Cet après-midi le temps est beau et chaud, l'atmosphère est lourde et instable, mais j'ai trop envie de sortir alors je me décide quand même à sortir pour faire un tour à vélo. Comme il fait chaud et que je ne porte qu'un short depuis le matin, je ne prends pas la peine d'enfiler un t-shirt et je pars torse nu. L'air est chaud, je transpire à grosses gouttes, mais le déplacement d'air à vélo est agréable, le vent chaud caresse ma peau nue et agite les poils de mon torse et de mes aisselles.
Soudain le ciel se charge, quelques coups de tonnerre résonnent au loin, je me décide à faire demi tour. Il est trop tard, l'orage éclate. Vent, pluie, grêle ça ne s'arrête pas, je suis vite trempé, le short me colle aux cuisses, les roues du vélo m'aspergent malgré les garde-boues, la flotte me dégouline sur le torse et j'ai les poils trempés. Alors je m'arrête pour m'abriter sur le bas-côté à l'abri d'un arbre, mais je commence à être frigorifié. Je me dis que je vais juste attendre la fin de l'orage avant de repartir. Mais la pluie ne s'arrête pas, je n'ai rien à me mettre et je ne suis pas très fier. Et pas une bagnole sur cette fichue route de campagne...
Et là, juste comme je commençais à désespérer, passe une voiture, elle ralentit à ma hauteur, le conducteur se penche côté passager, baisse la vitre et me demande si ça va. Je réponds pas trop, mais ça va aller, il faut juste que j'attende que la pluie s'arrête. Le conducteur me dit :
- Vous êtes sûr, je peux peut-être vous ramener vers chez vous au sec ?
- Je voudrais bien, mais il y a mon vélo, j'ai rien pour l'attacher et je veux pas le laisser ici, on me le volerait.
- Non, vous inquiétez pas, j'ai de la place pour l'embarquer dans le coffre.
Il sort de la voiture, un gars charpenté, la quarantaine, j'aurais pu tomber plus mal. Il me dit de monter en voiture et s'occupe de mettre mon vélo dans le coffre. Je ne suis pas triste de me laisser prendre en charge vu mon piteux état. Il remonte en voiture, me regarde d'un air amusé mais pas moqueur et me dit "eh ben, on peut dire que vous vous êtes mis dans un drôle d'état. Mais quelle idée de partir à vélo par ce temps ? Et torse nu en plus de ça..." Je lui explique que quand je suis sorti il faisait beau, bref on commence à discuter, on échange nos prénoms et on passe au tutoiement vu qu'on a à peu près le même âge. David a refermé les vitres et monté un peu le chauffage mais je n'arrive pas à me réchauffer. Il m'a passé un plaid qui était à l'arrière de la voiture pour que je me couvre, mais je grelotte. "Je ne vois qu'une solution", fait-il en s'arrêtant sur le bas-côté. Et là, je n'en reviens pas, il empoigne son pull et son t-shirt d'un seul geste, se met torse nu et me les tend. "Tiens, couvre-toi".
Je me répands en excuses, mais je ne me fais pas prier. J'ai beau aimer passer mon temps torse poil, j'avoue que là je suis content de m'habiller. Et pas mécontent de voir David torse nu. Un torse bien baraqué, bien musclé, un peu de ventre mais pas trop, des pectoraux bien galbés, le tout couvert d'une belle fourrure châtain tirant sur le brun avec une fine chaine en or qui joue dans les poils. Il est tout sourire, je m'excuse de l'avoir obligé à se mettre torse nu et il me répond "t'inquiète pas, comme tu peux voir, j'ai ma petite fourrure personnelle qui me tient chaud !" On rit, il me dit qu'il habite pas loin et qu'on peut d'abord passer chez lui pour que je me réchauffe avant qu'il me ramène chez moi. C'est si gentiment proposé que je ne peux pas refuser...
Arrivés chez lui, il sort de la voiture, entre dans l'immeuble, croise et salue une voisine et prend l'ascenseur torse nu, comme si de rien n'était. On entre dans son appartement, il y fait doux et chaud, c'est agréable. Ça sent un peu le mec, il s'excuse de ne pas avoir aéré mais je lui dis que je préfère éviter les courants d'air. "Va vite prendre une douche chaude, après je te fais un thé". Je file dans la salle de bains, vite à poil sous la douche chaude, c'est tellement bon que je me retiens de gémir, d'ailleurs cette sensation de bien-être me fait un peu bander. David entre et sort de la salle de bains pour m'apporter une serviette et des vêtements secs pendant que je suis sous l'eau, la paroi vitrée ne cache pas grand chose de mon anatomie, il s'excuse, mais je le rassure : "Pas grave, on s'est déjà vus torse nu, on en est pas à ça près, et puis on est entre hommes".
