Maître-boulanger

Chapitre-2

Salut,

Je m’appelle Nicolas. J’ai 25 ans, j’ai fini mes études depuis peu mais je cherche un boulot. J’ai étudié la psychologie mais le domaine est assez bouché. C’est pour ça que je me suis mis à travailler comme vendeur dans une boulangerie. J’habite à Toulouse dans un petit appartement, seul. Je dois dire aussi que j’adore le sexe et que je suis quelqu’un de très soumis. Je fais la connaissance de mecs sur des sites de rencontre. J’adore aussi aller dans des soirées SM ou de domination durant lesquelles je rencontre des mecs qui me soumettent bien comme il faut. Et depuis peu, j’ai trouvé le mec que je vais pouvoir servir... il s’agit de Thomas, le maître-boulanger de la boulangerie. Tout a commencé quand il m’a donné les invendus du magasin et que j’ai commencé à prendre du poids... ce qui lui a apparemment plu. Il m’a invité un jour chez lui et il m’a préparé de nombreux plats succulents. Après cela, on a fait l’amour... Il s’est montré très autoritaire, ce qui m’a beaucoup plu. Plus tard, il m’a appris qu’il était très dominant et qu’il kiffait faire prendre du poids à ses esclaves... ce qui m’a excité.

Ça fait maintenant 1 mois que Thomas m’a transformé en esclave. Ses mots résonnent à chaque fois à mes oreilles : « Si tu veux que notre relation continue, je veux que tu t’abandonnes à moi. Que tu sois un vrai soumis... en gros... que tu acceptes de grossir pour ton maître. ». Et je me suis abandonné à lui...

Et depuis cet instant, je mange tous les invendus de la journée. Thomas les dépose chaque soir chez moi et je dois tout manger, peu importe ce qu’il reste. En un mois, j’ai pris 10 kg. Plus les 5 que j’avais pris avant de commencer cette nouvelle vie, je pèse maintenant 80 kg.

Ce matin, je m’observe alors dans le miroir. J’admire comment mon ventre dépasse désormais de caleçon. Une petite bouée est en train de se former. J’ai aussi l’impression que des seins pointent le bout de leur nez.

En voyant l’heure, j’enfile vite mes habits de travail car il est déjà 5h45. Je me dépêche parce que je dois être à la boulangerie à 6h. Je me mets à courir sur le chemin et j’arrive au magasin, un peu essoufflé. Quand j’entre dans l’atelier, Thomas me sourit et il me pose la question rituelle :

- Tu as tout mangé hier soir ?
- Oui, maître.
- Bien. Allez, au boulot.

Je me rends alors compte que l’atelier déborde de croissants et autres viennoiseries. Ce que je soupçonne depuis des jours semble être vrai : Thomas fabrique de plus en plus de pâtisseries et autres viennoiseries ... et il reste de plus en plus d’invendus à la fin de la journée...

Aujourd’hui, je bosse jusqu’à 9h et je fais ma première pause. Thomas me fait venir pour boire un café. Il me dit en m’observant :

- Ton petit ventre est maintenant bien visible. Ton t-shirt le moule bien.
- Oui, je crois qu’il va falloir que je m’achète de nouvelles fringues.
- Tiens, regarde ce que je t’ai préparé pour ton petit-déjeuner.

A côté de mon café, se trouvent 5 chouquettes, 10 croissants et 7 pains au chocolat. Je les avale avec appétit.

- Je t’ai aussi préparé ton déjeuner.

Il me tend un sac plastique que j’ouvre : il y a des tartelettes, des quiches, des viennoiseries.

- Allez, je vais me coucher. A ce soir. Je vais passer te voir. Et tu manges tout ça !
- Oui, maître ! A ce soir !

Je m’empiffre du petit-déjeuner et je dépose le sac plastique dans mon casier. Je quitte la boulangerie à 13h et je me rends chez moi. Je mange le déjeuner que Thomas m’a préparé.

Le soir, thomas sonne chez moi vers 18h. Il a 2 paquets dans les mains.

- Ce sont tous les invendus ?, m’écrié-je
- Non.

En effet, il redescend à sa voiture et il rapporte 2 autres paquets. En effet, il y a une montagne d’invendus devant moi. Je commence à saliver devant tout ça... Ma queue se dresse lentement. Je vide le contenu des deux premiers paquets : il y a des quiches, des tartes salées, des pizzas. J’avale tout rapidement, je m’empiffre, je prends tout en moi, avec comme seule obsession de grossir. Je dois penser à ma mère qui a déjà remarqué que je prenais des rondeurs. Elle m’a dit :

- Nicolas, tu as abandonné le sport ?
- Oui, j’en ai plus l’énergie...
- Tu devrais t’y remettre.
- Pourquoi ?
- Tu as pris quelques kilos, je crois.

En l’entendant dire ça, je ne sais pas pourquoi, j’ai eu une érection... comme maintenant. Thomas ouvre le troisième paquet, rempli de gâteaux au chocolat et à la crème pâtissière. Mais au bout des deux paquets, je balbutie :

- Je crois que je peux plus... Vous avez vraiment amené une grosse quantité...

Thomas prend alors une part et il me la met devant la bouche.

- Mange !

J’obéis. J’ouvre la bouche et Thomas enfonce lentement le gâteau. Je repense alors aux vidéos qu’il m’a montré, des mecs qu’il faisait manger... et qui avaient très vite pris beaucoup de poids. Thomas commence à caresser mon ventre pour le détendre. Et je mange le contenu du troisième paquet. Je sens mon ventre s’étirer et je bande à fond. Quand il ouvre le quatrième paquet, j’en ai l’eau à la bouche... de magnifiques tartelettes aux fruits, des gâteaux au beurre et des viennoiseries... une montagne de viennoiseries... J’ai vraiment du mal à tout avaler. Mais Thomas me gave, comme une oie. Il ne me laisse pas le choix.

