La dernière soirée du maître-nageur

Fin de saison à la piscine municipale d'un village du sud de la France. Maxime était trop content d'avoir ce job d'été de maître-nageur pendant les 3 mois, juin, juillet et août. Étudiant en STAPS dans la vie, il était bien content de pouvoir gagner du fric, se faire une expérience, bosser dans un domaine qu'il aime et, honnêtement, pas trop bosser, en fait. D'autant que la natation, c'est sa spécialité, c'est son plaisir. Et la piscine se trouve dans un tout petit village qui n'est quand même pas très fréquenté l'été. Alors ce qu'il a fait pendant l'été, c'est surtout profiter du beau temps, de la chaleur, faire son taf, passer ses journées torse nu et se payer du bon temps après le boulot. Parce que Maxime, c'est 24 ans, dont 18 de pratique intensive de la natation, et donc un bon mètre 80 et 70 kilos de muscle. Alors torse nu toute la journée au bord de la piscine, inutile de dire qu'il a attiré le regard de toutes les meufs : les jeunes femmes de 20-30 ans, les petites minettes et aussi bien sûr les mères de famille qui emmenaient leur progéniture au cours de natation. Grosso modo, il s'est tapé toutes les nanas baisables qui avaient envie d'en profiter. C'était même un peu compliqué, par moments, de savoir à qui il avait filé rencard quel soir. Certaines fois, il est passé pas loin d'en avoir deux en même temps. Lui, il aurait rien eu contre, mais il voulait quand même pas avoir l'air du mec qui en profite. Parce que Maxime, c'est un dragueur, mais il met un point d'honneur à être aussi un gentleman. Les meufs, il aime bien les baiser, mais il aime bien aussi leur faire plaisir.

Ce soir, c'est son dernier soir et il a décidé de le passer seul, histoire de ranger son logement, de préparer ses affaires, de faire le point sur son été, de préparer la suite... Alors il est chez lui, il a fini de ranger ses affaires, c'est le soir, il fait encore bien chaud, il est torse nu, ça fait quatre jours qu'il est torse nu et qu'il n'a pas mis un t-shirt ni le jour, ni le soir, ni la nuit. Il lui reste un fond de whisky dans la cuisine, alors il se le verse et va pour le boire dans le salon. En passant devant le miroir, il se regarde un peu. C'est pas qu'il soit narcissique, mais il comprend bien pourquoi il plaît. Il fait encore jour, alors il observe son brbronzage, et il est assez content de lui. Il est tout blond Maxime, quand il bronze, sa peau devient dorée et ça le fait paraître encore plus blond. D'autant qu'il a les cheveux un peu longs. Des meufs lui ont déjà dit qu'elles adoraient la couleur dorée que prennent les poils de ses bras et de ses jambes quand il est bien bronzé. Et il aime bien le contraste entre les épaules, le torse, le dessus des bras, qui ont bien pris le soleil, et puis l’intérieur des bras qui est resté à l'ombre et qui est plus pâle.

Bref, il est devant son miroir, il commence à boire un peu de whisky, il est satisfait de son apparence, de son image, de sa musculature. Il se passe une main sur la poitrine. Il sait qu'il a la peau douce, plein de meufs le lui ont dit. En se passant les mains sur les pectoraux, il ébouriffe un peu ses poils. Il a les bras et les jambes assez poilues, mais du genre poil soyeux, pas dru ou rêche. Sur le torse, il a juste des poils autour du nombril et sur le bas des pectoraux. Ça lui dessine un peu comme une moustache sur le torse, qui par du plexus et remonte vers les tétons puis les aisselles. Il aime bien, ça fait ressortir ses pectoraux. Il aurait bien aimé être plus velu comme mec, mais la nature n'en n'a pas voulu ainsi et puis franchement, il va pas se plaindre. Mais quand même, il aurait bien aimé avoir une belle toison bien fournie sur tout le haut du torse, le genre qui remonte jusque dans le cou. Mais bon, là, c'est rigolo parce que quand il a un t-shirt ou même une chemise ouverte, pas un poil ne dépasse et quand il se met torse nu, on est un peu surpris de voir qu'il a quand même des poils sur la poitrine.

