C'était une chaude nuit de Juin, une nuit où j'ai du mal à trouver le sommeil. Je tournais péniblement en rond dans mon lit.
Soudain, alors qu'enfin je trouve le repos, j'entends un bruit venant d'en bas de chez moi.
Je descends et attrape au passage ma batte. Dans l'obscurité, j'aperçois une silhouette masculine fouillant le salon. Comme je connais mieux ma maison que lui, je le contourne, arrive derrière lui et lui assène un coup derrière la tête !
Il est à terre, complètement sonné. J'attrape de la corde et lui attache les pieds et les mains. Je saisis le téléphone et avant d'appeler les flics, je vérifie qu'il n'est pas blessé. C'est là, en allumant la lampe, que j'ai vu ce magnifique visage, assez carré mais très bien fait, avec une bouche et des lèvres magnifiques, le tout surmonté d'une belle tignasse blonde coiffé un peu à la mode. Le genre de mec qui réveille en moi des pulsions sauvages.
À cette vue, je décide de le traîner dans la cave et d'en faire mien.
Une fois dans la cave, je l'ai solidement arnaché au pilier porteur de la maison. Une fois fait, je lui ai mis deux trois claques ... en vain. Il était bien assommé. Je lui ai jeté un bon verre d'eau glacée, ce qui visiblement a été plus efficace et l'a bien réveillé. Il s'est excité un bon coup :
"Putain c'est quoi ce bordel ?! T'es qui toi ? Putain pourquoi je suis attaché ? C'est toi qui a fait ça sale merde ! T'as pas le droit ! Détache-moi salaud !"
"Et toi ?! Qu'est-ce que tu fous dans ma piaule ?! C'est interdit ça aussi !"
"Je m'en bas les couilles de toi ! Laisse-moi partir j'te dis !"
"Oh que non tu vas rester là bien sagement !"
Sur ces mots, je l'ai bâillonné. Il s'est mis à hurler et à se débattre en vain dans tous les sens.
Je l'ai laissé mijoter quelques heures dans le noir, seul dans la cave, le temps que le jour revienne.
Ce matin, je suis redescendu dans la cave. J'ai allumé la lumière. Il faisait sombre mais je voyais bien qu'il ne dormait pas et il me tuait du regard.
"Alors bien dormi ?"
"Va te faire sale chien ! Je veux sortir !"
"T'as pas l'air très coopératif ! Tu as faim, soif ?"
"Je veux pisser !"
"Ok."
Voyant mon hôte récalcitrant, j'ai décidé de le calmer. J'ai saisi un bouteille vide et lui ai présenté. Il n'a pas compris le message :
"C'est quoi ça ? Je veux pisser j'ai dit !"
"Ben tu vois ça, c'est une bouteille ... et tu vas pisser dedans !"
"Ok va te faire je pisse pas devant toi !"
Il commençait à me plaire. Il avait besoin d'être calmé et je suis très dominateur, voire prédateur. J'ai donc ouvert son jean et ai saisi sa queue, un bon morceau de 10 ou 12cm au repos qui promettait bien des plaisirs ultérieurs. J'ai fourré son chibre dans la bouteille. Le stress de la situation et la surprise l'ont fait tout lâcher. J'ai gardé le précieux liquide pour d'autres instants. J'ai rangé son matériel. Lui s'est énervé :
"Putain refait plus jamais ça sale pédale ! Plus jamais tu m'entends ! J'ai envie de t'éclater la gueule !"
"Mais c'est que t'es pas très gentil toi dis-moi ! Je t'heberges, je veux rendre service, être sympa et toi, tu m'insultes ? C'est pas gentil ça. Je vais devoir être plus dur avec toi !"
Sans qu'il ait eu le temps de dire quoi que ce soit, je suis remonté chercher mon matériel de "torture" et mes "jouets" pour lui faire comprendre qui est me maître dans cette maison.
Je suis redescendu et ai disposé le matériel devant lui, sur une table, bien en évidence. Il était perplexe.
"Putain c'est quoi ça ! Tu vas faire quoi là ?!"
J'ai allumé une lampe près de lui et là, j'ai pu voir ses magnifiques yeux bleus azur perçant et profond qui m'ont brisé le coeur. Cette fois j'allais me le bouffer.
