Raphael est dingue de son médecin traitant. C’est un beau quinqua aux cheveux gris coupés court, une belle carrure que Raphael trouve très rassurante. Il aime beaucoup la manière dont le médecin lui parle, sa voix chaude, et il aime beaucoup aller le voir l’été, où le docteur Hazan porte un blouse à manches courtes qui dénude ses beaux avant-bras forts et poilus, et où Raphael est sûr qu’il est torse nu sous sa blouse car aucun col de chemise n’est visible, tandis qu’une touffe de poils poivre et sel s’échappe de l’échancrure. Raphael aime beaucoup être entre les mains de cet homme mûr, lui obéir, il aime beaucoup quand, juste avant de l’ausculter, le docteur Hazan prononce cette phrase : « Bien, mettez-vous torse nu ». Il ne le fait pas systématiquement mettre torse nu, alors il y a toujours un petit suspense à chaque fois que Raphael va voir son médecin : lui demandera-t-il de se mettre torse nu ? Lui qui détestait se dévêtir quand il était gamin et adolescent, il aime beaucoup être torse nu chez le docteur Hazan, il ne se sent pas vulnérable ni jugé, comme quand il était plus jeune, mais au contraire protégé.
Ce jour-là, Raphael vient voir le médecin pour une visite de routine et pour se faire faire une attestation médicale pour le volleyball. Quand il entre dans le cabinet, un autre homme en blouse est présent. « Bonjour monsieur, lance le docteur Hazan, je vous présente M. Lounis Mansour, j’espère que vous ne voyez pas d’inconvénient à ce qu’il assiste à cet examen médical ? M. Mansour vient du Liban, il est étudiant en médecine ici et il effectue chez moi un stage d’observation en vue de son choix de spécialisation. » Raphael répond que non non, pas de problème. D’autant moins de problème que le M. Mansour en question est un magnifique mec de 25 ans maximum, apparemment très baraqué, Raphael n’est pas surpris qu’il soit libanais, avec ces cheveux noirs bouclés, ces longs cils ourlés et cette barbe qui lui remonte jusque sur les pommettes. Le mec se rase, tant mieux car cela permet de voir son visage magnifique aux traits saillants, mais le noir du poil se voit sous la peau bronzée, la barbe affleure en fin d’après-midi et, sur les pommettes, persiste un duvet noir qui souligne la forme du visage. Pendant l’entretien préliminaire avec le docteur Hazan, Raphael voit qu’il se passe de temps en temps une main sur la nuque, ce qui révèle une auréole sur sa blouse, là où il transpire sous les bras. De temps en temps, il se passe aussi une main dans l’encolure de la blouse, le col s’écarte un peu et révèle une abondante toison sombre et bouclée, dans laquelle joue une petite chaine en or. Raphael a bien du mal à se concentrer sur les propos du médecin, surtout quand par instants les yeux noirs du stagiaire croisent son regard.
L’entretien habituel commence : pourquoi venez-vous me voir aujourd’hui ? Ah oui, l’attestation médicale pour le sport. Et comment vous sentez-vous, etc. Puis le médecin dit « Bien, je vais vous ausculter », mais ne précise rien de plus. Alors Raphael demande : « Je reste comme ça ou je me mets torse nu ? » Raphael en est sûr, il voit le médecin et son stagiaire échanger un regard, comme si le premier interrogeait le second, avant d’entendre : « Oui très bien, mettez-vous donc torse nu ». Raphael s’exécute avec plaisir et pendant que le docteur Hazan prépare la table d’examen, il sent le regard de M. Mansour qui l’observe en train de se mettre torse nu. Mais il n’y prête pas attention, il est surtout content de savoir que le médecin va l’examiner torse nu, le manipuler avec soin, poser sur lui ses mains prévenantes, et ça le fait même un peu triquer.