Il se mate dans le miroir, il est sur le point d'aller s'installer dans le canapé et puis il se dit merde, c'est le dernier soir, il a bien niqué tout l'été, il a quand même un peu la gaule, il pourrait bien s'en payer un tour tout seul et s'astiquer un coup pour fêter la fin de la saison. Et puis tant qu'à faire, c'est pas interdit de se regarder, alors il décroche le miroir et va le caler dans le fauteuil face au canapé, pour continuer à se regarder tout en commençant à se palucher. Bien calé dans son canapé, il s'étire, il se dit "quand même j'ai les aisselles vachement poilues", et on a beau passer sa vie dans l'eau, quand il soulève les bras, il se dégage une bonne odeur de fauve. Le whisky commençant à faire son effet, il se sent super détendu, il se sent bien, il ne porte pas de sous-vêtement sous son short, sa teub a toute la place qu'il lui faut pour s'épanouir et elle commence à gentiment se dilater. Il commence par se la flatter à travers le tissu du short. Un petit short court, échancré, en nylon léger. Quand il se frotte la bite à travers le tissu, ça fait doux, c'est agréable.

Alors bien sûr, ça le fait bander encore un peu plus. Il n'a ni baissé ni ouvert le short, mais il sait que le gland vient de se dégager du prépuce. Il adore cette sensation quand il commence à bander, que la queue n'est pas encore complètement raide, et il aime particulièrement savourer l'instant où la peau du zob se retrousse, où le zob devient trop grand pour que le prépuce le contiennent. D'une main, il se caresse la bite à travers le short et il se passe l'autre main sur les épaules, sur les bras, sur la poitrine, derrière la nuque... Quand il lève le bras, son aisselle dégage une odeur bien musquée ; personne pour le regarder ou le juger, alors il en profite, il tend le nez aussi près de son dessous de bras qu'il le peut et renifle sa propre odeur. Puis sa main revient sur la poitrine et là tout d'un coup, il se met à repenser au soir où il a bu un verre chez les deux Néerlandais.

Il faisait chaud, il avait fait chaud toute la journée, il faisait chaud depuis deux jours, ça faisait deux jours qu'il n'avait pas mis un t-shirt. Les deux Néerlandais lui avaient proposé de passer boire un verre chez eux, il s’était pointé chez eux torse nu, pas de problème ils étaient torse nu eux aussi. Alors une bière, deux bières, trois bières, il n'avait rien vu venir. Les mecs avaient commencé à parler de cul, normal, trois mecs ensemble, on parle de cul. Il avait pas du tout vu venir que les deux mecs étaient en train de le draguer. Que cet apéro, c'était sans doute un guet-apens. Mais bon, 24 ans et en pleine santé, la conversation avait fait son effet et Maxime ne pouvait pas cacher son érection. Les deux Néerlandais ne faisaient strictement rien pour cacher la leur, d'ailleurs. Et quand l'un était venu s'asseoir à côté de lui sur le canapé, puis que l'autre s'était mis à genoux par terre devant lui, il n'avait rien fait pour se dégager.

Pourquoi il repense à ça maintenant ? Parce qu'en se caressant la poitrine, ses doigts se sont égarés sur son téton droit et il s'est rappelé qu'avec les Néerlandais, c'était la première fois qu'on lui faisait des trucs au sein. Au début, il avait trouvé ça con, un truc de nana, et puis il s'était dit que si les meufs ça les faisait grimper au plafond, et ça il était bien placé pour le savoir, il n'y avait pas de raison que ça ne fasse pas d'effet à un mec. Et donc il s'était laissé faire et à force de caresses du bout des doigts, avec la paume de la main, avec les lèvres, avec la langue, il avait commencé à ressentir beaucoup de plaisir par les seins. Alors il est là, chez lui, c'est le dernier soir, il se paye du bon temps pour clore la saison, il s'astique un coup devant le miroir et il essaie de se faire sur les tétons ce que les Néerlandais lui ont fait l'autre soir. Et là, il faut bien dire, ça le fait bander de plus belle. Du coup, il se caresse des deux mains, une sur chaque téton, le whisky lui monte un peu à la tête et visiblement, sa queue aime bien ce que font ses mains.

Il finit par plonger une main sous la ceinture du short et empoigne doucement mais fermement son zob. Il a la queue chaude et ferme, mais souple, charnue. Il se la soupèse, se la caresse, se la pistonne lentement. Maxime, c'est pas un mec qui mouille beaucoup, mais il a quand même le gland un peu humide, c'est chaud et ça glisse, c'est bon. Il se passe la main du haut jusqu'à la base de la queue, ses doigts entourent ses boules, son majeur lui chatouille le périnée. Et là, évidemment, il se rappelle l'autre truc que les Néerlandais lui ont fait. Bien sûr, ils se sont pas risqués à vouloir le niquer, mais ils lui ont quand même baladé les mains dans le dos, sur les fesses, entre les fesses, le long de la raie des fesses, autour du trou du cul.... Et il a bien été le premier surpris de s'apercevoir que putain, c'était bon de se faire un peu chatouiller la rondelle.