Mais il devait comprendre qu'il était à moi. J'ai saisi mon cutter, l'ai affûté un coup et ai mis, à contre coeur, un coup de lame dans son blouson Calvin Klein qui me plaisait beaucoup.
Il a lâché un cri et a hurlé :
"Putain t'es malade ou quoi ?! Connard t'as planté mon blouson !"
"Ferme là et écoute moi maintenant. Je vais plus être gentil maintenant. Ici c'est chez moi ! Et ya quelques règles à suivre. D'abord tu me vouvoies. Ensuite, tu vas me parler autrement et être moins vulgaire parce que ça me plaît pas du tout. Enfin, quand je te donne un ordre, tu obéis bien sagement. Si tu suis ça, ça devrait le faire."
"Je m'en torche le cul de tes règles !"
"Oh qu'il est vilain !"
Et vlan ! Un deuxième coup lame sur la gauche ! Là son ton à changé :
"Non arrêtez stop !"
"Tu me vouvoies maintenant ?! On progresse ! Tu sais j'aimais bien ton blouson. Mais je suis un peu jaloux qu'il soit pas à ma taille."
J'ai tiré un bon coup sur et l'ai déchiré au max.
"Qu'est-ce que vous voulez de moi ?"
"Comment tu t'appelles ?"
"Ja... Jason monsieur !"
""Monsieur" ?! Wow tant que ça ?!"
J'ai pris mes ciseaux et ai fini d'ouvrir complètement son blouson, en découpant le col le col et le zip. En dessous, il avait un pull noir qui lui moulait bien le torse. J'ai continué mon interrogatoire :
"Et t'as quel âge Jason ?"
"22 ans monsieur. Je vous en prie arrêtez !"
"Tu me supplies maintenant ! De mieux en mieux ! Tu sais que tu commences à me plaire toi ?!"
J'ai mis un coup de ciseau dans le bas de son pull
"Non stop pas mon pull non."
"C'est moi qui fixe les règles. T'habites où Jason ?"
"Je suis d'ici. Enfin pas du quartier."
"Et tu t'es dit qu'un quartier de bourges c'est bien pour voler ?!"
"Je ... non !"
J'ai déchiré son pull dans le sens de la hauteur, jusqu'en haut et ai dévoilé un corps magnifiquement sculpté mais encore voilé par son débardeur noir.
Il commençais à paniquer. Ça m'excitait.
"Pitié ! Je vous en prie arrêtez ! Qu'est-ce que vous voulez de moi ?!"
"Je veux que tu comprennes que c'est mal ce que tu as fait !"
"J'ai compris ! Laissez-moi partir et je ferai plus de vagues promis ! Je dirais rien à personne."
"Je peux pas te croire. Je veux qu'on joue à un jeu plutôt."
"Quel jeu ?"
"J'ai envie de toi et ... tu vas me donner ce que je veux."
"Non pas ça s'il vous plaît ! Je peux pas ... je ... vous êtes un homme !"
"Et alors ?! Toute façon, t'as pas le choix, tu es à moi !"
Il commençait à pleurer et à avoir peur. Moi, je sentais doucement le monstre en moi se réveiller et l'envie baiser de force ce p'tit mec de 22 ans me rendais dingue. Il était à ma merci et je pouvais tout lui faire.
J'ai découpé ses fringues jusqu'aux épaules, et ai commencé à les lui embrassé. C'est fou comme il est musclé ! Lui gémissait et geignait de dégoût. Il tentait de se débattre mais je le retenais.
Je commençais à vouloir passer aux choses sérieuses. J'ai empoigné son jean et ai fait exploser sa braguette et ouvert son pantalon jusqu'à son anus. Il s'est mis à hurler de plus belle :
"Non je vous en supplie pas ça ! Je vous demande pardon pour cette nuit, je recommencerai pas je le jure"
Je ne l'écoutais plus. Je voulais lui faire comprendre qu'il était tombé sur la pire des personnes, le pire prédateur :
"Effectivement, t'aurais pas dû ! Tu vas souffrir maintenant ! Je te faire devenir sage !"
J'ai découpé son caleçon au niveau de son trou et ai commencé à caresser son intimité. Le salaud était imberbe à cet endroit. Je me demandais comment ce p'tit gars bien propre sur lui pouvait être tombé aussi bas ! Mais qu'importe, j'ai saisi mon gode le plus long et le plus large et lui ai mis sous le nez.
