Ce matin d’automne, il est déjà onze heures, j’ouvre les volets de ma maison de campagne pour respirer l’air frais. Je profite de ma semaine de vacances pour récupérer au calme et faire la grasse matinée afin de recharger mes batteries. Je scrute l’orée de la forêt où parfois je peux apercevoir des animaux sauvages. Après quelques minutes de contemplation, j’ai l’impression de voir des ombres se mouvoir entre les arbres. Je me concentre et je finis par distinguer plusieurs silhouettes humaines qui se dirigent vers mon terrain.
Je reste accoudé au rebord de ma fenêtre pour savoir de qui il s’agit. De longues minutes de marche plus tard, les inconnus sont nettement visibles. Je découvre alors un petit groupe de quatre militaires. Ils sont vêtus de leur treillis kaki, avec casque, gros sac à dos, fusil d’assaut FAMAS, et tous les accessoires du bon petit soldat en manœuvre. A leur approche je vois même qu’ils ont le visage recouvert par leur maquillage de camouflage. En m’apercevant à ma fenêtre, l’un d’eux, celui qui est en tête, me fait signe de la main. Je lui réponds poliment en levant la mienne.
Il leur faut encore dix bonnes minutes pour arriver à clôture qui délimite mon terrain. Ils s’arrêtent, et sortent leur gourde pour se désaltérer, certains s’assoient dans l’herbe pour récupérer. Ils sont visiblement éreintés. Ils doivent marcher depuis un bon moment. Celui qui m’avait salué de loin se tourne vers moi, semblant vouloir me parler. Je lui fais signe de passer par-dessus la clôture et de faire le tour, et je quitte ma chambre aller à ma porte de derrière pour le rejoindre.
Je n’ai pas bien pu détailler les traits de ces hommes, entre le casque et le camouflage sur leur visage. Il me semble juste qu’ils ne sont pas bien vieux. Qu’est-ce qu’ils peuvent bien faire par ici ? Rapidement, l’idée de plusieurs militaires en treillis chez moi m’émoustille…
Je sors dans mon arrière-cour et le soldat qui a sauté par-dessus ma clôture s’approche de moi. Il me gratifie d’un salut militaire et se présente : « Bonjour monsieur. Sergent Lacassagne. ». Je lui tends ma main et me la saisit avec une poigne ferme. De près, je découvre un jeune homme d’environ vingt-cinq ans, yeux bleu clair, corps bien dessiné mais pas trop musclé. Il est à peu près de ma taille, environ 1m73. Malgré le temps frais il est en sueur.
- Bonjour Sergent, qu’est-ce qui vous amène par ici ?
- Nous venons de la base de la ville voisine. Nous sommes en manœuvres et nous devons établir notre camp dans le coin pour servir de relai radio. Je voudrais vous demander la permission de nous installer dans votre champ juste à côté. Nous resterons vingt-quatre heures maximum.
- Le champ ne m’appartient pas, et je connais son propriétaire, il n’est pas du genre aimable et je doute qu’il accepte que vous vous installiez chez lui.
- Ah mince. Nous allons nous installer plus loin alors.
- Attendez, vous pouvez vous installer chez moi. J’ai suffisamment de place dans mon jardin pour que vous montiez votre campement. Juste promettez moi que ma maison ne sera pas bombardée !
- Non aucun risque, il n’est pas prévu d’attaque.
- Et même j’ai de la place à l’intérieur, j’ai une chambre d’amis avec deux lits. Vous pouvez tous vous reposer à l’intérieur.
- Merci, mais on ne veut pas abuser de votre hospitalité. Et puis nous sommes censés camper.
- J’ai fait mon service militaire vous savez, je sais que les manœuvres sont épuisantes. On m’z appris qu’il faut toujours profiter des opportunités pour être au mieux pour réussir sa mission. Et puis si vous ne dites rien à vos supérieurs, moi je ne cafterai pas…
- C’est vrai que mes hommes et moi sommes déjà fatigués Et on va certainement avoir froid cette nuit…
- Je vous invite même à utiliser ma douche et mes sanitaires. Et manger avec moi à l’intérieur. Ça me fera un peu de compagnie.
- Merci. Vous êtes vraiment très généreux. Je vais aux informations quant à l’avancée des manœuvres, et je vais réfléchir à votre invitation. Mais je vous avoue que nous sommes épuisés et que votre invitation est des plus tentantes.
- Alors ne réfléchissez pas longtemps. Ça me fera plaisir de vous aider à récupérer et vous tenir chaud.
Je conclue ma phrase avec un clin d’œil. Il semble surpris et interrogatif. Mais il me salue et retourne vers ses hommes. Hum, ce beau Sergent est vraiment mignon à croquer. Et je profite qu’il s’éloigne pour admirer son fessier bien moulé dans son pantalon kaki. Je souris intérieurement car j’ai menti à propos de mon voisin agriculteur. Il est super gentil, et je sais que son champ est en jachère, et qu’il aurait accepté de bon cœur que les soldats campent sur son terrain… Mais j’avais mal au cœur à l’idée de laisser ces pauvres jeunes hommes dormir dehors dans le froid. Et surtout, sait-on jamais, je pourrais peut-être profiter d’un sur le lot…
Je retourne à l’intérieur, et je laisse ma porte ouverte. J’entends alors la voix grave du Sergent qui s’adresse à ses hommes : « Messieurs, nous allons nous installer ici. Le propriétaire a même proposé de nous inviter chez lui pour que nous soyons installés plus confortablement et surtout au chaud. Il nous permet de dormir dans sa chambre d’amis, et d’utiliser sa salle de bain. Nous ne sommes pas censés passer nos manœuvres dans du dur, mais comme il est prévu qu’il allait faire froid cette nuit, je vais accepter son invitation. Mais vous ne devez surtout pas parler de ça à personne à la base, sinon nous serons tous sanctionnés. Et veillez à être polis et respectueux avec notre hôte. Si l’un de vous déconne, je vous fais tous camper dehors ! ».
J’entends les trois autres militaires accepter avec de la joie et du soulagement dans la voix. Ils sont soulagés de dormir au chaud, et à l’abri du vent. Je m’en vais préparer du café.
Une fois la cafetière prête, je vais à la fenêtre de la cuisine et je vois deux des soldats qui montent une tente. J’ouvre la fenêtre et je les interpelle. Ils se tournent vers moi et je leur montre le café que j’ai préparé. Leur visage s’illumine à la vue de la boisson qui va bien les réchauffer. Je leur indique par où passer, et l’un d’eux se dirige aussitôt vers la porte. Je prépare un plateau avec des tasses, des cuillères et du sucre quand j’entends le militaire arriver dans le salon adjacent. Je lui crie que j’arrive dans un instant.
Une fois le plateau bien garni, je vais rejoindre le militaire. Je le retrouve en train de regarder les magazines sur ma table basse. Il sursaute à mon entrée dans la pièce. Il semble surpris en flagrant délit de curiosité ! Mais il se tourne vers moi et me souris en voyant le plateau que j’ai préparé pour lui et ses camarades.
Le militaire semble jeune, dans les vingt ans environ. Pas facile d’évaluer correctement son âge à cause du maquillage façon camouflage dont son visage est recouvert. Il est de taille moyenne, dans le 1m75, de corpulence moyenne. Je crois voir des cheveux blonds rasés sous son casque. Je lui dis bonjour en me présentant et je lui tends la main, en essayant de garder mon plateau en équilibre de l’autre main. Il me fait un salut militaire et saisit ma main pour la serrer.
- Bonjour. Moi c’est Denis. Merci beaucoup de nous accueillir chez vous. Nous allons pouvoir dormir au chaud. Et en plus vous nous faites du vrai café ! Vous êtes vraiment trop cool !
- De rien mon cher Denis. C’est avec plaisir que j’aide les hommes qui servent le pays.
- Tout le monde ne pense pas comme vous hélas.
- Malheureusement il y a des cons partout, et même eux vous êtes obligé de les défendre…
- En tout cas monsieur, vous êtes vraiment très sympa.
- Alors par contre je vais vous demander de ne pas m’appeler monsieur. Ça me donne des cheveux blancs !
- Ah pardon. Je ne voulais pas vous embarrasser !
- Je sais bien. Et si on se tutoyait ? Ok Denis ?
- Ok. On se dit « tu » alors !
- Tu sembles bien jeune, tu as quel âge ?
- J’ai dix-neuf ans. Je me suis engagé dès que j’ai eu dix-huit ans.
- Eh bien, tu as eu la vocation militaire de bonne heure !
- Mon père était militaire et j’ai toujours voulu faire comme lui.
- C’est bien. Et en plus tu vas pouvoir apprendre plein de métiers utiles.
- Oui, je ne sais pas encore ce que je vais faire exactement après, mais j’ai déjà pas mal d’idées.
- Je te laisse apporter le café à tes camarades avant que ça refroidisse. Tu peux toujours venir me parler quand tu veux de tes projets.
- Ouais c’est cool, je repasserai dès que je peux.
- Et comme je l’ai dit à ton sergent, vous pouvez profiter des toilettes et même de la douche. Je sais que c’est pas confortable de faire ses besoins dehors par ce temps. Et une bonne douche chaude ça revigore.
- Oh oui, ce sera le pied !
- Et si besoin je peux te frotter le dos…
- Euh…
Je rigole en lui faisant un clin d’œil. Il devient écarlate sous son maquillage. Il semble embarrassé. Mais il garde son sourire en prenant le plateau et il se dirige vers l’extérieur. Une fois sorti, je regarde ma table basse et je constate que quelques magasines ont été déplacés. Et je me souviens qu’il y a un magasine gay dans le tas. Denis l’a-t ’il vu ? Ça expliquerait sa gêne quand je l’ai rejoint. En tout cas ce jeune Denis est vraiment très mignon.
