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Troisième partie
Je libère la barre qui entrave ses pieds et relâche son collier de quelques dizaines de centimètres.
- Aller, mets-toi sur le lit.
Instinctivement, il sait comment s'installer.
Les chevilles écartées par l'entrave à ses pieds, il se met à genoux.
La tête sur l'oreiller, les mains toujours menottées dans le dos, il présente son cul.
Bordel quel beau petit cul !
Pas de poil.
Musclé.
J'écarte pour faire apparaitre le sillon au centre duquel m'attend sa petite chatte.
Ce sera ma troisième fois aujourd'hui, mais ma première avec son accord.
J'adore qu'on me donne son cul ainsi.
Je lui bouffe la chatte amoureusement durant plusieurs minutes.
Il aime.
Il adore.
Il gémit trop pour que ce soit feint.
Lorsque je m'installe derrière lui et que mon gland se pose sur sa chair délicate, il se contracte un peu.
Pour être sûr qu'il aime, je prends alors un flacon de popper très puissant et le lui fait humer.
Les rougeurs de jeune fille qui apparaissent sur ses joues m'indiquent qu'il est à point.
Une fois le gel délicatement posé sur sa rondelle qui s'entrouvre au passage de mes doigts, je n'attends plus.
Je lui enfonce ma queue à fond d'un seul coup.
Ça rentre comme dans du beurre.
Que ce soit les deux fois précédentes, le gel, le popper ou l'excitation, je ne ressens aucune résistance.
- Je suis bien en toi tu sais. J'aime te sentir autour de ma bite. Et toi ? Tu aimes ?
- Oui..., répond-il doucement.
- T'aimes que je te prennes ?
- Oui...
- Et tu sens bien ma queue dans ton cul ?
- Oui...
- T'aimes ça ?
- Oui... j'aime...
- T'en veux encore ?
- Oui...
- Vas-y... demande...
- J'en veux encore...
- De quoi ?
- De ta bite...
- Oui ?
- Oui... je veux ta queue... mets la moi bien profond...
- Oh ouais, tu vas l'avoir bien à fond... t'inquiète...
- Baise-moi...
- Tu veux que je te baise ? Moi je veux te faire l'amour...
- Fais-moi l'amour alors... à fond...
A mesure que ses demandes se font pressantes, j'accélère mes va-et-vient dans son ventre.
Sa façon de m'encourager me donne de l'énergie.
J'ai trop envie de le faire jouir du cul.
Je suis sûr de pouvoir y arriver.
- Tu en veux encore ? dis-je en m'arrêtant soudainement.
- Oui !!! Je veux que tu me remplisses de ton jus... Je veux ton jus...
- Ouais... Tu veux du jus... t'es juste une salope hein ?
- Oui... Je suis une salope...
- Et tu veux te faire doser hein ?
- Oui !!! Je veux m'en prendre plein le cul... Vas-y défonce moi... Pète-moi le cul... Déchire-moi !
Je me mets alors à lui donner ce qu'il veut.
Je lui bourrine le fion pendant un long moment.
Le lit grince sous mes coups de boutoirs.
Je sens mon amant commencer à fatiguer.
Il n'est plus capable de parler.
Son visage fait des grimaces entre deux " ah "...
Peu à peu ce ne sont plus des " ah " de plaisir mais de douleur...
Je continue.
Je sens que je vais juter bientôt.
- Arrête s'il te plait... J'ai mal... J'en peux plus...
Je continue.
- Aïe... Ah...
Je continue.
- Arrête !!! Ah !!! Arrête !!! Non !!!
Je jouis.
Planté au plus profond de son cul, je largue à nouveau une quantité impressionnante de jus.
Y'en a tant, que ça pourrait lui ressortir par les narines.
J'imagine le spectacle.
Il reprend sa respiration.
Je sors ma queue.
Il en rajoutait sur la douleur.
Même pas de sang.
Je contemple sa chatte gorgée de sperme.
Spectacle magnifique.
Epuisé, il s'allonge.
- Tu as raison, repose toi. Je repasserai tout à l'heure.
Et sur ces mots je remonte les draps sur lui.
- T'avais dit que tu me relâcherais !!!
Je le regarde avec une profonde tendresse.
Je souris un peu et lui dis :
- J'ai menti.
Je pensais qu'il se mettrait à crier ou à pleurer, mais non.
Rien.
Pas la moindre réaction.