« Je vois que vous êtes en forme, lance le médecin en commençant l’auscultation, le sport vous réussit, c’est bien ». Raphael dit merci, puis s’excuse d’être tout en sueur. « Ne vous excusez de rien, c’est bien normal avec cette chaleur. D’ailleurs c’est une fonction physiologique très utile puisque la transpiration nous permet de nous rafraichir, c’est pour cela que nous avons des poils à certains endroits de notre corps, pour favoriser la sudation et la rétention de sueur. Et je vois que vous êtes bien doté de point de vue, puisque vous avez le torse abondamment poilu, c’est très bien, cela vous permet de conserver votre fraicheur corporelle en été ». Raphael est presque gêné, c’est vrai qu’il a le torse bien velu, des poils châtains sur toute la poitrine et une ligne le long de l’abdomen qui s’évase sur le ventre. Ça le faisait complexer au début, quand il avait 20 ans, mais depuis la trentaine, au contraire, il aime bien et il sait que ça fait son effet quand il se met torse nu. Ça l’a d’ailleurs aidé à ne plus avoir de difficulté à se montrer torse nu à la plage, au vestiaire, ou même au parc ou lors des pique-niques et des barbecues entre copains l’été. Sa trique le reprend un peu, mais qu’importe, il est torse nu, certes, mais en pantalon donc ça ne se voit pas.
L’examen se poursuit, le docteur Hazan parle sport, demande à Raphael s’il ressent des douleurs lors de sa pratique du volleyball ou dans les heures qui suivent, il lui manipule le haut du torse, les bras et les épaules : « C’est ici que se concentre le stress du volleyball. Je ne sais plus si vous savez que j’ai une spécialisation en médecine sportive. Bref, c’est très important de bien compenser les chocs au niveau des épaules et des bras, et de faire des étirements après la pratique. » Raphael est torse nu, les bras en l’air, il fait 28° et il commence à sentir fortement la sueur, il s’en excuse, d’autant, dit-il, qu’il ne s’est même pas rasé sous les aisselles. « Mais encore une fois, ne vous excusez de rien, les odeurs corporelles sont tout à fait normales et surtout n’allez pas vous raser sous les aisselles, c’est une hérésie. Si la nature nous a dotés de poils, il y a une raison. Vous savez ce qu’on dit : “la fonction crée l’organe”. Vous avez des poils sous les bras et sur le torse, cela favorise la sudation et retient la sueur pour assurer votre régulation thermique. D’ailleurs, rassurez-vous, ni M. Mansour ni moi ne nous rasons, et vu la température, nous en sommes tous au même point ». Et en disant cela, le docteur Hazan échange avec M. Mansour un regard plein de complicité, auquel ce dernier répond avec un sourire, et, joignant le geste à la parole, il écarte le haut de sa blouse pour montrer qu’en effet il ne se rase pas le torse – ce que Raphael savait déjà, mais voir quelques centimètres de plus du torse poilu du médecin le fascine au plus haut point. Sa toison semble drue et douce, des poils blancs s’y mêlent aux poils châtain foncé, avec quelques reflets roux comme sur ses avant-bras.
Le docteur Hazan lui demande s’il fait bien des étirements, Raphael répond que oui et le médecin l’en félicite : « Comme c’est le dernier rendez-vous de la journée, nous avons un peu de temps, montrez-nous donc comment vous y prenez. M. Mansour envisage lui aussi une spécialisation en médecine sportive, c’est donc un examen qui l’intéressera ». Raphael montre ses étirements au médecin, qui essaie de le corriger. Ses mains se posent un peu partout sur le torse de Raphael, sur les épaules, les bras, la poitrine. « Non en fait, ça ne va pas ce type d’étirement. Lounis, et si vous montriez à notre patient comment s’y prendre pour les étirements ? M. Mansour est également un sportif confirmé, il s’y connait en étirements ». Le stagiaire commence à faire une démonstration agrémentée de commentaires, sa voix est aussi chaude que son regard, Raphael est subjugué de le voir en action, la musculature de son torse tend le tissu de sa blouse, qui s’assombrit là où la sueur l’imprègne, sous les bras, mais aussi le long du dos. Le médecin dit à Raphael de reproduire les mouvements du stagiaire, mais ne semble pas satisfait du résultat. « Non, ça ne va pas. Lounis, pour que monsieur puisse bien comprendre, mettez-vous torse nu vous aussi, ça lui permettra de mieux voir ». Raphael croit défaillir en entendant ces mots, son cœur se met à battre à 100 à l’heure, mais M. Mansour n’a l’air ni choqué ni surpris et, sans plus de commentaire, dit « OK » et défait un à un les boutons de sa blouse. « Vous verrez, une fois que M. Mansour vous fera la démonstration torse nu, vous verrez mieux comment vous y prendre ».
