LE MEC : Pardon, je me pousse si vous voulez.
DAVID : Non, non, c’est bon, c’est juste pour photographier le graffiti, là, en haut.
LE MEC : Lequel ? Ah ouais, il est pas mal… vous avez vu celui qui est au coin de la rue à gauche en descendant vers le boulevard ?
DAVID : Non, c’est dans quel genre ?
LE MEC : Un chien qui tombe du dernier étage de l’immeuble.
DAVID : Marrant, je vais aller voir.
LE MEC : Tu fais souvent des photos de graffiti ?
DAVID : Ouais, j’aime bien, il y en a des vraiment beaux, des marrants, des graffiti politiques que je trouve intelligents…
LE MEC : Moi je les prends pas en photo mais j’aime bien. Tu es photographe ?
DAVID : Amateur…
LE MEC : Tu fais des photos de quoi surtout ?
DAVID : Ben à part les graffiti et les photos de vacances [rires] je fais quelquefois des portraits.
LE MEC : Des portraits de gens que tu connais ?
DAVID : Ouais, des gens que je connais, des gens que je rencontre…
LE MEC : Pas mal. Bon ben, bonnes photos, à une prochaine.
DAVID : Ouais à une prochaine… je, je peux te dire quelque chose de personnel ?
LE MEC : Euh… oui, bien sûr !
DAVID : J’aime beaucoup les poils que tu as dans le cou sur le devant… je trouve ça cool que tu les rases pas.
LE MEC : …
DAVID : Ça t’embête pas que je te dise ça ?
LE MEC : Non, non… pas du tout, c’est… c’est un peu surprenant, c’est tout… on m’a jamais dit ça, disons…
DAVID : Non, c’est juste qu’il y a plein de mecs qui se rasent tout ce qui dépasse du col, je trouve ça cool que tu laisses pousser les poils qui te remontent dans le cou.
LE MEC : Ben merci.
DAVID : Pas de quoi ; en fait je me demandais si tu en avais plein le torse ou si c’est juste là.
LE MEC : …
DAVID : Non, excuse-moi, je suis con…
LE MEC : Non… c’est pas grave…
DAVID : Je peux… je peux toucher ?
LE MEC : Euh, ben, c'est-à-dire que… oui, vas-y…
DAVID : Suis-moi dans l’entrée de l’immeuble.
[Ils entrent dans le hall de l’immeuble]
DAVID : C’est doux… ils sont doux tes poils.
LE MEC : Ben, merci…
DAVID : Fais-moi voir comment c’est en-dessous…
LE MEC : Vas-y.
DAVID : OK j’y vais. [Il déboutonne la chemise du mec.] Oh la vache, c’est encore mieux que ce que j’imaginais… putain ce torse, t’es magnifique, mec… vas-y, mets-toi torse nu.
LE MEC : Torse nu ?
DAVID : Ouais, torse nu, vire ta chemise, vas-y.
LE MEC : Ici ? Non, suis-moi : dans le couloir des caves.
[Il pousse une porte et ils descendent au sous-sol.]
DAVID : Vas-y maintenant, mets-toi torse nu. [Le mec se met torse nu.] Putain, t’es chaud comme mec : t’es musclé, t’es poilu comme tout… t’es bronzé on dirait : tu dois passer ta vie torse nu l’été, non ?
LE MEC : Ouais, j’aime bien nager…
DAVID : Ça se voit, vu comme t’es musclé.
LE MEC : Allez, à toi : torse nu ! [David se met torse nu.] Eh ben, tu te débrouilles pas mal côté poils ! Sacrée moquette… c’est pas trop mon truc, moi j’aime les nanas, mais j’avoue : dans le genre mec, t’es plutôt sexe !
[David a empoigné le torse du mec, le caresse, lui pétrit les pectoraux, plonge les doigts dans ses poils ; il lui passe une main dans le jean et saisit sa queue.]
DAVID : Elle me plaît, ta queue… fais-la moi voir.
LE MEC : Le coup du graffiti c’était juste pour me draguer ?
DAVID : Non, je voulais vraiment le prendre en photo, mais c’est vrai que ça m’a permis de te mater… fais-moi voir ta queue.
[Le mec défait la braguette de son jean, baisse son caleçon sous le jean, sort sa queue : il bande.]
LE MEC : Suce-moi. [David se baisse et prend la queue du mec en bouche.] Hmm, vas-y… suce-moi à fond… hmm, ouais comme ça… tu voulais ma bite ? Tu vas l’avoir… tiens, t’aimes ça quand je te fous des coups de bite dans la bouche ? Relève-toi.