C'est aussi bien.
Je donne quelque tour de manivelle.
Son câble fait presque un mètre de long.
Il peut s'allonger.
Je ramasse mes vêtements et remonte me doucher.
C'est le milieu d'après-midi.
Toutes ces émotions m'ont donné faim et m'ont fatigué aussi.
Je me mets une pizza aux micro-ondes et mange le tout devant un nouvel épisode de mon feuilleton.
Ensuite, je vais m'allonger pour prendre un peu de repos.
J'aurai besoin de toute mon énergie ce soir.
Deux ou trois heures plus tard, je retrouve mon chéri.
Il est tout recroquevillé sur son lit.
Il semble avoir un peu froid.
Pourtant, il fait 23 dans la pièce.
Je ne porte qu'un slip rouge et blanc.
J'ai très envie de le baiser, mais je veux d'abord m'amuser avec lui.
Je le bloque de nouveau contre le mur.
Au centre de la pièce, j'installe un mat.
A peu près à la hauteur de mon ventre, il y a un petit plateau.
Sur ce plateau, je visse un gode pour mec " entrainé ".
Ou plutôt, pour petite salope qui s'est déjà fait démontée trois fois sans broncher.
J'y verse une bonne quantité de lubrifiant et l'enduit méthodiquement.
Ensuite, je reviens à mon tendre amour.
Je rapproche ses pieds et les bloque l'un contre l'autre.
Je lui ôte son collier.
Je l'aide à se placer auprès du mat qu'il regarde avec terreur.
J'aime bien ses yeux lorsqu'ils sont terrifiés.
Ses abdos se contractent aussi de peur.
C'est tellement sexy.
Il se met à pleurer comme s'il pouvait savoir ce qui l'attend.
À ses poignets, juste au-dessus des menottes, je fixe d'épais bracelets de cuir.
Sur la boucle d'acier dont ils sont pourvus, j'accroche un mousqueton.
Au mousqueton, un filin d'acier prévu pour supporter une tonne.
Une fois ses deux poignets ainsi attachés, je le libère de ses menottes.
Il tente de m'attraper, mais je fais un pas en arrière.
Je suis hors de portée.
Il crie, il hurle, il pleure.
Je bande.
Une autre manivelle me permet de raccourcir les deux souples filins d'acier.
En quelques instants, il se retrouve sur la pointe des pieds, les bras en l'air, écartés d'un mètre à peu près.
Tous ses muscles sont bandés.
Il commence à transpirer.
Je ne peux résister et m'approche de lui pour le caresser, l'embrasser, sentir son odeur.
Ses fesses sont magnifiques.
Son trou, que je tâte de deux doigts, est encore dilaté de mes trois passages.
J'ai envie d'y mettre ma queue.
J'ai envie de sentir ma bite glisser dans son trou bien chaud.
J'ai envie de lui remplir la chatte de jus et d'ensuite lui lécher.
Mais j'ai d'autres plans.
Je prends le tube de gel et lui lubrifie le cul généreusement.
Je pourrais le fister avec ce que je viens de lui mettre.
Mes mains glissantes se posent sur son sexe et ses couilles.
Pendant un long moment, je lui branle la bite.
En l'embrassant dans le cou, en faisant glisser ma queue toujours, dans mon slip, sur son cul, je parviens à l'exciter.
Il se met à bander.
Il se plaint, refuse, m'ordonne d'arrêter, mais je continue à branler son gourdin devenu long et dur.
Je me place devant lui pour lui lécher ses tétons devenu pointus et sensibles.
Je n'y tiens plus.
J'avale sa queue et je le pompe.
Ma langue glisse sur son gland et ses gémissements s'amplifie.
En quelques instants, je le fais jouir dans ma bouche.
Son sperme est terrible.
Salé, épais, abondant.
Ce petit chéri adore ce qui lui arrive.
Il mouille et ses couilles étaient sur le point d'exploser tant il était excité.
Une vraie salope.
Je l'adore mon chéri.
Dans son trou, je vérifie l'effet de la jouissance.
Son trou est plus ferme, plus resserré.
C'est parfait.
Je me relève, m'éloigne pour rejoindre la manivelle.
Je continue de raccourcir.
Il me supplie, il me propose de faire ce que je veux de lui.
Mais je continue.
Il souffre.
Son corps s'allonge jusqu'au moment où il quitte le sol.