Le stagiaire révèle centimètre par centimètre la splendeur de son torse poilu. Sa poitrine se dénude peu à peu, la chaine qui orne son cou et son poitrail velu souligne la nudité du torse et, au moment où il écarte enfin les pans de la blouse et il dévoile la totalité de sa poitrine, Raphael doit réprimer une exclamation. Il cherche des yeux et finit par voir les tétons sombres et charnus qui sont perdus au milieu de cette toison dense. M. Mansour ôte sa blouse d’un geste vif et assuré, on voit qu’il n’est pas intimidé – pourquoi le serait-il avec un tel physique ? – et Raphael peut admirer l’ensemble de son torse charpenté et entièrement couvert de poils noirs. Ses épaules sont d’une rondeur parfaite, ses pectoraux puissamment galbés, sa poitrine et son abdomen sont garnis d’une épaisseur de deux bons centimètres de poils bouclés et le reste de son torse est recouvert d’un duvet sombre qui dessine les contours de ses muscles. M. Mansour suit les instructions du docteur Hazan, il se met tantôt de face, tantôt de dos pour que Raphael puisse voir les deux côtés. Son dos n’est pas poilu, mais possède le même duvet noir que ses épaules, le haut de ses bras et les côtés de son abdomen, qui souligne la forme et le volume de sa musculature.
Quand M. Mansour a un bras levé, retenu derrière le dos par l’autre main et l’épaule en extension, le docteur Hazan invite Raphael à passer la main sur l’épaule du stagiaire, le long du muscle qui borde l’omoplate, et tout autour de son aisselle en remontant de la poitrine à l’épaule, pour constater quels muscles sont contractés, lesquels sont au repos, Raphael croit défaillir, sa main tremble. « Allez-y, ne soyez pas gêné, M. Mansour a l’habitude, n’est-ce pas Lounis ? C’est classique dans les cours d’anatomie en médecine sportive, on se met torse nu et on s’exerce les uns sur les autres ». M. Mansour opine du chef et Raphael se lance. La peau du mec est légèrement moite et d’une douceur extrême. Le contact de ses muscles est électrisant, quant aux poils de sa poitrine, que Raphael parcourt en remontant le long des pectoraux jusqu’à l’épaule, ils sont à la fois drus et doux, d’une élasticité incroyable, leurs boucles chatouillent la main de Raphael. Il se met à bander doucement et sent sa queue qui mouille dans le caleçon. Le docteur Hazan lui fait imiter les gestes du stagiaire et lui passe la main tout autour de l’épaule et jusque sur la poitrine, ce qui n’a rien pour faire diminuer son érection. « C’est beaucoup mieux. Bien, maintenant nous allons passer aux jambes, vous allez quitter votre pantalon et vos chaussettes. On va faire le reste de l’exercice pieds nus, torse nu et en caleçon ».
Raphael n’est plus maitre de rien, il obéit, mais au moment où il se met en caleçon il se rappelle qu’il mouille. De fait, le devant de son caleçon est trempé. Il rougit : « Je suis désolé, je ne sais pas ce qui m’arrive ». Le docteur Hazan laisse échapper un léger éclat de rire : « Ce n’est rien, ne vous excusez pas, c’est tout à fait naturel. C’est une très bonne chose quand on sécrète du liquide pré-séminal, je n’ai pas besoin de vous expliquer que c’est un excellent lubrifiant sexuel. Je ne sais plus si vous savez qu’en dehors de ma spécialisation en médecine du sport, j’ai aussi une spécialisation en sexologie. C’est d’ailleurs pour cela que M. Mansour effectue son stage chez moi, parce qu’il hésite encore entre les deux spécialités. Ecoutez, puisque vous êtes en pleine sécrétion, je vais vous demander de baisser votre caleçon, si vous voulez bien, pour regarder comment tout ça se présente ». C’est alors que le stagiaire commence à prendre sa blouse pour se rhabiller, mais le médecin l’arrête : « Non non, Lounis, restez donc torse nu pour la suite de l’examen, c’est bien que le patient puisse continuer à voir fonctionner la mécanique ».
