Ça fait bientôt 10 ans que Frans et Willem sont ensemble et ça fait déjà 7 ans qu'ils ont pris l'habitude de passer leurs vacances d'été dans ce village de Provence. La première fois, ils étaient venus un peu par hasard, attirés par le climat, la région pittoresque, les paysages, les vieilles pierres. Et puis ils ont particulièrement aimé l'atmosphère de ce village, avec ses ruelles, sa petite place centrale, son café où tout le monde se retrouve à l'heure de l'apéro, l'été avec les touristes, le reste de l'année sans eux. Et comme ils sont très sportifs et qu'ils adorent nager, ils ont beaucoup apprécié le fait qu'il y ait une piscine municipale découverte, ouverte 6 jours sur 7 pendant tout l'été. Alors chaque année, ils réservent pour louer la même petite maison, juste à l'écart du village, et ils viennent y passer à chaque fois trois semaines.
La Provence, ça les change de leur Hollande natale. Là-bas, ils habitent aussi dans une petite localité, alors ils ont l'habitude des liens de voisinage, de l'esprit de clocher. Mais bien sûr, l'été dans le Sud de la France, ça n'est vraiment pas le même climat que chez eux et c'est bien ça qui leur plaît, entre autres. D'ailleurs, ils ne craignent pas du tout la chaleur et, au contraire, ils sont bien contents de pouvoir passer à peu près tout leur séjour torse nu, sans presque jamais prendre la peine d'enfiler ne serait-ce qu'un t-shirt. Bien sûr, il fait parfois frais le soir car on est un peu en altitude et puis, quelquefois, pour aller faire les courses, manger au restaurant, il faut bien mettre une chemise. Mais autrement, ils passent le plus clair de leur temps torse nu, chez eux, dans la maison, dans le jardin, dans les ruelles du village, même à la terrasse du café. Personne dans le village ne semble s'en offusquer. Bien sûr, ça les affiche comme des touristes et des étrangers, car ce sont eux qui se montrent torse nu dans le village. Les locaux, ça ne leur viendrait pas à l'esprit. Les plus âgés en tout cas, parce que les jeunes de 30 ans et moins, il y en a qui se trimballent torse nu dans le village plus ou moins en toutes circonstances. Et si personne n'y trouve à redire, c'est peut-être aussi parce qu'à près de 40 ans, Frans et Willem sont des mecs sportifs, qui prennent soin d'eux, et leur plastique est tout sauf désagréable à voir quand ils sont torse nu. Ils sont tous les deux bien sportifs, bien baraqués, bien virils, bien poilus, alors personne finalement ne se plaint de les voir torse nu dans le village.
Bref, ils aiment bien la Provence, le village, le café du village, la piscine municipale. Et pour tout dire, à la piscine municipale, ils aiment bien les maîtres-nageurs. Comme la piscine n'est ouverte que l'été, il n'y a pas de maître-nageur à l'année et la municipalité embauche chaque année des saisonniers pour faire ce job. Autant dire qu'en général, ce sont des étudiants, donc des jeunes, et des jeunes qui s'intéressent à la natation, donc des jeunes plutôt bien gaulés. La première année, le mec était non seulement jeune, sportif, bien musclé, mais en plus il était particulièrement sympathique et, pour ne rien gâcher, il était gay. Alors bien sûr, Frans et Willem ont sympathisé avec lui et, de fil en aiguille, le mec est venu chez eux, ils ont bu quelques verres, ça a dérapé et ça c'est terminé en plan à trois au lit. Frans et Willem avaient déjà fait des plans à trois, mais plutôt dans des sauna et des clubs de baise, pas chez eux, à part une fois avec un ex de Frans. Et là, baiser ensemble à la maison avec un inconnu, ça leur avait beaucoup plu, ils avaient trouvé ça excitant, ça avait pimenté leur vie de couple avant, pendant et après. Alors pour eux, c'est devenu un petit rituel : quand ils arrivent dans le village de Provence pour leur séjour estival, ils se demandent qui va être le maître-nageur de l'année et ils se donnent pour objectif de le mettre dans leur lit. Bien sûr, le maître-nageur n'est pas toujours gay, il n'est même pas toujours si beau que ça, c'est un petit défi supplémentaire, ça rend le jeu d'autant plus amusant. La seule exception qu'ils ont faite, c'était l'année où il y avait une maîtresse-nageuse, là, ils ont décidé de passer leur tour… Mais sinon, du moment que c'est un mec, ils entreprennent de le séduire et, en général, ils y arrivent. Forcément, quand le mec est hétéro, c'est un peu plus compliqué, mais ils ont leur petite technique.