Ses pectoraux se strient sous son poids.
Son visage est déformé par l'effort et la douleur.
Il peine à respirer.
C'est jouissif.
Cette fois, mon slip est orné d'une belle tache humide.
Il me fait mouiller.
Je ne fais pas durer trop longtemps cette partie du supplice.
Je m'empare de la barre qui bloque ses pieds pour la fixer solidement au poteau.
En poussant de toutes ses forces sur ses jambes et en tirant sur ses bras, il se redresse.
La pression sur ses épaules s'allège.
Mais la brûlure dans ses muscles doit être intolérable.
Les gouttes de sa sueur commencent à consteller le sol.
Je regarde.
Si ses muscles sont brûlants, mon ventre n'est pas moins en feu.
Il m'implore, gémit, pleure... mais n'a plus assez de force pour hurler.
Il se tord pour regarder ce qu'il a senti derrière lui.
Il voit la petite plate-forme et aussi le gode.
C'est clair à présent.
Il me regarde, m'insulte et tente de me cracher dessus.
Après quatre ou cinq essais infructueux, il comprend qu'il n'a pas le choix.
Pour s'asseoir, obtenir du repose, du répit, il doit s'enfiler sur le gode.
Alors seulement, il pourra apaiser ses bras et ses jambes qui commencent à trembler.
Fatigue et tétanie.
Normal.
Alors il se résout à se prendre cette queue de plastique.
Il force une dernière fois.
Il place sa raie sur le gland.
Il s'assoit le plus lentement qu'il peut, mais c'est un effort surhumain pour ses bras à moitié morts.
Le gode est épais.
Ça aussi c'est douloureux.
Mais il se prend les vingt-cinq centimètres de plastique.
Quand il sent que la plate-forme le retient,
Tout son corps se relâche, bras, jambes, buste.
Il pleure, tousse, hoquète, prend de grandes goulées d'air.
Mais la douleur est toujours-là.
Dans le cul cette fois, plus dans les bras, les épaules ou les cuisses.
En cinq minutes à peine, elle devient si insupportable qu'il se dégage du gode et se retrouve à nouveau suspendu à la force de ses bras et de ses jambes.
Sans prévenir, sa vessie lâche.
Il se met à pisser, incapable de se contrôler.
À moins qu'il ne fasse exprès, mais il ne me semble plus en état de le faire.
Ce n'est pas bien grave.
Sa chambre est prévue pour.
Le sol est légèrement incurvé et le liquide glisse naturellement vers un siphon qui est là pour ça.
De nouveau martyrisé par la douleur de ses membres, il tente de se ré-enfiler sur le braquemart.
Mais il n'y arrive pas.
Il glisse et finit les bras en l'air supportant tout le poids de son corps.
Il me regarde, m'implore encore... puis s'évanouit.
J'attends un peu et m'assure qu'il est vraiment dans les vaps.
Alors, je le fais descendre.
Son corps est brûlant.
Sa chatte est dilatée mais ne saigne pas.
Je l'installe sur son lit.
Puis je range et fais un peu de ménage.
Je bande toujours.
Il lui faut une dizaine de minutes pour émerger.
Il gémit.
Il regarde autour de lui comme s'il avait espéré être dans un cauchemar, mais non il est toujours là, sur son lit.
Pied et poing attachés au cadre.
Histoire de le détendre, j'installe des électrodes sur son corps.
Durant l'heure qui suit, il subit des décharges électriques en série.
Les dernières dix minutes, les électrodes sont sur sa queue et ses couilles.
Il se contorsionne à chaque décharge.
Il hurle.
Même lorsqu'il éjacule, la douleur reste intimement liée au plaisir.
J'adore.
Complètement tétanisé, je le libère.
Bien sûr il tente de se dégager, de me frapper, mais après tout ce qu'il vient de subir, il n'a guère plus de force qu'un bébé.
Je le prends dans mes bras.
Je l'embrasse sur la bouche.
Il serre les dents.
Peu importe.
Je le place sur un chevalet.
J'hésite entre une séance de fessée et quelque chose de plus hard.
Quand je vois ses petites fesses blanches, son trou bien rouge, je prends ma décision.
J'enfile un gant de latex et prend un pot de graisse à fister.
Sans la moindre préparation supplémentaire, je peux enfiler quatre doigts.
Les " pitiés monsieur " s'enchaînent.