Je m’occupe en préparant un grand plat de gratin de pommes de terre, que j’accompagnerai de saucisses de Toulouse que j’avais mis à congeler au début de l’été au cas où. Un bon plat chaud et qui remplit bien le ventre réconfortera mes invités je pense. Soudain, j’entends des pas dans le salon.
- Bonjour ? Il y a quelqu’un ?
- Par ici, dans la cuisine !
Un jeune soldat entre dans ma cuisine. Il s’agit de celui qui aidait Denis à monter la tente. Il paraissait un peu plus vieux que ce dernier. Plus grand de quelques centimètres mais aussi carré, plus musclé. Lui aussi avait son visage couvert de maquillage camouflage, mais j’ai tout de suite remarqué de jolis yeux verts bien mis en valeur par la couleur foncée du maquillage. En me voyant il me gratifie d’un salut militaire, et je lui tends la main en me présentant. Il me la saisit d’une forte poigne.
- Bonjour monsieur. Je m’appelle Mickaël. Mais mes potes m’appellent Mike.
- Enchanté. Comme j’ai dit à ton camarade Denis, vous pouvez me tutoyer. Et j’espère avoir le droit de t’appeler Mike moi aussi.
- Oui vous, euh tu peux. C’est vraiment très gentil ce que tu fais pour nous.
- Ce n’est rien, vous servez le pays, c’est ma petite contribution. Prendre soin de ses soldats, c’est le moins que je puisse faire…
Il semble cogiter sur mes paroles. Mais je vois qu’il n’est pas très à l’aise. Il paraît hésiter à demander quelque chose. Alors je ne le fais pas mariner plus longtemps.
- Tu voulais quelque chose Mike ?
- Euh oui, je peux utiliser tes chiottes ? J’ai envie de pisser depuis qu’on est arrivé, mais j’ai pas osé. Jusqu’à ce que Denis nous parle de ce que tu lui as dit.
- Pas de problème. Viens, je vais te montrer le chemin. Tu pouvais uriner contre les arbres près de votre tente tu sais.
- Euh, ça caille trop, je suis pas sûr de pouvoir la retrouver dans mon fute par ce froid !
Nous rigolons à sa blague tout en allant au fond du couloir. J’entends des cliquetis et je me retourne pour constater qu’il défait son ceinturon tout en marchant. Il est vraiment pressé le soldat ! Nous arrivons à la porte des toilettes, et sans que j’aie le temps de dire quoi que ce soit, Mike se rue à l’intérieur et ouvre rapidement sa braguette. Il ne ferme même pas la porte, et ne se préoccupe pas de savoir si je suis parti, que je le vois de dos extirper son sexe par la braguette de son treillis. La seconde d’après, j’entends déjà un jet puissant qui éclabousse la céramique de la cuvette, accompagné par un gémissement de soulagement.
- Oh putain ça fait du bien, j’ai failli me pisser dessus, c’était moins une !
- Euh, je vais te laisser te soulager en paix…
- Désolé, je me suis précipité tellement j’avais envie. Mais tu peux rester, ça me gêne pas de pisser devant les autres. Je suis pas pudique du tout !
- Ok. En plus avec la vie en caserne je me souviens qu’on perd de sa pudeur entre mecs.
- Ouais c’est ça. En plus je fais du rugby depuis tout jeune, alors les douches collectives, je connais.
- Ça se voit que tu fais du rugby, tu es bien bâti !
- Merci. Ouais je suis assez musclé.
- Et tu as quel âge ?
- J’ai vingt-trois ans.
- Et c’est pas trop difficile la vie en caserne à ton âge ?
- Non ça va, j’aime bien. C’est sûr que pour les meufs c’est la misère, mais je me rattrape en perm.
- Mignon comme tu es tu dois draguer facilement.
- Ouais ça va. Mais je baise moins que je voudrais.
Il n’est vraiment pas pudique du tout avec ses révélations ! Et je constate que le flot d’urine s’est tari. Je vois toujours de dos qu’il tient son sexe d’une main mais il n’urine certainement plus. Je l’entends alors avoir un rire un peu gêné.
- Je suis tellement en manque que rien de parler de ça je commence à bander !
- Ah bon ? Ça fait si longtemps que ça ?
- Ouais, en tout cas pour moi. Deux semaines sans baiser. Et avec ces foutues manœuvres même pas le temps de me branler !
- Euh, je peux te laisser tranquille si tu veux te… soulager !
Pour seule réponse il se tourne d’un quart de tour et je vois dans sa main son sexe en semi-érection. Il a déjà de belles dimensions, le gland encore complétement recouvert par un long prépuce. Quand Mike voit que j’admire son sexe, il commence à faire coulisser lentement sa main dessus. Aussitôt le membre se met à gonfler, à se raidir, la peau coulisse sur le gland et le dévoile désormais complètement. Je constate que les testicules, gros et velus, sont sortis eux aussi par la braguette. En quelques secondes, la bite est raide, droite, sortie à l’horizontale du pantalon treillis. Elle est de bonnes dimensions, environ dix-sept centimètres et quatre de largeur. Mike me sourit.
- Elle te plaît ma bite ?
- Euh, oui, elle est belle !
- Denis m’a dit que tu as des bouquins homos. Alors je me suis dit que ça te plairait de m’aider à me soulager…
- Avec plaisir…
- C’est pour aider les soldats !
- Oh oui, tout ce qu’il faut…
- J’ai jamais baisé de mec, mais j’ai tellement envie je m’en fous, un trou est un trou.
- Oui. Et le mien est à ton service…
- Par contre j’ai pas le temps pour des préliminaires, j’ai dit que j’allais juste pisser.
- Pas de problème, du moment que ça te plaît.
- J’ai pas de capotes sur moi ! T’en as toi ?
- Elles sont dans ma table de nuit.
- Merde, faut vraiment faire vite… T’es clean ?
- Oui. Pourquoi ?
- Pas le temps d’aller chercher une capote, je peux t’enculer sans ? Suis clean moi aussi, on a fait une prise de sang à la base au début du mois.
- Euh…
- T’inquiète, je juterai pas dans ton cul, je sortirai avant de jouir !
- Bon OK. On fait comme ça.
- Cool, merci. Aller, baisse ton froc !
Je m’exécute sans perdre de temps, et j’ouvre mon pantalon que je baisse avec mon boxer sur mes chevilles. Mike crache un peu de salive dans la paume de sa main et l’étale sur son gland. Je ferme la porte des toilettes et je m’appuie contre elle des deux mains, me cambrant au maximum vers le soldat. Il se tourne vers moi et s’approche. Un autre crachat qu’il étale sur mon anus cette fois-ci. Sans préambule, il se colle contre mon dos en posant son gland pile sur ma rondelle. Il me maintient le bassin d’une main ferme sur mon ventre et d’un coup de rein puissant accompagné d’un grognement bestial, il insert d’un coup la moitié de son sexe dur comme la pierre. Cette pénétration peu délicate m’arrache un petit cri de douleur. Mais ça ne refroidit pas l’ardeur de mon enculeur qui poursuit sa progression sans attendre.
Un fois totalement en moi, les couilles collées à mes fesses, Mike me souffle à l’oreille : « Putain, ça fait du bien ! Ton cul est vraiment bon ! Ma teub est bien serrée dedans ! Dommage que j’ai pas le temps de bien en profiter… ».
Aussitôt il me saisit les hanches des deux mains et entame un va et vient d’abord lent mais puissant. Puis il accélère rapidement me baisant à grands coups de bite. Ses couilles claquent fort contre mes fesses. Il gémit de plaisir bien fort à l’oreille. Le militaire me pilonne pendant deux bonnes minutes avec force.
- Putain ton cul est trop bon !
- Ta bite est bonne !
- Tu la sens bien ?
- Hum oui !
- Je pourrais te baiser des heures comme ça !
- Mon cul est à toi tant que tu veux !
- Et merde je peux pas, les autres vont me chercher…
Ses coups de reins se font encore plus puissants, son limage intensif me pousse contre la porte, en m’arrachant des gémissements de plaisir. Mais Mike s’arrête soudain. Je le sens crispé dans mon dos, comme s’il essayait de contrôler son orgasme et d’empêcher son éjaculation.
- Je vais cracher. Dis, je peux juter dans ton cul ?
- Tu avais dit que tu te retirerais…
- Ouais mais ton cul est trop bon, j’ai envie de juter dedans…
- Euh… Ok, tu peux.
- Putain tu vas voir, j’ai les couilles bien pleines, je vais t’en mettre plein !
Le militaire reprend son limage, moins violemment. Il se colle contre moi, me serrant contre lui en passant ses bras sous mes aisselles. Il grogne comme une bête et donne encore quelques coups de bite bien profonds avant de me crier presque à l’oreille : « Oh putain je vais jouir ! Tiens prends tout mon jus ! Je vais t’engrosser ! ». Puis il me mord l’épaule par-dessus mon tee-shirt comme pour étouffer ses cris de jouissance.
Il stoppe net son limage en se plantant au maximum dans mes fesses. Il pousse même encore comme s’il voulait faire entrer ses couilles. Je sens en moi sa bite qui se raidit encore un peu, se gonfle. Puis son membre viril se met à pulser pour éjaculer sa semence virile. En effet, comme promis, il m’a gratifié d’un sperme des plus abondants. Plus d’une dizaine de spasmes de son sexe ont accompagné autant de jets de jus militaire. J’ai bien senti son foutre me remplir tellement le flot était volumineux. Collées contre mes fesses, ses couilles n’ont pas cessé de monter et descendre contre ma peau tout le temps de l’éjaculation.
