Adrien est bénévole dans un club de karaté. Il fait ça en dehors de son travail dans une banque. C'est le club dans lequel il a appris le karaté quand il était lui-même gamin et ado. Attaché à cet endroit, il a beaucoup aimé apprendre le sport, se développer physiquement, la camaraderie avec les autres gars du club... Et aujourd'hui, il est content de transmettre cela à la génération suivante. Il n'y a pas que de karaté dans ce club, il y a pas mal d’autres sports, notamment arts martiaux et sports de combat. Mais pour le karaté, il est seul. Et il commence à trouver que c'est trop pour lui. Alors il a demandé au conseil d'administration si on pouvait recruter un autre moniteur de karaté, quitte à ce que ce ne soit pas un bénévole mais un salarié. Accord du conseil d'administration, Adrien se met donc en quête d'un nouvel instructeur. Et en quelques semaines, il a trouvé en la personne d'Hugo. Hugo, c'est un grand gars une petite vingtaine d'années. Il est baraqué comme tout, on voit que le sport lui a donné de l'assurance et du muscle. Par contre, ça doit être ses gènes qui lui ont donné cette belle tignasse blonde et les poils blonds qu'il a partout sur les bras. Comme il est venu à l'entretien en bermuda, Adrien a pu voir qu'il en avait aussi partout sur les mollets et les cuisses, et comme il faisait chaud et que le gars portait un polo à col ouvert, il se doute qu'il en est aussi bien garni sur le torse.
La surprise, c'est quand, au milieu de l'entretien, Hugo dit à Adrien qu'il connait bien le club puisque c'est là qu'il a lui-même a appris le karaté et qu’Adrien était son moniteur ! Adrien n'en revient pas de voir la métamorphose du petit mec un peu gringalet qu'en effet il se rappelle, en un magnifique athlète de 25 ans plein de muscles et de confiance en lui. Il l'en félicite, les deux sportifs se mettent à parler de leurs parcours respectifs, du sport, du club... Bref, tout se passe bien, Hugo est engagé et doit commencer dès la semaine suivante.
Quand arrive la semaine suivante, Adrien assiste au début de la séance, constate que tout se passe bien et enchaine sur ses propres activités. Les semaines suivantes, Adrien ne se fait pas de souci, il sait que ses élèves sont entre de bonnes mains et ne passe même pas contrôler aux horaires où lui-même ne donne pas de cours. Une fin d'après-midi où il fait très chaud, il doit passer récupérer des affaires au club. C'est l'heure du cours d'Hugo et, à sa grande surprise, il voit le cours se dérouler avec Hugo et la moitié des élèves torse nu. Adrien ne s'attarde pas, mais attend la fin de la séance pour en discuter avec lui. La discussion s'engage dans le bureau. Adrien explique à Hugo que c'est pas très réglo de faire mettre les élèves torse nu pour le cours. Hugo se justifie :
– Mais écoute, il faisait une chaleur à crever, c'est les gars qui se sont plaints de la chaleur, et il y en a un qui a demandé s'il pouvait se mettre torse nu. J'ai commencé par dire non puisque, comme tu dis, c'est pas très réglo, mais c'est eux qui ont insisté. Ils étaient plusieurs à me supplier de pouvoir s'entrainer torse nu. Quand il y en a un qui a quitté son haut de kimono, j'ai quand même pas pu l'en empêcher, je voulais pas non plus le virer du cours, plusieurs autres on fait de même... et voilà, la moitié des gars se sont retrouvés torse nu.
– OK, OK, mais quand même, tu devais montrer l'exemple, je comprends pas que toi aussi tu aies viré ta veste.
– Écoute, tu as vu la chaleur qu'il fait, franchement, la moitié des mecs étaient déjà torse nu, je crevais de chaud moi aussi, et tu sais bien qu'on peut faire des trucs différents en entrainement quand on est sans veste; Alors j'ai décidé d'en profiter et d'en faire un exercice. D'ailleurs, ça m'étonne que tu dises ça, parce que je me rappelle très bien que quand tu étais mon prof, tu nous faisais souvent mettre torse nu à l'entrainement pour pouvoir pratiquer certaines prises sans être gêné par le kimono ! Et de toute façon, de toi à moi, en karaté, ça fait pas une grande différence qu'on ait la veste ou qu'on soit torse nu, vu qu'il n'y a pas de prise par le kimono...
