Sa température est à nouveau normale.

Je sors alors de la chambre et me dirige vers Helena, qui me voyant, exprime un grand sourire et s’exclame :

« C’est fini mon amour, tous les patients vont mieux. C’est vraiment un mystère. Cette maladie était incontrôlable, et les malades ont tous guérit en même temps. Peut-on croire en une pure coïncidence ? On fait tout de même état de 198 décès ».

Elle me confie aussi, que le commandant Little et Steve son acolyte, sont décédés dans leur cellule de cette fièvre ».

Je ne lui parle pas des propos de Bruce. Je lui dis juste qu’il va mieux et qu’il dort. Peut-être que j’ai moi-même besoin de comprendre, si tout ce qu’il m’a dit, peut être cohérent, et expliquer le phénomène étrange de ces bactéries qui parlent.

J’en débrieferais avec mon homme plus tard à son réveil.

Il est deux heures du matin, je repasse par la chambre de mon géant. Il est profondément endormi, sa fièvre a totalement disparu. Son sommeil est serein, son sexe est dans une belle érection. Une preuve supplémentaire de son bon état de santé.

Je rentre au palais. Leonard s’est réveillé et appelle. Je laisse la nounou dormir, et le prends dans mes bras. Nous allons tous deux nous coucher dans le grand lit et, il s’endort apaisé comme un pacha.

Je me félicite du calme retrouvé et de la guérison de mon cher et tendre. Je blottis Leonard tout contre mon épaule, et, enfin apaisé, je tombe à mon tour dans un profond sommeil.

Au petit matin de l’univers, Leonard s’agite et me réveil. Helena est endormie dans le lit avec nous, je l’ai entendu rentrer il y a peu.

Direction un petit déjeuner entre père et fils. Nous apprécions tous les deux l’intimité de ces moments, et ce matin, mon cœur est apaisé.

Je décide de prendre ma matinée. Nous passons récupérer Tristan, et après avoir rassuré Laura. Les deux petits hommes viennent avec moi faire une visite, à l’amant, le papa et le tonton adoré.

Bruce est radieux, malgré l’épisode délicat qu’il vient de vivre. Tristan et Leonard se jettent sur le lit au cou de mon Bruce. Nous plaisantons et nous laissons porter par ce grand moment de bonheur retrouvé.

Bruce ne se rappelle rien, ni de m’avoir parlé au cours de la nuit, ni de cette histoire de bactéries visiteuses. Je prévois une réunion plus tard, avec toute notre équipe, afin de poser une réflexion sur cet épisode.

Un petit sourire aux lèvres, et un clin d’œil, il m’indique toutefois qu’il me racontera le rêve érotique le plus fou qu’il a fait dans son état délirant. Mon bogoss a juste retenu un épisode frivole de son périple nocturne. Je le reconnais bien.

Je lui de dit de se reposer et lui donne rendez-vous plus tard. Nous le couvrons de bisous et repartons vers mon bureau. Pendant que les enfants s’amusent dans le petit salon, je fais un point complet avec l’état-major.

J’informe tout le staff du commandement, d’une prochaine réunion qui nous permettra de choisir un cap cohérent dans notre stratégie. Chacun se remonte le moral après cet épisode effrayant, et tous, se disent totalement en accord avec mes futures décisions. Je lève la quarantaine et le confinement, persuadé dans mon fort intérieur, que les propos tenus par Bruce au cours de la nuit ne sont pas incohérents du tout.

Nous attendions un signe, il serait ridicule de passer à côté.

Vers 18 h, je ramène les enfants à la maison. Helena me dit qu’elle a validé la sortie de Bruce, et je pars immédiatement le chercher. Nous avons du travail sur la planche et pas de temps à perdre.

Il semble en pleine forme quand je le retrouve aux portes du centre médical.

« Tu as trouvé le moyen de prendre un peu de repos petit filou », lui dis-je en le prenant dans mes bras. Je me serre fort contre lui. Le gredin à le gourdin qui pointe subitement.

« Eh bien, Helena t’a donné des vitamines on dirait, tu me sembles prêt à reprendre tes activités ». Il rit de bon cœur et c’est un véritable bonheur pour moi de le retrouver si vaillant, lui et son instrument.

Nous partons, nous isoler dans nos bureaux. Je veux aborder avec lui, le sujet évoqué dans son délire et faire le point sur notre situation d’après cette pandémie de l’espace.

