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Mathématiques

Je crois que je me souviendrais longtemps de mes années lycée ! Ce fût le temps des premières fois. C'est à cette époque que mon envie de garçon s'est révélée. Mais je n'avais pas beaucoup d'amis et n'était pas populaire. Je vivais ma scolarité en toute discrétion et le peu de personnes à qui je parlais ne savais rien de mon homosexualité.
Je suis blond aux yeux verts, 1,77m pour 62kg, pas mal foutu et bon élève mais de quoi attirer les foules.
En terminale, j'ai fondu dès me premier jour sur un garçon que je n'avais jamais remarqué (et quelle erreur ce fut). Il était grand, brun aux yeux bleus océan, des muscles sayants et un sourire de tombeur ... le parfait physique des magazines ! Il pratiquait (et pratique toujours) le baseball dans une équipe assez réputée. Il était le parfait opposé de moi : populaire, apprécié, couru par les filles, bon élève. Nous n'étions clairement pas fait l'un pour l'autre au premier abord !

L'année s'écoulait toujours aussi lentement. Je n'amais pas trop l'école mais que cette année était intéressante avec lui dans la classe. Je le matais et rêvais éveillé pendant les cours, quitte à être grillé. Je suivais les cours d'une oreilles et d'un oeil regardais le bel apollon.
Mais très (trop) vite, les gens ont remarqué mon comportement et mes potes aussi. Je me suis retrouvé seul en un mois, les insultes ont commencé à fuser et un soir, deux gars que je ne connaissais ni d'Adam ni d'Eve m'ont cogné.
Je me suis renfermé et ne parlais plus à personne. Les profs ne se sont rendu compte de rien et je n'ai rien dit à personne. J'avais même arrêté de regarder ce mec.

Un matin de Décembre, en cours de maths, en pleine réflexion sur mon exo, un papier a atterrit sur ma table. Je pensais à une énième insulte mais en l'ouvrant j'ai eu la surprise de lire : "Ne te laisse pas faire". Je ne savais pas de qui cela provenait et n'osais pas lever la tête pour chercher dans la classe.
Plus tard cette même semaine, toujours en cours de maths, toujours dans mes exos, j'ai cette fois senti une main frôler la mienne. Surpris, je lève les yeux et contre toute attente, je vois l'homme de mes rêves quitter la salle, sûrement pour faire des besoins. Je n'y croyais pas. Je pensais avoir rêvé. 5min après, même geste, même frisson. Cette fois, pas de doute, c'est lui. Mais que fait-il ? Pourquoi moi ? Est-ce qu'il me joue un tour ? Je ne suis plus concentré et ne pense qu'à ça, qu'à lui.
À la fin du cours, direction les casiers pour poser mon sac avant d'aller manger. C'est ce jour, cet instant, que tout a basculé. Il s'est posé à côté de moi, contre les casiers d'à côté et m'a dit :
"Salut gars !"
Étonné et troublé, j'ai bafouillé un :
"Euh ... salut."
Lui très souriant et jovial :
"Eh fait pas cette tête, je vais pas te taper tu sais."
J'étais à la fois terrifié, du fait des événements passé, et étourdi de le sentir si près, d'humer son odeur et de ressentir sa chaleur. J'ai bêtement fui. Étonné, il a attrapé mon bras et à dit :
"Eh attends pars pas !"
Me sentant agressé, j'ai récupéré mon bras et ai lancé un bête :
"Je dois aller manger !"
Il n'a pu me lancer qu'un dernier :
"Je voulais juste parler !"

Je fuyais sa présence. Je redoutais une agression de sa part, ne sachant plus à qui faire confiance, mais voulais être avec lui tant il me plaisait. La peur s'était emparée de moi sans que je m'en rende compte.
Mes nuits étaient troublé par son souvenir et les questions quant à ses motivations. Après tout, il se pouvait qu'il ne veuille que "parler"

Avant les vacances de Noël, j'ai trouvé un enveloppe dans mon casier avec mon nom dessus. Je ne l'ai ouverte que chez moi. Elle contenait un page de cahier déchirée où était écrit : "Je sais ce qu'il t'arrive en ce moment et je sais que c'est dur. Je voudrais juste te parler. Sache que je ne te ferai aucun mal. Je ne suis pas comme eux, je te le promets. Attends moi demain après les cours stp. Si tu ne veux pas de moi, dis me moi en face, je te laisserai en paix."
Il cherchait à m'aider. J'avais besoin de quelqu'un à qui parler er il semblait être la seule personne.
Comme je n'avais rien à perdre, je décidé de l'attendre à la sortie des cours.