Alors Raphael baisse son caleçon et révèle une bite à demi dure, le gland encore recouvert du prépuce, d’où s’écoule un filet de mouille. « Très bien, je vois que vous portez des caleçons amples, c’est beaucoup mieux de ne pas enfermer vos parties intimes dans un slip ou un boxer, la nature a fait qu’elles pendent, c’est très bien ainsi, ça favorise leur aération, ce qui, comme vous le savez sans doute, est bien meilleur pour la fertilité et la vigueur sexuelle de l’homme. Je vois aussi que vous n’êtes pas circoncis, c’est très bien aussi. Moi je suis d’origine juive, mais j’ai la chance que ma famille ait décidé de ne pas faire circoncire ses garçons, pour des raisons médicales. Ce n’est pas le cas de M. Mansour, qui est d’origine libanaise sunnite, n’est-ce pas Lounis ? Bien, voyons cela, vous permettez que je décalotte ? Très bien, le gland est charnu et bien pigmenté, le méat se dilate bien, tout s’écoule facilement. Parfait, la sécrétion est limpide et d’une consistance uniforme, voyez quand je la manipule comme cela entre mes doigts ? Je vois que votre pénis est de bonnes proportions et d’une bonne élasticité. Permettez que je le prenne en main ? Oui très bien, regardez Lounis comme il rebondit bien dans la main quand on le soupèse, allez-y, faites-le vous aussi. »
Quand cette armoire à glace toute velue, torse nu, prend en main la queue de Raphael et la lui soupèse en plongeant son regard noir dans ses yeux, forcément Raphael bande et mouille de plus belle. « Je, je… je suis désolé, je… je comprends pas très bien ce qui se passe… » bredouille Raphael, mais le médecin l’interrompt : « Ne vous inquiétez pas, nous avons l’habitude, déjà en médecine sportive ça arrive fréquemment que les patients aient une érection, mais en sexologie, vous imaginez bien ! D’ailleurs on est là pour ça et au fond, on est plutôt contents quand ça fonctionne bien ! De ce côté-ci pas de problème, visiblement, lance-t-il. Alors voyons, je crois comprendre que vous êtes plutôt attiré par les hommes, n’est-ce pas ? » Raphael fait signe que oui. Lounis n’a pas reposé sa queue et le docteur Hazan lui pose une main sur l’épaule. « Très bien. Est-ce que vous pratiquez la fellation ? Oui ? Très bien. Plutôt active ou passive ? Les deux ? Très bien. Alors, d’abord, sachez que c’est une très bonne pratique sexuelle, le seul souci, quand on la pratique avec des partenaires ccasionnels, ce sont les infections sexuellement transmissibles, mais à condition de faire des contrôles réguliers ce n’est pas vraiment un problème. Moi je recommande de la pratiquer sans préservatif car toutes ces sécrétions masculines ont de grandes vertus. Tout d’abord, le liquide pré-séminal est antiseptique et le sperme contient d’excellents nutriments, ce serait dommage de se priver de tous ces bienfaits. J’ai plusieurs patients qui m’ont dit ne plus souffrir d’angines depuis qu’ils pratiquent la fellation sans préservatif sur leurs partenaires réguliers ou occasionnels. » Raphael bande à fond, il sent la pulsation de son propre zob contre la paume de la main de Lounis qui ne l’a toujours pas lâché. Il écoute ce que lui dit le médecin, mais il ne peut détacher ses yeux de la fourrure dense qui orne le torse du jeune apprenti médecin. Comme il est assis et que Lounis est debout, Raphael a les yeux à la hauteur de sa poitrine et son regard se perd dans les poils de ses pectoraux, la puissance de ses muscles et la délicatesse de ses tétons à la chair apparemment tendre.
« Vous êtes d’accord, Lounis ? », poursuit le médecin. Son stagiaire dit qu’en effet, toutes ces sécrétions présentent de véritables bienfaits pour celui qui les produit comme pour celui qui les reçoit, puisque le liquide pré-séminal nettoie aussi bien l’urètre du premier que la cavité buccale du second, et que le sperme contient des endorphines qui procurent du plaisir au premier, mais aussi des vitamines, des protéines antibactériennes et des minéraux comme le potassium ou le magnésium qui sont bénéfiques au second. Entendre ce somptueux colosse poilu, toujours torse nu, parler tranquillement de mouille et de foutre en termes aussi techniques ne fait qu’intensifier l’excitation de Raphael. D’autant que le mec se passe de temps en temps une main sur le front, ce qui exhibe son aisselle poilue et dégage un profond parfum de mec, de temps en temps sur la poitrine, ce qui fait ressortir l’épaisseur de sa fourrure et agite la chaine en or qui souligne la souplesse de ses poils. Raphael ne détache pas son regard de son torse velu, où il voit perler ici et là une goutte de sueur entre les poils.
