Semaine chargée à la banque, on est vendredi fin d’après-midi et Adrien a accepté un ultime rendez-vous. Normalement le vendredi, il ne prend pas de rendez-vous au-delà de 16h pour avoir le temps de boucler ses dossiers avant de partir en weekend. Mais là, c’est particulier, c’est un jeune client qui a vraiment besoin d’un prêt et Adrien ne veut pas lui faire faux bon. Il ne voudrait pas que ce jeune entrepreneur plein d’avenir file vers la concurrence. Comme le mec est très travailleur, il a demandé rendez-vous le plus tard possible et c’est donc presque à la fermeture qu’Adrien a accepté de le recevoir. On est vendredi, les collaborateurs de l’agence partent souvent tôt, ils ne sont donc plus que trois au boulot lorsque arrive monsieur Dos Santos. C’est vendredi, fin d’après-midi, l’ambiance est plus décontractée au boulot, c’est toléré de recevoir les clients sans cravate. Comme il fait chaud, c’est également toléré de les recevoir sans veste. Adrien a les manches retroussées et le col déboutonné, il a osé deux boutons, histoire d’être à l’aise, et l’ouverture de sa chemise révèle les premiers poils de son torse. Il sait bien que ça ne laisse pas indifférent un certain nombre de ses collègues. Certaines meufs, bien sûr, et aussi un ou deux mecs. Il n’a jamais voulu vraiment draguer au boulot pour éviter les emmerdements, mais ça ne lui déplaît pas de savoir qu’il fait un peu bander ou mouiller certaines personnes. Et il a bien remarqué la manière dont parfois on le regarde plus dans le col de chemise que dans les yeux. Quand ce n’est pas dans l’entrejambe du pantalon.
Quand monsieur Dos Santos entre dans le bureau d’Adrien, c’est 75 kilos de muscles bien trapus répartis sur à peine plus d’un mètre 70 qui pénètrent avec lui. Et puis, les stéréotypes ont bon dos, mais voilà, il est plâtrier peintre monsieur Dos Santos et ce qu’il veut, c’est s’installer à son compte. Et comme il est venu directement après son travail, ce qu’il fait entrer dans le bureau d’Adrien, c’est aussi pas mal de poussière sur ses vêtements et dans les poils de ses avant-bras, et une bonne odeur de mec qui vient de se dépenser toute la journée au boulot. Adrien l’accueille, commence l’entretien par les courtoisies d’usage, la conversation en vient assez vite au fait : le métier, l’installation, le matériel, l’emprunt. Adrien ne peut s’empêcher de glisser en passant : « Oui on voit que c’est un métier très physique, plâtrier peintre, et on voit bien que vous vous donnez à fond et que vous ne ménagez pas vos efforts ». Monsieur Dos Santos marque un petit temps d’arrêt, fait un petit sourire embarrassé, puis enchaîne en disant qu’en effet, c’est très exigeant physiquement et, en disant cela, il se passe une main sur l’avant-bras, comme s’il voulait souligner la force du membre, et ça fait prendre du volume à la toison brune qui le recouvre.
– Mais bon, dit-il, ça évite d’aller à la salle de sport !
– Ça c’est sûr, reprend Adrien, trop content de voir la conversation évoluer en ce sens, on peut dire que cet exercice vous réussit. Je ne vous ai jamais vu en short ou torse nu, mais d’après ce que je vois là, vous avez l’air sacrément baraqué.
Monsieur Dos Santos réprime un petit sourire et rosit même un peu sous son teint fortement hâlé.