Et cette année, avec Maxime, elle a marché du tonnerre leur petite technique. Maxime, ils l'avaient repéré dès avant de le voir officier comme maître-nageur à la piscine. Ils étaient arrivés au village un peu avant le début de la haute saison touristique, donc ils l'avaient vu débarquer le 30 juin pour prendre ses fonctions dès le lendemain. Le maire du village était allé le chercher à la gare et l'avait amené en voiture. Et dès son arrivée, c'est torse nu, tous muscles dehors, qu'il s'était installé dans son petit logement de fonction sur la place du village. Pour ne pas être trop lourds, Frans et Willem n'étaient pas allés l'entreprendre chez lui, ils avaient sagement attendu de le voir à la piscine, où ils allaient chaque jour de toute façon. Le premier jour, salutations cordiales mais polies, c'est petit à petit qu'ils avaient rompu la glace. Pas de problème de communication puisque Frans et Willem avaient appris à bien maîtriser le français. Et comme Frans et Willem faisaient partie des usagers les plus réguliers de la piscine, les trois hommes avaient rapidement sympathisé. D'après leur conversation, Frans et Willem avaient bien l'impression que Maxime ne se doutait absolument pas qu'ils étaient en couple. Sans chercher à se dissimuler, ils n'avaient pas non plus particulièrement cherché à se révéler à lui. Ça faisait aussi partie de leur petite technique....
C'est seulement à la fin de la deuxième semaine qu'ils avaient décidé de passer à la vitesse supérieure. Ils avaient déjà croisé Maxime au café du village, ils avaient déjà pris des apéros ensemble et discuté. Maxime ne semblait pas du tout effarouché de les voir attablés torse nu en terrasse, lui-même se pointait d'ailleurs souvent dans cette tenue au café. Bref, le samedi de la deuxième semaine, Frans et Willem avaient proposé à Maxime de passer prendre un verre chez eux le soir. Histoire de discuter un peu, de picoler un peu, de fumer peut-être un joint, de lui montrer des photos de Hollande..... Grosse chaleur ce samedi-là, il avait fait chaud toute la journée, il faisait chaud depuis deux jours, d'ailleurs ça faisait deux jours que ni Maxime ni Frans et Willem n'avaient mis un t-shirt. C'est donc torse nu que Maxime s'était pointé chez eux vers les 21h. « Putain la chaleur les mecs, ça vous dérange pas si je suis torse poil ? » « Ben non mec, comme tu vois, nous aussi on est torse nu. Avec cette chaleur, ce serait de la torture de mettre un t-shirt ! » La soirée commençait dans une atmosphère détendue, les trois hommes discutaient, Maxime semblait très intéressé de savoir ce qui avait conduit ces deux Hollandais à tant aimer la France, la Provence. On buvait des bières, on était détendu, c'était tranquille.