Au bout de longue secondes, les soubresauts de la bite ont cessé. Mike souffle fort dans mon cou, comme s’il venait de terminer un cent mètre. Il Commence à se reculer lentement, faisant glisser son sexe encore bien rigide hors de mes fesses. Dès qu’il extirpe son gland de mon trou, je sens son sperme qui coule le long de mes cuisses. Mon enculeur saisit rapidement du papier toilette et s’essuie le gland pour éviter de salir son uniforme. Une fois son sexe bien sec, il le remet, un peu difficilement, dans son pantalon, sans attendre qu’il soit au repos. Il se tourne vers moi en refermant sa braguette.
- Merci mec, c’était vraiment trop bon.
- De rien, le plaisir est partagé.
- Ça fait vraiment du bien de tirer son coup !
- En tout cas tu en avais vraiment besoin…
- Oh oui !
- Tes couilles sont plus légères maintenant !
- Je te dis pas ! C’est con que j’avais pas le temps, sinon je t’aurais démonté plus longtemps…
- Ben peut être plus tard ?
- Ah ouais ? Tu veux que je te baise encore ?
- Si tu en as envie, faut en profiter non ?
- Ben si je peux ce soir, je t’en mettrai un autre coup !
- Ok avec plaisir.
- Eh ! Surtout tu dis rien aux autres...
- Non pas d’inquiétude. C’est juste entre toi et moi.
- Ok Cool. Bon je file sinon ils vont se poser des questions. A plus mec !
Mike ouvre la porte des toilettes et file rejoindre ses collègues dehors. Moi je m’assois sur la cuvette et je laisse le trop plein de sperme sortir de mon anus. Il m’a vraiment bien rempli ! Un brin de toilette plus tard, je retourne à la cuisine afin de reprendre la préparation du repas.
A midi, les plats sont prêts. Par la fenêtre je vois les quatre militaires s’affairer près de la tente. Je toc à au carreau et je fais signe au beau sergent. Après quelques secondes, il arrive dans ma cuisine. Je lui explique que j’ai préparé un repas pour lui et ses hommes et que nous pouvons déjeuner dans mon salon.
- Mais il fallait pas. On ne veut pas vous déranger.
- Ça me dérange pas du tout, au contraire ! Et puis tout est prêt, on ne va pas gaspiller tout ça !
- Oui c’est vrai. Merci beaucoup. Mes hommes apprécient vraiment votre hospitalité. Je vais leur dire de venir.
S’il savait à quel point l’un d’eux a été bien traité plus tôt… Souriant intérieurement, je dépose mes plats sur la table du salon et je mets les assiettes et couverts.
Nous mangeons tous ensemble. Mes invités ont bon appétit et apprécient grandement mon repas chaud. Je fais la connaissance du quatrième soldat. Il s’appelle Mathieu, il a vingt-sept ans, marié et père de deux enfants. Il fait environ 1m80, large d’épaules. Il s’agit d’un joli rouquin avec les yeux bleus. Il est très bavard et aime bien plaisanter. J’apprends aussi le prénom de mon beau sergent : Stéphane. Il est fiancé et attend son premier enfant. Il se trouvent que les deux sont amis depuis longtemps. Mike garde ses distances mais de temps en temps je le vois me regarder du coin de l’œil et me sourire. Comme promis je reste discret et j’évite de trop le mater. Denis est plutôt timide, il parle peu mais rigole de bon cœur aux blagues de ses collègues. Mais je le vois souvent rougir quand les sujets pointent sous la ceinture…
Stéphane m’explique qu’ils vont faire un feu de camp, et que même si les soldats vont profiter de l’abri de ma maison, ils vont faire des tours de garde dans la tente pour surveiller les communications, histoire de suivre un minimum les informations de leurs manœuvres. Je leur renouvelle mon invitation à dormir dans ma chambre d’amis cette nuit. Et je les invite à se doucher quand ils le souhaitent pour se décrasser de la transpiration et surtout de leur maquillage qui barbouille toujours leur visage ! Tous semblent apprécier l’idée d’une douche bien chaude, même mon beau sergent malgré la retenue que son rang de chef lui impose.
Un fois le café de fin de repas avalé, chacun reçoit ses consignes et sortent tous pour reprendre leurs activités professionnelles. Denis s’est proposé immédiatement pour faire la vaisselle, avant d’être le premier à se doucher. Le sergent accepte. Le plus jeune de la troupe sort chercher ses affaires et Mike m’aide à débarrasser la table. Une fois seuls dans la cuisine, il dépose les plats vides dans l’évier, puis il vient se coller contre moi par derrière. Il frotte son bassin contre mes fesses, me faisant sentir la bosse de sa braguette qui commence à prendre de l’ampleur. Il me murmure à l’oreille : « Cette nuit après mon tour de garde je te rejoins dans ton pieu pour te mettre une autre dose ! ». Ce n’était pas une question mais bien une promesse. Nous entendons du bruit et il se décolle rapidement de moi. Denis entre dans la cuisine tandis que Mike sort rejoindre les autres.
Nous commençons à faire la vaisselle. Comme à table le jeune soldat est timide. Aussi je commence à faire la conversation en lui posant quelques questions sur lui, sa vie à la caserne… Par moments j’ai l’impression qu’il désire me demander quelque chose, mais qu’il n’ose pas se lancer. C’est en essuyant les dernières assiettes qu’il finit par aborder le sujet.
- Heu, je voulais te demander… Mais non, ça me regarde pas…
- Demande-moi toujours, on sait jamais.
- C’est que c’est… un peu gênant.
- T’inquiète pas pour moi, il n’y a pas grand-chose qui me choque. Vas-y, lance-toi !
- Ben c’est que… J’ai vu des magazines tout à l’heure…
- Ah les trucs gays ! Et donc ?
- Donc tu es homosexuel ?
- Oui, à fond ! Ça te dérange ?
- Non non ! Pas du tout. Juste j’ai jamais rencontré d’hommes comme… toi.
- Pourtant on est un peu partout. Je suis sûr que dans ta caserne il doit y en avoir plusieurs.
- Je sais pas, j’ose pas trop parler de choses intimes. Mais je me posais des questions sur… Deux hommes ensemble… Il se passe quoi ... ?
- Tu veux savoir comment deux mecs baisent ensemble ?
- Oui… Euh non ! En fait je me suis juste demandé comment ça se passe.
- Ça se passe très bien tu sais. Grossièrement c’est presque comme un homme avec une femme…
- Ah bon ?
- Oui presque. Quand tu couches avec une femme, il y a les préliminaires puis la pénétration…
- C’est que… J’ai jamais couché avec une femme…
Le jeune homme est écarlate. Il n’ose même pas me regarder. Je sens que le sujet l’embarrasse beaucoup et qu’il n’ose pas en dire plus. Il termine d’essuyer le dernier plat. Et il attrape un petit paquetage qu’il avait posé dernière la porte. Je devine qu’il veut aller se doucher. Je lui dis de me suivre et nous nous dirigeons vers la salle de bain. Une fois à destination, il pose ce qui est en fin de compte sa trousse de toilette sur le bord du lavabo et il reste immobile. Je sens qu’il veut continuer la conversation mais ne sait pas comment y parvenir. Aussi je lui facilite la tâche en prenant la parole en premier.
- Donc tu es puceau Denis ?
- Euh oui. C’est honteux je sais à mon âge…
- Mais non, il n’y a rien de honteux du tout. Il y a des mecs qui perdent leur pucelage beaucoup plus tard !
- Ah bon ?
- Oui. Et je te parle pas des mecs mariés qui se découvrent des envies de baiser un homme à quarante ans !
- C’est vrai ? Ça arrive ?
- Oh oui, et il y en a plein ! Et toi ? Tu es excité par les hommes ou les femmes ?
- Je sais pas trop. Enfin si je suis excité par les femmes ! J’en regarde souvent et quand j’imagine… Je bande quoi !
- Et tu penses que tu serais excité par un homme ?
- Ben en fait, ce matin, toi et Mike…
- Comment ça moi et Mike ?
- Comme il mettait du temps à revenir, je suis entré, et j’ai entendu sa voix et la tienne, comme dans un film de cul… Tu vois ?
- Tu nous as entendus en train de baiser ?
- Oui c’est ça !
- Surtout tu le dis à personne, il veut pas que ça se sache !
- Non non, t’inquiète. Je répéterai à personne ! Mais voilà, vous entendre, ça m’a fait bander direct !
- Ah bon ? Nous imaginer en train de baiser ça t’a excité ?
- Oui. J’ai eu la gaule et j’avais envie de me branler, mais j’ai pas osé et je suis parti.
Denis arrête de parler et baisse les yeux. Il reste immobile, debout dans la salle de bain. Il semble tiraillé, ou du moins ne sait pas quoi faire. Alors je m’approche de lui et je pose ma main sur la braguette de son pantalon d’uniforme. Il sursaute mais ne recule pas. Je sens aussitôt que la bosse sur le devant du pantalon commence déjà à grossir. Il ne dit rien, laisse juste échapper un soupir.
Je prends ça comme un consentement et je caresse son entrejambe. Son sexe continue de se développer sous le tissu. Je devine un membre pas forcément long, mais d’une largeur imposante. Je saisis cette jeune verge à travers le pantalon et je la branle doucement. Denis souffle plus fort.
