Vendredi soir, je sors de la gym, j'ai bien sué sur les machines, il y a avait des mecs canons à la salle de sport, j'en ai reluqué quelques-uns sous la douche et au sauna, je me sens pas mal excité. Il fait beau, je sors de la salle de sport en short et marcel, je sens le soleil de fin de journée sur ma peau. Je me rappelle que je dois passer me faire expliquer un truc sur mon nouveau téléphone portable, il est pas tout à fait 19h, alors je fais un saut chez Orange. On me dirige au premier étage au service technique et je suis tout de suite frappé par la chaleur qu'il fait et par la beauté des trois techniciens. Deux ont dans les trente ans, le troisième a une belle quarantaine. Tous trois sont de beaux morceaux, dans le genre viril qui prend soin de soi et qui se met en valeur, muscles pris dans des chemises près du corps, manches retroussées sur des avant-bras et des poignets virils. Je m'adresse au premier qui se présente, un des trentenaires, et c'est un peu dur de me concentrer sur ce que j'ai à lui demander parce que mon regard est rivé sur sa chemise cintrée qui moule son torse au point que ça baille entre deux boutons juste en dessous de la poitrine et qu'on entrevoit un centimètre carré de peau et de poils. Des poils, il s'en échappe aussi par le col ouvert de sa chemise : c'est châtain, ça frise, ça m'excite à mort. J'explique au mec que j'arrive pas à sauvegarder des photos sur mon compte en ligne quand je suis en connexion wifi. Il prend le téléphone, regarde ça, trouve, s'approche de moi pour me montrer ; là, c'est pas de voir le haut de son torse poilu qui m'excite, c'est de le sentir contre moi ; et quand je dis que je le sens, je veux dire que le mec a passé l'après-midi dans un local bien chauffé et qu'il dégage une riche odeur de sueur. Pendant ce temps, les collègues sont partis parce que c'est 19h passées : " Tu fermeras, Fabien ? " Oui, oui, répond-il, on est seuls, il me montre comment faire. Je comprends pas tout de suite et, j'avoue, je fais durer la manip parce que je suis tout chose de l'avoir à mes côtés ; comme je suis en marcel j'en profite pour me coller un peu à lui au niveau des épaules. Et vu qu'il a retroussé ses manches de chemise, ses avant-bras poilus frôlent parfois les miens et je commence à avoir la gaule.
Et là, il arrive le truc auquel il fallait s'attendre : on est dans ma galerie de photos et on tombe sur des photos de moi torse nu. Je fais un " Oh, excusez-moi " à peine crédible et le mec répond sans ciller : " Non, non, pas de problème, c'est très bien. D'ailleurs, je vois que vous venez de faire du sport : ça vous réussit on dirait ". Je le remercie du compliment, je le lui retourne et lui demande ce qu'il pratique comme sport : la natation. " J'aurais dû m'en douter, musclé comme vous êtes ". Il rougit un peu et on enchaine sur le sport, garder la ligne, la fin de la trentaine, le début de la quarantaine, le ventre, les cheveux blancs etc. Je lui dis que j'ai 46 ans et que depuis la photo j'ai pris un peu de bide et surtout que les poils de mon torse blanchissent par endroits. Ça le fait marrer, je lui dis que c'est pas marrant du tout et je remonte mon marcel pour lui montrer mon ventre. " C'est rien du tout ". Je me jette à l'eau et je lui dis de toucher pour voir, ce qu'il fait et là, je me dis que c'est sérieusement en train de dégénérer. D'autant que sa main est chaude contre ma peau, ce qui aggrave mon début d'érection... " Et les poils blancs ? " me fait-il. Il n'en faut pas plus, je vire le marcel et, torse nu, je lui fais voir le creux des pectoraux où ça blanchit sérieusement. Je lui fais :
- Vous, vous avez pas ce genre de problème, je pense, à votre âge.
- Non, moi le problème, c'est le bide.
- Fais voir.
- Quoi ?
- Eh ben, fais voir, mets-toi torse nu.
