Premier épisode
Suite à l’histoire précédente, ma boîte mail s’est remplie instantanément. Je ne savais pas qu’il y avait autant de puceaux dans ce pays. J’ai même eu des messages de quelques vrais puceaux. Vrai puceau veut dire que pas une main étrangère, ni une bouche, ni une langue ne lui a touché la queue. Il y a un paquet de jeunes adultes encore vierges et qui ne demandent qu’une chose : que l’on s’occupe d’eux !
Donc comme j’ai proposé mes services, me voilà au pied du mur.
Je décide de sélectionner un premier mec. Il m’a envoyé une série de photos de lui. A 19 ans à peine, il est plutôt mignon, imberbe, avec une queue imposante pour son âge, presque disproportionnée pour son jeune corps. Un épais mandrin de longueur honorable surmonté d’un énorme gland fièrement dressé au milieu d’une épaisse toison noire, le tout au milieu d’un corps encore frêle et complètement imberbe. Surprenant. On dirait presque un photo montage.
Nous parlons un peu. Lui aussi habite en Normandie (c’est un vivier de puceaux la Normandie). Il veut se faire dépuceler, avec un ou plusieurs mecs dominants. Et il semble pressé de commencer sa vie sexuelle.
- Tu peux organiser un truc à plusieurs ?
- Tu es sûr pour une première fois ?
- Je veux. Avec des calibres différents et des mecs différents. Je voudrais un prof, un daddy, un plombier, un voisin.
Le mec se branle sur des films pornos depuis des années et il veut se faire son film. Pourquoi pas. Je réfléchis un instant.
- Ok je vais essayer de te trouver ça.
Je me souviens d’un mec qui habitait à Caen en Normandie avec qui je suis sorti une ou deux fois et qui a une très longue queue. Je lui envoie un sms.
- Toujours à Caen ? Toujours PD ?
- Ahah oui oui toujours.
- Tu peux recevoir pour une soirée dépucelage ?
- Sérieux ?
- Un ptit jeune qui veut se faire ouvrir par plusieurs calibres.
- Ouais ça me dit.
J’appelle un autre pote, qui n’est pas le dernier des queutards et qui a une bite assez particulière. Elle est assez courte 13-14 cm mais large comme une canette de soda. Banco. Rendez-vous est pris le samedi suivant chez Rod à Caen.
Hugo le jeune puceau a été convoqué à 19heures. En attendant je briefe mes potes.
- Bon Rod tu feras le beau-père sévère, Max avec tes 20 cm, tu fais le plombier et moi le prof. Comme je suis le prof et que j’ai la bite la plus standard (16 cm et assez fine comparée aux autres), je commence l’initiation. Eh les mecs, on y va doucement. Il est puceau.
Je dois dire qu on était excité comme des fous. Et sous prétexte de se trouver des costumes pour mieux camper nos personnages, on s’est retrouvé en slip dans la chambre de Rod à reluquer nos paquets.
- Rod ta bite dépasse de ton slip c’est dégueu en fait
- Ah bah c’est pas la tienne qui va se barrer, me lance-t-il
Il fait un clin d’œil à Max et hurle
- Mise à l’AIR!
Les deux mecs me sautent dessus et arrachent mon slip. Je me retrouve à poil avec Max qui aspire ma bite dans sa bouche et Rod qui m’enfonce un doigt dans le cul. Aussitôt les bites de mes potes se mettent au garde à vous.
- Hey ! Vous faites quoi ?
- On s’entraine
La bouche de Max est accueillante et très experte. Il prend l’intégralité de ma queue dans sa bouche. Autant dire que je bande instantanément et que pas un centimètre de queue ne s’échappe de ses lèvres.
De l’autre côté Rod a sorti du lubrifiant de je ne sais où et m’a tartiné le cul. Il entre un doigt, puis deux, puis trois. Je pousse un cri de douleur au troisième.
- Arrête mec, ca fait mal et le puceau va arriver.
- T’as raison faut que je m’active.
Il m’attrape de ses deux bras puissants, m’arrache de la bouche de Max et me jette dans le canapé. Je suis sur le ventre le souffle coupé. Je n’ai pas le temps de me retourner qu’il a mes jambes entre ses mains, les écarte et s’offre une vision panoramique sur mon petit trou serré parfaitement rasé et entretenu.
- Hummm appétissant.
Il écarte mes fesses et je sens son long chibre se frayer un chemin entre mes deux globes. Il m’a tellement tartiné le cul de gel que je ne peux pas lui résister. Sa queue glisse toute seule jusqu’à l’entrée de mon cul qui n’offre pas plus de résistance. En quelques dixièmes de seconde son gland a forcé mon intimité et ses 20 cm de queue me transpercent sans que je puisse les arrêter. J’hurle de douleur. Il va trop vite. Trop profond. Il s’en fout. Il commence à me démonter le cul dans les règles de l’art en accélérant son pistonnage. Je sens mon cul qui chauffe, mon ventre qui me chatouille. A chaque coup sur ma prostate une décharge électrique me traverse le corps. Il accélère encore. Je gueule de plaisir et de douleur aussi un peu. Il ne me ménage pas.