À la troisième bière, Frans avait entrepris Maxime sur ses histoires de cœur, ses histoires de cul, car Maxime avait eu beaucoup de succès auprès des femmes du village. Frans et Willem le savaient bien. D'abord ils s'en étaient rendu compte, et puis ils s'étaient renseignés ! Il faut dire que le beau Maxime, il est balancé comme un nageur, épaules bien larges, taille bien fine, le ventre plat et ferme, et des pectoraux bien ronds, bien fermes, en saillie sur la poitrine. Quand on le voit torse nu, on est forcément impressionné par cette musculature fine et puissante. C'est Willem qui était particulièrement fasciné par le torse du jeune homme. Il adorait admirer ses tétons qui pointent, charnus, sur les côtés, et la musculature de son torse qui est soulignée par une ligne de poils sur le bas des pectoraux. Ça lui dessine un peu comme une moustache sur le torse, qui part du plexus et remonte vers les tétons puis les aisselles. À part ça, il n'a des poils qu'autour du nombril. Frans et Willem aiment bien les mecs un peu plus poilus, mais c'est joli cette moustache de poils à la base de la poitrine, ça fait ressortir ses pectoraux.
Frans, lui, il était plus intrigué par ce que Maxime semblait avoir entre les jambes. Quand il est en maillot de bain, ça lui fait un beau paquet bien volumineux, on voit nettement que ce jeune mec porte à droite, il porte un shorty, pas un slip de bain, mais quand même, c'est moulant et on voit nettement la barre qui se dessine vers la droite. Quand il est torse nu en short, souvent, il ne porte manifestement pas de sous-vêtements et Frans voyait bien le zob se balancer tranquillement, lourdement, de gauche à droite à chaque pas, la queue tellement charnue qu'elle ne pointe pas contre le short, mais la hampe est collée de tout son long contre la paroi de tissu. Quand il était dans cette tenue, Frans avait bien du mal à le regarder dans les yeux. Mais bon, c'est l'avantage de l'été et des lunettes de soleil !
Et donc à force de parler de tout ça, des meufs, du cul, de ses conquêtes, des nanas qu'il avait baisées, limées depuis le début de l'été, Maxime commençait à laisser entrevoir de belles proportions sous le short. Frans et Willem étaient amusés de le voir tenter vainement de dissimuler la chose au début. Mais quant à eux, ça faisait partie de leur petite technique, ils ne se gênaient pas pour ouvrir largement les cuisses comme des mecs, laisser leurs attributs pointer sous le short, se remettre le matériel en place à l'occasion.... Ça demande de la technique, du savoir-faire, de l'habileté, du doigté, de séduire un hétéro. Frans et Willem étaient au top. C'est au moment où Maxime avait renoncé à dissimuler son érection que Willem, le véritable chien limier de l'équipe, avait détecté ce petit changement olfactif qui montrait que leur beau jeune homme en pleine santé et en pleine forme commençait à atteindre un degré d'excitation où, probablement, ils arriveraient à leurs fins avec lui.
Alors en allant se chercher une autre bière, Willem en avait profité pour aller s'asseoir sur le canapé à côté de Maxime et, quelques instants après, c'est Frans qui avait fait mine de vouloir étendre ses jambes pour s'asseoir par terre pile devant le jeune athlète. Avec leur bonne dizaine d'années de différence d'âge, Maxime n'avait manifestement rien vu venir. Une petite claque dans le dos, un petit « Dis-donc, t'as l'air en pleine forme ce soir, Maxime ! » Un petit « Ouais, moi aussi, ça me fout pas mal la trique de parler de tout ça ». Willem avait laissé sa main posée dans le bas du dos de Maxime, tandis que Frans se touchait ostensiblement le zob à travers le short. C'est seulement là que Maxime avait commencé à percuter.
– Eh les mecs, vous foutez quoi ?
– Ben quoi, ça va, on est entre mecs, on peut quand même se toucher un peu ?