« Parfaitement, merci Lounis. Mais bien sûr, reprend le docteur Hazan, pour en bénéficier pleinement, encore faut-il pratiquer la fellation convenablement, n’est pas, Lounis ? Si vous voulez bien, cher monsieur, je vous propose de nous montrer comment vous vous y prenez, d’accord ? » Raphael fait signe que oui. « Et plutôt que de simuler sur un support inerte, je crois que le plus simple et le plus probant est de poursuivre notre examen in vivo ; Lounis si vous voulez bien présenter votre membre à notre patient pour qu’il nous montre… Je ne sais pas si vous êtes déjà opérationnel ou si vous avez besoin de préparation… ? » Lounis répond que tout est opérationnel, il lâche enfin la queue de Raphael pour retirer sa ceinture, défaire sa braguette et sortir doucement de l’ouverture du caleçon un zob tout à fait conséquent, circoncis en effet, très pigmenté et doté d’un grosse veine qui le strie en diagonale sur le dessus. Il sort sa queue avec grand soin, en la dépliant, pour ainsi dire, pour la présenter déjà bien gonflée, mais encore souple, sur la paume de sa main. Il monte sur un petit socle opportunément disposé juste à côté de la table d’examen pour l’offrir à la bouche de Raphael, qui s’empresse de l’engloutir avec gourmandise, centimètre par centimètre. Le médecin le complimente de petits « très bien », « parfait », « poursuivez ». Sa bouche est dilatée par le calibre du zob, sans doute 5 bons centimètres de diamètre.
« C’est bien, mais n’hésitez pas à prendre le pénis bien en entier dans la bouche pour avoir tous les bénéfices de cette fellation, sans oublier que c’est ainsi qu’elle procure tout son agrément à celui qui la reçoit, n’est-ce pas Lounis ? Comme ceci, regardez ». Et le docteur Hazan commence à prendre en bouche la queue de son stagiaire. Raphael trouve presque encore plus excitant de la voir entrer en entier dans la gueule du médecin que de la sucer lui-même. Il peut détailler les veines et la texture satinée de la hampe brune. Il se risque à poser une main sur l’abdomen velu du stagiaire et, comme celui-ci ne l’écarte pas, il remonte jusqu’aux pectoraux où il plonge les doigts dans la fourrure, soupèse la masse musculaire et va chercher les tétons au milieu des poils. Lounis lui adresse un regard profond et lui lance enfin un sourire en plissant ses grands yeux en amande. Raphael en profite pour lui passer l’autre main sur le bas du dos, bien velu lui aussi, et pour descendre vers le haut de ses fesses. « Vous voyez ? Bien à fond. A vous maintenant », lance le médecin, avant de préciser : « pour que notre patient puisse bien vous prendre en bouche, Lounis, ce serait préférable que vous baissiez votre caleçon afin que l’ensemble de votre membre soit dégagé ». Lounis s’exécute et quand Raphael reprend sa queue en bouche, il peut à présent lui poser une main sur le haut des fesses, qu’il commence à caresser. L’élastique du caleçon est à mi-hauteur de son cul et pousse la chair vers le haut, si bien que ses fesses n’en sont que plus rebondies. Il aime la sensation des muscles fermes enrobés, sous la peau, d’une petite couche tendre et, par-dessus, d’une fine toison de poils.