On dirait qu'il n'a toujours pas compris que supplier ne sert à rien.
Pendant une bonne demi-heure, je lui travaille le cul.
Et au bout de ce temps, récompense : ma main entre entièrement dans son trou de jeune homme.
Lui, de son côté, ne semble pas se rendre compte de la chance qu'il a d'être ainsi fisté.
Pas grave.
Pendant un moment encore, je profite de l'intérieur de son cul.
Quand il m'entend retirer mon gant, il se met à trembler.
Il a peur de la suite.
De coup, quand je lui présente ma queue, il semble soulagé et s'empresse de me sucer avec application.
Vu sa position, je pousse un peu.
Le gagging m'amuse.
Il rote, a des haut-le-coeur et fini par vomir.
Pendant vingt minutes je lui pine la gorge ainsi.
Son visage a viré au rouge.
La sueur et les larmes sont mêlées.
Et puis je finis par cracher ma sauce dans sa petite gueule d'amour.
Putain que c'est bon de juter après s'être retenu aussi longtemps.
Je le libère et vais l'installer sur son lit.
Il n'ose plus bouger.
Il tremble.
Je consulte l'heure.
Trois heures du matin.
C'est pas mal pour une première soirée.
Alors, je vais prendre la télécommande pour allumer l'écran plat qui est face au lit, de l'autre côté de la pièce.
Je sectionne une vidéo et je la démarre.
Il regarde, inquiet.
Apparait alors un jeune homme nu, à genoux dans une pièce qui semble être la chambre d'un étudiant. Il est occupé à lécher le sol. Après quelques secondes, il se redresse et déclare :
- Voilà maître, j'ai tout léché.
Le sexe rouge et mi-mou vient de cracher son jus.
Et l'individu de la vidéo a tout léché en petite lope obéissante.
Ce garçon lui ressemble trait pour trait.
- Et pour le reste, tu es sûr de ce que tu veux mon chéri ? lui demande une voix grave qui ressemble à la mienne.
- Oui maître. Je le veux.
- Imprime le contrat que je t'ai envoyé, signe le et renvois le moi : photo ou scan, ce sera parfait.
- Tout de suite maître.
- Très bien.
- Je te préviens, ce sera quand je veux.
- Je suis à votre entière disposition maître.
- Je ne te demanderai pas ton avis. Je peux t'ordonner de venir pendant que tu es en cours, chez tes parents, n'importe quand.
- Oui maître ! Je sais. J'ai compris je le veux. S'il vous plaît, je veux devenir une pure salope.
- Je peux demander aussi à des mecs de t'enlever pour te violer bareback.
- Oui maître ! J'en rêve !!! C'est ce que je veux, devenir un sac à jus.
- Et passer une semaine à faire le tapin dans Paris ?
- Si vous me le demandez je le ferai maître !
Je mis la vidéo en pause.
- Je dois continuer ? demandé-je à mon petit chéri d'amour.
Il me regarde stupéfait.
- C'est vous ?
- Oui.
- Mais c'était y'a quatre mois !
- Je t'avais prévenu. Tu as donné ton accord.
- Oui, mais je pensais... comme... comme vous me parliez plus...
- Tu voulais te faire violer, te faire baiser comme une pute sans qu'on te demande ton avis.
- Je...
- Tu as rempli un contrat détaillé avec ce que tu acceptais de subir ou non.
Il baissa la tête semblant réaliser qu'il avait eu exactement ce qu'il voulait.
Ni plus, ni moins.
Je m'en étais scrupuleusement tenu au contrat qu'il avait signé.
- Alors mon chéri, tu es content d'être une lope larvée dans les règles de l'art ?
- Je...
Il se mit alors à pleurer.
Soulagement, honte, douleur... Peut-être un peu tout à la fois.
La plupart de mes lopes réalisent au milieu du plan qu'elles sont en train d'avoir ce qu'elles ont demandé.
Les petits fantasmeurs comme lui, réalisent avec plus de mal qu'ils sont passés d'un délire inoffensif derrière un clavier à une réalité qui lui explose le cul à fond.
- Alors... Heureux ?
Pour toute réponse, il se met à genoux devant moi et avale ma queue.
[Merci pour vos mails qui me font toujours plaisir. Je réponds avec plaisir lorsqu'ils sont courtois. N'hésitez pas à me faire part de vos remarques.]
Yopi
yop_ex@outlook.fr
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