Nous nous blottissons l’un contre l’autre sur le grand canapé du bureau. Bruce me remercie de m’être occupé de lui. Il se souvient de l’eau fraiche sur son corps et de l’apaisement procuré.

Il me dit qu’il ne se rappelle pas pourquoi, mais il sait, qu’il était terrorisé par des voix inconnues. C’est du moins sont seul souvenir immédiat. L’autre détail qu’il a en mémoire est croustillant me dit-il :

« Quand tu m’as laissé seul pour rentrer à la maison, j’ai enfin pu trouver un vrai sommeil profond et voluptueux.

J’ai soudain basculé dans un décor bien différent. J’étais dans un grand nuage.

Le sol, le ciel, le canapé ou j’étais assis, tout n’était que nuages. Au début je me suis senti angoissé de me trouver là, mais un son réconfortant est arrivé de derrière un nuage, et soudain, trois anges jouant de la flûte de pan, sont apparus.

Des anges adultes, nus intégralement, qui avaient tous ta tête. Trois fois mon David, trois pour le prix d’un, c’est la fête assurée.

En y regardant de plus près, je me suis aperçu que toute leur anatomie, était aussi la tienne. Les mêmes fesses enivrantes et la mêmes bistouquette pour chacun des 3.

La seule différence était leurs ailes encombrantes. Mais qu’importe, ils les ont posé au sol, sur un bout de nuage. Ils m’ont alors observé pendant quelques instants.

S’approchant de moi, j’ai vu les 3 sexes, prendre de l’ampleur. Pas besoin d’écarquiller les yeux, en 3 ou 4 pas, ils étaient contre moi. Leurs petits sexes épais à hauteur de mon visage, se sont alignés. J’ai très vite compris le message, car en cœur ils chantaient, « suce nous Bruce, suce-nous, ton médicament est arrivé ».

L’effet que tu me fais habituellement était triplé. Conscient de ce qu’ils voulaient, ma bouche s’est ouverte sur l’ange numéro 1. Il y a glissé son gros gland, pendant que l’ange numéro 2, prenait mon sexe tendu et difforme dans sa bouche. Il aspirait, et moi j’aspirais son pote. C’est là que l’ange numéro 3, a disparu dans le nuage sur lequel j’étais assis.

Disparu, un bien grand mot. Il était juste passé sous mon corps, sa langue, infiltrant ma raie m’a fait prendre conscience qu’il était bien là et qu’il se délectait du petit trou qu’il y découvrait.

C’est là que je peux affirmer que j’étais aux anges.

Je suçais numéro 1 en pensant à toi, quand il m’a dit, « Tiens ton cadeau commandant ».

Numéro 1, l’ange éjaculateur, me remplit de son jus parfumé. Les jets ne s’arrêtent pas. Son jus chaud coule dans ma gorge. Il y en a tellement, que ma bouche se met à déborder. Le sperme de l’ange, s’écoule et le trop plein, glisse de ma bouche à mon torse.

Le chérubin, qui prenait son pied crie en levant les yeux au ciel : « Seigneur merci, seigneur merci ». L’ange respirait fort et se plaisait à me laisser aspirer les dernières gouttes.

Pendant que numéro 2 poursuivait sa fellation en s’étouffant sur mon gourdin et que numéro 3 était occupé à me faire couiner du derrière, numéro 1 est revenu à la charge me présentant ses magnifiques lobes fessiers. L’ange a un gout délicieux, c’est certainement de là que vient la formule « pet d’ange ».

Numéro 2, véritable complice de ses deux frangins, lâche mon engin et attrape son frérot que je travaillais bien profond de ma langue.

Il le relève bien haut et vient insérer ma barre d’un coup sec dans le boyau étroit et chaud de son frère. Je sens mon gland épouser la forme et glisser pour venir percuter sa prostate bien bombée.

L’ange crie à chaque passage, l’ange mouille fort de son anus sacré. Mon sexe vit un grand bonheur et semble déterminé à remplir un ange de sauce spatiale. Voilà l’ange qui vibre sous mes assauts. Ses petits tétons tressautent, il glisse et s’active lui aussi sur mon colosse qui le remplit de plus en plus de mon gland distendu.