Il rougit, hésite, s'exécute et, un à un, défait les boutons de sa chemise cintrée qui commençait à être sérieusement humide sous les bras ; j'ai toujours trouvé ça assez excitant quand les mecs ont des roues de vélo sous les bras et surtout la marque de transpiration de la chemise ou du t-shirt qui a collé au creux du dos. Dès qu'il a la chemise ouverte, je lui tâte le ventre, et une fois qu'il est torse nu, je l'attire vers moi, je lui caresse le torse, les poils qui couvrent sa poitrine, je lui susurre " j'aime bien t'avoir torse nu contre moi " et je l'embrasse. Le gars s'abandonne complètement. Je me dis que ça doit être le genre de petit mec viril qui joue souvent les dominants, mais qui rêve qu'on le prenne en mains. Si c'est ça, il est bien tombé avec moi. Tout en m'offrant sa bouche il pétrit mes pectoraux, perd ses doigts dans l'épaisse toison de mes poils bouclés.
Et c'est là que je vois, médusé, le collègue quadra qui nous regarde depuis l'entrée de la pièce. Quand je dis médusé, c'est autant moi que lui. Il avait dû oublier quelque chose au boulot et il est revenu le chercher après la fermeture. Tout en embrassant et en caressant mon petit technicien torse nu, je le regarde droit dans les yeux et je lui fais signe de la main qu'il s'approche, ce qu'il fait à pas de loup : une barre oblique ponctue l'entrejambe de son pantalon serré. Il y a du monde là-dedans, on dirait : je sais pas de quel bois il se chauffe, mais ce qu'il a vu l'a rendu bien raide. Et à propos de roues de vélo, sa chemise est trempée sous les bras ; il a défait un ou deux boutons et c'est magnifique de voir s'avancer ce beau mâle qui bande et qui laisse dépasser du col de chemise une bonne touffe de poils noirs. Il a les cheveux grisonnants, le poil de barbe qui blanchit ; on sent qu'il y a du méditerranéen en lui. A mesure qu'il s'approche, son odeur s'affirme dans la pièce surchauffée et se mélange à celle du petit trentenaire qui va se faire prendre et à la mienne. Quand il est à portée de main, je caresse la joue du quadra et je me dépêche de descendre vers son paquet pour le palper : il me laisse faire et ferme légèrement les yeux, signe que monsieur est consentant.
Mon jeunot s'est aperçu qu'il se passait un truc, je lui murmure " tout va bien, t'en fais pas ", il se retourne, voit son collègue, semble paniquer, je lui prends la tête pour l'embrasser de nouveau puis, j'avise le collègue, lui fais ce signe de la tête qui veut dire un peu ce qu'on veut : " c'est quoi ton problème ? " ou bien " tu veux quoi ? " ou encore " vas-y, fais voir ". Il a l'air d'opter pour la troisième solution car il défait son bouton de pantalon, sa braguette, descend l'élastique du slip et laisse surgir un beau morceau de bifteck bien gonflé, bien veineux et bien mouillé. J'empoigne, je soupèse et je branle doucement. Puis, je glisse une main dans l'encolure de sa chemise et mes doigts commencent à se perdre dans ses poils ; ma queue en a un sursaut, elle bande à mort, mon calebute en est tout trempé. Je défais un à un les boutons de sa chemise, il se laisse faire en s'astiquant. Le jeune a enfin compris que c'est le moment de se mettre à genoux et de sortir mon dard pour commencer à me pomper.
J'ai les deux mains libres pour caresser le torse poilu du quadra et lui palucher la bite. Je défais ses boutons de chemise, il la quitte, il est torse nu devant moi et je n'en crois pas mes yeux d'autant de beauté, de virilité et de sex-appeal. Il a les épaules carrées, des pectoraux puissants, à peine de ventre, les poils de son torse se perdent jusque dans sa barbe et il a des bras et un torse musclés à souhait sans que ce soit une machine gonflée. Je palpe ses pectoraux et ses avant-bras musclés et poilus, ma main saisit l'épaisseur du poil entre les doigts. Mon excitation est à son comble vu que le petit jeune me suce avec avidité. Il faut dire que je suis plutôt bien doté et que je bande à fond, il doit en avoir jusqu'aux amygdales. Je retire ma queue parce que sinon je vais pas tenir longtemps, et j'ai trop envie de le baiser. Je lui tourne la tête vers la queue du collègue et il en fait son affaire : le collègue apprécie, laisse échapper un râle, ferme les yeux, ronronne comme un fauve, j'en profite pour continuer à caresser son poitrail velu, il a des poils qui lui remontent du torse sur les épaules, j'adore. Je m'approche pour humer son odeur de mec, frotter mon visage contre son cou et ses joues, il m'attrape par les cheveux, j'aime bien, j'en profite pour descendre lui lécher les tétons tout en caressant les miens : j'ai toujours adoré faire ça en miroir, ressentir sur mes tétons l'excitation que je donne à ceux d'un autre. Je sais pas s'il est hétéro et s'il a l'habitude de se faire lécher les seins, mais il me repousse pas alors je continue.