« C’est bien, oui, c’est beaucoup mieux, fait le docteur Hazan. Vous pouvez arrêter, sinon je ne sais pas si M. Mansour pourra se retenir, ce serait dommage pour la suite de l’examen… Maintenant, parlons des rapports anaux. Je suppose que vous les pratiquez avec des hommes. Habituellement, êtes-vous celui qui pénètre ou celui qui est pénétré ? » Comme Raphael commence à se détendre et à accepter que ce n’est pas une visite médicale comme une autre, il explique, sans détacher le regard du torse nu et velu de Lounis, qu’il aime bien les deux, que ses partenaires lui font habituellement des compliments de sa manière de les sodomiser, mais qu’il a parfois du mal à se faire pénétrer. « C’est habituel, ne vous inquiétez pas. Tout d’abord, je suppose que vous savez que la pénétration anale est une excellente pratique pour les hommes, puisqu’elle permet un massage interne de la prostate, ce qui contribue à la bonne santé de cette glande masculine. Je vais vous demander de quitter votre caleçon, voilà… et de vous allonger sur le côté… oui, comme ceci. Si vous voulez bien, je vais introduire un doigt dans votre anus et vous allez me dire si c’est de cette manière que vous ressentez votre prostate lorsque vous subissez une pénétration anale lors d’un rapport sexuel ». Raphael dit d’accord, fait ce que lui demande le médecin, Lounis l’aide et Raphael n’en peut plus de voir s’agiter ses grands bras magnifiquement musclés et velus, tandis que le médecin s’équipe d’un gant en latex et s’enduit le majeur de gel. « Ce sera un peu froid au début, mais ça va vite se réchauffer ensuite. Et vous me dites si je vous fais mal, s’il vous plait. »
Quand le médecin lui introduit un puis deux doigts, Raphael est aux anges, ça faisait longtemps qu’on ne lui avait pas aussi bien fouillé le cul avec la main. Les doigts experts lui massent la prostate de l’intérieur, avec fermeté et douceur à la fois. « Est-ce que ça va ? » demande le docteur Hazan, Raphael répond que oui. « Et est-ce comme ceci que vous sentez votre prostate lorsqu’un partenaire vous pénètre ? » Raphael doit bien reconnaitre que non et le docteur Hazan dit qu’il n’est pas surpris car peu d’hommes savent vraiment s’y prendre de façon à faire profiter leur partenaire de tous les bénéfices d’une pénétration anale. « Je vous propose de vous montrer comment s’y prendre afin que vous puissiez guider vos partenaires à l’avenir. » Comme Raphael ne dit pas non, le médecin poursuit. « Pour plus de facilité, permettez-moi de me mettre torse nu moi aussi. » Il défait alors prestement sa blouse et exhibe rapidement un torse splendide, un torse d’homme mûr avec quelques heures de vol, un peu de ventre, des muscles toniques et surtout une toison magnifique, des poils châtain foncé uniformément parsemés de gris qui s’illuminent à la lumière de la fin d’après-midi. Raphael en rêvait mais n’aurait jamais imaginé qu’il verrait un jour son cher médecin torse nu, qu’il pourrait enfin contempler la toison qu’il devinait par l’encolure de la blouse. Il n’en bande que plus fort. Le médecin ouvre la braguette de son pantalon, le salaud ne porte pas de sous-vêtement, remarque Raphael. Il déballe un engin somptueux, charnu et raide. Il l’équipe d’un préservatif et l’enduit de gel. « Je vois que vous ne savez plus où donner de la tête, mais je crois que le torse de M. Mansour vous inspirera encore davantage que le mien, ça tombe bien car je préfère vous pénétrer par derrière… voilà, comme ceci… Voyez, je m’introduis à la perpendiculaire, ainsi l’ovale de la circonférence de mon pénis coïncide avec celui de l’ouverture de votre orifice anal et je le blesse moins en pénétrant… Très bien… Maintenant j’effectue des allers et retours lents, mais réguliers et fermes, comme ceci… Vous sentez une différence par rapport à vos rapports anaux habituels ? Oui ? Ça ne m’étonne pas. »
Pendant qu’il est tourné vers Lounis, Raphael en profite pour lui gober le zob et il le pompe au même rythme que le médecin lui lime le cul. Raphael se tient d’une main aux fesses de Lounis, tout en lui passant l’autre main dans les poils du ventre. Il n’en a jamais assez de palper cette toison sublime. Puis il s’enhardit et plonge la main entre les fesses charnues de Lounis, sa raie est chaude et légèrement moite, Raphael fait des va et vient avec la main, lui masse la fesse, l’empoigne, puis risque un doigt vers la rondelle. Lounis accompagne la pipe que lui dispense Raphael par des mouvements du bassin qui encouragent ce dernier à introduire le doigt dans son trou. C’est serré, c’est chaud et ça glisse. Il parvient à remonter les mains sur le torse poilu du bel Arabe. Pendant ce temps, le médecin lui annonce un changement de position, il va lentement le faire pivoter sur le dos pour le pénétrer par devant et à l’horizontale. Ce type est un expert, Raphael avait déjà essayé ça avec des mecs, mais à chaque fois c’était la catastrophe, la bite du mec ressortait, c’était tout à recommencer, et parfois même le mec débandait. Là, c’est comme sur des roulettes, Lounis aide le médecin à le faire pivoter, il est pris en main par ces deux mecs poilus, torse nu, incroyablement chauds et excités, les bras musclés et velus de Lounis le soutiennent avec prévenance, il pourrait quasiment décharger tout de suite. Mais il sait que le meilleur reste à venir.