DAVID : Elle est bonne ta queue.
LE MEC : T’en veux plus ?
DAVID : Ouais, tout ce que tu veux.
LE MEC : OK, baisse ton froc… [David s’exécute] Beau cul… les portraits, c’est des mecs à poil, je parie ?
DAVID : On peut rien te cacher !
LE MEC : Il me plaît bien ton cul, elles sont bien rondes tes fesses, sacrément poilues aussi ! T’aimes ça quand je te fous deux doigts dans le cul ? Les filles, souvent, ça les fait flipper quand on leur fait ça ; toi t’aimes bien ça, hein ?
DAVID : Ouais, j’adore, continue, vas-y, j’en veux plus.
LE MEC : Plus ? Comme ça : trois ? … Quatre ? Tu veux que je remue ? Tiens, je remue…
DAVID : Baise-moi avec ta queue ! T’as une capote ?
LE MEC : Toujours, on sait jamais ce qui peut se présenter… une gonzesse, un mec… toujours prêt à baiser, moi ! Aujourd’hui c’est ton cul. Hier, c’était un mec que j’ai croisé aux chiottes au café : il me reluquait, je lui ai demandé s’il voulait baiser, il a dit oui, je l’ai baisé dans les chiottes du café.
[David se pose sur un rebord du mur et tend son cul en faisant face au mec.]
DAVID : Baise-moi… ouais, comme ça… aïe, doucement, vas-y je t’aide. Hhhhh… ouais, hmm, ah, elle est bonne ta queue, elle est grosse.
LE MEC : Ouais, elle te plaît hein ? C’est ça, caresse-moi le torse, t’aimes ça, ma fourrure ? Vas-y lèche-moi ! Hmm, ta langue, elle est bonne, ça fait du bien…
DAVID : Putain, j’aime ton torse, j’aime tes poils, j’aime ta queue, baise-moi fort.
LE MEC : Tiens ! … Et tiens encore ! … Han ! … J’aime bien défoncer ton cul ! Han ! … Branle-toi, je te caresse les seins, c’est ce que tu veux ? Les meufs c’est pareil, tu sais, elles adorent qu’on leur caresse les seins.
DAVID : Ouais, caresse-moi le torse, j’adore ça… aaah, ouais… ouh ! Putain qu’est-ce que t’en as une grosse et qu’est-ce que tu sais bien t’en servir… aaah…
LE MEC : Ouais, ça va, ça te plait ? Tiens, t’aimes ça, hein, le gros mâle qui te plante son dard dans le cul… tiens, encore… putain, je sens que tu vas me faire jouir… tu la sens, là, qui gonfle dans ton cul ?
DAVID : Oh ouais, putain, moi aussi je vais jouir…
LE MEC : Attends un peu…
DAVID : Non, laisse-moi jouir et après tu me jouis dessus ! Aaaah, ouais, aaaah, là, putain, c’est bon, je jouis avec ta bite qui me défonce le cuuuuuul !!
[David jouit, le mec se retire, vire la capote et se branle au-dessus de David.]
LE MEC : T’es bon, tu sais ; il est bon ton cul… hmmm… t’es beau quand tu jouis. Putain, t’es couvert de sperme, t’en as plein le torse, miam… [Il passe la main sur le torse plein de sperme de David puis se la lèche.] Ouais, c’est bon… c’est bon…
DAVID : Quel gourdin, tu m’étonnes que j’avais le cul défoncé… vas-y, branle-toi, caresse-moi, astique-toi… ouais, comme ça, tiens, je te caresse les boules, t’aimes ?
LE MEC : Non, caresse-moi plutôt le torse… Oh ouais, c’est ça… hmmm, caresse-moi le torse pendant que je me branle et que je te pelote le cul… oooooh, ça vient, ça vient…
DAVID : Jouis-moi dessus, vas-y, vise la bouche, oh, putain, t’es beau quand tu te branles, presque autant que quand tu me baises, ouah, ton torse en pleine action, tu sues mon salaud, c’est beau ! Embrasse-moi. [Le mec embrasse David.] Vas-y, décharge pendant que je te caresse le torse.
LE MEC : Ouais, tu vas voir… haaan ! Tiens, ça, ouais ! Et encore ça !
[David lèche le sperme qui lui a atterri sur les lèvres, attrape les épaules du mec, ils s’embrassent goulûment.]
Gill
gillym9@yahoo.com
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