"Tu sais ce que c'est que ça ?"
"Oh non je vous en supplie pas ça ! J'ai jamais été pénétré ! Pitié non !!"
J'ai présenté l'objet à son anus. Il se tordait dans tous les sens. Il me suppliait d'arrêter. J'ai orienté le gode vers son trou et d'un coup sec, j'ai poussé jusqu'à la moitié de la longueur. Je venais de lui exploser l'anus. Il hurlait plus fort que jamais, de douleur. Il n'avait jamais eu aussi mal de sa vie.
"Alors t'aimes ça ma salope ?"
"Pourquoi vous faites ça ?! J'ai mal arrêtez !"
J'ai poussé le vice ... ou le gode ... plus loin : j'ai retiré le gode jusqu'au quart et j'ai fini de le pénétrer d'un seul coup ! Nouveau hurlements de douleur. Je sentais son sang couler sur ma main.
"Ok c'est bon je vais jouer ! J'accepte tout ce que vous voudrez."
"C'est bien gamin. Mais comme t'as pas été sage tout à l'heure, je vais pas être tendre !"
Sur ces mots, j'ai explosé son débardeur, qui a fini en miette sur le sol. J'ai fait de même avec le reste de son haut, que j'ai mis en pièces détachées.
Puis j'ai découvert ce torse magnifiquement et terriblement musclé, mais plus orienté mannequin que que athlète. Ça me plaisait bien. Il était complètement imberbe, des pecs jusqu'au bas ventre. Sa peau était lisse comme celle d'un bébé ! J'allais pouvoir me faire plaisir !
Je me suis jeté sur ces tétons, que j'ai mordu à lui en arracher un cri. Je lui malaxais avec vigueur ses pecs tandis que ma langue faisait le tour du proprio. Je lechais chaque millimètre carré de chair, chaque interstices, surtout entre ses abdos, que j'inondais de salive.
Il gémissaitet n'aimait pas ce traitement. Moi je prenais mon pied comme jamais !
Je me suis également attardé sur ses aisselles, imberbes elles aussi ! Ils était rasé de partout, sauf de la barbe qu'il entretenait malgré tout.
Puis j'ai décidé qu'il était venu le temps de goûter ses lèvres car j'en mourrais d'envie ! J'ai d'abord essayé une approche délicate. Maos sa bouche fuyait la mienne comme deux aimants du même côté. Je lui ai mis une bonne claque avant de lui dire:
"Tu m'avais dit que tu serait obéissant non ?"
"Je le sens pas trop ..."
"Laisse-toi faire et tout ira bien !"
J'ai retenté l'approche et il s'est laissé faire, non sans dégoût, et m'a même laissé pénétré sa bouche. J'ai gobé sa chaude langue. Il n'était pas ravi et moi je l'enfoncais encore plus. Je lui crachais dans la bouche et sur le visage, jusqu'à lui donner la gerbe.
"C'est bien ! Tu vois c'était pas grand chose !"
Il ne se sentait vraiment pas bien. Je l'ai soulagé en retirant le gode. Il avait l'anus explosé et bien rouge. Mais il avait mal.
Je l'ai également soulagé du reste de ses fringues, que j'ai découpé en petits morceaux, ne luo laissant que ses rangers, car je trouve qu'elles lui donne un côté encore plus sexy.
Je lui ai alors demandé une nouvelle faveur :
"Maintenant je veux une érection de ta part !"
"Quoi ? Mais je ... je peux pas ... vous ... j'aime les filles ... je ... pitié"
Il n'arrivait plus à parler. J'ai alors joué du vibromasseur et ai trouvé une zone sensible, entre ses bourses et son trou. Il a levé le chapiteau en 10s ! Je n'ai pas attendu une seconde de plus pour lui gober l'engin !! Il avait un beau bout de chair d'environ 23*6 que je n'ai pu gober complètement.
Là, j'ai senti chez lui quelque chose de nouveau. Il gémissais mais il semblait que ces gémissements ressemblaient plus à du plaisir qu'à du dégoût. C'est qu'il aimais l'enculé !