Le médecin a incliné la table d’examen pour pouvoir baiser Raphael plus à son aise, celui-ci n’en a qu’une meilleur vue sur son torse velu en pleine action. Le médecin prend fermement appui, les muscles de ses bras et de sa poitrine sont contractés, de la sueur commence à lui couler sur les flancs, et du front et du cou vers les poils du torse, il est magnifique, se dit Raphael. « Dans cette nouvelle position, je pense que vous sentez encore plus fermement l’effet bénéfique de la pénétration sur votre prostate, n’est-ce pas ? », lance le médecin en enculant encore plus vigoureusement Raphael. Celui-ci acquiesce et confirme à Hazan qu’il a rarement senti une queue s’occuper de lui aussi profondément. « Et vous voyez, ahane le médecin entre deux coups de bite, ce n’est pas qu’une question de taille, même si je reconnais que celle de mon membre est dans la tranche haute de la moyenne, c’est surtout la manière dont on s’y prend. » Pendant qu’il se fait baiser de plus en plus sauvagement par Hazan, ses mains s’égarent sur le torse de Lounis qui est maintenant juste à côté de lui, il les plonge à loisir dans l’épaisseur des poils bouclés, il attrape au passage un téton pour le caresser. Il lève les yeux et croise le regard de braise du Libanais qui lui décoche de nouveau un sourire à faire fondre la banquise. Raphael a juste le temps de s’abandonner en fermant un instant les yeux avant de sentir la main puissante et chaude de Lounis parcourir son torse, caresser ses poils et exciter ses tétons. Lounis s’astique le membre à côté de lui, Raphael voit le gland qui entre et sort de sa belle main musclée, bronzée et finement poilue. Il porte aussi un fin bracelet en or qui souligne aussi la puissance de son poignet, le hâle de sa peau et le noir de ses poils. Quand Raphael tend la main pour lui empoigner le zob, Lounis fait signe que oui et lui saisit à son tour le chibre pour le branler. Sa queue dégouline, elle glisse dans la main chaude et douce de Lounis, dont il ne cesse de caresser la toison et les tétons.
« Êtes-vous prêt ? », lance Hazan, Lounis et Raphael répondent que oui. C’est Lounis qui crache le premier un jet de foutre dans les poils du torse de Raphael, le médecin s’exclame alors : « Bel éjaculat, Lounis, il est abondant, blanc et onctueux. Mettez m’en un peu dans la bouche que je le goûte ». Et au moment où Lounis lui donne sa main à lécher, Hazan se contracte, son torse poilu est tout en tension et Raphael sent son zob se contracter dans son cul et lui administrer sa dose de jus. « A vous, fait le médecin, nous allons voir si votre nectar est aussi pur que celui de M. Mansour ». Avec douceur et fermeté, Lounis continue à branler Raphael pendant que Hazan poursuit ses va-et-vient dans son cul. L’autre main de Lounis lui caresse les tétons, Raphael a une main sur le torse poilu de Hazan, l’autre palpe avidement la poitrine musclée et velue de Lounis, et il finit par décharger dans un râle une dose de foutre qui lui atterrit jusque sur le visage.
Gill
gillym9@yahoo.com
Autres histoires de l'auteur :
Fournil | Bâtiment | Maçon | Café | Mec du Stade | Plombier | Randonnée | Incendie | Campagne | Torso | Torse nu