Le lendemain, 16h30, je me dirige vers la sortie, il m'attend.
"Salut, je m'appelle Josh."
Il m'a tendu la main. J'osais à peine la prendre. J'aurais eu tort de la refuser. Elle était chaude, douce et forte à la fois et visiblement amicale.
"Salut. Moi c'est William ... mais je crois que tu le sais déjà ..."
"Ouais ça fait quand même trois mois qu'on est dans la même classe !"
Il a rit. Il rire franc et chaleureux.
"Tu veux que je dépose chez toi, comme ça on pourra discuter tranquille dans la voiture."
"Euh ... j'habite pas loin ... je ..."
"T'inquiète, je vais pas te kidnapper promis. On va chez, on cause 5min et c'est fini."
Je n'avais pas envie de monter dans la voiture de cet homme que je connaissais à peine mais sa voix me rassurait.
Je suis monté, il a entamé la discussion :
"Alors c par où ?"
"Tout droit et à droite au feu."
"Allez go !'"
Je n'étais pas à l'aise mais sa présence commençait à m'apaiser. Il a alors changé de ton, devenant plus sérieux :
"Écoute mec je vois ce que les autres te font et je trouve ça dégueulasse. Je comprends pas pourquoi ils te font ça ! Il pourrait juste te mettre de côté ... et encore même ça c'est mal. Et puis c'est pas comme ça d'habitude dans ce lycée. Je comprends pas pourquoi on rejette les gens juste parce qu'ils sont gays. Pourquoi tu fais rien ? T'as peur ?"
J'avais les larmes aux yeux et je le regardais plus. Il était vraiment de mon côté.
"Écoute je suis perdu ... je ... j'ai peur d'avoir plus de problème ... mes parents sont pas au courant pour ça ... je ..."
"Quoi t'es sérieux là ?!"
Il a stoppé la voiture net sur le bas côté.
"Attends tu es en train de dire que depuis deux mois tu n'as rien dis à personne ?!"
Je n'arrivais plus à parler.
"Oh merde gars tu t'es mis dans la galère ! Putain j'aurais dû bouger avant ! J'avais peur de te causer des problèmes et de t'eloigner de moi. Eh mais ... tu pleures ?!"
Touché en plein coeur par ses mots, j'ai quitté la voiture et ai fui en courant. Je ne pensais pas qu'il m'aiderait et j'ai paniqué. Il en savais trop et bêtement j'ai fui.
Lui m'a suivi en voiture et m'a supplié de monter. Au bout de deux minutes, je suis remonté.
"Pourquoi t'es parti ? Je veux t'aider c'est tout. On va aller en parler au dirlo si tu veux !"
"Oh non surtout pas non ! Ils vont me tuer ! Je vais me faire casser la gueule ! Et mes parents vont ... non je peux pas !"
"Ok ok calme-toi stp. Je peux en parler à mes potes. Ils te protégeront. Et on dira au directeur de rien dire à tes vieux."
"Je sais pas écoute je suis perdu. J'ai tellement peur des représailles."
Là, sa main s'est posé sur ma joue pour sécher mes larmes. Mon coeur s'est mis à battre. Il s'est rapproché un peu et m'a dit, les yeux dans les yeux :
"Je te protège maintenant."
"C'est vrai ?"
"Promis."
"Pourquoi ?"
"T'es un bon gars et tu mérites pas ça."
"Merci."
"Écoute essaye de réfléchir à ça et donne-moi ta réponse quand tu veux."
"D'accord."

J'ai quitté la voiture et l'ai vu partir. J'ai reprion souffle et mes esprits et suis rentré.
J'ai passé la nuit à retourner cette aprèm dans tous les sens dans ma tête. Je sentais encore sa main sur moi, sa voix résonnait fort dans ma tête. L'envie de lui, qu'il me prenne contre lui et me dise encore que tout va aller mieux. La peur d'être trompé une autre fois, d'être abusé. L'excitation de tout dire, de sortir de l'ombre, de défier le monde. Trop de sentiments contradictoires qui m'ont gardé éveillé jusque tard dans la nuit.
Mon choix était fait ... il fallait que j'accepte .
.. pour moi ... pour lui.