Alors là, pour la première fois de sa vie, à 24 ans, il aventure son doigt vers son propre trou et le caresse. Il s'est attrapé la queue avec l'autre main, le short a glissé jusqu'aux chevilles, il finit de le quitter d'un geste du pied, il se regarde dans la glace, il voit les muscles de ses bras, de sa poitrine, de tout son torse en action. Il se dit "putain, quand même, je suis un beau mec". Il s'amuse à contracter les pectoraux. Il a bien remarqué qu'un des deux Néerlandais n'en avait que pour son torse, sa poitrine, ses pectoraux. Maxime, il est balancé comme un nageur, épaules bien larges, taille bien fine, le ventre plat et ferme, et des pectoraux bien ronds, bien fermes, en saillie sur la poitrine. Les tétons qui pointent, charnus, sur les côtés. Le tout souligné par sa fameuse moustache de poils à la base des pectoraux.

Il est content, il est heureux, il est détendu, il commence à être un peu bourré, alors il se lâche et il ose se faire ce qu'il n'a pas voulu que lui fassent les Néerlandais. Quand l'un des deux s'est sucé le doigt pour le lui introduire dans le cul, Maxime a dit non. Et puis là il se dit, "merde j'ai été con, c'était l'occasion". C'est pas la première fois qu'il s'était fait draguer par des mecs, loin de là, beau comme il est, mais comme il est pas pédé, il avait toujours fait gentiment comprendre que non merci, il était pas intéressé. Sauf que là, les deux Néerlandais, il les avait pas repérés. Les deux mecs étaient bien sportifs, bien baraqués, bien virils, bien poilus, il avait pas du tout capté qu'ils étaient pédés. Et il s'était retrouvé à faire du sexe avec eux pratiquement sans s'en rendre compte, et donc c'était l'occasion.

Alors, aidé par le whisky et l'excitation, il décide de se rattraper. Il se suce bien consciencieusement le majeur puis l'approche de son trou du cul et commence à se le fourrer dedans. Il pensait que ça lui ferait mal, mais rien du tout, c'est carrément bon. Il pensait que ça le ferait débander, mais c'est tout le contraire, il a l'impression que ça le fait durcir encore un peu. Alors il y va, millimètre par millimètre, centimètre par centimètre, il entre, il malaxe, il continue à se branler la queue, et là, il a la surprise de sa vie quand il recourbe un peu le majeur à l'intérieur de son cul et qu'il se touche la prostate par l'intérieur. Ça lui fait un truc de dingue dans tout le bas-ventre. Il commence à comprendre que quand les pédés s'enculent, il n'y a pas que le baiseur qui en profite, il y a aussi le baisé. Il a fait de l'anatomie en STAPS, donc il sait bien que ce qu'il titille là, c'est sa prostate. Il a déjà baisé des filles par le cul, mais là, il sait bien qu'elles n'ont jamais ressenti ça. Alors profitons-en, se dit-il. Il caresse, il tapote, il malaxe. Il commence à sentir une odeur bizarre et comme il s'est mis un doigt dans le cul, il se dit "merde, je pue ma propre merde". Mais non, il commence à bien transpirer, il est super excité, et c'est sa sueur qui prend une odeur plus puissante.

Il s'est assis au bord du canapé pour dégager au maximum son cul et pouvoir se doigter facilement. Il est à poil, il a les cuisses tendues pour garder son équilibre, les muscles bandés, "putain, je suis musclé quand même", il se dit. Les bras, le torse, les mains sont en action, ses muscles se contractent. Il se branle en se foutant un doigt dans le cul : "putain, j'y crois pas, je suis en train de me niquer moi-même comme un pédé". Il aime bien se regarder, il se trouve beau, il sait pourquoi il plaît aux meufs, aux mecs aussi, visiblement. Sa teub est en feu, il a l'impression qu'il est en train de vibrer de l'intérieur, alors il y va doucement mais fermement, un rythme lent mais soutenu, sa main glisse sur sa queue, sa queue glisse entre ses doigts, ça commence à s'agiter par là-dessous, ça chauffe carrément là où son doigt a pénétré, le trou du cul se contracte vivement autour de son doigt, sa queue se tend, se raidit, le foutre gicle, un jet, deux jets, trois jets, il en a plein la main, plein la cuisse, il y en a juste que sur le miroir. Il retire son doigt du cul et continue à se branler la queue, il en sort encore un peu, ça continue à vibrer à l'intérieur de lui, puis ça s'arrête, il s'arrête, s'affale sur le canapé. Il n'a jamais autant jouit en se branlant.