Métro pas trop rempli au retour du boulot, je trouve une place assise dans les blocs à quatre. Je m'assois sans faire attention, mais quand je relève les yeux, je vois que le mec d'en face est canon. Crâne très dégarni, rasé très court sur les côtés, teint hâlé. Ce qui me frappe tout d'abord, c'est le col rond du t-shirt un peu distendu dans lequel il a glissé ses lunettes, le bord du col est descendu, il s'en échappe une touffe de poils clairs super fournis. Je vois ensuite qu'il a les yeux, le teint, les cheveux ras sur le côté de la tête et les poils du torse pratiquement de la même couleur : un peu roux, un peu noisette, un peu châtain. Ça donne à son regard quelque chose de profond et à son allure quelque chose d'animal.
Je fais mine de lire le journal et je le regarde régulièrement. Il semble le remarquer. Nos regards se croisent. Il me regarde droit dans les yeux, je soutiens le regard un petit moment puis, je retourne à mon journal. Je défais un bouton de mon col de chemise parce qu'il fait chaud et aussi pour qu'il voie le haut de mon torse poilu si ça lui dit. Je commence à bander en l'imaginant torse nu, les jambes prises dans un jean assez serré qui moule les cuisses, fuselées, assez musclées. Je l'imagine faisant du foot en short, torse nu. Je me demande s'il a des poils seulement sur le haut du poitrail ou sur tout le torse.
Je me lève pour changer de ligne, lui aussi, on parcourt le couloir à la même vitesse, regards de côté : je regarde, il répond, il me distance un peu, je reluque son cul moulé dans le jean. Ça pourrait bien être un footeux : il en a les cuisses et le cul. Il ralentit, je reviens à sa hauteur, il me regarde, je réponds. On monte dans le même métro direction Châtelet. On est debout au milieu, je vois qu'il regarde mon col de chemise. Le courant d'air agite les poils de mon torse qui dépassent par l'ouverture, j'aime cette sensation. Ça bouge aussi chez lui, c'est carrément bandant. Je l'imagine courir torse nu, les pectoraux qui se balancent, les poils qui s'agitent, je commence à bander à fond et à mouiller.
Il descend à Hôtel de Ville, je le suis, il prend le chemin d'un des bars de drague bien connus du Marais. Ça rate pas, il sonne à la porte de l'un de ces bars. J'attends juste derrière lui, le mec du bar ouvre : " salut les mecs " ; " salut " ; " c'est gratuit pour l'entrée, 2 euros pour le vestiaire et une consommation obligatoire ". Le mec du métro se fout torse nu direct, là, en face de moi, je manque me sentir mal. J'adore voir les mecs se mettre torse nu. Il paie son vestiaire, prend un verre, j'ai déjà commandé un truc et je laisse mes affaires de boulot au vestiaire.
Le mec descend direct au sous-sol, là où ça se passe. Je tarde pas à le suivre. Il est adossé à un montant en bois : mes yeux s'habituent à la pénombre et je le vois, torse nu, sa posture fait ressortir les pectoraux, ils sont couverts de poils châtain clair, drus, touffus, pas vraiment bouclés mais pas lisses non plus. Il est poilu sur le haut du torse et sur le milieu de l'abdomen, ça dessine une ligne, les poils remplissent le sillon médian. Il boit son Perrier, quand il lève le bras, je vois son aisselle poilue, les poils courent de l'arrière du bras à l'aisselle et reviennent par devant jusque sur le torse. Il me fixe du regard, je m'approche. Je tends une main et caresse son torse : j'ai la bite qui bande et le gland qui coule à fond. Le contact de ses poils est magique, la douceur des poils, mêlée au côté dru de la texture, le tout sur un torse musclé et ferme.
Ma main parcourt tout son torse, joue avec les poils, effleure les tétons au passage : il plisse les yeux ; il est sensible des tétons, j'adore, moi aussi. Je les caresse, les pince un peu, les caresse de nouveau : visiblement, il aime mieux qu'on les lui caresse ; ça tombe bien, moi aussi, comme ça je sens mieux le contact de ses poils et de ses pectoraux en même temps. Je pose mon verre pour lui caresser le torse à deux mains, une main sur les pectoraux qui joue avec les poils, une main sur l'abdomen qui descend vers sa ceinture. " Mets-toi torse nu " : je pourrais jouir sur place, rien que de l'entendre me dire de me mettre torse nu. Je m'exécute : je défais un à un les boutons de ma chemise, je révèle petit à petit mon torse, pas aussi musclé que le sien, mais carrément aussi poilu. J'ai les poils plutôt bruns, bouclés, mais il y a du rouquin chez moi, j'en ai le parfum surtout quand je suis excité. Le mec m'attire vers lui et se met à me caresser le torse en insistant bien sur les tétons. Je glisse une main dans la ceinture de son jean, je plonge dans son caleçon, sa queue est chaude et gonflée. Je lui lèche le torse, les tétons, j'aime le contact de ses poils sous la langue, mon nez se perd sous ses bras, il sent la fin de journée, c'est un peu âcre, une odeur puissante, une odeur de mec.
Le mec me rend la politesse, d'autres mecs se sont approchés, des mains me parcourent le torse, une main se glisse sous mon pantalon et me palpe le cul. Je continue à caresser le torse poilu du mec du métro en frottant mon visage un peu partout sur le haut de son torse pour en capter les parfums et me laisser chatouiller par ses poils. Mon corps est envahi par le plaisir des caresses des autres mecs, l'un d'eux a défait la ceinture de mon pantalon, celui qui me palpait le cul m'a foutu un doigt dedans, ça me fait bander encore plus fort. Tout en humant le torse du mec du métro, je défais la ceinture de son jean, la braguette, je sors sa queue et je commence à le branler. Il m'embrasse, goulument, avec ardeur. Sa bouche est fraiche, un vrai gentleman : il a pris une pastille mentholée avant de m'embrasser. Je retourne frotter mon visage sur les poils de son torse tout en astiquant son pieu et en lui massant les fesses. Ma main s'aventure dans la raie du cul, il a l'air d'aimer. Un mec s'est mis à genoux pour le sucer, je lui caresse les tétons et les pectoraux à deux mains, il me lèche les tétons. " Viens " fait-il en m'indiquant de passer derrière. J'en rêvais : je m'équipe la queue, la capote glisse toute seule sur mon membre naturellement lubrifié, un coup de lubrifiant sur la capote et je m'enfonce dans son cul comme dans du beurre. Je suis un peu de trois quart comme ça je peux continuer à voir son torse musclé et poilu tout en l'enculant. Il lève le bras pour m'embrasser, l'odeur de sa sueur m'emplit les narines. Le mec qui s'occupait de mon cul a suivi le mouvement et continue à me fourrer la rondelle pendant qu'un autre continue à me peloter le torse, à jouer avec mes poils et mes tétons. Très vite le mec du métro se met à gémir de plus en plus fort, les mouvements de son torse accompagnent mes coups de bite dans son cul, les muscles s'agitent et se tendent sous la peau, sa toison est somptueuse, je ne me lasse pas de la caresser à pleines mains, d'y fourrer les doigts. J'accélère mes mouvements tandis qu'il accélère son halètement. Mon foutre emplit la capote dans son cul pendant que le sien gicle dans la bouche et sur la gueule du mec qui le suçait. Je reste en lui encore quelques instants, je me retire, il m'attire vers lui, peau contre peau, torse contre torse, poils contre poils, il m'embrasse.
Gill
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