Le lendemain matin, arrivée tendu au lycée. Regard tournés vers moi. Les autres m'ont vu partir avec Josh hier et apparemment, ça ne plaît pas.
Josh est dans l'escalier. Il me salut et scrute derrière moi au cas où on me sauterait dessus. Déjà sa présence me rassure. Il me dit qu'à 10h je devrais le suivre, qu'il me présenterait à ses potes.
8h : le cours commence et je souhaiterais m'enfuir tellement l'ambiance est lourde autour de moi.
10h : Josh me présente à ses potes. Il y a Fred, Antoine et Sam. Tous plutôt bg mais pas de quoi m'affoler. Josh les surpasse tous physiquement. Mais je dois avouer que je ne pourrais refuser des avances de leur part. Tous semblent consternés par le comportement des gens du lycée envers et me propose de m'aider, ce que j'accepte, et me promettent que partout où j'irai, je serai en sécurité et qu'il me raccompagneront chaque soir jusqu'à ce que la situation ne s'améliore. Je suis touché par tant de générosité.
Nous passons toute la recrée ensemble et contre toute attente, personne n'a osé venir m'embêter.

Ce n'est que plus tard dans la journée que nous sommes allés voir le directeur, Josh et moi. Je lui ai expliqué la situation, à ma manière, en essayant d'atténuer un peu mes choses, car je ne voulais pas trop en dire, de peur qu'il prévienne mes parents. Mais Josh, visiblement très enclin à me protéger, décidé de dire les choses beaucoup plus crûment, en lâchant :
"Bon William arrête un peu et lâche-toi merde ! Monsieur le directeur, il s'est fait tabassé par des gars de la classe ?! j'ai des noms si vous voulez !"
"Josh stp !"
"Ta gueule je vais pas te laisser dans la merde moi ! Il se fait insulter tous les jours Monsieur ! Et depuis qu'on traîne ensemble, je vous explique pas le délire !"

Après une minute de réflexion, le directeur a demandé les noms de ceux qui m'ont frappé. Josh n'a pas attendu 2s pour les donner. Ils ont été viré dans la semaine, à titre d'exemple, pour ce qui tenterait à nouveau de dénigrer qui que ce soit.
Je n'ai d'ailleurs plus eu de problèmes jusqu'aux vacances. Il a demandé à ce que quelqu'un soit avec moi pour assurer mes déplacements. Évidemment, Josh s'en est chargé. Il a enfin demandé à voir mes parents. Là ce fût un nouveau problème. Je lui ai dit qu'ils n'étaient pas au courant et que je ne savais pas comment leur parler de tout ça. Le directeur m'a informé la présence d'une psychologue qui pourrait m'aider et que je n'étais pas seul. Mais une nouvelle fois, Josh m'a promis son aide.
Je ne comprenais pas d'où lui venait une telle volonté de m'aider mais j'appréciais ce geste.

Les vacances arrivait, enfin. J'allais pouvoir souffler un peu et profiter d'un Noël en famille. Mais je savais que je serais loin de Josh. Je lui ai confié ce regret et en guise de réponse, il m'a donné son numéro, et m'a dit qu'il serait présent pour moi à n'importe quel heure du jour et de la nuit.
Nous nous sommes quittés devant chez moi. Il m'a dit qu'il m'appelerait un jour pour avoir des nouvelles.
À peine rentré, rongé par ces questions intérieures, je lui demandait enfin pourquoi tant de générosité. Sa réponse fût assez trouble :
"Ben je te l'ai dit, t'es un mec sympa qui mérite pas ce qui lui arrive."
"Mais tu en fais tellement ! Qu'est-ce que je peux faire en échange, pour te remercier ?"
"Prends soin de toi."
"Et pour toi ?"
"Je ne veux que ton bonheur."
Ces messages me perturbait. Pourquoi me parlait-il ainsi ? J'avais l'impression de me faire draguer mais je doutais fort qu'il soit gay aussi. Je m'étais finalement dit que je me faisais trop d'idée et qu'il était simplement gentil avec moi.