- Tu aimes ?
- Oui…
- C’est meilleur qu’avec ta main ?
- Oh oui…
- Tu veux aller plus loin ?
- …
- Je peux m’arrêter si tu n’as pas envie !
- Non, je veux faire plus…
Je lâche son sexe pour défaire sa ceinture, puis ouvrir son pantalon. Le treillis tombe sur ses chevilles. Je découvre un boxer bleu clair dont le devant est tendu comme une toile de chapiteau. Je vois une tâche d’humidité qui imbibe le tissu au niveau du gland. Comme le jeune soldat ne bouge toujours pas, ni ne dit aucun mot, je baisse le dernier rempart qui se retrouve avec le pantalon, et je me retrouve à genoux par la même occasion.
Devant mes yeux pointe à l’horizontale un sexe de longueur normale, environ quinze centimètres, mais d’une largeur exceptionnelle, je dirais dans les sept centimètres. Le gland est plus large que le corps, formant un énorme champignon encore à moitié recouvert par le prépuce. Du méat perle une goutte de liquide pré spermatique. Les testicules sont recouverts de quelques poils bruns, et pendent sous la verge tendue. Admiratif face à un si bel organe, je lâche un petit sifflement. Cela sort un peu Denis de sa torpeur.
- Je sais, elle n’est pas grosse. J’ai honte de la montrer…
- Tu dis des conneries là ! Tu as une belle bite !
- Ah oui ?
- Oh que oui. Surtout elle est bien large, j’en ai rarement vu d’aussi épaisse !
- Pour de vrai ?
- Promis. Avec une telle épaisseur, tu vas donner du plaisir à plein de monde…
- Je pensais que j’en avais une petite pourtant…
- Ben tu te trompais. Faut pas comparer avec les autres sous les douches, si elles bandent pas…
- Ça fait plaisir d’entendre ça. J’avais peur que tu te moques de moi…
- Aucun risque. Tu es très bien monté, et je vais me régaler !
Je saisis sa bite d’une main et je décalotte doucement le reste de son gland. Avec ma langue je lèche la goutte avant qu’elle ne tombe. Denis soupire fort à ce contact. Puis j’ouvre grand la bouche et je commence à avaler cette énorme tête violacée. Le jeune homme pose délicatement une main sur ma tête tout en laissant s’échapper un simple « Oh oui ! ».
Je recule pour sortir le gland de ma bouche, et je lèche le frein. De ma main libre je saisis ses bourses et je les caresse délicatement. Après quelques coups de langue je reprends son sexe en bouche, allant un peu plus loin sur son sexe. Après une courte pause, je descends encore un peu, et mon nez se retrouve enfin dans ses poils pubiens. Je sens mon jeune militaire frissonner de plaisir.
Je commence alors une fellation lente et douce. Je veux que pour sa première pipe Denis savoure chaque instant de plaisir au maximum. Après quelques minutes de cette pipe, Il pose sa deuxième main sur ma nuque et il imprime lui-même un léger mouvement de va et vient en bougeant son bassin. De par sa nature timide, il n’exprime pas son plaisir, j’entends à peine sa respiration qui devient plus profonde et plus rapide. Dans ma bouche sa mouille coule à grosses gouttes et je m’en délecte.
Je le pompe lentement depuis presque cinq minutes, dégustant ce gros piston. Je sens à peine ses couilles qui remontent légèrement dans ma main que Denis bloque ma tête avec une poigne que je n’aurais jamais soupçonnée tout en libérant un long soupir. Et aussitôt je sens ma bouche se remplir d’un liquide chaud et légèrement sucré. Le premier jet est d’une abondance telle que la semence virile inonde le peu de volume qu’il reste autour de sa bite. Je suis obligé d’avaler rapidement tout ce foutre pour éviter qu’il ne déborde et que j’en perde la moindre goutte.
Le soldat libère encore cinq autres salves de sperme avant que son corps ne soit pris de tremblements et qu’il s’affale presque sur moi, prenant appui avec ses mains sur mes épaules. Il respire fort, comme après un intense effort. Dans ma bouche j’ai avalé chaque jet à peine éjecté pour éviter l’étouffement. Une fois l’éjaculation finie, je sens rapidement sur ma langue que la bite perd rapidement de sa rigidité. Les testicules restent contractés dans leurs bourses. Dès que sa respiration commence à ralentir, je sens mon ex puceau reprendre des forces et se redresser.
- Oh putain ! C’était vraiment trop fort !
- Tu as aimé ?
- Oh oui ! J’aurais jamais imaginé que c’était si bon de se faire sucer !
- Et ça fait toujours du bien de jouir…
Je me relève et je regarde Denis. Un large sourire lui barre le visage. Ses yeux pétillent de joie. Sans un mot, il finit de se déshabiller devant moi. Sa pudeur s’est envolée et il me gratifie d’un strip-tease certes peu sensuel, mais c’est vraiment plaisant de le regarder retirer ses vêtements uns à uns. Un fois nu, il me sourit se dirige vers la douche à l’italienne. Il ouvre l’eau qui commence à couler sur son jeune corps musclé. Je me dis que maintenant qu’il a joui, il veut juste se doucher tranquillement comme c’était prévu initialement, aussi je me tourne vers la porte.
- Dis…
- Oui Denis ?
- Ça tient toujours ? Ce que tu m’as dit tout à l’heure ?
- Quoi donc ?
- Me frotter le dos…
- Oui si tu veux, avec plaisir.
- Oui je veux !
Je me déshabille rapidement, et une fois nu je me précipite dans la douche pour rejoindre mon jeune soldat. Il toujours tourné vers le mur, sans me regarder. Je vois qu’il est affairé à se savonner le visage vigoureusement pour retirer le maquillage. Il semble faire semblant d’ignorer ma présence dans son dos. Alors je mets un peu de gel douche dans la paume de ma main et comme il m’a demandé, je commence à lui savonner le dos. Mes mains prodiguent plus une caresse qu’un savonnage, et il semble apprécier car je l’entends souffler doucement.
Une fois qu’il a terminé de se débarbouiller entièrement le visage, Denis se retourne pour me faire face. Je peux enfin admirer son beau visage juvénile. Il est vraiment mignon et fait encore un peu adolescent. Il me sourit et baisse les yeux. Je suis son regard et je constate qu’il me désigne son sexe qui est à nouveau en totale érection. Je remonte mon regard et le jeune militaire continue de me sourire, et semble fier de me montrer qu’il est déjà prêt à remettre le couvert.
- Eh ben, déjà au garde-à-vous soldat !
- Oui. Quand je suis chaud je rebande très vite…
- C’est la force de la jeunesse !
- Sûrement…
- Et tu veux faire quoi avec ton canon prêt à tirer sa deuxième salve ?
- Je… J’ai envie de… Comme Mike…
- Quoi comme Mike ?
- Il t’a sodomisé ?
- Oui il m’a enculé.
- Moi aussi j’ai envie…
- Avec plaisir. Tu veux aller dans ma chambre ?
- Non ici, j’ai peur que les autres nous voient !
- Ok pas de problème. Mets un peu de savon sur mon anus…
J’arrête le jet d’eau pour éviter de glisser et je me tourne face au mur de la douche et je me cambre. Avec mes mains j’écarte mes fesses pour bien exposer ma raie au jeune homme qui s’est positionné derrière moi. Celui-ci prend une goutte de gel douche sur le bout d’un doigt et vient me caresser la rondelle avec. Il est doux, hésitant, mais il s’applique à la tâche. Peu à peu mon anneau se détend totalement. Denis semble le sentir car il ose faire entrer le bout de son doigt. Il le fait coulisser la longueur d’une phalange au début, puis constatant que je suis bien ouvert et que ça glisse bien, il s’enhardit et fait entrer lentement le reste du doigt jusqu’au bout.
- Ça va ? Tu aimes ?
- Oui, tu te débrouilles bien.
- Pour de vrai ?
- Oui. Tu peux en mettre un autre…
- Sûr ?
- Oui. Faut pas hésiter. En plus vu la largeur de ta queue, deux doigts c’est rien !
- OK
Sans attendre Denis ajoute un second doigt qui entre sans difficulté. Il me dilate doucement, et sentant que mon anneau est bien souple, il ajoute un troisième doigt. Heureusement que Mike m’avait bien ouvert auparavant, ma rondelle ne s’est pas totalement refermée depuis.
- J’ai trois doigts dans ton cul… T’es assez ouvert tu crois ?
- Oui, tu peux essayer…
Je n’ai pas le temps de lui dire d’y aller doucement que le militaire retire brutalement ses doigts de mon anus, et aussitôt pointe son gland d’une main. Il donne une forte poussée avec son bassin et le gros champignon entre en moi d’un coup. Je serre les dents pour ne pas crier, me sentant déchiré par l’énorme obus qui vient de me perforer, malgré la préparation. Je me confirme mentalement que c’est bien le sexe le plus épais que j’ai jamais reçu en moi !
Prenant mon silence, ou du moins l’absence de mot pour l’arrêter dans sa pénétration, Denis lâche son sexe pour me saisir les hanches. Une fois qu’il me tient fermement, il pousse le reste de son sexe dans mon rectum jusqu’à la garde, d’un seul mouvement. Je sens son pubis s’écraser contre mes fesses. A peine deux seconde de pause, qu’il entame un ramonage en règle. Je suis obligé de poser mes mains contre le mur pour garder mon équilibre pendant que le jeune soldat va et vient en moi avec puissance, faisant claquer ses couilles avec force.