- J’vais te féconder. T’en rêvais j’en suis sûr.
Un dernier aller-retour de son piston géant et je sens ses mains se serrer sur mes hanches et son corps se raidir. Il me balance 5 jets puissants et pousse un cri de tennisman en plein effort à chaque jet.
Et c’est à ce moment là qu’au rez-de-chaussée la sonnette de l’entrée retentit.
- Merde il est déjà là, fait Max, rhabillez-vous les mecs.
Facile à dire. Je suis sonné. J’ai le cul ouvert, le jus de Rod coule entre mes cuisses et j’ai l’impression que je vais m’évanouir dès que j’essaye de me lever. Max est habillé, Rod finit de passer un t-shirt et moi je suis comme une loque à poil en train de gémir doucement.
- Il est KO fait Rod. Viens, on va ouvrir.
- Tu nous rejoins quand t’es prêt.
- Allez-y doucement les gars…
C’est Max qui ouvre à Hugo, le jeune puceau. Le garçon semble sûr de lui. Du haut de l’escalier j’observe la scène. Ils le font entrer et le mettent à l’aise à leur façon. Pendant que Max lui retire son manteau, Rod l’a poussé dans un fauteuil et lui retire ses chaussures et ses chaussettes.
- Tu vas être mieux comme ça.
- Sans pantalon, il serait même encore mieux…
Sans laisser à Hugo le temps de réagir, Rod et Max commencent à déboutonner le pantalon du jeune puceau et à le faire glisser le long de ses cuisses. Entre temps je me suis essuyé rapidement et j’ai enfilé un pantalon et un t-shirt.
Je descends saluer notre invité déjà en slip avec Max derrière lui en train de lui retirer son pull.
- Salut. Les choses vont vite on dirait. Mais tu bandes déjà !
Les choses allaient trop vite en fait. Pas le temps de mettre en place notre petite mise en scène. Rod et Max étaient comme deux bêtes sauvages devant un bout de viande fraîche et j’avoue que même si mon cul me faisait un peu mal, ma bite avait envie de décharger.
Max et Rod continuent leur effeuillage. Pendant que Max enlève le t-shirt d’Hugo, Rod baisse son slip. Notre jeune puceau se retrouve à poil devant nous. Il doit faire un petit mètre quatre-vingt, brun aux yeux verts, les cheveux mi-longs, musclé sec, pas un poil de gras, et il bande dur comme pour nous dire de continuer.
Max se tourne vers moi :
- Allez vas-y on avait dit que tu commençais.
- Euh mais faut le préparer un peu.
- Voyons voir ça, fait Rod.
Il soulève Hugo, le retourne exactement comme il l’a fait avec moi quelques minutes plus tôt, écarte ses jambes et nous montre son sillon.
- T’as raison faut le préparer. J’vais chercher de la mousse et un rasoir.
Dix minutes plus tard le jeune Hugo était comme un nouveau-né. Plus un poil sur le cul et plus un poil non plus autour de sa belle queue. Juste sa peau de jeune adulte sans défauts et bien luisante. Rod a généreusement étalé du lubrifiant entre ses fesses, sur ses couilles et sur sa bite. Rod s’adresse à moi :
- Il est prêt vas-y.
Je me positionne derrière Hugo. Avec un doigt je pénètre son cul pour voir s’il peut accepter une bite. Je suis assez surpris, mon doigt entre tout seul. Max me fait un clin d’œil comme pour me dire c’est bon qu’est-ce que tu attends.
J’approche alors ma queue de son cul. Elle glisse entre ses fesses et cogne contre son petit trou. Je sens Hugo qui tremble. Je m’approche de son visage et lui glisse à l’oreille,
- T inquiète pas. Ca va bien se passer.
Tout en lui parlant je pousse gentiment contre son entrée. Je peux sentir les détails de la peau de son sphincter contre mon gland. Je pousse plus fort. Je sens que j’entre. Hugo se tend.
- Détends-toi. Laisse-toi ouvrir si tu ne veux pas avoir mal.
Le fait de lui parler relâche son attention. J’en profite pour le pénétrer plus profondément. Il se met à souffler fort. Je le laisse reprendre son souffle et poursuis mon investigation. Ses muscles se tendent. C’est à ce moment là que Rod et Max se mettent devant lui en arborant leur grosse bite fièrement.
- Il va falloir que t’encaisse un peu mieux petit. T’as vu ce qui t’attend ?
Besoin d’un dépucelage ? Contactez moi …
Nables
anthoine02@gmail.com
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