J'ai leché son chibre dans tous les sens, du gland au frein, ne laissant aucune zone sèche. Je lui ai évidemment bouffé les burnes. Il semblait plus à l'aise et ça me plaisait moins. Mais ce goût, ce fumet, ce plaisir dans ma bouche était sans pareil. Il avait le goût de propre, celui du mec qui se lave bien l'appareil, mêlé à celui plus musqué du mâle qui, je pense, doit aussi entretenir la tuyauterie !
J'ai sucé ce beau mâle pendant 20min, et sentant l'orgasme arriver, j'ai tendu sa bite vers sa face, et l'ai laissé s'en foutre partout. Il a lâché 5 énormes jets de sperme dont un lui est arrivé sous le nez. Il en avait partout !
"Eh bah mon salaud ?! T'en as une sacré détente ! Putain les minettes elles doivent aimer quand tu leur gicles dessus !"
Il n'ouvrait pas la bouche, de peur de goûter son sperme, et par dégoût. Je lui ai pris un peu sur son torse, l'ai forcé à ouvrir la bouche, lui en ai badigeonnéle pourtour intérieur, lui ai refermé et ai attendu qu'il avale. Il était au bord de la gerbe. Mais il a avalé.
"Vous êtes vraiment immonde ! Pourquoi faire ça ?! Ça vous excite ?"
"Je t'ai déjà dit de ne pas parler comme ça ! Et puis t'as eu l'air d'aimer ça ma pute ! Je t'ai entendu hein !"
"C'est pas vrai ... juste que ..."
"Oui t'aimes de faire sucer je comprends."
Piqué au vif, il a baissé la tête.
Maintenant, j'ai envie de me finir sur lui. Je l'ai détaché, l'ai jeté contre une table et l'ai attaché de façon à avoir une belle vue sur son trou encore pas mal dilaté. Il avait un cul magnifique, bien musclé et parfaitement imberbe. Je commençais à le lui ploter allègrement mais il hurlait toujours autant. J'ai décidé de le calmer à ma manière. J'ai saisi une cravache et lui ai mis un bon coup sur les fesses.
"Aie pourquoi vous me faites ça ?! J'ai obéis ! Laissez-moi maintenant !"
"T'as pas assez obéis selon moi. Tu vas comprendre ce que c'est que l'obéissance ! Maintenant tu vas dire oui à tous ce que je te demande, sinon, tu vas faire connaissance avec mon martinet ! On est d'accord ?"
"Faites pas ça je vous en supplie !"
"Mauvaise réponse !"
J'ai pris le martinet et je lui ai mis deux coups dans le dos.
"Alors ?! Tu vas être docile maintenant ?!"
"Oui oui !"
"C'est bien. Est-ce que tu veux bien m'offrir ton joli petit cul ?"
"Quoi ?!"
Trois volées de plus !
"Je comprends pas ce que vous voulez !"
"Je te fourrer c'est pas compliqué !"
"Oui d'accord."
J'étais surexcité. Il fallait encore que je me retienne, sinon j'allais jouir avant même de l'avoir pénétré.
J'ai commencé à jouer avecsa raie, à la caresser, à y passer mon index. Il gémissait. Je l'ai calmer à coup de martinet.
"Ferme-là !"
"Oui ... pardon"
Encore un coup !
"Trop tard pour le pardon !"
Doucement, j'ai commencé à lui titiller la rondelle. J'ai glissé sur mes genoux pour humer son arrière train, comme une chienne en chaleur. Là encore, ça sentait le propre. Putain ce mec me rendait fou. J'avais l'impression que ce mec, qui m'avait semblé si sûr de lui, se trouve être une simple vierge effarouchée. J'avais encore plus envie de l'éclater !
J'ai délicatement passé le bout de ma langue sur le trou qui s'était quand même pas mal refermé. Ce serait dommage qu'il se referme. J'ai alors pénétré ma langue et ai commencé à jouer avec les bords de sa rondelle. Il se mordait les lèvres pour ne pas que je l'entende.
J'avais alors ouvert ma braguette et commencer à me branler. Depuis le temps que j'attendais ce moment !
Puis j'ai fait pénétré un doigt, qui machinalement est rentré, vu l'ouverture que j'avais créé. J'ai fouillé un peu et j'ai finalement atteint sa prostate, avec laquelle j'ai joué un moment.
Puis vint le moment tant attendu. Je me suis relevé, me suis approché de lui et lui ai chuchoté à l'oreille :
"Tu sais que tu vas te faire royalement enculer ?"