Il râle de plaisir à chaque ruade, et moi je ne peux retenir mes gémissements. La douleur est totalement passée et je ne ressens que du plaisir à sentir cette énorme colonne de chair glisser en moi. Denis libère mes hanches et se penche pour se coller contre mon dos. Je sens ses muscles fermes contre ma peau. Ses bras m’enserrent le torse et le ventre pour bien me serrer contre lui, et seul son bassin ondule pour poursuivre le limage intensif avec sa large bite.
Mon enculeur pose sa joue contre la mienne. Je sens son souffle chaud sur ma peau. L’intensité de son limage ne faiblit pas du tout même après plusieurs minutes. Ce jeune homme sportif est vraiment endurant !
- Putain c’est trop bon de baiser ! J’aime ton cul !
- Et toi ta bite énorme me fait beaucoup de bien !
- Tu aimes les grosses bites comme la mienne ?
- Oui ! Elle me remplit bien !
- Mieux que celle de Mike ?
- Beaucoup mieux ! C’est incomparable !
Comme encouragé par mes paroles, Denis augmente encore la force de ses va et vient. Décidément il est infatigable ! Il grogne à chaque claquement de ses couilles contre mes fesses. J’ai l’impression que mes pieds décollent du sol à chaque ruade. Cela doit bien faire près de dix bonnes minutes qu’il me baise sauvagement sans montrer le moindre signe de fatigue. Sans ralentir la cadence, il parvient à me dire entre deux grognements :
- J’crois que je vais pas arriver à me retenir !
- Hum ! Tu veux jouir ?
- Oui, je vais pas tarder à juter ! Mike a joui où ?
- Dans mon cul !
- J’peux jouir dedans aussi ?
- Oui, avec plaisir…
- Merci mec !
A peine sa dernière phrase finie, mon militaire donne encore deux coups de bite bien profonds et son corps est pris de tremblements contre moi. Il me serre contre lui à la limite de m’étouffer et se met à crier de plaisir. Sans que son va et vient ralentisse, je sens la chaleur de son sperme qui coule en moi et me remplit les entrailles. Le mouvement de piston entraîne une partie du liquide viril qui coule dans ma raie puis sur mes cuisses.
Le cri d’orgasme de Denis cesse, signe que son éjaculation est terminée. Mais il continue de me posséder encore. Toutefois le rythme ralentit rapidement, jusqu’à devenir de simples petites poussées de son pubis contre mes fesses. Il ondule encore en moi quelques minutes. Cette fois il est haletant, son corps est brûlant. Il dessert à peine son étreinte sur moi et je sens son sexe qui ramollit et dégonfle en moi.
- Putain mec, j’suis plus puceau !
- Félicitations ! Tu es un vrai mâle maintenant…
- Oui, et c’est trop bon ! Je vais baiser un max !
- Faut jamais rater une occasion de prendre du plaisir !
- Merci…
Son sexe sort tout seul de mes fesses, suivi d’une coulée de sperme. Ses bras me libèrent enfin et Il se redresse en se décollant de mon corps. Je me retourne et je vois le corps musclé complètement en sueur. Je constate aussi que ses poils pubiens sont collés par son sperme, et ses couilles en sont recouvertes. Il est souriant, les yeux brillants, encore sur son nuage de plaisir.
J’ouvre le robinet et nous nous douchons pour nous rafraichir et nous rincer de la transpiration et du foutre. Denis me savonne les dos et les fesses, insistant bien sur ma raie et mon anus, tandis que je lui savonne bien son service trois-pèces. Nous rigolons en nous nettoyant mutuellement. Je sens dans ma main que son sexe commence légèrement à grossir.
- Attention, si tu insistes trop dessus je vais bander encore !
- Déjà ? Tu es prêt à remettre ça ?
- Possible, mais les collègues vont se demander pourquoi je mets tant de temps à me doucher.
- Pas de problème, c’est déjà pas mal pour un dépucelage !
- Oui !
Nous finissons de nous doucher sagement. Denis Se rhabille, revêtant son bel uniforme qui lui moule bien son corps musclé. Une fois complètement vêtu, il prend sa trousse de toilette et sort, en me souriant encore une fois. Je finis de me sécher tranquillement, et je me rhabille à mon tour. Je remets un peu d’ordre dans la salle de bain et je dirige vers ma chambre. Sans fermer la porte, je m’allonge sur mon lit et je m’assoupis légèrement après tant d’efforts.
Je ne sais pas depuis combien de temps je suis somnolent, mais des bruits me font sortir de ma torpeur. Dans un demi-sommeil je parviens à distinguer des bruits dans le couloir. En me concentrant un peu, je comprends qu’il s’agit de bruits de pas. Les pas se rapprochent de ma chambre. Je décide de ne pas bouger et de faire semblant de dormir.
J’entends mon visiteur qui s’arrête. Il doit être au niveau de la porte de ma chambre. Plus de bruit, il ne bouge pas. Après de longues secondes de silence, il y a des bruits de tissu que l’on froisse, puis un son cette fois reconnaissable sans aucun doute : une fermeture éclair. Instantanément je suis persuadé qu’il s’agit d’une braguette qui s’ouvre. J’entends alors un frottement étrange. Il me faut quelques instants pour deviner qu’il s’agit du son d’un mec en train de se masturber. Qui ça peut bien être ?
Je me dis que Mike et Denis ne se seraient pas contenté de se branler en me regardant ! Il reste donc comme suspects mon beau sergent Stéphane et le troisième soldat Mathieu. Je me dis que c’est vraiment dommage qu’un de ces deux beaux mâles se contente d’une simple branlette alors qu’il pourrait avoir plus… Mais comment lui dire sans le faire fuir ?
Toujours les yeux fermés et sans tourner la tête, doucement j’ouvre mon pantalon. Avec des gestes lents, comme un somnambule, je baisse mon fute et mon boxer à mi-cuisses, et je reste allongé à plat ventre. Mon voyeur n’a pas bougé durant ce temps, mais je devine qu’il a cessé sa masturbation. Après quelques secondes, je l’entends qui entre dans ma chambre et qui ferme la porte. Il s’approche de mon lit toujours en silence. Puis plus un bruit. Je me dis qu’il est en train de bien mater mes fesses nues. Peut-être qu’il réfléchit à la situation et hésite à aller plus loin…
Je sens un poids sur le matelas près de moi. Il s’est assis au bord du lit. Puis une main rugueuse et de grande taille se pose sur une de mes fesses. Lentement, doucement, peut-être timidement, cette main entame une douce caresse. Peu à peu les doigts se rapprochent de ma raie, puis se mettent à caresser le sillon. Ils ne mettent pas longtemps à trouver ma rondelle, et l’un d’eux se met à la caresser. L’inconnu doit vite se rendre compte que mon anneau est très souple et s’ouvre rapidement, ce qui est normal après le passage de l’épais membre de Denis. Alors il enfonce un doigt délicatement pour tester la souplesse de mon muscle anal. Il se rend vite compte que je suis bien ouvert.
J’entends juste un murmure : « Et puis merde ! » sans en comprendre le sens. Puis tout s’accélère d’un coup. L’inconnu retire son doit et avec ses deux mains me baisse soudainement pantalon et boxer sur les chevilles avant de tout retirer. Puis il monte sur le lit et s’allonge complètement sur moi pour presque m’écraser de tout son corps. Je peux sentir qu’il me dépasse d’une bonne tête et qu’il est bien musclé de par son poids. Ces proportions me font penser que j’ai à faire à Mathieu, le grand rouquin musclé, hétéro et père de famille…
Mathieu est entièrement habillé, je sens le tissu de son uniforme contre ma peau. Mais son sexe est toujours sorti par la braguette du pantalon car je le sens qui coulisse entre mes fesses. Il se frotte ainsi quelques instants. Je devine une colonne de chair de bonnes dimensions, bien rigide, et surtout qui étale une grande quantité de liquide pré-spermatique. Je sens le soldat tendu, comme s’il essayait de garder le contrôle avec grande difficulté.
Il soulève son bassin et dirige son gland sur mon anus. Pendant quelques secondes il me caresse, étalant une bonne quantité de mouille. Il me lubrifie bien, je me sens tout trempé. Puis il me met une main sur la bouche, comme pour s’assurer que je ne crierai pas, et il enfonce tout doucement son gland dans mon antre. Après la pénétration brutale de Danis, celle de Mathieu est d’une grande douceur. Son sexe est certainement moins épais que celui du jeune militaire, ce qui est tout à fait normal, mais il semble beaucoup plus long. La pénétration lente me semble durer un très long moment avant que je sente la ceinture et le tissu du pantalon contre mes fesses. Il n’avait pas sorti ses couilles.
Mathieu entame un va et vient lent et profond. Il fait seulement onduler son bassin pour diriger son limage, le reste de son corps est immobile sur moi. Toujours sa main sur ma bouche, il souffle fort à mon oreille. Par moments je l’entends étouffer des soupirs de plaisir. Le père de famille me possède cinq bonnes minutes au même rythme lent. Je sens bien sa bite en moi qui me remplit bien. Le plaisir que me procure ce gros membre viril augmente, me faisant couiner malgré moi.
Malgré sa main qui étouffe mes gémissements de plaisir, le militaire perçoit mes râles. Il accélère alors légèrement le rythme de son va et vient. Lui aussi se met à gémir à mon oreille. Rapidement ses coups de bite se font plus forts, plus profonds. Cette fois il me baise brutalement. Entre deux râles de plaisir, il me dit murmure ; « Putain ton cul est trop bon ! je vais te donner du vrai foutre de mâle ! ».