Noël passa et je me remettais doucement de ces semaines troublées. Josh me parlais régulièrement et j'apprenais doucement qu'il était. Il m'a d'ailleurs confié qu'étant petit, il n'était pas toujours apprécié. Je comprenais pourquoi il m'aidait. Mais je n'arrivais pas à lui faire dire pourquoi ce rejet de la part des autres et comment il s'en était sorti. Cette période sombre de sa vie, qui semble avoir duré quelques années, m'intriguait au plus haut point.
Maintenant, je me sentais prêt à faire mon coming out après des mes parents et mon frère. Mais je le voulais près de moi pour ça.
Je l'ai appelé ce soir là :
"Eh William salut !"
"Salut Josh"
Nous avons discuté de notre Noël et de banalités. Puis je lui ai demandé :
"Josh je peux de parler d'un truc ?"
"Tout ce que tu veux."
"Je crois que je suis prêt."
"Tu vas leur dire ?"
"Oui ... mais ..."
"Quand je dois venir ?"
"Hein ?! Comment tu sais ?"
"J'ai déjà aidé quelqu'un à faire son coming out ... mais on se parle plus. "
"Ah d'accord. Est-ce que tu es libre demain ?"
"Oui bien sûr. Je viendrais c'est promis."
Je redoutais ce moment mais il fallait que je le fasse. Je ne pouvais plus vivre avec ce secret.

Le lendemain après-midi, j'accueille Josh, transi de froid, chez moi. Je lui fais faire un tour de la maison, le présente à mes parents et nous montons dans ma chambre. Nous avons discuté un moment. Puis nous sommes redescendu ensemble et j'ai demandé mes parents et mon frère près de moi. J'étais terrorisé mais je devais me lancer :
"Papa, Maman, Tanguy ... il faut que je vous parle. Écoutez ça fait longtemps que j'essaye d'en parler mais je bloque à chaque fois. Donc voilà je me lance aujourd'hui. Je sais toujours pas comment le dire mais ... je suis homo."
Tous restèrent sans voix. Mon père le premier a parlé, sur un ton assez grave :
"C'est une blague de fin d'année ?"
Cette réponse m'a glacé le sang. Je redoutais le moment où il me fouttrait la main à travers la figure. Mais d'un coup il devint calme et d'une voix posée, il me dit :
"Après tout pourquoi pas. Un peu de mixité dans cette famille monotone n'est pas de refus !"
J'étais soulagé. J'avais retrouvé le sourire. Mon frère pris à son tour la parole, toujours aussi taquin :
"Ah cool ! Tu suces j'espère ?! Parce que je suis en manque !"
Et mon père de rétorquer :
"Oh Tanguy ça va pas non ! Pas de ça chez nous !"
"Oh Papa c'est bon je plaisantais."
Ma mère, quant à elle, restait stoïque et ne disait mot. Elle me regardait fixement.
"Maman ... ça va ?"
"Je ne sais pas quoi en penser. Je ne m'y attendais pas. C'est que ... enfin tous les homos ne sont pas efféminés non plus ... mais toi ..."
"Je suis désolé de ne pas t'en avoir parlé avant mais ... je suis comme ça depuis toujours. Je n'ai pas changé."
"Tes goûts sont tiens et je les acceptent. Il va me falloir du temps pour m'y faire c'est tout."
J'étais heureux que tous m'accepte. Mais ma mère ne semblait pas convaincue. Il allait lui falloir du temps.
Puis vint l'évidente question, que mon frère s'empressa de poser :
"Et l'autre là, c'est ton mec c'est ça ?"
Et Josh de lui répondre tout simplement :
"On est juste potes."

L'après s'est déroulée normalement, tous ont retrouvés le sourire. Les discussions sont réparties de bon train et nous avons bien ri. Même ma mère semblait redevenue normale.

Les vacances se sont achevées. Je n'ai pas pu revoir Josh car il fêtait le nouvel an en famille. Maintenant, la rentrée approchait et je stressais à nouveau d'y retourner. J'en ai fait part à mes parents, leur ai tout raconté, ce qui les a choqué. Mais je leur ai dit que j'avais arrangé la situation et que Josh était là pour m'aider, ce qui les a rassurés.

