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Premiers contacts, premières douleurs

Moi c'est Ludo, 21 ans. Je suis châtain aux yeux bleus, 1,78m pour 62 kg, le mec qui s'entretient mais s'en surplus, une coupe à la mode, musclé sec.
Je suis étudiant en informatique depuis deux ans et en colocation car pas les moyens de me payer un appart' avec ma petite bourse étudiante. Mon colloc' c'est Arthur, le bg par excellence : brun aux yeux bleus, grand et musclé, toujours un haut qui fait sortir ses pecs, macho et homophobe, avec son petit sourire en coin qui fait tomber toutes les filles comme des mouches. Bref, on était pas fait l'un pour l'autre, moi étant gay et assez discret.

Le début de l'année avait été mouvementé. Dès son arrivée, quelques heures après la mienne, j'ai su que la cohabitation allait être compliquée. Il a débarqué en balançant ses affaires dans le salon. A peine un bonjour et vas-y que je te fous le bordel. J'ai tenté de lui faire comprendre que ça ne plaisait pas
L : Euh ... excuse-moi. Ca te dérange pas d'arriver et foutre le bordel comme ça.
A : Je t'emmerde je suis chez moi aussi !
Face à cette réponse, et sans même le connaître, j'ai su que j'avais face à moi un petit emmerdeur de service. J'ai tenté de m'imposer
L : Eh tu vas te calmer ! On se connaît pas tu me parles comme ça ! Dans une colloc', y a des règles ! Je sais que tu connais pas ça, sorti des jupons de ta maman, mais va falloir que tu t'y fasse !
Je l'ai vu changer de tête d'un seul coup, et j'ai compris que je m'étais mis dans la merde. Il m'a saisi par le col de ma chemise, m'a plaqué contre le mur.
A : Ecoute petite pédale de merde, c'est toi qui va te calmer ! Je sais que t'es une petite suceuse et j'aime pas les gens de ta race. Donc tu vas respecter MES règles et MA loi ! Ici c'est moi et toi la femme. T'es qu'une sous-merde. Et d'ailleurs puisque t'as décidé de m'emmerder dès le début de l'année, je vais te faire souffrir !

J'étais tétanisé. Je n'arrivais même pas à lui répondre. Je devais être blanc.
Il a fait son tour du proprio seul et a pénétré dans une première chambre, où j'avais déjà commencé à ranger mes affaires. Puis il a vu l'autre. Mais la première lui plaisait plus
A : Dégage de ma chambre la pédale.
L : Quoi ?!
A : Putain t'es con ou quoi ?! J'ai dis DE-GAGE !
L : Hors de question
A : "Hors de question" ?! Ok ...
Il est entré dans ma chambre, a ouvert la fenêtre et a commencé à tout jeter dehors. J'ai tenté en vain de l'arrêter mais il m'a mis dehors, a fermé la porte et a fini le travail. J'ai dû tout récupérer et à mon retour il m'attendait sur le pas de la porte.
A: En fait, j'aime bien l'autre chambre !
L : T'es sérieux ?!
A : Ouais ... je vais prendre les deux !
Sans même pouvoir répliquer, je me suis vu contraint de prendre le canapé.

Puis vint le jour de la rentrée. Discours du directeur en amphi, présentation des profs, présentation du lycée, .... Je remarque petit à petit qu'Arthur a déjà son groupe de pote qu'il doit connaître de son lycée. Ils sont quatre en tout. Et ils me regardent tous en souriant. Je comprends vite qu'ils sont au parfum me concernant et que l'année va être longue. Les premiers cours se passent, mais je n'ai pas la tête à ça ! J'ai un mauvais pré-sentiment et une sacré boule au ventre.
A la fin des cours, j'hésite à rentrer. Je décide de faire un tour du coin avant de me décider, à contrecoeur à retourner avec lui. Après tout, peut-être arriverons-nous à communiquer.

En arrivant, j'entends du bruit. Il n'est pas seul. En entrant, je le vois avec ses potes en train de boire des bières.
A : Eh mais c'est la petite pédale qui rentre ! Je te présente des potes bien hétéro et qui n'aiment pas trop les gays non plus.
Génial ça commence bien !
A : Tes affaires sont dans MA chambre. En attendant, on a la dalle. Va faire la cuisine !

Je tente de me sauver de cette situation pénible.
L : J'ai des devoirs à faire !
A : Non ! Tu fais la cuisine, sinon la suite va pas te plaire !
L : Quoi tu vas encore mettre mes affaires dehors ?
A : Non mais t'as des t-shirts sympa ! Ca serait dommage d'en faire des confettis !
L : Sérieux fais pas ça !!
A : ALORS OBEIS SALOPE !