C'est là que monsieur quadra viril décide de virer son pantalon et son slip, alors je me dis qu'on passe à la vitesse supérieure ; je fais de même, on fait relever le gars trentenaire, pendant quelques instants on reste collés tous les trois, j'embrasse mon trentenaire, le quadra nous caresse le dos à tous les deux, me caresse les fesses, je lui rends la pareille : elles sont musclées comme les miennes, mais les siennes sont plus velues et j'adore sentir les poils de tout son corps sous ma main. Alors il approche son visage du mien et m'embrasse avant de rouler un patin à son collègue. Je me dis qu'on est bien chauds tous les trois, trois mecs poilus pleins de muscles et de testostérone, ça va donner. Pendant ce temps le jeune qui n'était toujours que torse nu finit de se désaper, on est tous les trois à poil - et quand je dis à poil, il y en a du poil ! Le quadra et moi échangeons un regard, on avise le jeune : " Monte sur la table, on va te prendre ", lui dis-je. Il ne se fait pas prier et c'est beau de voir son corps vif et musclé sauter d'un bond pour s'asseoir sur le bord de la table. Il se met sur le dos, jambes écartées, j'ai déjà mis une capote, mais je commence par lui bouffer le cul, histoire de le préparer. Pendant ce temps, le collègue s'est mis à genoux au-dessus de lui et lui donne sa queue à sucer : il lui fait des allers et retours de bite et, quand je relève la tête, je vois son cul musclé qui se contracte et s'agite, alors j'en profite pour lui caresser les fesses au passage. Je fais mettre le jeune sur le côté parce que, pendant que je le baise, je veux profiter du torse musclé et poilu du quadra. Tout le monde se met en place pour un bon truc à trois où j'encule le jeune à qui je caresse le torse, le ventre, les poils, les jambes, les muscles, et qui suce le quadra qui lui aussi caresse le jeune, lui passe la main dans les cheveux, mais se caresse aussi le torse : voir un mec musclé et poilu se caresser le torse, ça m'excite presque autant que de le lui faire. J'ai déjà enfoncé la queue bien profond dans le trou du jeune, passage un peu dur au début, mais tous les mecs me l'ont dit : j'encule comme un dieu ! Je commence à faire des va-et-vient bien rythmés, ça impulse la pipe magistrale que le jeune prodigue au quadra, ils ont tous les deux l'air aux anges ! Moi, je sue comme une bête et j'adore ça, je sens la sueur qui me coule le long des flancs, dans les poils du torse. Dans le cul du trentenaire, c'est comme du velours, c'est doux et chaud ; le quadra entre et sort la bite de la bouche du jeune, j'en ai des frissons rien que de voir apparaitre ce magnifique morceaux de queue ferme, veiné et luisant, sans parler du reste du bestiau qui va avec. Ce type est une splendeur, je lui passe une main le long du bras, sur le poitrail, dans les poils du torse. Il sort la queue de la bouche du jeune et lui gicle sur le visage et sur le torse, à cet instant, le jeune pousse un râle et lâche tout sur la table et jusque sur le sol, et immédiatement, je vide mon foutre dans son cul.
On est restés comme ça un moment, à poil, vautrés sur la grande table de chez Orange, à se caresser et à s'embrasser, on s'est encore un peu branlés parce que, gaulés, musclés et chauds comme on était tous les trois, on a à nouveau bandé bien raide, on s'est à nouveau sucés, même si le quadra n'a sucé personne, puis, il a fallu partir.
Gill
gillym9@yahoo.com
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