Je pensais fort à lui. Je voulais par dessus tout le revoir. Je commençais à avoir des sentiments pour lui, mais n'osais pas lui dire, de peur de dégrader nos relations, même si je sais pertinemment qu'il l'accepterait, à défaut de pouvoir m'aimer. Je gardais ça en moi et me contentais pour l'instant de mater ses photos sur les réseaux sociaux.

Janvier. L'hiver était bien là. Là neige avait fait sa grande entrée le 2 et nous bloquait chez nous en ce lundi de la rentrée. Je ne me serai pas plaint d'habitude mais Josh me manquait depuis la semaine dernière et comme la neige tombait en abondance, le réseau était coupé. Je rageais !

Ce n'est que deux jours plus tard que nous avons finalement repris les cours. À mon plus grand étonnement, personne ne m'attendais devant l'école pour m'enterrer vivant sous la neige. Pas un regard, ni même une insulte dissimulée derrière une écharpe. À la place, j'ai eu le plaisir d'être accueilli par mon bel Adonis qui m'a pris par l'épaule pour rentrer dans le lycée. J'avais d'un coup beaucoup moins froid !

Durant les quelques semaines qui suivirent, Josh et moi devenions de plus en plus complices. Je l'accompagnais régulièrement à ses entraînements et assistait à tous ses matchs. Il jouait bien et je le trouvais terriblement sexy dans sa tenue de baseballeur ! J'avais d'ailleurs été chez lui, moment exquis où j'ai pu voir dans cette chambre de grand ado, entre ses nombreux poster de baseballeurs et objets affilié, ses jeux vidéos et consoles, et son immense collec' de BD, quelques caleçons mal rangé que j'aurais vraiment aimé prendre et sentir à plein nez en tirant un coup. Mais sa présence était constante, ce qui me plaisait plus car je pouvais l'admirer de plus près, jusqu'à le froler par moments.

Les moments que je préférais, c'est quand il m'emmenait au sous-sol où il avait aménagé une véritable salle de muscu pour lui et ses deux frères et ses potes baseballeurs. Je le regardais avec attention faire ses exercices, bander ses muscles à l'extrême et voir gonfler ses pecs. Cependant, en ma présence, par pudeur ou par politesse, il gardait un débardeur de sport très moulant qui me plaisait bien tant il laissait deviner chacun de ses muscles. J'aurais tant aimé à cette période poser mes mains sur son corps d'athlète. Mais je n'osais rien faire.
Au mois de Février, peu avant les vacances, notre relation à basculé. Toujours aussi protecteur et amical envers moi, il devenait plus tendre, voire câlin avec moi. Déjà, nous nous faisions la bise, avec son lot de frissons quand j'effleurais sa barbe de trois jours toujours impeccable. Il me prenait par l'épaule et me tirait à lui plus souvent, se collait à moi quand nous étions seul chez nous, me faisais des clins d'oeil, etc ... De la relation fraternelle qui s'était installé entre nous naissait quelque chose de plus charnel, ce qui me plaisait. Il m'arrivait parfois de moi aussi passé ma main dans son dos, sans m'en rendre compte, mais je revenais vite à moi et la retirait.