Eclats de rire, l'atmosphère s'était instantanément détendue de nouveau. Frans avait pu enchaîner par un « En tout cas, je pense que les filles que tu baises doivent pas être déçues avec l'équipement que t'as l'air d'avoir ». « Ouais putain, avait enchaîné Willem, t'as l'air sacrément bien monté, mon salaud ». Ils maitrisaient à fond le français idiomatique et graveleux des mecs qui parlent de cul, nos deux Hollandais. Alors, flatté, Maxime n'avait pas trop hésité à s'exécuter quand Frans avait suggéré qu'il leur montre la bête. Willem s'était rapproché sur le canapé, une main sur l'épaule de Maxime, le flanc collé contre le sien, pour admirer l'appareil et, à partir de là, c'était du gâteau. Pendant que Frans demandait « Je peux soupeser ? », Willem avait commencé à lui caresser les épaules, le cou, le dos.
– Oh putain, les mecs, vous faites quoi, vous êtes en train de me draguer ou quoi ?
– Qu'est-ce que tu crois ?
– Ah vous faites chier, je suis pas gay...
– Qu'est-ce que ça peut foutre ? Vu ton état, je pense que tu refuseras pas un petit coup de main ?
Par miracle, ça avait fait rire Maxime, qui s'était de nouveau détendu. « Ok les mecs, faites ce que vous voulez ». Il s'était alors affalé dans le canapé, les bras repliés derrière la tête, jambes écartées, le torse, les aisselles et la bite offerts. Frans l'avait vite débarrassé de son short, tandis que Willem avait commencé à caresser son torse musclé, ses épaules, ses bras couvert de fins poils blonds, ses pectoraux, sa jolie moustache de poils sur la poitrine, ses tétons. « Qu'est-ce que tu fous avec mes... » Maxime ne savait même pas quel mot employer, n'avait pas terminé sa phrase. « T'inquiète pas, tu vas aimer », lui avait fait Willem. Du bout des doigts, du bout des lèvres, puis à pleine langue, il s'était affairé sur les deux ravissants tétins charnus et légèrement pointus du jeune homme. Au bout de quelques instants, celui-ci avait commencé à grogner doucement et à murmurer « Putain c'est bon ». Etait-ce pour ce que Willem faisait à ses seins ou pour ce que Frans faisait à sa bite ? Difficile à dire car ce dernier, après lui avoir soupesé le membre, l'avait fermement pris en main pour commencer à le branler avant de se le mettre dans la bouche. Maxime était dès lors dans un bel état d'abandon. « On continue ? », avait murmuré Willem, le seul qui n'avait pas la bouche pleine. « Putain oui, on continue », avait instantanément répondu Maxime. Alors vitesse supérieure, les deux Hollandais s'étaient affairés pour donner du plaisir au beau Maxime, nu comme un vers sur leur canapé, avec toute la splendeur de ses muscles, de ses poils, de sa jeunesse et de sa virilité offerte à leurs mains, à leurs bouches, à leurs corps.
Car si Maxime était un peu passif dans l'affaire et se laissait juste faire, Frans et Willem au contraire s'activaient. Leurs mains et leurs bouches passaient du torse de Maxime à son entrejambe, de sa queue à ses seins, de ses tétons à ses cuisses robustes et velues. Tandis que Frans le pompait en tenant à pleines mains ses beaux pieds tout doux, à peine couverts de duvet sur le cou de pied, Willem l'embrassait, le caressait sur tout le torse et plongeait le nez dans ses aisselles poilues et odorantes. Mais nos deux Néerlandais ne se négligeaient pas l'un l'autre non plus, ils alternaient caresses et baisers à Maxime et caresses et baisers l'un à l'autre. Tous deux biens musclés et bien poilus, ils étaient l'un blond, Frans, l'autre brun, Willem. Frans plus trapu, Willem plus élancé. Pendant que Frans suçait Maxime, il branlait son homme et pendant que Willem caressait et embrassait le jeune maître-nageur, il plongeait la main dans la toison de Frans. Frans caressait les jambes musclées et poilues de Willem qui, lui, palpait les pectoraux velus de Frans et jouait avec ses tétons en même temps qu'il léchait ceux de Maxime.