Quand l’entretien purement financier reprend, Adrien fait observer que la somme à emprunter, quoique modique en valeur absolue, est importante au vu des garanties personnelles de l’emprunteur. Monsieur Dos Santos plaide sa cause, fournit des arguments, dit que bien sûr, il pourrait faire appel à sa famille, à ses parents, mais à 32 ans, c’est quand même légitime de vouloir voler de ses propres ailes, fonder son entreprise de manière indépendante, c’est important vis-à-vis de sa femme et de ses deux enfants... Quand il explique tout cela, on sent que ça lui tient vraiment à cœur. Il s’est redressé sur son siège, s’est penché en avant, fait de grands gestes avec les mains et les bras, pose sur le bureau d’Adrien ses belles mains carrées d’ouvriers, les doigts puissants, ongles abîmés et un peu sales, les veines saillantes, des mains musclées, bronzées, ourlées de fin poil noir. Et vu sa position, comme il porte un t-shirt bien usé, bien distendu et bien échancré, Adrien a une vue imprenable sur les 5 premiers centimètres du haut de son torse, abondamment garni d’une belle toison brune. Adrien voit aussi la chaine en or qui souligne les poils et dont le brillant contraste avec le teint de la peau. Sans s’en apercevoir, en écoutant monsieur Dos Santos, Adrien a lui-même plongé une main dans l’encolure de sa chemise et palpe ses propres poils comme si c’étaient ceux de son client. Il se délecte de voir monsieur Dos Santos argumenter, les veines du front et du cou se gonfler légèrement, quelques gouttes de sueur perler sur les tempes et à la base du cou, et de belles auréoles de sueur se former progressivement sous les manches courtes du t-shirt.
Le rendez-vous dure déjà depuis un moment, Adrien sait que tous ses collègues sont déjà partis, il est à présent seul dans l’agence avec son client. Ce n’est pas qu’il veuille abuser d’un rapport de pouvoir inégal, mais Adrien ne peut s’empêcher de bander en voyant ce beau mâle vigoureux s’échauffer, la température est d’ailleurs montée dans le bureau exigu, l’intensité est quasiment palpable. Adrien se montre affable, dit au client qu’il a besoin de garanties.
– Je vous ai donné toutes les garanties que je peux donner, répond monsieur Dos Santos.
– Écoutez, monsieur Dos Santos, reprend Adrien, vous savez, je suis très admiratif de votre travail, de votre détermination et de tous vos efforts. D’ailleurs, si je peux me permettre, ces efforts vous réussissent très bien.... Si vous voyez ce que je veux dire. J’ai besoin de garanties. Peut-être que vous pouvez me fournir des garanties qui ne sont pas exactement bancaires ?
– Je comprends pas ce que vous voulez dire.
– Écoutez, si, je crois que vous allez comprendre ce que je veux dire. Comme je vous ai dit, je suis très admiratif de vos efforts, ils vous réussissent très bien, je vois que vous êtes quelqu’un de solide, je dirais même un homme particulièrement vigoureux. Si ça ne vous ennuie pas, mettez-vous debout pour que je voie à quel point vous êtes un homme vigoureux.
– Je comprends pas le rapport.
– Si, si, vous allez comprendre, mettez-vous debout s’il vous plaît. Vous voyez, reprend Adrien une fois que monsieur Dos Santos est debout, vous êtes vraiment quelqu’un de solide, un homme vigoureux. Ça se voit à votre carrure, on voit que vous avez des cuisses et des jambes robustes, ça vous permet de vous tenir debout quoi qu’il arrive. On voit que vous avez des épaules et un torse charpentés, ça vous permet de supporter des charges importantes. Vous voyez, c’est un peu ça le genre de garantie dont j’ai besoin. Vous voyez ce que je veux dire ?
– Oui, je crois que je commence à voir....
– C’est bien ce que je pensais. Alors puisque vous commencez à voir, dites donc, vous trouvez pas qu’il commence à faire un peu chaud dans le bureau ? Et si vous quittiez ce t-shirt pour que je me rende encore mieux compte à quel point vous êtes solide et résistant ? Je pense que si je vous vois torse nu, ça m’aidera à me convaincre de votre capacité à assumer la charge....
– C’est vraiment n’importe quoi, mais j’ai pas vraiment le choix, répond monsieur Dos Santos.
– Ne croyez pas que je veuille abuser de la situation, monsieur Dos Santos. Comme je vous l’ai dit, mon intérêt et mon admiration sont sincères. Si vous voyez ce que je veux dire. Je suis véritablement impressionné par votre robustesse, je voudrais simplement m’en convaincre encore un peu plus. Allez-y, s’il vous plaît, torse nu.