Un soir, séance de muscu. Il me montrait inlassablement ses divers exercices que je ne me lassait jamais de regarder. C'est là, je crois que quelque chose a changé entre nous. Il était assis à côté de moi, après quelque levés d'haltères, il m'a regardé dans les yeux et m'a dit, visiblement fier de lui :
"T'as vu un peu les bras que ça me fait au bout d'un an ?!"
"Ouais c'est vrai ils sont énormes ! Faut avoir une sacrée force pour soulever autant !"
"Ouais là ya "que" 80kg mais j'ai déjà été jusqu'à 150 !"
"T'es un malade !"
"Tu veux toucher un peu ?"
"Pardon ?!"
Cette question me surprenait. Pourquoi me demandait-il ça. J'en avais envie mais je trouvais ça louche. Il a réitéré sa question :
"Tu veux toucher mes muscles ?"
"Pourquoi tu veux que je te touche ?"
"Ils sont bien durs, touche pour voir !"
"Euh ... ok ..."
Je commençais à me laisser, un peu hésitant, j'ai commencé à carresser son énorme biceps qu'il avait bien bandé.
"Vas-y n'hésite pas !"
Effectivement, y avait du beau muscle. Cette situation m'excitait mais son regard fixé sur moi me troublait.
Le deuxième a failli me faire tourner de l'oeil. Il a retiré ma main et m'a demandé net :
"Ça te dérange si j'enlève mon t-shirt ?"
"Hein ?? Euh ... non ... ça ne ... non vas-y."
Il a alors commencé à s'extirper de son maillot qui le moulait si bien qu'il peinait à l'enlever. Quand j'ai vu son corps, j'ai failli tomber de ma chaise. Un corps proche de ma perfection même, avec deux beaux pecs gonflés à la juste pression : trop peu pour paraître bodybuldé, juste assez pour qu'ils soient visibles sous la plupart des tissu, 8 abdos taillés à la serpe et saillants au possible et des petits tétons comme je les aime. Un ensemble parfaitement imberbe, même sous les aisselles. Un corps très bien entretenu et propre comme la personne qu'il est. J'avais déjà rêvé de lui mais vu ce que j'avais là, mes rêves pouvaient ... aller se rhabiller ! Je bavais sur son corps, mes mains m'attendaient que son accord pour se ruer dessus, mes yeux était comme happés par ses formes. J'étais envoûté !
Cet instant, dans ma tête, à duré une heure. En fait, il s'est écoulé 5s. Lui me regardait en souriant et guise de "réveil", il simplement dit :
"Donne ta main !"
"Pourquoi faire ?"
Pour réponse, il a pris ma main et sans un mot l'a sur ses pecs. Mon coeur s'est mis à battre très fort et complètement arrêté de lutter. J'étais à sa merci, j'avais perdu le contrôle. Je ne lui faisais pas complètement confiance, car j'avais des restes de mon agression mais j'avais décidé de me laisser faire.
Ma main parcourait ses pecs, guidée par la sienne. Je sentais un fin duvet de poils d'une infinie douceur que je n'avais jamais sentie avant. Là encore, le temps s'est arrêté, le temps de quelques battements de mon coeur et du sien que je sentais. Je croyais vibrer avec lui. J'essaye de garder la tête froide pour ne pas bander comme un cerf mais j'ai craqué quand son autre main est venue caresser ma joue. Là, j'ai levé me chapiteau d'un coup. Je ne sais pas s'il s'en est rendu mais il n'a rien dit.

Comme toute bonne chose a une fin, il m'a arraché à lui, tout en douceur, et m'a demandé :
"Alors ?"
"Alors quoi ?"
"Tu as aimé"
"Non ... j'ai adoré !"
"Je t'aime bien tu sais."
Je ne comprenais pas cette phrase qui ne veut finalement rien dire puisque on peut "bien aimer" sa mère, comme on peut "bien aimer" l'homme de sa vie. Mais j'aimais bien l'entendre me dire ça, surtout de cette voix si calme et chaude, dans cette pièce si silencieuse que la moindre caresse, le moindre battements de coeur, le moindre souffle, prend une dimension supplémentaire.
Il m'a ensuite dit qu'il avait fini sa séance et que l'on devait se quitter.

À la porte, là où nos chemins se sont pour peu de temps décroisé, en guise d'au revoir, il a pris ma tête dans ses mains et a embrassé sur le front. Puis il a disparu.

Il faisait nuit noire déjà. Je rentrais seul dans le froid, en longeant l'avenue qui sépare nos domiciles, la tête pleine d'images magnifiques et fantasmagoriques qui me faisait presque oublié le froid. Il y avait enfin ces milliers de questions qui troublait ce rêve éveillé. Pourquoi devenait-il si tendre ? Pourquoi cet instant presque érotique ? Voulait-il me faire passer un message ? Ou est-ce là une simple façon de me dire qu'il m'aime tel que je suis et qu'il veut me juste me faire plaisir ?
Je voulais les lui poser mais ne savais par où commencer et comment entamer se raisonnement. Après ce qui s'est passé ce soir là, je me presque assez en confiance pour lui demander. Mais je n'ai pas eu à le faire ... il est venu à moi de lui-même.