Il est d'ailleurs resté dans la même tenue, torse nu, s'en excuse là aussi : "il fait chaud dedans avec ce temps orageux, mais je veux pas te faire attraper une pneumonie en faisant un courant d'air, alors je préfère rester torse nu si ça t'ennuie pas". Je le rassure, ça ne me dérange absolument pas de le voir évoluer torse nu. J'aime beaucoup voir un mec en jean torse nu, ça me plait encore plus qu'un mec à poil ou en maillot de bain, à vrai dire. Surtout si le mec est poilu, ce qui est le cas de David. Je prends mon temps sous l'eau, puis en me séchant et, pendant qu'il s'active à côté de la salle de bain, je regarde les muscles de son torse qui s'agitent, j'aime quand il se penche pour ramasser un truc, l'échine se dessine sous la peau du dos et les muscles en V à l'arrière du thorax ressortent, tandis que ses aisselles poilues se découvrent. Avec la tiédeur de l'appartement il commence à transpirer, quelques gouttes se dessinent au creux des omoplates et de la poitrine, entre ses pectoraux.
Je sors de la salle de bain après avoir enfilé un caleçon et un jean, c'est un peu grand pour moi, mais je ne vais pas faire le difficile. Je me dis que je suis un peu cinglé d'avoir accepté de venir chez un mec que je ne connais pas, qui fait une bonne tête de plus que moi et qui pourrait faire n'importe quoi. A vrai dire, s'il décidait de me faire ma fête dans un certains sens, je n'aurais rien contre. "Tu peux rester torse nu si tu veux" me lance-t-il tandis que j'ai son t-shirt propre et sec à la main. L'idée me plait mais je l'enfile quand même pour bien me réchauffer. Le thé est prêt, on est installés à la petite table de cuisine, les jambes se frôlent, on est tous les deux pieds nus, les orteils se touchent, j'en ai des picotements dans le dos quand ça se produit. On parle de tout et de rien, de la région, de boulot, de vélo. Quand il rit, David me donne une petite tape sur l'épaule. Je décide de faire pareil pour toucher sa peau nue.
En quelques instants, j'ai mis une petite claque sur l'épaule de David, il a posé son pied nu sur le mien, a plongé son regard très profond dans le mien, a approché son visage, nos fronts se sont collés, il m'a embrassé sur les yeux, les joues, les lèvres, puis m'a roulé un tendre patin en m'attirant contre lui. Moi qui suis souvent celui qui prend l’initiative et mène la danse, je suis conquis et je m'abandonne, je me blottis contre lui. Il a rapproché nos chaises, me serre contre sa poitrine nue, m'embrasse encore, puis c'est fou, d'un geste ferme il me fait venir sur ses genoux et me caresse, m'embrasse encore. Il transpire pour de bon sous les bras, la sueur lui coule des aisselles et ça sent bon. Mais la peau de son torse reste sèche et douce. Je caresse ses épaules et son dos couvert de duvet tout doux. Quelques poils sur les omoplates et dans le creux du dos, mais je n'ai rien contre, bien au contraire.
C'est comme si David avait deux bouches et quatre bras, il m'embrasse et me caresse partout, ses mains me passent sous le t-shirt. "Mets-toi de nouveau torse nu, va. T'es beau torse nu", me fait-il en me retirant le t-shirt. Ma peau se colle à la sienne, c'est chaud et c'est bon. Inutile de dire que je bande à fond et que je mouille comme un fou. Mes mains se perdent dans les cheveux de David, une bonne tignasse drue qui se dégarnit un peu par endroits, je me débrouille pour lui caresser le torse, tâter ses poils et ses muscles. Il se met à me lécher dans le cou, à la jonction des aisselles, sur les tétons, cette fois-ci je ne me retiens pas de gémir. David se lève doucement, me saisit fermement et me pose comme ça, sans façon, sur la table de la cuisine. Pas de vis-à-vis, il n'y a que les oiseaux qui profitent du spectacle, tout en continuant de me caresser, il me défait la ceinture du jean et malaxe mon zob à travers le caleçon qu'il m'a prêté, le devant est déjà tout moite, dedans ça suinte et ça glisse. Je m'accroche à l'épaule de David, on s'est bien compris, il me baisse le jean et le caleçon, m'embrasse sur tout le torse en descendant le long de mon ventre, ses cheveux me caressent et sa barbe me grattouille au passage, puis ce sont ses lèvres sur ma queue, sa langue me flatte le gland, je m'abandonne encore plus, mes mains dans ses cheveux et sur sa poitrine autant que je peux.