Mathieu me pilonne avec sa grosse queue encore quelques secondes, puis il s’enfonce en moi en grognant et s’immobilise. Je sens dans mon rectum son organe qui gonfle et durcit encore, puis plusieurs jets de semence chaude jaillissent en moi. Une bonne dizaine de rasades de sperme me remplissent. Après s’être totalement vidé dans mes fesses, le soldat s’affale sur moi et reste immobile, comme évanoui. Il souffle toujours fort à mon oreille. Je sens en moi son sexe qui ramollit lentement. Il récupère quelques minutes ainsi, m’écrasant de tout son corps. J’ai même l’impression qu’il commence à s’endormir. Sa queue désormais totalement au repos sort d’elle-même de mon trou sans qu’il ne réagisse.
J’entends des pas dans la maison. Puis Je reconnais la voix du sergent Lacassagne : « Mathieu, tu es là ? ». En entendant son prénom, le militaire sursaute et se redresse brusquement sur le lit. « Oh putain merde ! ». Il bondit sur ses deux jambes et se dirige vers la porte en rangeant rapidement son sexe dans son pantalon et refermant sa braguette. Il file dans le couloir rejoindre son supérieur.
- Tu foutais quoi ? Tu en as mis du temps pour te doucher !
- Rien, je profitais de l’eau chaude !
- J’espère que tu m’en as laissé !
- Oui t’inquiète pas.
- Eh, t’as foutu quoi sur ton fute ?
- Quoi ?
- T’es tâché ! Tu t’es pissé dessus ?
- Mais non t’es con !
Les deux hommes s’éloignent en continuant leur discussion et sortent de la maison. Sans même prendre le temps de me rhabiller, je m’endors les fesses à l’air.
Il est dix-huit heures quand je me réveille. Je sens mon anus un peu endolori et complètement humide du sperme qui s’en est échappé durant ma sieste. Je vais faire un brin de toilette et je me rhabille. Je regarde par la fenêtre et je vois les quatre militaires qui s’affairent devant la tente, autour du feu de camp. Le sergent m’aperçoit et vient vers moi en souriant. J’ouvre la fenêtre et je lui dis :
- Tout va bien pour vous ? Vous êtes bien installés ?
- Oui. Tout le monde est satisfait.
- Tant mieux. Un poulet et des pâtes, ça ira pour tout le monde ?
- Vous nous gâtez trop, il faut pas !
- Mais si ça me fait plaisir. Et puis c’est pas le plus compliqué à faire, ça me prendra pas longtemps.
- Merci beaucoup. Je ne sais pas comment nous pouvons vous remercier.
- Oh ce n’est vraiment rien.
S’il savait que ses hommes m’avaient déjà remercié par avance… Je referme la fenêtre et je commence à préparer le repas. Une fois le poulet dans le four, je dresse la table. Mike arrive dans le salon et me lance un large sourire. Il me demande s’il peut mettre ses affaires et celles de ses camarades dans la chambre d’ami. Je lui dis que oui et je lui montre où elle se trouve. Elle est assez spacieuse malgré la présence de deux lits. Ils pourront même mettre un matelas au sol pour dormir à trois en même temps.
Mike me remercie et dépose son paquetage sur un des lits. Puis il vient vers moi et me met une main au cul en me disant :
- Je finis mon tour de garde à minuit. Je viens te remplir les fesses juste après !
- Et tu restes dormir avec moi au cas où tu voudrais me remplir plusieurs fois ?
- J’avoue que ça me plairait bien, mais si les autres me trouvent pas dans la piaule ils vont me chercher…
- Pas de soucis. En tout cas tu sais où me trouver.
- Ouais, un bon petit cul comme le tien je ne le perds pas de vue…
Il sort pour récupérer les affaires de ses camarades. Il prépare la chambre pendant que je retourne dans la cuisine surveiller la cuisson du poulet. Le dîner se déroule dans la bonne humeur, mes invités sont heureux d’avoir un vrai repas et d’être au chaud pour la nuit. Mathieu parle toujours autant, mais il semble fuir mon regard. Mike lui au contraire me lance régulièrement des sourires. Denis Semble un peu moins timide et participe un peu plus aux échanges et rigole même de bon cœur aux blagues grivoises lancées par ses camarades. Stéphane participe de bon cœur même s’il garde une petite distance en tant que chef de la petite troupe. Mais j’ai l’impression ses yeux sont très souvent posés sur moi.
A vingt-et-une heure, Mike sort prendre son tour de garde dans la tente. Il se munit d’un thermos rempli de café bien chaud. Denis et Mathieu s’occupent tous les deux de la vaisselle, ne voulant pas me faire travailler plus pour aujourd’hui. Je reste un peu avec le sergent et nous discutons de choses et d’autres. Je le trouve vraiment très mignon, d’autant plus que je peux enfin admirer son beau visage sans maquillage de combat. Et il a de la conversation, il est très intéressant et parle sur plein de sujets variés. Vingt-deux heures, les deux militaires vont se coucher pour se reposer avant leur garde.
Stéphane ne semble pas pressé de me quitter. Mais je suis très fatigué par cette longue journée, et pour cause ! Et puis je dois penser à mon rendez-vous de minuit… Aussi je prends congé du gradé.
Je suis en train de me brosser les dents, en simple caleçon devant le lavabo, quand le sergent entre dans la salle de bain. Il me montre sa brosse à dents et me demande s’il peut se joindre à moi. Aucun problème. Il vient à côté de moi et commence à se brosser les dents à son tour. Moi je ralentis un peu mon brossage pour faire durer le plaisir et rester plus longtemps à côté du beau gosse. Mais pas trop non plus sinon ça serait suspect. Je finis par me rincer la bouche et en me penchant pour cracher l’eau, je sens une main qui se pose fermement sur une de mes fesses. Surpris je sursaute et me redresse pour regarder Stéphane. Il se rince la bouche à son tour et me lance un regard de prédateur qui est prêt à se jeter sur sa proie.
- Tu pensais que je voudrais pas profiter de ton cul alors que tu as laissé mes hommes te baiser ?
- Quoi ? qu’est-ce que tu veux dire ?
- Ne fais pas l’innocent ! Je sais très bien que tous les trois t’ont baisé ! Je suis leur chef et c’est mon rôle de savoir ce qu’ils font à chaque instant !
- Mais comment ?
- Mathieu a fini par avouer quand j’ai vu la tache de foutre sur sa braguette. Il s’en veut d’avoir trompé sa femme, surtout avec un mec, mais il m’a avoué qu’il avait beaucoup aimé t’enculer !
- Et Denis ?
- Denis, c’est un gamin qui vient de baiser pour la première fois, j’ai vu tout de suite son changement d’attitude et il n’arrête pas de nous dire que tu es sympa et tout…
- Mike ?
- Mike est capable de baiser tout ce qui a un trou, j’ai jamais vu un mec qui pensait autant au sexe ! Et vu comment il mate ton cul j’ai vite compris qu’il l’avait visité !
- Et… toi ?
- Moi ça fait un moment que j’ai envie d’essayer avec un mec, surtout depuis que ma copine est enceinte. Et si tu as laissé les autres te baiser, y’a pas de raisons que tu refuses que je te saute aussi !
- Oh non, bien au contraire, je suis ravi de goûter à ta bite.
- Hum ! Tu es une vraie salope toi ! Viens, on va dans ta piaule !
On va dans ma chambre. Stéphane ferme la porte et me pousse vers le lit. « Fous-toi à poil ! ». Je m’exécute et je suis vite nu devant lui. Il me regarde en ouvrant son pantalon d’uniforme. Il le baisse d’un geste avec son boxer sur ses chevilles, libérant un très joli sexe d’environ dix-huit centimètres, épais d’environ quatre centimètres, bien veineux et qui se redresse presque contre son ventre. Le gland très large est encore à moitié recouvert par le prépuce. Le pubis du militaire est rasé, ainsi que ses grosses couilles qui pendent entre ses cuisses.
Il s’approche, pose une main sur une de mes épaules, et appuie dessus. Je comprends tout de suite son message et je m’agenouille aux pieds du sergent. J’ouvre la bouche et je commence à gober le gros gland que je finis de décalotter avec mes lèvres. J’entends un soupir de satisfaction sortir des lèvres de Stéphane, J’avale un peu plus le reste du sexe tendu, en caressant d’une main les lourds testicules qui me semblent bien remplis. Une main se pose sur ma tête et me caresse les cheveux. Je continue d’avaler cette belle bite, et je finis par me retrouver le nez contre le pubis du soldat. Je le sens se tendre et gémir.
Je commence une pipe lente et douce. Les râles de plaisir confirment que le gradé apprécie la façon dont je m’occupe de sa queue. Il se laisse pomper cinq bonnes minutes, sans chercher à accélérer le rythme. Puis sans prévenir, il m’attrape par les cheveux et me force à lâcher son sexe. Ce geste un peu brutal me surprend car il contraste avec la douceur dont Stéphane faisait preuve jusqu’à présent. En me tirant par les cheveux, il me force à me relever. Une fois debout, il m’embrasse à pleine bouche. Son baiser est fougueux, brutal. Sa langue force le passage de mes lèvres et fouille ma bouche sans tendresse. Mais je réponds à ce baiser en faisant jouer ma langue avec la sienne.