Monsieur Dos Santos fait un petit sourire légèrement moqueur, puis empoigne le col de son t-shirt à deux mains, les bras redressés derrière la nuque, il fait maintenant ressortir les auréoles trempées de sueur sous ses aisselles, un effluve de mec parvient soudain plus fort aux narines d’Adrien. Il fermerait bien les yeux pour s’en délecter, mais il ne voudrait surtout pas manquer le spectacle du déshabillage de monsieur Dos Santos. En un clin d’œil, celui-ci a retiré le morceau de tissu, l’a posé d’un geste vif devant lui sur le bureau d’Adrien et est maintenant torse nu et en jean devant son banquier. Ou plutôt torse poil, tellement l’abondante toison recouvre presque l’intégralité de son ventre et de sa poitrine. Adrien est frappé du contraste entre la noirceur et l’épaisseur du poil, d’un côté, et de l’autre, l’aspect satiné de sa peau sur les côtés du torse, là où elle n’est pas recouverte de poils. Monsieur Dos Santos se tient droit, dignement, comme au garde-à-vous, les épaules fièrement rejetées en arrière, ce qui fait ressortir le volume de ses pectoraux couverts de poils. Au milieu de la poitrine velue trône la médaille en or, toute ronde et toute brillante, dont le jaune fait ressortir le noir de la fourrure, l’épaisseur de la toison et la profusion de poils.
– Voilà, lance monsieur Dos Santos, vous êtes satisfait ?
– Magnifique, s’exclame Adrien. Vu la marque du bronzage, j’imagine que vous ne travaillez pas souvent torse nu ? Oui, je sais, les règles d’hygiène et de sécurité… C’est important pour la prévention du cancer de la peau. Mais c’est tout de même dommage, quand on est un homme et qu’il fait chaud, on a envie de se mettre à l’aise et on est quand même plus à l’aise pour travailler quand on est torse nu.
Monsieur Dos Santos répond qu’en effet, quand il a commencé sur les chantiers avec son père, quand il avait 16 ans, tout le monde travaillait torse nu. C’était pratiquement la règle. Personne ne vous disait de le faire, mais les chefs eux-mêmes se mettaient torse nu quand la température montait. Même les patrons montraient l’exemple et travaillaient torse nu. Ça faisait partie de l’esprit d’équipe, des hommes qui travaillent ensemble torse nu.
– Je vous avoue que ça me rend un petit peu jaloux, fait Adrien. Comme vous voyez, ici c’est pas vraiment la même ambiance, même si je prends quelques libertés en ne portant pas de cravate et en ouvrant mon col de chemise, mais bon ça n’a rien à voir avec ce que vous décrivez. Mais dites-moi, approchez-vous s’il vous plaît, pour que je voie de plus près à quel point vous êtes solide et robuste. Si ça vous ennuie pas… mais vous l’avez compris, je suis vraiment admiratif et impressionné....
– Puisque vous insistez, fait monsieur Dos Santos en s’approchant, visiblement amusé à ce stade de la tournure que commence à prendre la situation.
Adrien est resté assis sur son siège tandis que Monsieur Dos Santos s’avance vers lui, toujours torse nu et en jean. Une fois qu’il est planté devant lui, Adrien fait « Permettez ? » avant de lui empoigner un avant-bras d’une main, tandis qu’il lui passe l’autre main sur l’abdomen. Qu’il plonge les doigts dans la fourrure de son abdomen serait plus exact. « Impressionnant, fait-il en désignant l’avant-bras, je ne peux pas en faire le tour avec ma main. Faites voir comment ça fait quand vous contractez les muscles des bras et du torse ? » Monsieur Dos Santos sourit et lui fait une flexion des bras et de la poitrine, les pectoraux ressortent, durs comme de l’acier. « Vous permettez ? », fait à nouveau Adrien avant de lui palper la poitrine sans même attendre la réponse. Le poitrail musclé et velu de ce jeune ouvrier lui produit un effet fulgurant. Son cœur bat à 100 à l’heure, il commence à transpirer fort, il sent sa propre odeur de sueur s’exhaler de sa chemise ouverte, et sa queue bande à fond et commence à mouiller grave dans son caleçon.
– Impressionnant, magnifique, murmure Adrien, quelles épaules, quelle poitrine, quel torse somptueux. Vous avez de la chance d’être poilu comme ça, c’est très viril, vous devez avoir beaucoup de succès. Et encore, je suppose que je n’ai encore rien vu ? Vous n’allez pas me dire que vous ne voyez pas où je veux en venir, n’est-ce pas ?