Quand il commence à avaler mon pieu, je me pencher vers l'arrière pour m'adosser à la fenêtre, c'est un peu froid dans mon dos mais pas désagréable. David me prodigue une pipe magistrale en me passant une main sous les fesses, puis se redresse, m'attire de nouveau contre sa poitrine. D'une main, je lui empoigne la queue à travers le jean, un beau morceau on dirait. De l'autre, je continue à plonger les doigts dans les poils de son torse, mon bras est relevé, il me caresse l'aisselle en m'embrassant et en me léchant dans le cou. Ce mec est d'une sensualité folle, il est fort et doux, et en plus il sent bon. Je passe la main sous la ceinture de son jean, je trouve l'élastique du slip, je me glisse jusqu'à sa queue. Elle est chaude et ferme, le gland a l'air prometteur, il ne mouille pas mais ses poils sont chargés de sueur, je ressors la main et la hume, ça sent le mec et le sexe.
Alors David me fait "tu veux ?" On se comprend sans trop de paroles, je fais signe que oui, il défait la ceinture de son jean et baisse l'élastique du sous-vêtement, son zob se déploie, à l'horizontale tout d'abord puis, avec quelques palpitations, il se dresse au garde-à-vous, David me fait un sourire, on sent qu'il est satisfait de son équipement. J'empoigne le machin et je le branle doucement, la peau du zob glisse sur la hampe, c'est ferme et doux, je sens chaque aspérité de son chibre sous la main. Pendant ce temps, David m'a placé une main entre les fesses et commence à me flatter la rondelle, il malaxe en faisant des petits ronds avec le doigt, puis il retire sa main et se lèche le doigt, quand il y revient il commence à entrer un peu. Son bras gauche m'enlace et me soutient fermement tandis que sa main droite fouille en moi. Quand il a bien entré un doigt, il me dilate le cul par de petits mouvements circulaires. Je me dis que ce mec est un pro, moi qui ne me fait pas mettre si souvent, je suis bien tombé. Ça va être ma fête, mais je sens que je ne vais pas le regretter. Il me lance un regard interrogateur, je lui fais signe que je suis prêt.
David est un homme prévoyant, de la poche de son jean, il tire une capote, qu'il enfile. "Pas de gel, désolé." Pas grave, je me lèche la main et lui enduis la queue de salive. Il a l'air content. "Je vais bien te mettre", me dit-il d'une voix grave et douce. Entendre ces mots en sentant son souffle dans mon cou me fait perdre la tête. "Vas-y baise-moi." Je ne me reconnais pas, je ne dis jamais des trucs comme ça. Je m'accroche à son cou pendant qu'il place sa bite devant la cible et qu'il m'écarte un peu les fesses. Je suis posé au bord de la table de cuisine, il enfonce son dard millimètre par millimètre avec une douceur que j'ai rarement connue. Je pousse pour aider le gland à pénétrer, sa main dans mon dos me donne du courage et ses baisers m'apaisent. Une fois le gland passé, il n'a plus qu'à finir d'entrer en moi et là, c'est le début du bonheur. Il entre et sort en me caressant et en m'embrassant, mes mains parcourent alternativement son torse et le mien, je caresse sa fourrure et la mienne, effleure ses tétons et les miens. Sa grosse queue me ramone de l'intérieur, mon trou est dilaté et ma prostate excitée. Je vois la sueur perler sur la peau de son cou et dans les poils de sa barbe et de son torse. Il est magnifique quand il me baise, un beau mâle qui s'applique pour me donner du plaisir. La chaine en or souligne la splendeur de ses poils. Ses mouvements s'accélèrent puis ralentissent, ce mec sait comment vous faire jouir du cul. Ses grognements m'excitent encore plus, il me fait des sourires francs et gourmands, il aime prendre mon cul ça se voit. Il me baise bien à fond tandis que je me branle la queue et que je me caresse les tétons, et quand c'est prêt, je lui dis "maintenant". Alors il me pilonne bien fort, la table de cuisine tape contre le mur, je gicle mon foutre sur mon torse, sur la table et jusque par-terre. Je lui fais signe de continuer, il jouit dans mon cul et s'effondre sur moi, tout en sueur, sa tête au creux de mon cou, et je caresse doucement le grand mâle qui vient de si bien me baiser.
Gill
gillym9@yahoo.com
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