"... oui ..."
Il pleurait toujours. Il était déjà pas mal humilié mais je voulais le mettre au fond de son trou.
Après lui avoir mis quelques claques fortes sur les fesses, j'ai enfilé une capote et je l'ai enculé sans prévenir. Il tentait péniblement de retenir ses hurlements de douleur. Il s'accrochait à la table.
Moi, n'y tenant plus, je l'ai bourriné le plus fort que je pouvais. J'ai cru que j'allais démolir la table ... et son bassin avec ! Ses fesses claquaient contre mon bas ventre dans fracas énorme. Je faisais rougir ses fesses. Ça devait le chauffer fort !
Je m'étais accroché à son épaule et tellement j'étais pris dans l'action, je le serrai presque trop fort. J'en avais mal à la main ! Je lui mettais aussi, à l'occasion, quelques claques sur les fesses.
Ma fougue n'a pas duré longtemps, puisque j'ai senti la sauce monter au bout de 7 ou 8min. Je suis sorti de lui, l'ai détaché, l'ai jeté par terre et ai ejaculé sur lui, 2 jets sur le ventre, un sur le torse et 2 gros en pleine gueule.
J'étais tel une bête enragée. J'ai commencé à le gifler en lui demandant s'il avait aimé. Devant ses "non" et ses "pitié", je lui ai mis 2 ou 3 coups de pied dans le ventre. Il a fini par me dire un "oui" forcé.
Pour combler mes pulsions, je lui ai saisi la bouche, lui ai enfoncé ma bite et lui ai pissé dedans, en l'obligeant à avaler pour ne pas s'étouffer. J'ai lâché un bon litre d'urine, datant autant de ce matin que de la veille puisque je n'avais pas pissé depuis hier soir.
Il en a recraché à peine un dixième.
"Alors ?! T'es calmé là ? T'as compris ce qui arrive aux merdes de ta race ?! Hein ? Répond salope !"
Je le frappais encore. Il n'arrivait plus à parler. Il était terrorisé.
J'ai pris la bouteille d'urine, de son urine, et lui ai versé dessus. Il en avait partout.
Il s'est recroquevillé en pleurant. Là je me suis rendu compte qu'il se pissait dessus. De rage, je lui ai foutu la tête dedans en lui hurlant :
"Putain c'est pas vrai ! T'en as pas eu assez ?! Faut encore que salisse ma piaule ! Nettoie-ça !!"
Mais il ne bougeait plus. Le stress accumulé l'avais fait tomber dans les pommes. Je me rendais compte que la bête était trop sortie. J'avais été trop loin, plus loin que jamais !
Je redescendait brutalement sur terre. J'étais sexuellement rassasié mais je l'avais profondément traumatisé.
J'ai rangé mon chibre, l'ai mis dans une bâche et l'ai porté sous la douche. Je l'ai lavé et ça l'a ramené à lui. Il s'est jeté sur moi pour me frapper, il était de nouveau hors de lui.
Ça m'a remis hors de moi :
"Putain toi t'es vraiment qu'une merde ! Je vois que j'ai été trop loin, je te lave, j'allais te donner des fringues, et toi ... putain tu vas me le payer."
"Pardon ... je pensais que ... non arrêtez non !"
Je l'ai saisi pas les cheveux, l'ai traîné dans toute la maison et l'ai mis dehors complètement à poil !
Il m'a supplié d'arrêter :
"Attendez me laissez pas comme ça ! Je peux pas rentrer comme ça !! S'il vous plaît, prêtez-moi quelque chose !"
"T'es qu'une sous-merde ! Rentre chez toi ! Je garde tes papiers en souvenir. Tu vas revenir dans une semaine en costard. Si tu viens pas ou si tu portes plainte, je te retrouve et tu finis tes jours ici ! Allez dégage ma pute !"
J'ai claqué la porte. Je l'ai vu repartir en titubant, à la fois sonné et honteux de finir sa nuit comme ça. Heureusement pour lui, le quartier était désert à cette heure et il s'est mis à courir pour ne pas être vu. Moi j'ai rangé un peu la cave.
Je n'avais plus de remord et j'espérais qu'il revienne.
La semaine suivante, le même jour, on sonne chez moi.
PtitGayCurieux
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