– En effet, lance monsieur Dos Santos, en affichant un sourire visiblement satisfait. C’est le genre de garantie dont vous auriez besoin et qui pourrait vous aider à prendre une décision favorable ?
– Oui, si elle est substantielle, solide et aussi somptueuse que votre torse...
Alors Monsieur Dos Santos défait la boucle de sa ceinture puis commence à dégrafer un à un les boutons de son jean avant de l’ouvrir lentement. La bosse qu’on voyait sous le jean fermé n’était donc pas trompeuse. Le paquet est en effet substantiel. Il est enfermé dans un sous-vêtement tout bête, même pas un shorty, juste un slip, mais le tissu semble être un mélange de coton et de lycra qui adhère bien aux parties et dont les reflets font ressortir leur volume. Monsieur Dos Santos a glissé les pouces sous l’élastique du slip et est sur le point de le baisser quand Adrien lui lance « Pas encore, s’il vous plaît ». Il a envie de prendre le temps et de commencer par soupeser la chose à travers le tissu. « Permettez ? », lance-t-il encore en approchant une main du paquet, tandis que de l’autre il baisse un peu la ceinture du pantalon et appuie sur le bas du dos de Monsieur Dos Santos pour lui faire signe de s’approcher. Le bel ouvrier trapu et velu a une touffe de poils au bas du dos, Adrien adore ça, il lui empoigne la fesse d’une main, tandis que de l’autre il lui soupèse le zob et les burnes, encore enveloppés dans le slip. « Je ne vous fais pas mal ? » L’autre fait comprendre par un petit grognement que non. Alors Adrien continue, il approche son visage de l’abdomen du jeune client, le colle à son ventre, c’est chaud et doux, monsieur Dos Santos a beaucoup de poils et un tout petit peu de ventre, c’est douillet et moelleux, Adrien est aux anges, il commence à sentir l’odeur de sexe de monsieur Dos Santos et le hume avant de tendre ses lèvres vers la solide hampe qui se dessine sous le lycra.
Ne sachant visiblement pas trop quoi faire de ses mains et de ses bras, monsieur Dos Santos les a redressés derrière la tête, son odeur emplit encore davantage le bureau. Du bout des lèvres, puis à pleine bouche, Adrien joue avec la queue volumineuse et encore souple qui se cache sous le tissu. Elle grossit un peu, mais ne durcit pas. Il a à présent glissé les deux mains sous l’élastique du slip pour malaxer les fesses charnues, musclées et passablement velues du trentenaire. Comme celui-ci n’est pas encore tout à fait détendu, il les contracte, ce qui ne fait qu’exciter encore davantage Adrien. Il retire le visage de son entrejambe, lève les yeux vers monsieur Dos Santos et lui lance avec un grand sourire « Allez-y, s’il vous plaît, déballez ». Monsieur Dos Santos répond également par un sourire et par un geste, il passe de nouveau les pouces sous l’élastique du slip et, cette fois-ci, le fait glisser lentement. Quand l’élastique dévoile la bite et les couilles, celles-ci tombent doucement, mais lourdement. La queue sombre commence à se déployer dans toute sa splendeur. A mesure que la bite se dégage du slip, l’entrejambe exhale une puissante odeur de transpiration, avec même un léger relent d’urine, ce qui décuple l’excitation d’Adrien. Le zob s’immobilise pas tout à fait à la verticale, monsieur Dos Santos porte à droite, le gland est lourd, il leste bien l’ensemble. « Prodigieux », s’exclame Adrien. « Merci », répond monsieur Dos Santos. Adrien soupèse le manche, le fait lentement rebondir contre la paume de sa main. C’est chaud, lourd et charnu, ça fait un petit clac à chaque fois.
« Allez-y, montrez-moi comment vous faites marcher la mécanique ». Monsieur Dos Santos empoigne alors son zob et se le caresse doucement par le bas, le fait un peu rebondir dans sa main droite, la peau se tend progressivement, le diamètre se dilate, les boules commencent à bouger, comme si elles avaient une vie propre dans leurs petits sacs pleins de poils, le gros canal sous la bite est maintenant bien saillant et la veine qui strie le dessus est à présent bien visible. Le gland commence à durcir sous le prépuce, monsieur Dos Santos amorce un léger mouvement de va-et-vient, le gland se dévoile, d’un rose étonnamment vif. Adrien se délecte de l’odeur de sexe qui s’en dégage. Pendant ce temps, il a commencé à déboutonner sa chemise pour se caresser le torse, une fois qu’elle est bien ouverte, il s’est mis à se caresser les tétons, puis, n’y tenant plus, il l’a enlevée et, torse nu, a commencé à se toucher à travers le pantalon, avant de l’ouvrir, de plonger à la main dans son caleçon pour tâter son chibre en pleine érection.