Ce soir là, je reçu un message de lui, que je lu à peine rentré :
"William, je peux te confier un secret ?"
"Oui."
"Il faut pas que tu en parles parce que ça a un rapport avec ce qui m'est arrivé dans le passé."
"Je ne dirai rien promis."
"Merci. D'abord je sais que ce que je t'ai fait tout à l'heure a dû pas mal te troubler. Si j'ai fait ça, c'est parce que depuis le début de l'année, je suis en kiff sur toi. Je savais pas comment te le dire, je savais pas si t'étais gay ou pas. Mais quand j'ai su ce qu'il t'arrivais, j'ai voulu t'aider et me suis dit que je pouvais devenir ami avec toi. Va pas croire que je fait ça juste pour être avec toi, je t'aime et je veux pas que tu sois mal c tout. Maintenant, t'es pas obligé de me dire oui mais j'aimerai bien qu'on sorte ensemble un jour."
"Alors t'es vraiment gay ?! Je me posais des questions ... maintenant je suis fixé ! Mais pourquoi tu me l'as pas dit avant ?"
"Bah j'avais peur que ça se sache."
"Quoi ?! Alors toi non plus tu l'a pas dit ?!"
"Si ... enfin ... à mes potes ... ma famille."
"Et les gens du lycée ? Ils t'embêteront pas, t'es pas le genre de mec à se laisser faire !"
"Je vais t'expliquer : quand j'étais petit, je savais ce que c'était gay ou hétéro mais je savais que j'étais pas comme les autres garçon. Je voulais tout le temps jouer avec les filles et j'aimais les poupées et dessiner des princesses et des papillons. Les garçons se moquaient de moi. Les filles aussi. Je comprenais pas pourquoi c'était si drôle. Petit à petit, ils m'ont mis à l'écart. Ils on décider de m'appeler la tapette et de me lancer des cailloux aux recré. Ils m'enfermaient dans les toilettes et me faisaient peur. Je disais rien et c'est les instituteurs qui s'en sont rendu compte. J'ai changé d'école. Mais ça a recommencé. On a déménagé loin pour que j'entre au lycée dans des conditions normales. C'est là que j'ai décidé que je ne me laisserai plus faire. J'ai essayé de m'intégrer. Je me suis mis au sport. J'ai rencontré ces trois gars magnifiques avec qui j'ai vécu pleins de bons moments et qui sont au courant. Depuis je suis discret et plus masculin. C'est pour ça que je ne veux pas que ça se sache. Alors stp ne dis rien."

Son récit m'a choqué. J'ai mis plusieurs minutes à lui répondre et à trouver les bons mots. Je connaissais maintenant cette période si mystérieuse et pourquoi il ne voulais pas m'en parler. J'avais de la peine pour lui. Il revivait à travers moi ses heures sombres et pourtant il m'aimait toujours.
D'ailleurs, je ne lui avais pas dit que de mon côté, je mourrai d'envie de sortir avec lui. Mais après ça, je ne pouvais pas trop lui dire.

Pendant les vacances, la neige nous bloquait l'un comme l'autre au chaud chez nous. La neige tombait presque tous les jours. Impossible de partir en vacances. Nous pouvions à peine nous voir. J'allais chez lui à pied et je mettais presque 3x plus de temps que d'habitude ! Mais il fallait que je le vois, que je lui dise !

Le premier lundi des vacances, il me demande chez lui. Ses parents ne sont pas là. Il me propose qu'on passe l'aprèm et la soirée ensemble. Il me demande aussi si je suis libre pour dormir chez lui. Je lui que oui je resterai avec lui le plus longtemps possible.
J'arrive chez lui vers 15h. Je me mets à l'aise. La maison est terriblement calme. Nous sommes seul et la neige sur les carreaux estompe les moindres brults extérieurs.
Il m'invite à aller dans sa chambre. Je l'ai suivi.