A partir de ce moment, j'ai fait ce qu'il voulait. Chaque soirée était un calvaire et je devais supporter ces moindres caprices, du simple repas à préparer et à lui amener sur un plateau, au ménage à faire en soubrette devant la caméra de son tel, en passant par l'argent que je gagnais. J'étais son esclave. Et les rares moments que j'avais de libre étaient pollué par sa présence.
Les cours n'étaient pas plus réjouissant : en un mois, il m'avait mis la classe à dos. Je n'avais aucun ami et tout le monde m'insultait, jusque devant les profs qui ne s'en inquiétaient même pas ! J'ai souvent bousculé, on m'enfermait dans les toilettes, me faisait des croche-pied au RU, ..., bref, un supplice. Je pensais être arriver en enfer. Mais au mois de novembre, le jeu d'Arthur à pris une autre dimension. Nous avions cours de sport une fois toutes les deux semaines. Handball. Je suis nul et évidemment, mes camarades, à commencer par Arthur, n'ont pas manqué de me le faire remarquer, par diverses insultes et bousculades, jusqu'au crachats quand le prof avait le dos tourné. Le pire a commencé à la fin du cours quand Antoine, un des potes d'Arthur m'a donné "rendez-vous au vestiaire". Passage obligé puisque je devais me changer. J'avais peur mais j'y suis finalement allé, après avoir hésité à aller voir le prof. Mais je pense que ça aurait aggravé mon cas.
En entrant, les mecs, et pas seulement Arthur et ces potes, m'attendaient. Arthur a pris les choses en main, en bon meneur.
A : Alors p'tite putain, t'as bien fais ta sous-merde encore auj ! Et puis tu nous as encore reluqué. Tu dois être épuisé ! Tu veux pas prendre de douche ?
Sans même avoir eu le temps de répondre, je me suis retrouvé entraver par une dizaine de mec. En quelques secondes, et malgré mes efforts pour me débattre, je me suis retrouvé en caleçon. Arthur a ordonné qu'on arrête mais qu'on me tienne. J'étais rouge de honte et je commençais à pleurer. Une petite photo et Arthur a sorti un couteau de sa poche. Il me l'a mis sous la gorge. J'étais a la limite de me pisser dessus.
A : Ecoute moi bien sale merde : t'arrêtes de mater sinon la prochaine fois ce sera pire. Je suis clair.
L : Très clair Arthur.
Il a alors saisi mon caleçon et me la viré en deux coups de couteau. Puis j'ai été jeté sous la douche, eau froide à fond. Bien sûr, je n'avais pas de serviette ! Heureusement qu'il restait les miettes de mon défunt caleçon.
La semaine d'après, alors qu'il n'y avait eu aucuns problèmes, hormis les fréquentes bousculades de couloirs et les "va crever pédale de merde" qui avaient fini par ne plus rien me faire, j'ai été convoqué par le directeur. Étonné, alors que j'ai de bons résultats et que je ne fais pas de vagues, je le questionne sur la raison de ma convocation.
L : Bonjour. Pourquoi je suis convoqué.
? : Monsieur, j'ai eu vent dernièrement de la part de la documentaliste que vous faites circuler, via votre compte scolaire, sur le réseau Élèves, des photos obscènes d'hommes dénudés en plein ébat ! Je me moque de connaître votre orientation sexuelle mais ceci est inacceptable.
Le petit con d'Arthur, il a osé faire ça ! Me piquer mes codes et me faire porter le chapeau après ! Je me disais bien que ce calme n'était pas innocent.
L : Monsieur je ne comprend pas. Je n'ai jamais fait ça ! Je vous assure que ce n'est pas moi ! Je n'étais même pas au courant.
? : Pourtant il s'agit de votre compte ! Vous êtes le seul détenteur de vos codes.
Vite un mensonge pour ne pas avoir de problème avec mon connard de colloc'.
L : Je les ai perdus y a un moment. Il ont du tomber de mon agenda pendant un cours je sais pas.
? : Pourquoi ne pas avoir averti l'administration pour en avoir d'autres.
L : Je les connais par coeur donc je me suis pas inquiété. Je me suis dis que ce bout de papier avait du être jeté par les dames de service !
? : Hmm ... je vous crois ! On va changer vos codes.