Alors, il approche les lèvres de la bite de monsieur Dos Santos, qui est maintenant bandée presque à fond. Il la lèche de bas en haut, puis prend en bouche le gland que lui tend le jeune ouvrier, à qui ce petit jeu manifestement ne déplaît pas. Adrien suce le gros gland dodu comme une gourmandise, puis descends les lèvres le long de la hampe pour prendre la queue complètement en bouche. D’une main, il se touche, baisse son caleçon pour mieux se branler le zob, et de l’autre, il empoigne et malaxe à nouveau la fesse poilue de monsieur Dos Santos. Et pour bien lui empoigner la fesse, Adrien lui a glissé les doigts dans la raie du cul, il approche doucement son majeur de la rondelle. Quand il l’atteint, il ne se risque pas à y faire pénétrer son doigt, ce serait dommage de rebuter monsieur Dos Santos, qui est plein de bonne volonté et lui donne à bouffer toute la vigueur de son membre, mais il continue lentement sa progression jusqu’à atteindre le trou, dont il commence à effleurer doucement les rebords, arrachant des petits râles de plaisir à son client. Ne percevant pas de réaction négative, Adrien lui malaxe l’orifice et profite de ses mouvements de bassin pour le lui pistonner légèrement, ce qui ne semble en rien déranger monsieur dos Santos, qui continue ses vigoureux va-et-vient pour bien lui bourrer la gueule.
Adrien interrompt sa pipe, se lève du fauteuil pour s’asseoir sur le rebord du bureau. De là, il a une vue plongeante sur le torse nu, musclé et poilu de monsieur Dos Santos. D’une main il parcourt sa fourrure pectorale, fait bouger la médaille et la chaîne en or dont les mouvements agitent les poils bouclés, effleure au passage ses gros tétons charnus qui dépassent à peine de l’épaisseur de poils. De l’autre main, il lui attrape le manche et commence à le branler lentement. Les deux hommes sont face à face, se regardent au plus profond des yeux. Monsieur Dos Santos a un beau visage rond, le front et les pommettes saillantes, de belles petites joues rebondies que souligne le noir de la barbe qui pointe, un fin duvet sombre ourlant ses joues et ses tempes, et ses yeux en amande sont d’une couleur indéfinissable et hypnotique, entre le bleu, le gris et le vert très clair. Adrien y plonge le regard comme il lui plonge les doigts dans la fourrure du torse. Les deux hommes se sourient.
– Je ne vais pas vous embrasser, mais ce n’est pas l’envie qui me manque, fait remarquer Adrien. N’empêche, j’ai l’impression que ça ne vous déplaît pas ce que je vous fais avec la main droite. Dites-moi, monsieur de Santos, est-ce que vous avez déjà baisé un homme ?
– Baisé ? Le mettre, quoi ? Non. Me laisser sucer par un mec, ça oui, deux ou trois fois. Mais le niquer, non jamais.
– Eh bien, je vous propose d’essayer, fait Adrien. Vous allez voir, c’est pas très différent de baiser une femme. C’est juste un peu plus étroit que par devant avec une femme. C’est moins humide aussi, il faut un peu lubrifier... Un peu dilater aussi. Venez, je vous montre.
Adrien s’est à présent débarrassé de son pantalon et de son caleçon. Cul nu, il s’est calé contre le mur sur un coin du bureau, les cuisses un peu redressées, les fesses au bord du plateau. Comme monsieur Dos Santos fait mine de quitter son pantalon, Adrien lui lance :
– Non, garde-le, j’ai envie que tu me baises torse nu, mais en jean.
– On fait pas ça dans l’autre sens ? demande l’autre.
– On peut, répond Adrien, mais c’est pas obligé et j’ai très envie de voir ton torse poilu pendant que tu me baises.
Adrien continue à caresser le torse poilu et les épaules musclées de monsieur Dos Santos, il lui prend la main et le guide vers sa raie du cul.
