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LA 1ère FOIS AVEC LARRY (3)
DEUX GROSSES BITES DANS SON PTIT CUL
Je m'installai dans un fauteuil, le cul tout au bord pour bien faire ressortir ma queue.
" Viens t'asseoir dessus chéri, viens t'empaler sur ton maître...mets tes pieds sur les accoudoir et appui toi sur mes cuisses... là comme ça... ".
Tremblant, mais toujours bandant, mon chéri vint s'asseoir sur ma queue dressée.
" Je ne me lasserai jamais de cette bonne chatte juteuse. Regarde comme tu mouilles du cul, ma salope. Tu meurs d'envi d'avoir deux gros mandrins dans la chatte, n'est ce pas ?... oui tu en as envi chéri... je vais te les mettre... tu vas voir comme ça va être bon... tu seras bien rempli ma puce... écarte bien ta chatte ma petite pute... oui comme ça... "
Larry montait et descendait lentement sur ma queue en gémissant. Qu'est ce qu'il était beau. Je pinçai ses tétons. Il gémit encore plus fort.
Je badigeonnai le gode de gel.
" Ca ne rentrera jamais chéri. Déjà toi c'est énorme, alors imagine avec ce machin en plus... Tu... Tu vas me déchirer ".
" Chut, laisse moi faire, mon amour... soulève toi un peu... écarte bien ta petite chatte... Mets tes deux pieds sur les accoudoirs et appui toi sur mes cuisses... n'aie pas peur ma puce ".
Je collai le gode à ma queue et fis descendre lentement le cul de Larry dessus. Je serrai bien la pointe du gode sur mon gland et appuyai la rosette de mon homme dessus. Mon gland passa l'anneau, puis ce fut le tour du gland du gode. Larry haletait et gémissait de plus en plus fort. Le gode, bien lubrifié glissa contre ma queue et entra lentement dans le p'tit trou serré. Je sentais la rondelle serrée, tendue à l'extrême, prête à se déchirer.
Le gode et ma queue progressaient doucement, mais sûrement.
" Oh mon dieu, c'est... c'est... " Larry hurlait.
" Ca te fais mal, bébé ? Tu veux que j'arrête ? "
J'avais posé la question, mais franchement, je n'avais aucune envie d'arrêter, trop excité pour reculer. Je bandais comme un âne à présent, et je n'avais qu'une envie : aller au plus profond de sa chatte gourmande.
" Nnoonn... Ca fait mal mais... C'EST BON, C'EST BBOOONNN " hurla t-il. " Ca me rempli, hhhhhh ! VAS-Y JUSQU'AU FOND ! AHHHHHH ! AAHHHHH ! "
Il hurlait de plaisir ! J'étais au comble de l'excitation ! Je le limai à fond, à grand coups de queue et de gode. Larry criait à plein poumon, se démenant sur ma queue et le gode comme un affamé. J'avais réussi : non seulement j'entendais crier mon homme, mais en plus j'avais réussi à lui mettre deux bites dans le cul !
Je calai le gode bien au fond de son cul et le labourai sans retenue à grand coups de bite.
" Tu aimes, ma petite salope à moi, hein ? Tu aimes quand je t'éclate le cul... Je vais t'arracher ta petite chatte vorace avec ma bite... tiens prend... prend ça dans ton p'tit cul... pprreeenddd... tu aimes ça deux grosses bites pour toi tout seul, hein ? Je savais que ta chatte était faite pour ça... regarde comme elle bave... ".
J'attrapai ses hanche et le fis descendre à fond sur ma grosse bite et le gode, faisant rouler ses hanches pour qu'il sente bien les mandrins qui le remplissaient.
" Aahhhhhhhhhhhh ! hhh ! ahhhhhh ! "
" Oui mon amour, crie, crie plus fort. Je veux t'entendre hurler ! Cris pour ton maître ma petite salope ".
Je le limai à mort. Putain qu'est ce qu'il était bon ce cul
Je le soulevai pour retirer le gode et ma queue. Son trou était tellement dilaté que j'aurais pu y glisser mon poing. La vision de ce gouffre redoubla mon excitation. Je soulevai Larry, l'installai à ma place dans le fauteuil, lui relevai les jambes.
" Putain tu es grand ouvert, j'adore ! Ta chatte est merveilleuse, chéri. Elle m'appartient... n'est ce pas qu'elle m'appartient... dis le ! ".
" Elle... elle t'appartient mon amour ".
" Tu ne la donnera jamais à personne ? ".
" Je... Je ne la donnerai jamais... A personne ".
Je mis ses chevilles sur mes épaules et rentrai à nouveau en lui. Je le labourai sans répit, lui labourai le cul à grand coups de bites puissants. Je me penchais de temps en temps pour prendre sa bouche pulpeuse ou un de ses tétons gonflés à l'extrême. Ma queue cognait au fond de son cul brulant comme la braise. Plus il hurlait, plus je le défonçais
Je lui remis le gode en même temps que ma queue, sans ménagement cette fois. Il hurla de nouveau, mais je vis que son plaisir était à son maximum. Sa bite était dure comme du bois et battait l'air à chaque coup de boutoir. Son ventre était couvert de mouille.
Je sorti entièrement le gode et l'y replongeai d'un grand coup jusqu'au fond, ma queue toujours fichée en lui. Il hurla de nouveau. Je recommençai trois, quatre, cinq fois, le lui enfonçant à chaque fois jusqu'à la garde. Il hurlait sans retenu à présent.
Je retirai le gode et continuai de marteler son petit cul avec force, cognant au fond avec violence. J'étais déchainé.
" Han ! Han ! Tiens ma salope, prend, prend, prend... putain que ton cul est bon ! Han ! Han ! ".
Larry s'agrippa aux accoudoirs.
" ahhhhhhhhh, je jouis, mon amour, je jooouuuis !!! ".
Cinq jets de jus épais sortirent de sa belle queue et maculèrent son torse et une partie du fauteuil.
Sentant moi aussi venir la jouissance, je sorti de son cul.
" Ouvre ta jolie bouche, Bébé, c'est l'heure de boire ton lait ".
J'enfournai ma bite jusqu'au fond de sa gorge.
" Tète bien, ma puce, ça vient... oui ça vient... Rrra... tiens... Du bon lait pour mon Bébé... Rrrrrrrraa !!!! "
Je jouis de longues minutes dans sa gorge, terrassé par un plaisir infini. Il y avait une telle quantité qu'il eu du mal à tout avalé, mais il ne laissa pas échappé une seule goutte.
Je le soulevais dans mes bras, l'allongeai contre moi dans le canapé et pris sa bouche. Je sentais le gout de mon sperme dans sa bouche. Je l'embrassai à pleine bouche, fouillant jusque dans sa gorge. Dieu que je l'aimais.
" Tu me rends fou, mon amour ".
" Non, toi tu me rend fou ".
lousol