Premier épisode
2 | En vitrine...
Précédemment : dans le fast food qui m’emploie, l’employé de la semaine a le droit de choisir un des autres salariés de la boîte et l’obliger à effectuer une tâche à sa convenance. Cette semaine pour départager les différents prétendants, le manager a proposé un concours de glands. Et c’est Ludo le petit hétéro qui a remporté l’épreuve. Devenu employé de la semaine, c’est moi qu’il a choisi pour satisfaire un de ses désirs.
Après avoir été choisi par Ludo, je me suis senti à la fois soulagé et inquiet. Qu’attendait-il de moi ? Qu’allait-il me demander de faire ? Il me donne rendez-vous le lendemain soir après la fermeture.
Je l’attends seul dans la grande salle déjà éteinte. L’odeur de graillon me prend à la gorge. Je me dis que ce restaurant aurait bien besoin d’un petit coup de neuf.
- Salut Anthoine fait une voix derrière moi.
- Salut Ludo
- J’t ai pas dit de parler.
Je le sens se coller contre moi, son souffle chaud dans mon cou. Je n’ai pas le temps de me retourner qu’il me place aussitôt un bâillon-boule dans la bouche. J’essaye en marmonnant de lui demander ce qu’il veut faire. Pour toute réponse il baisse mon pantalon d’un coup. Je me retrouve en slip, le pantalon aux chevilles en plein milieu du restaurant. Ludo me pousse vers les grandes vitres qui donnent sur le parking.
Je ne comprends pas ce qu’il veut faire. Il enlève alors mon t-shirt et je me retrouve torse nu, en slip les jambes entravées par mon pantalon qui retient mes chevilles prisonnières. Je vois mon reflet dans la vitre, mon beau torse bien dessiné, mes jambes finement musclées, mon slip blanc et rouge bien rempli par ma bite qui se réveille… Je me trouve beau.
Ludo me pousse une nouvelle fois et je m’écrase contre la vitre. C’est là que je comprends. Dehors sur le parking face à la vitre je reconnais Amara, Mathias, mon boss et Théo le manager du resto. Ils me regardent en rigolant.
C’est à ce moment précis que Ludo prend mes poignets les place dans mon dos et me passe des menottes. Il prend ensuite une paire de ciseaux et coupe mon slip qui tombe à terre. Je commence à bander. Je suis humilié mais je me rends compte que ça m’excite. J’aime ça.
Il ouvre un tube de gel et m’enduit le cul, je me dis qu’il va me baiser contre la vitrine. Non. Il sort un gode et me l’enfonce direct. Le baillon étouffe mes cris. J’ai le cul serré, je n’ai pas trop l’habitude. Je crois que la douleur me fait faire des grimaces et me tire une larme. En tout cas le spectacle doit valoir la peine, je vois les mecs dehors immortaliser la scène avec leurs portables.
Ludo attrape ensuite ma bite qui ne bande plus et l’emprisonne dans une petite cage métallique retenue par une ceinture qui maintient aussi le gode bien enfoncé dans mon cul. Il ferme le tout avec un petit cadenas. Ca me fait mal. Ma bite qui essaye de bander pousse sur la cage. Plus elle pousse plus elle se compresse sur les fines tiges métalliques et plus le gode s’enfonce dans mon fondement. Je voudrais hurler de douleur. Mais le baillon retient mes cris. Plus je m’agite plus la douleur est intense et plus ce gode sans fin s’enfonce en moi. Il faut que je me calme. Dehors les mecs rigolent en me voyant me tortiller comme un ver. Ludo s’approche de moi et vient me murmurer à l’oreille.
- Alors ? t’aime ça ? Maintenant on va jouer. Les garçons vont rentrer. Chacun notre tour nous allons te caresser les fesses. Tu ne sauras pas qui te caresse, mais tu devras choisir la main que tu auras préférée. Celui que tu auras choisi t’enculera aussitôt et mettra fin à ton supplice.
A ce moment précis je pense que Ludo est vraiment un salaud doublé d’un sale pervers. Et je suis sûr qu’Amara, qui rêve de me soumettre, l’a encore menacé et que cette fois il n’a pas su dire non. Maintenant il faut que je sauve mon cul de l’énorme chibre d’Amara. Il faudrait que j’arrive à reconnaitre la main de Mathias. Je crois que ses doigts sont plutôt fins.