Celui-ci aimait visiblement beaucoup tout ce que lui faisaient les deux Néerlandais, son corps était parcouru de frissons, il gémissait de plaisir, murmurait des « Ah ouais, ah ouais », alors Willem s'était enhardi et, après avoir baladé ses mains dans le dos de Maxime, il s'était risqué sur ses fesses, entre ses fesses, le long de la raie de ses fesses, autour de son trou du cul.... Et à la surprise de Willem, il ne l'avait pas repoussé, mais semblait trouver ça bon de se faire un peu chatouiller la rondelle. Surtout avec Frans qui le suçait comme un dieu. Frans, tout ce qu'il redoutait, c'était que ce jeune mec ne gicle un peu trop vite et abrège ainsi la séance. Mais Maxime, il avait baisé avec des filles pratiquement tous les jours et les jours où il ne baisait pas, à 24 ans, il avait une vigueur telle qu'il fallait bien qu'il se branle. Autant dire qu'il avait de la réserve et de l'endurance. En lui caressant la rondelle, Willem sentait sous ses doigts les poils de sa raie du cul et de son trou du cul. Maxime a des fesses de bébé, toutes blanches, toutes lisses et toutes rebondies, mais sa raie du cul est bien garnie de poils tout blonds qui lui remontent en triangle dans le bas du dos. Willem adorait voir ça et toucher ça, c'était doux, moite et un peu poisseux de sueur dans le sillon du plaisir. D'ailleurs, voyant que Maxime ne repoussait pas les caresses de Willem sur son cul, Frans s'était lui aussi risqué à y donner des coups de langue entre deux longues séries de pipe. Un cul gourmand, profond, des poils rêches sous la langue, une pastille toute moelleuse à lécher. Alors Willem avait décidé de tenter le tout pour le tout et, après avoir malaxé la rondelle de Maxime en l'embrassant dans le cou pour le détendre, il avait retiré sa main, s'était léché le doigt avant de le rapprocher de son cul. Mais là, celui-ci avait compris ce qui se tramait et lui a dit « Non, s'il te plaît ». « Pas de problème », a fait Willem, qui a repris ses caresses partout sur le corps de Maxime, tandis que son homme lui malaxait le chibre, qui commençait à sérieusement dégouliner sur le canapé.
Il faisait chaud, les trois hommes en rut étaient trempés de sueur, la chaîne en or se collait presque dans les poils brun du torse de Willem, tandis que la chaîne en argent s'agitait dans les poils blonds du torse de Frans à mesure que sa bouche faisait des va-et-vient sur la belle grosse queue du jeune et vigoureux Maxime. Willem humait avidement le parfum lourd que dégageaient les dessous de bras poilus du jeune maître-nageur, tandis que Frans se délectait des effluves puissants de son entrejambe excité de sexe. Un râle montait de la gorge de Maxime, sa belle poitrine musclée se soulevait, il haletait, Frans a ralenti ses mouvements de bouche sur la queue du jeune homme et accéléré les mouvements de sa main sur sa propre bite. Il voulait jouir en même temps que leur bel amant de ce soir. Les premières gouttes de nectar lui coulaient sur la langue, il savait que dans une fraction de seconde, ce serait un flot de sperme. Willem, qui se retenait de jouir pour profiter de chaque seconde, savait lui aussi ce qui était sur le point d'arriver, ses mains et sa bouche avides s'affairaient de plus belle sur le torse musclé de Maxime, puis son dard a soudain envoyé plusieurs grands jets de foutre dans la main de son amant. Quelques instants encore et c'est Maxime qui remplissait de jus la bouche gourmande de Frans, qui s'est abandonné et a craché lui aussi son sperme dans sa main, sur le canapé, sur le sol. Willem a enlacé Maxime, qui s'est abandonné dans ses bras, Frans s'est redressé et s'est joint à l'étreinte virile sur le canapé. « Merci les mecs, vous m'avez bien fait jouir », a alors murmuré Maxime.
Gill
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