La discussion se poursuit, Adrien est bien obligé de reconnaitre qu'Hugo n'a pas tort. Il se rappelle bien les séances où on s'entrainait torse nu, c'est juste que les mœurs ont changé et que les parents et les jeunes trouvent ça moins normal aujourd'hui de pratiquer un sport en club dans cette tenue. Pourtant Adrien se rappelle bien, c'est vrai qu'il pouvait faire travailler différemment, parfois mieux rectifier un geste ou une posture quand lui et ses élèves s'entrainaient torse nu... Et d'ailleurs, il n'est pas déçu de voir son jeune collègue ainsi dévêtu. Il s'était rendu compte à l'entretien qu'Hugo était bien baraqué et bien poilu, mais il est content de le constater pour de vrai ce jour-là. Il commence d'ailleurs à transpirer un peu fort et même à triquer pas mal dans son pantalon de ville. Hugo n'a pas l'air de le remarquer, même si Adrien a un tout de même l'impression qu'il le regarde d'un air un peu goguenard.
– Excuse-moi si j'ai fait une connerie, fait Hugo, et puis excuse-moi pour l'odeur... Il fait une chaleur à crever et on s'est vraiment dépensés pendant le cours, je dois sentir le fauve.
En entendant ces mots, Adrien croit défaillir car effectivement, Hugo dégage une forte odeur de mec qui envahit l'atmosphère. Mais ce n'est pas pour déplaire à Adrien qui aime bien ce genre d'odeurs mâles. L'incident se conclut par une claque dans le dos, Adrien est bien content de pouvoir poser sa main sur la peau nue de son jeune collègue. Le contact du muscle et de la peau chaude et moite lui envoie des petites décharges dans tout le bras.
Lors de sa séance suivante, c'est Adrien qui tout d'un coup se rappelle la discussion avec Hugo et, sans l'avoir préparé, en improvisation totale, propose à son groupe où il n'a que des garçons de quitter la veste de kimono pour faire la suite de l'entrainement torse nu. C'est pas obligatoire, précise-t-il, mais il explique l'avantage que ça présente et puis de toute façon, il fait chaud... Aucune protestation, bien au contraire, tous les gars acceptent avec enthousiasme, tout le monde se met torse nu, Adrien compris bien entendu, et la séance se poursuit dans une atmosphère à la fois joviale et combative. Adrien se dit que le fait d'être tous torse nu a sans doute soudé le groupe et renforcé l'esprit de combativité. Fin de la séance, il retourne au bureau la veste sous le bras, tandis que les garçons partent tous au vestiaire.
Arrivé au bureau, il a la surprise de tomber sur Hugo en train de poser ses vêtements de ville, qui l'accueille avec un "salut" sur un ton un peu amusé et avec un petit air rieur dans le regard.
– Ben quoi, qu'est-ce qu'il y a ? On dirait que quelque chose t'amuses où que tu te fous de ma gueule...
– Non rien du tout, mais avoue que c'est plutôt marrant, je suis passé ici prendre une douche vite fait après le boulot avant de ressortir, parce que j'ai transpiré toute la journée, je pue et j'ai un rencard ce soir... Et quand je suis passé devant la salle d'entrainement, j'ai trouvé ça marrant que, même pas une semaine après m'avoir engueulé d'avoir laissé mes gars s'entrainer torse nu, toi, tu as fait toute une séance où les mecs s'entrainaient sans leur haut de kimono !
La discussion s'engage, Adrien reconnait qu'il a voulu essayer quelque chose, précise que les gars étaient tous d'accord et même enthousiastes... Hugo rigole : "Te justifie pas vis-à-vis de moi, vraiment y a aucun souci." Et tout en discutant, il commence à se désaper. Adrien, qui était resté torse nu, quitte également son bas de kimono, même si ça commence à gonfler un peu dans son boxer, à force de parler d'entrainements torse nu et surtout de voir Adrien se déshabiller petit à petit. Le déshabillage, c'est tout un art, et Hugo est visiblement un expert. Il porte un t-shirt à manches longues près du corps et pour l'enlever, il a ce geste qu’Adrien aime tant, où il prend le vêtement par le bas et le retire du bas vers le haut en croisant les bras. Son ventre puis sa poitrine se dénudent progressivement. Ça prend pas longtemps, juste quelques instants, mais Adrien se délecte de chaque fraction de seconde où il voit un peu plus de la peau claire et généreusement garnie de poils se révéler sous ses yeux. Au moment crucial de passer la tête par l'encolure, Hugo a les bras entièrement levés et les aisselles exposées, les poils y sont touffus, un peu plus sombres que sur le torse et collés par la sueur.
