Moi c'est Jeff, 22 ans. Comme tous les soirs, je rentre de la fac et le seul moyen de rentrer chez moi est de passer dans un quartier un peu sensible et dans cette ruelle sombre et bien glauque.
À chaque fois, je la traverse rapidement, le coeur palpitant. L'idée de me faire coincer ici me glace le sang. De plus, je suis gay et, même si ça n'est pas évident, on peut le deviner
Ce soir là, il y avait ce mec adossé a mur : gueule de bad boy, brun ténébreux, pas épais mais pas mal foutu. Je baisse la tête et presse le pas. Il m'interpelle :
"Eh on dit pas bonjour ?!"
Je prends peur et accélère. Il m'attrape et colle au mur.
"Donne-moi ton fric ! Grouille !"
"Je ... j'ai rien ..."
"Donne j't'ai dis"
"J'ai rien c'est vrai !"
Je suis pétrifié. Il me prend par le bras et me retourne violemment face au mur.
"Je vais te fouiller. Tu as forcément quelque chose !"
Il commence à me faire le sac, qu'il vide sur me sol, puis le poches, en vain.
"Putain où t'as planqué ton fric ?!"
Il m'écarte les jambes du pied et commence à me palper les bras et les jambes.
Bien malgré moi, je commence à bander ! Je tente de retenir mon érection, de peur qu'il la remarque. Mais ces gestes se rapprochent de mon intimité et la pression se fait forte. Il me palpe le torse et le ventre, puis les fesses. Et là, l'improbable se produit, : il se saisit de mon paquet. Sa réaction est immédiate :
"Mais qu'est-ce que c'est que ça ?! T'es un p'tit pédé toi ?? Ça tombe bien, j'ai envie !"
"Non je vous en supplie."
Il me branle à travers le jean et colle sa barre sur mon cul. Doucement, il défait un à un les boutons de ma braguette et plonge dans mon caleçon. Il saisit mon 17,5 bien dur en main.
Il se frotte de plus en plus à moi.
Soudain, de sa poche, il saisit in couteau
Je tente de fuir. Je suis terrorisé. Il me bloque par le cou et les jambes et donne un coup de canif mon calbut. Il l'arrache et le porte à son nez.
"Putain tu sens bon me mâle ma pute !"
Je n'arrive pas à croire que ce mec sniffe mon caleçon !
Après avoir rangé son trophée, il fait tomber mon pantalon, défait sa braguette, tombe le bas et colle sa bite contre ma raie. Elle est raide et chaude. Je sens que je vais y passer. Je ne veux pas me faire violer ici. Je veux juste rentrer et c'est tout. Je commence à pleurer. Il me chuchote alors à l'oreille :
"Si tu te laisse faire, j'irai doucement."
J'acquiesce malgré moi
Il me tire contre lui et m'enlève manteau et sweat. Je n'ai plus que mon t-shirt. Il le soulève et me caresse le ventre, avant de me foutre à poil. Je gémis de plaisir, contre ma volonté. Je ne comprends pas comment j'arrive à prendre du plaisir à ça !
Il me replace contre le mur et, une main sur ma bouche, m'encule à sec à même la rue.
Je hurle, sa main couvre douloureusement le bruit. Il pénètre doucement en moi et je gémis doucement.
Doucement, il ressort, rerentre, me laisse le temps de m'habituer à lui
Puis d'un coup, sans doute par peur d'être vu, il me bourrine violemment.e plaisir disparaît, la douleur revient. Il s'accroche d'une main à mon bassin, si fort que j'en ai mal jusqu'aux os !
Cette partie dure de courtes minutes à la fin desquelles il se retire et éjacule le long de mon dos dans un râle gutural puissant. Trois jets puissant et chaud s'écrase sur moi, et me procure un frisson qui me fait ejaculer sur le mur
À peine finis, il me remonte le pantalon et me laisse en plan
Je m'essuie le dos et me rhabille vite et part en courant
La nuit suivante, j'ai rêvé de lui ... en bien ... étonnamment ... et j'ai encore jouit.
PtitGayCurieux
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