Épisode précedent
Plaisirs
Vers 11h50, je lui envoie un sms : " même endroit midi. ".
Nous nous retrouvons donc à 12h00 dans la même cabine. Il a le visage fermé, de ceux qui ont compris qu'ils sont face à plus forts qu'eux.
Ca me plait.
Je prends un temps pour admirer ma proie : blouson ouvert sur un t-shirt rose (non mais le truc de tapette quoi !), il porte un jean Kaporal délavé, avec les genoux bien usés : jean de suceuse.
J'ai bien l'intention qu'il soit usé d'avantage en peu de temps !
Je referme le verrou de la porte. " Tourne toi. " et j'ajoute un coup sec sur sa poitrine qui le plaque contre le mur.
Il s'exécute.
J'enlève son blouson. Il y a la marque cousue en grand en travers de ses fesses... Ca attire le regard et attise le désir évidemment. Jean de passif qui veut qu'on matte son cul. Comme le jean est un peu trop large pour lui, je le fais glisser de ses hanches sans difficultés et sans avoir à faire sauter les boutons de sa braguette.
Dessous il porte un slip blanc rayé de bleu pâle, sans marque. Ca moule vachement bien ses fesses. Je mets ma main sur son paquet en me collant à lui et commence à lui malaxer. C'est de la viande molle. Il regarde ses pieds et je vois des larmes couler sur ses joues.
Ca m'excite encore plus.
J'adore le contact de son slip. Je glisse ma main à l'intérieur et saisis à la fois ses couilles et sa bite. Je me mets à serrer assez fort.
" - Tu vois, maintenant c'est à moi. Tu feras tout ce que je te dis. Si tu obéis bien, ça se passera super bien et tu prendras du plaisir... Tu verras. " Il renifle bruyamment et se met à trembler un peu.
" - Laisse-moi s'te plait. J'te filerai du fric. " Parvient-il à articuler dans un sanglot.
Je le regarde avec excitation.
Assez brusquement je plaque ma braguette contre ses fesses pour qu'il sente bien ma queue raide. Il a le visage écrasé contre la paroi du chiotte.
" - Tu aimes te faire enculer ? " Dis-je dans un chuchotement à son oreille.
Il ne répond pas.
" - Aller réponds. T'aimes ça te prendre une bonne bite dans le cul ? "
" - N... N... Non " bégaya-t-il.
" - T'es sûr ? Une bonne queue bien profond dans ton petit cul ? "
" - Non ! Pas ça... S'il te plait !!! " Cracha-t-il d'un ton paniqué.
" - Tous les pédés aiment ça. C'est parce qu'on t'a jamais fait ça bien! "
Et je lui baisse son slip.
Il est là contre le mur, jean à mi-cuisse, fesses à l'air. Je libère mon membre qui est déjà bien humide. Je sors mon petit flacon de gel et en verse sur ma queue. Puis je fais de même sur sa rondelle. Pas de capote.
Il commence à s'agiter et à protester. Je le replaque brutalement contre la paroi couverte de graffiti pornos. Il a le nez sur une bite poilue, dessinée au marqueur, qui crache un torrent de jute.
Tout juste ce qui va se passer !
" - Bouge pas sinon ça fait mal. " Dis-je tout bas à son oreille tout en essuyant ma main sur son ventre comme sur une serviette.
Une fois mon gland sur son petit trou qu'il serre le plus possible, je force un passage jusqu'au fond. Il sert les dents, gémit mais ne crie pas.
Dommage.
" - Chut... Voilà... Tu vois que ça n'est pas si terrible. " Je fais une longue pause pour savourer l'instant : ses reniflements, ses tremblements, la chaleur de ses entrailles sur ma queue, la pression de son anus qui emprisonne mon membre.
Je veux prendre le temps de me souvenir de tout cela.
Et je me mets à lui limer le fion. Je prends mon portable et j'enregistre une vidéo de la scène, pour me branler plus tard. On voit nettement ma queue aller et venir en lui. Je prends aussi son visage en larmes tout en évitant le mien : on ne sait jamais.
" - Tu crois que ton daron aimerait cette vidéo ? ".
Je prends mon temps. Je lui lime le cul doucement, tendrement même, dirais-je. J'avais envie de ce petit cul depuis un bon moment. Et il est à moi et il ne peut rien faire pour m'empêcher de lui démonter la rondelle et de le fourrer au sperme. J'ai envie de le féconder, de me vider en lui.
Cette sensation de pouvoir, plus peut-être que la sensation de sa chatte sur ma queue, me procure un plaisir infini.
Lorsque je ne tiens plus, je retire ma queue de son ventre. Je le fais se pencher en direction de la cuvette. Il doit prendre appuis sur la céramique blanche, la tête quasiment dedans. J'écarte ses fesses : son trou est là, bien dilaté par le passage de ma queue, sa chair rose et tendre prête à accueillir mon jus. Je fais glisser mon gland sur son anus entrouvert ...
Et en quelques coups de poignets, je me fais éjaculer abondamment dans son trou.
Je vois les traits de sperme blanc jaillir de mon gland et s'écraser dans son trou et ses fesses.
Une partie de mon sperme pénètre en lui et le reste s'étale sur les lèvres rosées de son anus. Avec mon gland je ramène le tout vers le trou accueillant et j'y replonge ma queue pour quelques va et vient.
Puis je m'arrête. Bien à fond dans ses entrailles.
Je reste là encore un moment sans bouger, ma queue dans son fion, à écouter ses sanglots.
Il pleure, renifle assez bruyamment, il se met à tousser en bavant abondamment. Je sors ma bite et lui dépose un baiser sur la nuque.
" - Je te trouve super mignon en fait tu sais. T'es vraiment canon et un mec bien je crois. " Je tente de l'embrasser mais il se détourne.
Je n'insiste pas. D'un mouvement de tête je désigne la porte pour qu'il parte.
Il remonte son slip et son pantalon, tout en me tournant le dos, il se rhabille. J'ai le temps de voir mon sperme dégouliner sur sa cuisse. Il sort de la cabine et je lui fais une caresse sur le paquet au passage. Il ne bande pas.
Dommage.
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Yopi
yop_ex@outlook.fr
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