Une fois torse nu, Hugo lance un grand sourire à Adrien. "Ça va mieux comme ça", fait-il. Et sans cérémonie, il laisse tomber son pantalon de ville et son sous-vêtement pour aller prendre sa douche. Adrien est bouche bée. Hugo à ce genre de zob tellement conséquent qu'il ne pend pas directement à la verticale au repos, il part d'abord à l'horizontale puis se recourbe là où il pend de tout son poids, du haut vers le bas. Un sexe somptueux, étrangement sombre vu le teint pâle de l'individu, rectiligne et charnu, planté au milieu d'une belle touffe de poils châtain clair et frisés. "Ben quoi ?, fait Hugo, qu'est-ce qui va pas ? T'as l'air tout pâle". Effectivement, Adrien est tellement frappé par la beauté, la vigueur d'Hugo et le naturel avec lequel il s'est foutu à poil devant lui qu'il en a la tête qui tourne et les jambes qui tremblent. "Oui je sais pas, je me sens tout drôle..."
Alors, dans le plus simple appareil, Hugo vient à la rescousse de son ainé, l'aide à s'asseoir sur le rebord du bureau, accompagnant ses mouvements de gestes prévenants, lui posant ses belles mains musclées et rassurantes un peu partout là où il faut, sur les bras, le dos, les épaules... Pour regagner son équilibre, Adrien lui-même prend appui sur Hugo, une main posée sur le haut de son bras. Le contact à nouveau de cette chair jeune et musclée et de cette peau chaude et moite n'arrange pas son trouble, mais donne encore plus de volume à son paquet. Son début d'érection est tellement soudain et puissant que ça bouge à vue d'œil sous son boxer. Hugo s'en amuse.
– Eh ben écoute, je sais pas si tu es en train de nous faire un malaise, mais visiblement de ce côté-là tu m'as l'air en forme !
– Excuse-moi, je sais pas ce qui m'arrive, c'est la chaleur sans doute.
– Cherche pas des excuses, c'est un peu normal, non ? Entre mecs, dans un vestiaire, moi à poil, toi torse nu, rien de plus normal, non ? Allez, je vais être franc, je t'ai toujours kiffé quand j'étais plus jeune et que tu étais mon prof. D'ailleurs, puisqu'on en parle, j'adorais ces séances où tu nous faisais mettre torse nu parce que je savais que j'allais te voir toi aussi torse poil... Et depuis que je suis venu pour l'entretien, j'ai bien vu que tu me regardais pas comme un simple collègue. Allez, pas de chichis, embrasse-moi.
Pendant qu'il disait ces paroles, le sexe d'Hugo a commencé à prendre des proportions encore plus conséquentes, Adrien a le regard rivé sur la bête qui s'est réveillée sous ses yeux, la hampe a gonflé progressivement, le chibre a commencé à enfler avant de se dresser peu à peu, d'abord lourdement pour passer de la verticale à l'horizontale, la masse de la queue la retenant vers le bas, puis, par palpitations successives, le sexe s'est dressé majestueusement, ferme et droit, raide et massif comme un poteau. Au moment où Hugo prend Adrien par les épaules pour poser les lèvres sur sa bouche puis enfouir sa langue et la mêler à celle d’Adrien, ce dernier a eu le temps de voir le pieu commencer à se décalotter, le méat se révéler, le gland luire et une goutte limpide perler au bout du zob.
Adrien s'abandonne au baiser du jeune Hugo, il se laisse porter par la force des bras du bel athlète dont les muscles durcissent sous son poids. Lui qui est habituellement plutôt dominant quand il se fait des mecs, il profite de la force d'Hugo pour se laisser aller. Il tend tout de même la main vers le torse poilu du jeune homme, descend bien vite vers la somptueuse bite qu'il a vu s'éveiller et bander sous ses yeux, il se cramponne au pieu du jeune mâle tout en embrassant goulument sa bouche si généreuse. Les baisers d'Hugo sont enfiévrés, Adrien n'a pas baisé avec un mec de cet âge depuis un moment, il est frappé par l'appétit de chair et de sexe qu'exprime Hugo, dont les baisers lui descendent le long du cou, lui parcourent tout le torse, s'attardent sur ses tétons et son ventre, fouillent son nombril. Adrien est maintenant allongé sur le flanc à même le bureau et Hugo plonge le nez et la bouche dans son entrejambe, murmure des trucs cochons sur les poils de son torse et l'odeur de sa queue, et lui malaxe le sexe à travers le tissu avec les mains, avec le museau, puis avec la bouche.
