Voilà maintenant 3 ans que j'ai été adopté par mon maître. Je m'appelle Max, beau mâle avec une bonne queue de 20 cm qui plaît à mon maître. D'ailleurs, il me la titille régulièrement, quand je suis bien docile. C'est pour ça que je m'arrange pour être toujours obéissant.
Régulièrement, mon maître me fait grimper sur son lit. Il m'encule joyeusement en me claquant les fesses et me traitant de tout les noms de chien possible. Tantôt à quatre pattes, tantôt sur le dos, je me fais toujours bien ramoner et je finis toujours la bouche pleine.
Autrement, mon maître aime me caresser le dos et la tête. J'en redemande souvent. Il me laisse aussi jouer dans le jardin l'après-midi. Mais ce que je préfère, c'est les balades, quand je vais arroser les lampadaires et que les autres hommes du quartier viennent me caresser. Mais j'attends toujours le soir pour me faire bourrer le derrière. C'est tellement bon.
Mais depuis deux mois, ma vie de chien a radicalement changée ... en moins bien. Tout à commencer il y a deux mois donc, par une petite balade en voiture. Je voyage toujours sur la banquette arrière. Je contemple le paysage, et mon maître, car il est très beau, avec un visage aux lignes saillantes et des bras musclés. Mais ce que je préfère chez lui, c'est sa grosse queue de 23*5 qui me laboure l'intérieur.
Dehors il faisait beau et je reconnaissait au loin la boutique d'où je provenait. Quand on s'est garé, mon maître m'a annoncé que, étant donné mon bon comportement ces trois dernières années, il allait prendre un nouveau compagnon de jeu pour moi. Je frétillais déjà et l'attente à été longue dans la voiture avant de le voir arriver.
Et finalement, il a pointer le bout de son nez. Un beau mâle plus grand que moi et sûrement plus musclé que mon maître, même si je n'ai jamais vu son corps. Il était beau et j'imaginais déjà tout ce qu'on pourrait faire ensemble. À peine entré dans la voiture, je lui ai reniflé le derrière. Sa réponse a été plus surprenante : son nez a été tout droit entre mes pattes arrière ! Ça promet.
Son acclimatation à la maison a été rapide et mon maître la vire inauguré. Vu comment il couinait dans la chambre, il a l'air d'avoir aimé.
Mais au bout d'une semaine, son comportement a changé. Quand le maître était là, il me regardait d'une façon étrange, comme s'il manigancait quelque chose. Et quand un jour le maître est parti, même pas 5min se sont passées avant qu'il me chevauche et me remplisse le derrière. Un bon 21cm que j'ai senti passer. J'ai tenté en vain de m'extraire mais il était trop fort. Malgré tout, il m'a fait jouir. C'est là que tout a basculé.
Après m'avoir fécondé, il est devenu plus méchant avec moi, me mordant souvent.
Impossible de faire comprendre au maître la situation, d'autant plus que je salissais le sol à chaque coup, ce qui ne lui plaisait pas.
J'étais régulièrement puni. Quelques coups de cravache sur les fesses. Pas agréable !
J'ai fini par ne plus avoir les faveurs que de ce nigaud de chien. Tu parles d'un compagnon de jeu.
Ce n'est qu'au bout d'un mois que le maître a decouvert le poteau rose, lorsque Sam (c'est son nom) m'enculait joyeusement sur le canapé. Il s'est pris la volée du siècle.
J'avais l'anus en feu. Mon maître à enfermé Sam dans le cagibi, là où on mets les chiens pas sage. Il m'a passé de la pommade, puis, d'excitation, m'a mis un bref coup de pine bien agréable dans le derrière.
Je suis redevenu le mâle dominant. Sam est prévenu que s'il recommence, il sera encore puni. J'y ai même gagné une nouvelle friandise : prendre Sam par derrière et lui croquer la queue quand je suis bien docîle le soir. Il déteste ça. Moi j'adore !
J'aime ma vie de chien.
PtitGayCurieux
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