– Non, pas ça, j’ai pas envie.
– T’en fais pas, fais-moi confiance, tu vas voir, c’est comme avec une meuf. Tu as bien déjà enculé une femme ? Bon, eh ben, c’est pareil, il faut juste un peu me préparer. Vas-y, fais comme avec une meuf, lèche-toi les doigts et commence un peu à me doigter.
Pour l’encourager, Adrien lui flatte la bite et les burnes. Monsieur Dos Santos se lèche le doigt, le plonge dans la raie du cul d’Adrien, cherche l’ouverture et, quand il l’a trouvée, introduit doucement un doigt, le plonge lentement de plus en plus profond dans le cul de son banquier, fait des petits mouvements de la main comme s’il avait le doigt dans la chatte d’une femme et qu’il voulait lui stimuler le clitoris. « C’est bien, fait Adrien, c’est bon, tu es un pro. Je vois qu’on peut te faire confiance. Tu vas finir par me convaincre. » Ça fait rire monsieur Dos Santos, le rire est communicatif. « Un deuxième ? » demande-t-il à Adrien, qui hoche la tête, monsieur Dos Santos fait alors pénétrer avec soin un deuxième doigt et la rondelle d’Adrien commence à bien se dilater.
« Me branle pas trop si tu veux que je te baise », lance monsieur Dos Santos, puis il retire doucement sa main du cul d’Adrien, attrape la capote que celui-ci lui tend, s’en équipe, se crache dans la paume de la main, s’enduit la queue de bave et se prépare à l’enculer. Il a attrapé Adrien par les hanches, celui-ci a relevé une jambe et pris appui sur la solide épaule charnue et musclée de monsieur Dos Santos. La pénétration se fait tout en douceur.
– Quel pro, décidément, approuve Adrien.
– Merci. Encore quelques centimètres.
Une fois entré à fond, monsieur Dos Santos donne tout, défonce la rondelle d’Adrien à grands coups de rein, la sueur perle sur son front, son cou et ses épaules, elle commence à faire luire les poils de son torse, son odeur puissante s’intensifie, et Adrien se branle et se caresse les tétons et les poils du torse en admirant tous les muscles du torse nu de monsieur Dos Santos qui entrent en action. Par moments, celui-ci se passe une main sur le front pour essuyer la sueur, dévoilant son aisselle toute velue et odorante, parfois, il prend appui d’une main sur sa propre hanche en rejetant un bras et une épaule un peu en arrière, ce qui fait encore plus ressortir ses puissants pectoraux poilus. Il baise Adrien comme un dieu, lui lime la rondelle avec vigueur et application, sa grosse queue lui malaxe le cul et la prostate de l’intérieur. Adrien se laisse malmener par son jeune client, son dos rebondit contre le mur à chaque coup de bite, mais il est bien calé et n’oppose aucune résistance. Il accompagne l’enculage en se caressant fermement la queue, dont le gland dilaté ruisselle et a atteint un degré d’excitation maximal. Il contemple dans une semi-extase la splendeur du torse velu du mec musclé qui le met, pectoraux galbés, mamelons charnus perdus dans l’épaisse toison, la médaille en or qui s’agite et lui ébouriffe les poils. La main d’Adrien va de sa poitrine à celle de monsieur Dos Santos, dont il ne se lasse pas de caresser le torse velu.
« Je vais pas tarder », prévient monsieur Dos Santos. Adrien cesse alors de se retenir et se balance du foutre plein le torse, la semence se perd dans ses poils, puis tout le torse et les bras de monsieur Dos Santos se contractent, il pousse un léger râle, pilonne encore plus fort, Adrien sent la queue qui lui dilate encore un peu plus la rondelle, monsieur Dos Santos décharge dans son cul, continue encore un peu à le limer, puis retire son membre. Il ôte alors la capote d’un geste expert, la jette par terre, puis empoigne la tête d’Adrien pour la fourrer contre sa poitrine en lui donnant une petite claque dans le dos. Adrien a les joues, le nez et les lèvres plongés dans les poils du torse de monsieur Dos Santos, il inspire l’odeur d’homme, lourde et capiteuse, puis sort la langue et recueille quelques gouttes de sueur salée au milieu des poils.
Gill
gillym9@yahoo.com
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