Là, nous nous sommes posés sur son lit et il m'a dit, sans détour :
"Tu te rappelles de ce que je t'ai dit il y a une semaine ?"
"De ton passé ? Oui bien sûr !"
"Non l'autre truc."
"Ah oui bien sûr oui je m'en souviens. Tu veux qu'on en parle ?"
"Écoute je sais pas ce que tu en penses mais je voudrais essayer de démarrer un truc avec toi. Le problème, c'est que je veux pas que ça se sache tu vois. Je veux pas qu'on se cache mais qu'on reste discret."
"Je veux pas non plus étaler notre histoire devant tout le monde, je veux pas à nouveau avoir des problèmes avec ces fous du lycée !"
"Alors ça veut dire que ..."
"Je sais pas trop ... je sais pas ce que c'est en fait ... de sortir avec quelqu'un ..."
"Je peux t'apprendre tu sais."
"Je peux pas te mentir, j'en meurs d'envie. Mais c'est la première fois et je veux profiter de chaque seconde."
"Tout ce que voudras tant que t'acceptes !"
"Alors oui !"
"Génial ! T'inquiète pas, je serai doux avec toi. Je te ferai rêver tous les jours !"
Il souriait plus que jamais. Il avait les yeux qui pétillaient. En somme, il était aux anges ... et moi aussi !
Là il m'a demandé s'il pouvait m'embrasser. J'avais un peu peur. Je ne savais pas y faire mais lui semblait avoir un peu d'expérience. Il a posé sa douce main sur ma joue, m'a regardé en souriant et s'est doucement approché de ma bouche. J'ai fermé les yeux, pour mieux ressentir cet instant magique.
J'ai alors senti ses lèvres se poser sur les miennes. Elles étaient douces et épaisses. Elles epousaient les miennes mieux que tous ce que j'avais pu imaginer de bien. Ce premier baiser, très court, m'a complètement déconnecté de la réalité et m'a plongé dans un état second. Je ne maîtrisais plus rien.
Il m'a demandé ce que j'en pensais. Pour seule réponse, j'ai laissé échapper un "recommence".
Cette fois, il a été plus franc et plus vigoureux. Sa main est passé sur mon flanc, jusque dans mon dos, pour tirer à lui. Son autre main tenait mon visage. Sa langue doucement a commencé à forcé ma bouche qui, envieuse, s'est ouverte pour lui laisser libre cours. Là, sa langue à rencontré la mienne et a débuté un jeu aussi sensuel que humide. Il dévorait chaque millimètres carrés de ma langue. Cette étreinte à duré deux longues minutes pendant lesquelles je me laissait complètement partir. Je ne sentais rien d'autre que sa langue bouche. J'avais fermé les yeux, ce que exacerbait tous mes autres sens.
Cette situation m'excitait au plus haut point !

Cette étreinte s'est achevée dans la douceur parce quelques caresses de sa part. J'étais au comble du bonheur. Lui aussi apparemment puisqu'il bandait royalement. Il s'en est excusé en voyant ma réaction, me disant que ce n'était peut-être pas ce que je voulais pour l'instant. Je lui ai répondu qu'elle avait l'air bien belle mais que ce n'était pas mon centre d'attention pour l'instant.

Pour nous remettre, nous avons pris un bon chocolat chaud et nous sommes blottis l'un contre l'autre devant un bon film. C'était la première fois qu'il me prenait dans ses bras et je me sentais plus en sécurité que jamais. Je n'ai d'ailleurs pas beaucoup suivi le film puisque contre lui je me suis endormi. J'étais tellement bien calé que je me suis laissé aller.
Il m'a réveillé pour aller faire à manger. Il avait tout prévu, jusqu'au dîner au chandelle. J'étais l'objet de toutes ses attentions. Je me sentais vraiment aimé mais je ne savais pas encore comment lui rendre.
Le repas était exquis. Il connaissais assez peu mes goûts mais avait su préparer ce que j'aimais.

La soirée passais et nous parlions de tous et de rien. Je me noyais dans ses souvenirs qu'il racontait bien.
Puis nous sommes allés nous coucher. Là, il a sorti son matelas et m'a laissé son lit. J'étais très déçu car je voulais encore me blottir dans ses bras, mais j'avais en compensation son odeur de mâle qui emplissait son lit. Je bandais à moitié rien qu'à l'odeur.
Il était tard et je me suis vite assoupi.

Je pensais que j'avais déjà eu mon lot de surprises et d'excitation lorsque qu'une main a perturbé mon sommeil. C'était Josh :
"Eh Will tu dors ?"
"Hum ... quoi ?"
"Oh pardon je suis désolé mais ... j'ai trop froid j'arrive pas à dormir. Je peux m'allonger à côté de toi ?"
"Avec plaisir !"
Il s'est glissé derrière moi, et à instinctivement passé sa main contre moi. Je l'ai prise et me suis rendormi de suite. Cependant, un autre "incident" a cassé mon sommeil ...

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