Pendant cette pelle un peu sauvage, je remarque qu’il se déhanche pour retirer son pantalon et son boxer (il avait laissé ses rangers dans le salon). Il se retrouve avec sa veste d’uniforme en haut, et juste ses chaussettes en bas. Il libère ma bouche et me pousse sur le lit. Il me fait signe de me mettre dans le sens de la longueur. Je m’exécute et je me retrouve à plat ventre. Stéphane s’agenouille sur le lit à côté de moi et me caresse les fesses. Il me donne des petites tapes qui me font sursauter. Je sens ma peau chauffer. Cette fessée semble bien exciter mon, beau sergent.
- C’est vrai que tu as un beau cul ! Tu aimes recevoir des bites hein !
- Oh oui, j’adore ça !
- Tu as aimé te faire enculer par des militaires ?
- Oui ! Les militaires sont bien virils et me baisent bien !
- Alors tu vas aimer recevoir ma queue en plus !
- Oui, elle est bien grosse en plus ! J’ai envie que tu me baise !
- Les autres ont juté dans ton cul ?
- Oui, ils m’ont rempli avec leur jus !
- Salope ! T’es un vrai sac à foutre ! Je vais te mettre le mien en plus !
Brusquement, Stéphane me saisit par les hanches pour me relever et me mettre à quatre pattes sur le lit. Il se place derrière moi et écarte mes fesses. Il fait couler un filet de salive qui atterrit pile sur mon anus. D’une main il dirige sa bite et pointe son gland droit contre ma rondelle, et me caresse avec son champignon pour étaler sa salive. Il exerce une petite pression et le gros gland entre sans peine en moi. Le militaire lâche son sexe et me saisit les hanches. Il se rapproche de moi, faisant progresser sa queue. Il avance lentement sans faire de pause. Je sens le pieu de chair qui m’envahit peu à peu. Enfin je sens son pubis qui se colle contre mes fesses, et ses couilles qui caressent les miennes.
« Putain, c’est trop bon ! J’adore ton cul ! Ma bite est bien dedans ! Mieux que la chatte de ma meuf ! Je vais bien te niquer...»
Le soldat commence alors à aller et venir en moi. Il fait coulisser presque la totalité de sa bite, ne laissant en moi que son gland avant de me perforer à nouveau. Ses couilles claquent violemment contre moi. Il accélère la vitesse de son limage, et en quelques instants il me démonte sauvagement. Ce beau mâle me baise avec puissance, me faisant gémir de plaisir à chaque ruade. Il ne semble pas s’inquiéter que les autres nous entendent, car lui aussi se met à gémir d’une voix grave et virile.
Je subis les assauts sauvages du sergent de longues minutes. Je sens de grosses gouttes de sueur sur tombent sur mon dos. Il se penche sur moi, ce collant contre mon dos. Il passe un avant-bras sous mon aisselle pour me ceinturer le torse, et l’autre sous mon cou et il m’étrangle légèrement. Sa bouche dépose des baisers sur ma nuque et sur mon épaule. « Putain, je vais cracher ! »
Stéphane me mord l’épaule pour étouffer un grognement d’extase, et assène des coups de bite encore plus forts une dizaine de fois. Puis il s’immobilise en moi, se plantant à fond jusqu’à la garde. Sa queue se met à pulser dans mes fesses et expulse de plusieurs jets de sperme. Son éjaculation me remplit bien les fesses, je sens sa semence virile en grande quantité en moi. Une fois totalement vidé, son corps est pris de frissons de plaisir, et il dessert son étreinte sur mon cou. Il cesse sa morsure et souffle fort à mon oreille.
Le sergent reste immobile en moi, affalé sur mon dos. Sa bite ramollit un peu en moi mais ne semble pas dégonfler. En exerçant une pression sur mon corps, il me force à m’allonger à plat ventre sur le lit, avec son bras toujours sur ma poitrine. Puis il me fait pivoter sur le côté, sans faire sortir son sexe de mes fesses. Il tend le bras pour éteindre la lumière puis il passe sa jambe sur la mienne comme une clé de judo pour m’immobiliser.
« C’était trop bon ! Ça fait du bien de pouvoir se vider ! je t’ai bien enfoutré ! »
C’est sur ces mots, et prisonnier du soldat, que nous nous endormons l’un dans l’autre…
C’est le bruit de la porte de ma chambre qui m’a réveillé. Pendant quelques secondes je suis un peu perdu. Puis je me souviens dans quelles conditions je me suis endormi en voyant le corps de Stéphane à côté de moi. Il était toujours vêtu uniquement de sa veste et ses chaussettes. Lui aussi est réveillé, et dans la pénombre je le vois mettre un doigt devant sa bouche pour que je garde le silence. Nous entendons quelqu’un se faufiler dans la chambre et fermer la porte derrière lui. Puis des bruits de tissu qui sont jetés au sol, et d’une braguette qui est ouverte, et d’un pantalon qui tombe lourdement par terre… Je devine qu’il est déjà minuit et que Mike est venu comme convenu et qu’il se déshabille. J’ai la confirmation en reconnaissant sa voix qui murmure : « Eh ben tu as oublié que je venais et tu t’es endormi ? ».
C’est à ce moment que Stéphane allume la lumière. Je vois le visage de Mike blêmir en voyant son chef à moitié nu à côté de moi. Il a le réflexe de mettre ses mains devant son sexe pour essayer de le cacher. Il se penche pour commencer à ramasser ses vêtements mais le sergent se met à rire en voyant son soldat désemparé.
- Eh bien Mike, tu fais quoi ici ? Et pourquoi tu es à poil ?
- Mais euh, Sergent je…
- Apparemment vous avez prévu de vous retrouver ?
- Non ! Euh c’est pas ça…
- Espèce de gros queutard, tu veux tirer encore un coup !
- …
- Je sais que tu l’as déjà enculé ! Tu veux lui remettre une dose ?
- C’est que… Oui Sergent.
- Ben alors vas-y, te gênes pas pour moi !
- Je… Je peux ?
- Bien sûr ! Notre hôte doit savoir que les militaires sont de vrais mecs couillus. Faut pas le décevoir!
- Je… Je fais ça devant vous sergent ?
- Oui. C’est un ordre soldat ! Baise ce civil devant moi !
- A vos ordres Sergent !
Je me tourne vers Mike qui s’approche du lit, et je saisis sa bite d’une main. Aussitôt elle se met à gonfler et durcir entre mes doigts. Je la prends en bouche et elle finit de se déployer sur ma langue. Je suce avec gourmandise les dix-sept centimètres de Mike, le faisant soupirer de plaisir. Pendant ce temps, Stéphane retire ses derniers vêtements, et une fois nu, il me caresse les fesses puis me doigte le trou. Il constate que je suis encore bien ouvert et que je suis bien trempé par son propre sperme. Voyant que Mike est bien bandé, il me demande de tourner afin d’avoir les fesses au bord du lit, toujours sur le ventre. Je me mets dans la position demandée, offrant mon cul au soldat.
- Vas y Mike, défonce-le pour lui montrer comment un vrai militaire baise !
- Oui Sergent !
Mike pose son gland contre mon trou, et commence à forcer ma rondelle sans aucune difficulté. Mais il s’immobilise.
- Putain Sergent, il y a du foutre dans son cul !
- Oui soldat ! C’est mon foutre. Je l’ai engrossé tout à l’heure. Ça te dérange ?
- Ben j’ai jamais mis ma bite dans le jus d’un autre… C’est bizarre…
- C’est le foutre de ton chef ! Vas-y, encule-le ! Tu vas bien glisser comme ça !
- Oui Sergent…
Mike donne alors un coup de bassin puissant et enfonce le reste de sa bite en moi. Il me prend par les hanches et commence à me baiser en puissance. Pendant ce temps je vois Stéphane qui s’approche de ma tête. Il commence à bander en regardant le soldat me posséder. Alors je dirige son gland vers ma bouche et je lui taille une bonne pipe. Il est rapidement totalement bandé et je déguste son beau membre.
Pendant dix bonnes minutes je suis enculé vigoureusement. Mike se déchaîne dans mes fesses en grognant de plaisir. Et moi je pompe Stéphane qui gémit sous mes coups de langue. Mon enculeur commence à haleter fort. Il se penche et se couche sur mon dos. Il fait claquer bruyamment ses couilles contre mes fesses.
- Tu vas bientôt juter Mike ?
- Oui sergent, je vais pas tenir très longtemps.
- Alors féconde-le comme un vrai soldat, mets-lui une bonne dose !
- Oui sergent, je vais le remplir…
Le militaire donne encore plusieurs coups de bite bien profonds, puis dans un râle de satisfaction, il jouit bien fort au fond de mes fesses. Cette fois-ci les couilles sont moins pleines, et je reçois cinq jets de sperme avant que la queue s’arrête de pulser en moi. Je suis écrasé par le corps épuisé par l’orgasme. Dans mon rectum je sens le sexe toujours bandé. Mike ondule doucement du bassin pour continuer d’aller et venir en moi, mais lentement.
Après un court instant, Le soldat reprend vie et se redresse. Stéphane, toujours la bite dans ma bouche, en profite pour se pencher et écarter mes fesses pour regarder la bite encore dans mon trou. Mike se recule lentement, et finit par sortir. Une partie de son sperme coule hors de ma rondelle et coule le long de mes cuisses.
- Eh ben ! Tu l’as bien rempli ! Tu lui as mis une bonne dose !
- Ouais ! Mais ce matin je lui en ai mis bien plus !
- J’imagine. Tu as bien pris ton pied ?
- Oh oui ! ce cul est vraiment bon. J’ai rarement joui comme ça !
- Pareil pour moi ! Aller, va te coucher maintenant que tu as les couilles bien vidées. Et dis à Mathieu de venir. Ne parle de rien, dis-lui juste que je lui donne l’ordre de venir ici.