Adrien sent son boxer se tremper de mouille, sa queue dégouline. Lui, d'habitude, c'est après qu'il mouille, en débandant, pas avant quand l'excitation monte. Mais là, sa queue bande et suinte à fond, son boxer se trempe aussi de la bouche d'Hugo qui lui saisit la tige avec les lèvres, avec la bouche, lui passe la langue dessus à travers le lycra. La bouche d'Hugo est chaude sur son chibre, ses mains parcourent le torse d’Adrien qui ne peut que s'abandonner. Puis Hugo se redresse pour de nouveau l'embrasser sur la bouche et sur le torse, Adrien lui empoigne les épaules, les bras, les pectoraux, parcourt avidement son torse velu, lui passe une main sous les bras trempés de sueurs, puis la porte à son nez pour humer l'odeur de jeune mec en rut. La queue d'Hugo est à portée de sa bouche, il la gobe, la lèche, la pompe avidement. Hugo lui décoche un grand sourire ravi et conquérant, il commence à lui ramoner la gueule avec de lents mouvements du bassin, Adrien se dit que ce jeune mec doit aimer voir son gros zob entrer et sortir de sa bouche... Hugo gémit et encourage Adrien à le pomper : "Vas-y, prends-la, suce-la bien", lui dit-il d'une voix chaude. Pendant ce temps il se caresse le torse et les tétons, Adrien a la bouche emplie du sexe d'Hugo et son excitation est décuplée en regardant le jeune mâle flatter son propre torse musclé, effleurer ses propres tétons charnus, plonger les doigts dans sa propre fourrure blonde dont il fait encore plus ressortir le volume. Adrien admire les poils qui envahissent le torse d'Hugo, se fondent avec la touffe qui entoure son zob, soulignent le galbe de sa poitrine, lui remonte jusque dans le cou et se perdent dans les poils de sa barbe de fin de journée. D'en bas, il a une vue imprenable sur son torse somptueux, sur les gros tétons dodus qui couronnent sa poitrine, et sur ses aisselles chaudes et poilues, trempées de sueur.
"Je vais te baiser, tu veux ?" lance Hugo. Adrien dit qu'il a un peu peur de se faire défoncer par un si gros engin, il n'a jamais pris une bite d'un tel gabarit dans le cul. "Je sais, ça impressionne au début, mais t'en fais pas, avec un calibre pareil, j'ai dû apprendre à y aller doucement et tout le monde me dit que j'encule à merveille..." Hugo commence par approcher sa bouche du cul d’Adrien, il lui lèche goulument la rondelle, introduit le bout de la langue dans le cul qui se dilate un peu, puis il se redresse et lui plonge un puis deux doigts dans l'orifice. Pendant qu'Hugo le doigte en lui lançant un regard profond et un franc sourire, Adrien plonge encore et toujours les yeux et les doigts dans l'abondante toison du jeune mec. Capote, gel, bave et beaucoup de dextérité font ensuite leur office, Adrien est posé sur le rebord du bureau, Hugo le soutient tout en fléchissant les genoux pour le prendre bien par en bas, Adrien pousse pour accompagner le passage du gros gland charnu. Un cri mêlé à un gémissement et c'est fait, la chose est en lui, Hugo l'embrasse, se débrouille pour lui caresser les poils du torse et lui exciter les tétons tout en le soutenant d'un bras ferme. Adrien se laisse magistralement défoncer, la tige d'Hugo lui fouille les entrailles, lui racle la prostate et lui procure des sensations folles. Hugo lui a saisi la queue, "j'aime te branler le manche", lui fait-il entre deux baisers.
"Laisse-moi regarder ton torse, supplie Adrien, ça fait longtemps que j'ai pas baisé avec un mec aussi poilu". La chaleur monte entre les deux torses nus et poilus, l'odeur de mec, de sueur, de bave et de cul monte à la tête d’Adrien. Il ne cesse de plonger les doigts dans la fourrure blonde de son jeune enculeur. La vigueur de son manche ne cesse de l'emplir de l'intérieur, il sent la tige rigide et élastique palpiter en lui, sa rondelle à lui palpite autour du manche. Hugo accélère et décélère la cadence tout en branlant fermement la queue d’Adrien. Celui-ci jouit lentement, un filet de sperme lui suinte du bout du zob, puis son cul se resserre violemment autour du pieu d'Hugo quand, en plusieurs spasmes successifs, de belles et longues décharges de foutre se déversent sur son torse, dans sa toison, dans les mains d'Hugo. "Je ressors ?" Adrien fait signer que oui et, en quelques instants, Hugo s'est délicatement retiré de son cul, a ôté le caoutchouc de son manche et se branle consciencieusement avec la main pleine du jus d’Adrien. Puis il lui envoie dans les poils du torse plusieurs bonnes rasades de foutre bien chaud et bien odorant. Les deux mecs s'enlacent haletants, le sperme leur colle à la peau et aux poils, la sueur coule entre leurs deux torses nus et velus. "J'aime te baiser" susurre Hugo avant de lui lécher l'oreille et le cou. Adrien voudrait que ça ne s’arrête jamais.
Gill
gillym9@yahoo.com
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