Ouf ! Cette fois c'était chaud, dans tous les sens du terme ! Mais ça ne pouvait plus durer ! Il fallait que je mette fin à tout ça. Le soir, seul avec Arthur, j'ai eu une discussion lourde de conséquences.
A : Alors mon cadeau t'as plu salope ?
L : Non pas trop. Mais putain qu'est-ce qui t'as pris de faire ça bordel ?!
A : EH tu vas baisser d'un ton ! Tu sais que j'aime pas ça ! Je t'aime pas et tu vas prendre cher juste pour ça ! Ca fait que deux mois et ça fait que commencer !
L : T'as pas le droit de me faire ça tu sais ?!
A : Je m'en fous ! Et tu vas rien dire parce que sinon tu vas le regretter.
L : Je vais pas me laisser faire. D'ailleurs ta vaisselle, tu peux te brosser pour que je la fasse !
Enervé au plus haut point, je lui ai jeté le torchon à la figure. La pire erreur de ma vie.

Je me dirigeais vers la sortie de l'appart' pour aller prendre l'air quand il m'a chopé par le bras. En me retournant de force, il m'a décollé une gifle puissante, la pire de ma vie ! J'ai manqué de tomber. Il m'a relevé pas la gorge et m'a jeté contre la porte. Son regard était noir et plein de haine. Il m'a repris par la gorge et a serré un peu plus l'étau, jusqu'à m'étrangler un peu et m'a parlé d'une voix posée mais glaciale et pleine d'une colère infinie. J'avais été trop loin et je me rendait trop tard compte de mon erreur.
A : Alors là ! J'avais été gentil avec toi, mais maintenant c'est fini. T'as réussi à me mettre sérieusement en colère. Ta vie d'étudiant tranquille va devenir ton pire cauchemar ! Tu pourras plus rien faire pour m'arrêter. Et si tu t'avises de faire ou dire quoi que ce soit à qui que ce soit ... non je te laisse la surprise ...
Il a laché mon cou, a fait un pas en arrière, et m'a regardé en croisant les bras. J'étais horrifié.
A : Bon on commence par quoi ?
Il a alors violemment saisi mon t-shirt pour me l'exploser.
A : A poil ! Et vite !
Je me suis exécuté, comme un pantin hypnotisé.
A : A genoux !
Une fois fait, il a défait sa braguette et a sorti sa bite débandée de son shorty. Je la voyais pour la première fois et même au repos elle était belle. Je n'avais pas beaucoup d'expérience à l'époque et était encore puceau. J'avais 18 ans et n'avais eu qu'un petit copain aussi puceau mai on avait rompu parce qu'il voulait du sexe et moi je n'étais pas prêt. C'était donc le premier chibre que je voyais, un beau morceau qui doit bien faire 14cm au repos. Malgré la situation, je ne pouvais m'empêcher de mater, et même d'avoir une demi-molle ! Evidemment, il l'a remarqué
A : Nous y voilà ! Le rêve de toute bonne pédale : se faire baiser la gueule par un beau gars ! Mais je suis pas pédé donc je vais pas te faire du bien ! Tu vas morfler et je m'en fous de pas prendre mon pied, je veux juste que tu souffres ! Allez ouvre la bouche trou à merde !
L : Arthur attends je ...
A : Oh il est puceau ! Comme c'est touchant ... MAIS QUI T'AS DIS DE PARLER ?! SUCE ET FERME-LA !
Sous cette ordre, il a forcé la bouche avec son engin tout mou, qui n'a bizarrement pas tardé à gonfler. Inexpérimenté et mal à l'aise, j'ai évidemment fait l'erreur de débutant de mettre les dents. Une gifle, puis deux, trois ... mes larmes ... j'étais en train de me faire violer. Et pourtant, je bandais à moitié, sans doute parce que ce mec me faisait déjà de l'effet. Mais je me suis vite refroidi quand je l'ai vu sortir son tel et me filmer. Il a alors voulu faire durer le plaisir, pour les besoins de son film. Il a entamé quelques à-coups violents au fond de ma gorge, ce qui m'a provoqué des hauts le coeur, avant de tenter les gorges profondes, ce qui a manqué de me faire vomir à plusieurs reprises.
Au bout de ces quinze minutes de torture, il s'est bloqué au fond de ma gorge et dans un râle profond, a craché 5 puissants jets de sperme chaud. Il est resté en moi le temps d'avaler. Mais dans un dernier haut le coeur, mêlé à un étouffement de dégoût, j'ai fini par vomir mon dîner.
Il a explosé de rire avant de me hurler de tout nettoyer. Ceci fait, il s'est enfermé dans sa chambre avec mes affaires. J'ai dû dormir nu, seul, sans couverture. J'ai peu dormi, ce qui m'a laissé le temps de réfléchir à cette erreur et à ses conséquences. Qu'allait-je devenir maintenant ?

PtitGayCurieux

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Suite de l'histoire

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