- A vos ordres Sergent.
Mike rassemble son uniforme et commence à se rhabiller. Stéphane descend du lit et vient se mettre derrière moi. Sans se guider de sa main, il dirige sa bite vers mon trou et me pénètre directement jusqu’à la garde. Sans attendre que son subordonné sorte, il entame un va et vient lent mais bien profond. Le mouvement de piston fait ressortir un peu de sperme qui coule sur ses testicules. Il prend appui sur mes épaules et donne des coups de reins puissants. Une fois Mike sorti, il se penche et me murmure : « Je sens bien son foutre chaud sur ma bite ! C’est trop bon ! ». Il se redresse et continue de me baiser doucement.
Après quelques minutes, Nous entendons la porte de la chambre qui s’ouvre. Mathieu entre et s’arrête net en voyant le spectacle de Stéphane nu qui m’encule lentement.
- Putain Steph ! Il se passe quoi ici ?
- Il se passe que je baise ce bon cul ! Il n’y a pas de raisons que j’en profite pas moi aussi ! Tu n’es pas le seul à avoir besoin de baiser !
- Merde ! je t’ai dit que je sais pas ce qui m’a pris. J’aurais jamais dû. J’ai jamais trompé ma femme ! Et puis un mec quoi !
- Tu m’as dit que tu avais aimé non ?
- Oui. J’ai bien joui j’avoue. Mais c’est mal !
- Arrête tes conneries ! Ferme la porte et viens. On a le droit de prendre notre pied ! On n’a pas souvent l’occasion. Et puis ça reste entre nous, personne saura rien.
Mathieu semble réfléchir, déchiré entre ses envies et sa morale. Puis il ferme lentement la porte et s’approche de nous. En regardant le sexe de Stéphane qui va et vient dans mes fesses, il commence à se déshabiller lentement, comme sous hypnose. Il se retrouve en boxer, mais le sous-vêtement est tendu par un sexe totalement en érection.
Le sergent arrête de me limer, et se retire lentement de mes fesses. Son sexe tendu à l’extrême est tout luisant sperme. Il se déplace sur le côté pour laisser la place au soldat. Mathieu se positionne derrière moi, baisse son boxer sous ses couilles, et fait glisser sa bite dans ma raie. Sa queue est rapidement enduite de sperme, et en me saisissant par les hanches, il me pénètre d’un coup. Il me baise plus fort que la première fois, et me donne de bons coups de bite puissants et profonds. Il ne se retient pas d’exprimer son plaisir et gémit bien fort à chaque ruade.
Stéphane reprend position devant mon visage et dirige sa bite vers ma bouche. J’accueille entre mes lèvres ce beau membre toujours dur et recouvert du mélange de spermes. Je savoure toute cette semence et reprends une bonne fellation. Les deux militaires gémissent à tue-tête en profitant de mes deux trous. Ils se servent de moi comme d’un vide-couilles, mais je prends un plaisir immense. Ils sont tous les deux endurants et profitent bien de mon corps pour leur plus grande satisfaction.
Cela doit faire un bon quart d’heure que je suis leur jouet sexuel. Je commence à avoir mal à la mâchoire à force de pomper la grosse bite du sergent, et mon anus chauffe sous les coups de buttoir de Mathieu. Les deux hommes montrent peu à peu des signes qu’ils atteignent leurs limites.
- Oh putain Mat, je crois que je vais pas résister longtemps…
- Tu vas juter Steph ?
- Ouais, mon jus commence à monter !
- Moi aussi, je vais pas tarder à cracher !
- Remplis-lui le cul vite le cul alors ! Je vais le féconder après toi !
- Ok ! Tiens salope, je vais te mettre une autre dose de mon jus !
Stéphane quitte soudainement ma bouche et se lève à côté du soldat. Il regarde avec avidité Mathieu qui m’assène quelques coups de bite violents et profonds. Puis il s’immobilise, la queue plantée jusqu’à la garde en moi, et se met à crier de plaisir. Je sens dans mes fesses la bite qui se gonfle avant cracher plusieurs salves de sperme. Le flot est encore abondant et me remplit bien les entrailles.
- Putain mec, je lui ai encore mis une sacrée dose de foutre !
- Du bon jus de mâle reproducteur !
- Ouais !
- Laisse-moi la place, je vais ajouter le mien !
- OK
Mathieu se retire brusquement. A peine son gland sorti, du mélange de sperme commence à couler de mon trou béant. Stéphane se précipite et me pénètre d’un coup, stoppant net le flot. Il donne trois coups de reins puissants avant de s’immobiliser en moi en criant. Je sens sa queue qui décharge une dizaine de jets de liquide viril. Une fois l’éjaculation finie, il s’affale sur moi, complètement épuisé, et se met à rire.
- Putain, j’ai jamais joui comme ça avant ! Je crois que j’ai les couilles complètement sèches !
- A nous deux on a dû le féconder !
- Ouais ! Je sens bien ton foutre dans son cul, tu lui as vraiment mis une sacrée dose !
- Pour sûr ! J’ai tellement pris mon pied que j’ai juté comme jamais alors que j’avais déjà craché tout à l’heure !
- Tu vois, tu as bien fait d’en profiter.
- T’as raison, un si bon coup, fallait pas passer à côté !
Stéphane se retire lentement de mes fesses, sa bite encore mi-molle. Il se met à côté de Mathieu et me dis de nettoyer leurs outils. Je m’agenouille face aux deux militaires et je lèche les deux verges pour déguster et nettoyer le mélange des trois spermes qui les recouvre. Une fois les engins bien propres, ils me remercient et se rhabillent. Je me recouche sur mon lit, complètement épuisé.
Mathieu sort en premier. Stéphane Vient vers moi et se penche pour m’embrasser tendrement cette fois. Puis il me murmure : « Merci mec, j’ai vraiment aimé ton cul. S’il y avait pas les autres, je t’aurais baisé toute la nuit… ». Puis il éteint la lumière et sort en silence de ma chambre en fermant la porte. Complètement épuisé par toute cette débauche de sexe, je m’endors instantanément.
Je ne sais pas quelle heure il est mais je sens un poids sur moi qui me réveille. Je me dis qu’il s’agit de Stéphane qui revient pour un autre tour. Je sens sur moi un corps nu qui recouvre mon corps, et un sexe énorme qui fouille ma raie. Devant la taille impressionnante du gland qui cherche mon trou, je devine qu’il ne peut s’agir que d’une seule personne…
- Denis ?
- Ouais c’est moi. Le sergent m’a dit que je pouvais te voir après ma garde. Et comme depuis cet après-midi j’arrête pas de penser à ce qu’on a fait… J’ai eu envie de recommencer toute la journée ! Je peux ?
- Oui avec plaisir, prends-moi !
- Merci…
Il continue de fouiller ma raie avec son gros gland. Quand je sens qu’il trouve son objectif, je me cambre et fais entrer moi-même l’énorme champignon dans mon rectum. J’entends le jeune soldat soupirer, puis pousser son gros bâton droit en moi. Malgré les multiples assauts qui m’ont bien élargi, j’ai bien senti le passage de l’épaisse bite. Il plonge en moi sans pause jusqu’au bout, et je sens ses poils pubiens qui caressent la peau de mes fesses.
Denis s’étale totalement sur moi et attrape mes poignets, puis il entame un doux va et vient. Rapidement son énorme membre me donne un plaisir incroyable et je me mets à gémir. Denis semble encouragé et se met à râler tout en accélérant ses coups de queue. Il me couvre de baisers sur la nuque et les épaules. « Oh que c’est bon ! C’est trop bon de te baiser ! Je suis trop excité par tes fesses ! »
Le militaire accélère encore son limage, et en quelques minutes il me baise vigoureusement mais sans brutalité. Ses couilles claquent contre les miennes, sa grosse bite m’élargit le cul comme jamais. Son souffle se fait plus fort, jusqu’à ce qu’il me dise à l’oreille : « Je vais jouir, je vais jouir ! je vais jouir dans ton cul ! ».
Le jeune homme poursuit son limage en gémissant, et son énorme canon crache plusieurs salves de sa semence. Le liquide viril me remplit abondamment, et une fois la dernière goutte expulsée, il cesse son va et vient et reste planté en moi jusqu’aux couilles.
Il reste immobile, allongé sur moi, le temps que sa respiration se calme et que sa bite débande totalement. Je commence à m’assoupir quand Denis je relève lentement de mon dos et extrait son sexe mou de mes fesses. Il se rhabille rapidement, et me dit un simple « Merci ! » avant de partir.
Je me rendors, complètement anéanti par cette dernière sodomie. Je ne sens même pas tout le sperme de ces militaires qui coule de mon trou macule mes draps.
Quand je me réveille, je vois à travers les volets qu’il fait déjà jour dehors. Je regarde l’heure. Il est quatorze heures ! Je me lève pour sentir mon corps complètement courbaturé, et mon cul bien endolori et couvert de sperme séché. Toujours totalement nu, je regarde dans la chambre d’amis, et je ne trouve personne. Tout avait été rangé. Je regarde dehors, et plus de tente ni de militaires. En revenant dans le salon, je trouve un papier sur la table. Mon beau sergent Lacassagne m’a écrit une lettre pour me remercier pour mon hospitalité. Ils sont partis de bonne heure et ne voulaient pas me réveiller, me sachant épuisé par leurs assauts sur mes fesses. Il m’assure que tout le monde est reconnaissant pour mon accueil et ma gentillesse, et que personne n’oubliera mes fesses… Et il signe en notant son numéro de téléphone …
Nonodt92
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