Numéro 3 n’a pas lâché sa tâche, pendant que numéro 1 trépigne et s’imprègne de mon engin, qui s’agite toujours plus profond, son frangin a rentré sa langue en passant la barrière de mes sphincters, et cherche ma prostate. Il en profite pour laisser un maximum de salive, mais pourquoi faire ?

Numéro 2 sentant numéro 1 proche de l’extase, prend son petit zizi épais en bouche et se trouve à son tour aspergé d’une colonne de foutre qu’il savoure avec un grand plaisir.

Numéro 1 épuisé, s’arrache de mon sexe, tout gluant de sa mouille abondante. Mon sexe bat la mesure seul, et demande à lâcher le contenu de mes testicules en effervescence. Mais la chorégraphie prévue n’est pas celle que j’envisage.

Les anges me lâchent et s’écartent, me laissant nu et terriblement excité sur mon petit nuage.

J’imagine les voir reprendre leurs ailes et s’en aller avec leurs flûtes.

Que nenni, il n’en est rien, leur projet est tout autre. Numéro 2 et numéro 3 s’allongent alors au sol sur le dos. L’un à l’opposé de l’autre. Lentement, les cuisses de numéro 2, remontent le long des cuisses de numéro 3. Les jambes s’entrecroisent, et je commence à imaginer ce à quoi va servir cette nouvelle figure.

En quelques secondes, leurs deux sexes, viennent se rejoindre, couilles contre couilles. Il me semble que leur plan de double pénétration m’est destiné. J’angoisse un peu pour cette première fois, mais ces deux mats dressés, m’attirent. Cette image de deux doubles de toi qui me pénètrent est délirante.

Numéro 1, remis de ces deux orgasmes successifs, m’attrape avec sensualité par la taille. Il me bascule ensuite dans ses bras. La force des anges est insoupçonnable. Il me tient ainsi et s’approche des deux sexes, numéro 3, repli le sien et numéro 1 m’embroche à moitié sur celui de numéro 2. Le passage est assez facile.

Mais tout se corse quand numéro 3 vient pousser son gland. Il glisse sur la tige de son frangin, et fait rentrer cet énorme deuxième gland dans mon pauvre trou dilaté à l’extrême. Le puceau de la double que je suis, hurle de toutes ses forces. Mais, deux sexes d’anges valent mieux qu’un.

Mon boyau se détend, les deux phallus, viennent toucher mon fond. Les couilles d’anges, battent contre mes fesses. De leurs mains ils me soulèvent et me relâchent à un rythme qui s’accélère. Je n’ai jamais connu une telle débauche de plaisir. Je souffle, halète et prend mon pied comme jamais.

Numéro 1, qui a pourtant déjà joui deux fois, viens me flanquer son sexe en bouche et me lime frénétiquement jusqu’à la gorge. Le bonheur vient maintenant taper fort à la porte de mes deux trous.

Soudain c’est l’harmonie parfaite. Je sens que les deux glands de mes anges allongés, se mettent à gonfler plus qu’ils ne le sont déjà. Ils me remplissent l’intérieur en criant d’une même voix. Le jus d’ange est bouillant, gras et crémeux. Ils continuent à bouger, jusqu’à ce que numéro 1, me lâche encore un litre de ce jus savoureux en bouche, qui remplit à la fois mon œsophage et mon estomac.

C’en est trop pour moi, numéro 2 et 3, sont toujours en moi. Ça y est, le bout de mon gland explose littéralement et lâche une dizaine de jets que numéro 1 le plus gourmand, s’empresse de récupérer de sa langue agile.

Mon orgasme dure bien deux minutes. Mon jus semble inépuisable, comme ce numéro 1 qui continu à tout aspirer, malgré tous ses efforts précédents. Je m’écroule repus sur mes deux tortionnaires, qui m’enroulent de caresses et de bisous. Les 3 langues viennent encore visiter ma bouche. Seigneur quel bon moment et merci pour ce cadeau divin.

Les 3 numéros se relèvent ensemble, reprennent leurs ailes et leurs flûtes, et s’évaporent dans les nuages ».

Bruce est encore tout chamboulé par cette aventure de l’esprit. Son sourire ne retombe pas, comme son mat qui étire sa combinaison au maximum.

Mais la journée n’est pas terminée et nous devons approfondir l’histoire de ces bactéries qui parlent.

Fabiodimelano

fabiodimelano@gmail.com

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