J’entends la porte du restaurant s’ouvrir et les rires des quatre mecs. Je les devine en train de se placer derrière moi. Soudain je sens une première main me palper les fesses sans délicatesse. Je me redresse. La main inconnue passe d’une fesse à l’autre, agite le gode dans mon cul ce qui me fait sursauter de douleur. Le mec finit par un petite claque. Autant dire que ce n’est pas lui que je vais choisir. Un seconde main plus douce entame une délicate caresse circulaire qui relance mon excitation et recoince la fine peau de ma bite dans le métal tranchant de la cage. Je morfle. Une troisième main me fiche une violente claque, la suivante tente de faire ressortir un peu le gode, ce qui me soulage partiellement et vient titiller mon sillon. La dernière enfin prend l’arrondi de mes fesses dans sa paume, appuie légèrement et vient ensuite les écarter un peu. Je sens le mec en train d’inspecter mon cul, son doigt vient constater que je suis parfaitement rasé du haut de la raie jusqu’au scrotum. Ce délicat examen m’excite à nouveau.
- Alors, fait Ludo en m’enlevant le bâillon, qui choisis tu ?
A ce moment précis je me rends compte que je suis incapable de savoir qui m’a caressé ou malmené. J’ai préféré les deux dernières mains. Mais laquelle choisir ?
- Alors ?
- La dernière fais je en bafouillant, euh non l’avant dernière.
- Trop tard. Nous retenons ton premier choix dit-il en me mettant un foulard sur les yeux.
Maintenant place à la jouissance. Ceux qui n’ont rien à faire peuvent sortir.
J’entends des pas, la porte s’ouvrir, un souffle chaud dans mon cou. Le mec derrière moi ne parle pas. J’entends le bouton de son pantalon sauter, le zip de sa fermeture. Le bruit d’un slip qui descend le long de cuisses viriles et une bite bien dure que j’imagine énorme me frappe les fesses. Le mec se baisse. Il défait la douloureuse ceinture de chasteté, libère mes poignets et ma queue endolorie et marquée par la petite cage. Il la caresse délicatement, la fait glisser entre ses doigts, en se collant dans mon dos. Cette caresse me fait bander très dur immédiatement.
Ses mains puissantes s’agrippent à mes hanches. Il me soulève et m’allonge le dos sur une table. Je me laisse faire. Il prend mes jambes l’une après l’autre les soulève et les replie en les écartant. Il pose mes pieds sur le bord de la table. J’imagine que mon cul est bien offert.
Il retire le gode d’un coup. Je pousse un soupir de soulagement.
Il se met à genoux. Je sens son souffle chaud sur mes couilles et sa langue venir me lécher délicatement le trou endolori, comme une chatte qui lècherait ses petits. Cette grande douceur après la souffrance me procure un bien être incroyable une sorte d’apaisement excitant. Je ne me rends même pas compte que je suis en vitrine à la vue de tous. Je ne sais pas qui s’occupe de moi mais le mec est doué. Je profite de cette langue qui vient réparer mon cul et qui est en train de me faire jouir sans même que je me touche. Je tente de me retenir, mais tout mon corps est parcouru de fourmillements, ma queue est si dure, collée à mes abdos. Je me contracte pour éviter la jouissance, mais cela ne fait que l’amplifier. Mes jets se succèdent. Mon sperme vient s’écraser contre mon menton, je crie ma jouissance comme jamais je ne l’avais fait auparavant. Je suis encore en train de jouir qu’une bite s’enfonce d’un coup dans mon cul. Je me sens transpercé à nouveau. Ma jouissance reprend. Je n’ai jamais vécu ça. Sa bite n’en finit plus de me pénétrer. Mon plaisir change de côté. C’est le frottement de sa bite dans mon cul qui me procure une nouvelle sensation de jouissance. Il la ressort d’un coup et vient l’enfoncer violemment l’instant d’après. Son gland en acier s’écrase contre ma prostate me faisant à nouveau hurler de plaisir. Il me pilonne, je couine comme une pucelle, je me tortille, je ne sais plus ce qu’il m’arrive. J’ai l’impression que je vais perdre connaissance.
Lorsque je reprends mes esprits, je me redresse, enlève le bandeau de mes yeux. Je suis seul, nu sur une table de restaurant éclairée par la lune. Du sperme coule encore de mon cul à peine refermé. Au sol, je vois un badge : Théo, le manager du restaurant.
si vous avez une idée de comment je peux me venger de Théo, écrivez moi.
Nables
anthoine02@gmail.com
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