- Allez ! tu vas arriver à tout manger ! Vas-y, c’est pas grand-chose.

J’avale tout. Ses mains et ses caresses prodiguent à mon ventre la relaxation nécessaire... et j’arrive à tout engloutir. Il continue de me masser le ventre... ce que je trouve très agréable. Puis, il se lève et il se déshabille. Il s’assoit sur le canapé, nu.

Thomas est un vrai bear, un vrai ourson. Il fait 1,80m pour 130 kg. Il a des cheveux épais et roux, une barbe, des grosses lèvres sensuelles et charnues. Il a un large cou, de gros seins et un énorme ventre, rond et mou qui pend un peu. Son corps est recouvert de poils roux, drus et frisés qui naissent dans son cou, tapissent son torse ainsi que son gros ventre, continuent sur ses jambes jusqu’à ses orteils. Son pubis est extrêmement velu (des poils épais, frisés, roux). Il a de grosses fesses bien bombées et poilues. Sa bite au repos est flasque, épaisse et laisse deviner un morceau assez conséquent.

- Occupe-toi de ton maître maintenant !

Je me redresse et je retombe sur le canapé. Je me rends compte que mon ventre a vraiment bien gonflé. Thomas le caresse. Sa grosse queue prend du volume. Sa main monte vers mon torse... et il dit :

- Cool, tu as de tous petits seins...

Je ne dis rien.

- Suce-moi !
- Oui, maître !

Je saisis sa grosse queue qui est bien bandée. Il a une belle bite épaisse de 19 cm, marron, avec un gland rose. Ses couilles sont énormes, poilues, pendantes, comme celles d’un taureau.

Je prends immédiatement sa queue en gorge profonde. Thomas écarte bien les jambes et il caresse son ventre tout en me regardant. Je me mets à le sucer sur tout le long de sa queue tout en maintenant ses couilles. Puis, je prends ma main et je le branle tout en le suçant.

Ensuite, il me fait placer sur le canapé, la tête sur l’accoudoir. Je vois alors son gros ventre passer au-dessus de moi. Il enfonce ses 19 cm dans ma bouche et il se met à me la baiser. Son gros bide tape contre mon menton et mon torse, mon nez se retrouve dans ses poils de pubis et ses couilles me fouettent le front. Je supporte bien sa teub. Elle s’enfonce bien profondément, avant de ressortir. De la bave coule le long de mon visage.

Puis, Thomas se place devant moi, il sort une boîte de donuts de son sac et il en sort un. Sans hésiter, j’ouvre la bouche et il me le fait manger. J’ai à peine fini la dernière bouchée, qu’il m’embrasse en me caressant mon ventre. Il me fait retourner et il m’enlace de ses bras. Ensuite, il me donne un deuxième donut que je prends et que je mange tandis que ses mains caressent mon corps et mon bide. Une main s’empare de ma cuisse et il la fait vaciller.

- Hm... lentement, elle devient plus grosse.

Il me donne la boîte de donuts que je continue à engloutir. Il me fait me lever et il me retire mon pantalon. Il passe ses mains dans mon caleçon et elles se mettent à malaxer mes fesses.

- Je crois que tu prends des fesses aussi !

Il frotte alors son ventre contre le mien... avant de plaquer ma tête contre ses seins. Je les lèche et je les mordille tel un chiot.

- Oui c’est ça ! Occupe-toi bien de moi !

Il lève un bras et ma langue glisse sous ses aisselles odorantes. Mes narines se délectent de son odeur de mâle... et ma langue lape le magnifique nectar qui s’en dégage.

On va ensuite dans ma chambre. Il se pose sur le lit et j’enjambe son ventre. Mon corps se retrouve plaqué contre le sien, contre son gros bide, contre ses seins, au milieu de ses poils. Je m’enfonce dans son ventre mou... et je ressens vraiment l’envie de devenir comme lui...

Je sens sa queue plaquée contre ma raie. Il agrippe mes fesses qu’il malaxe. Moi, je les fais bouger, faisant ainsi glisser sa bite dans ma raie. Je l’embrasse et le lèche dans le cou. Puis, mes lèvres remontent vers les siennes et il m’embrasse sauvagement. Pendant ce temps, ma main droite malaxe son sein... et finalement, je me baisse et je le léchouille. Je sens soudain son gland pénétrer mon trou. Je pousse un gémissement et je m’embroche sur sa grosse queue ! Je me retrouve avec ses couilles collées contre mon cul. Les miennes se retrouvent dans ses poils de pubis tandis que ma queue frotte contre son gros bide.

Je prends alors appui sur ses cuisses et je monte et descends le long de sa queue qui m’ouvre bien. Mon corps et mon cul qui viennent le frapper créent des vagues sur son ventre et ses cuisses. Je le chevauche ainsi pendant 2 ou 3 minutes. Mais je trouve que je perds assez vite mon endurance... L’inconvénient de la prise de poids, je me dis.

Quand j’arrête de le chevaucher, Thomas me saisit dans le dos et on bascule. Il se retrouve assis sur le lit et il se met à me déboîter le cul. Moi, je me penche en arrière, prenant appui contre ses jambes. Je me branle rapidement. Puis, il m’attire vers lui, je l’enlace et nos corps ne font plus qu’un. Ses mains posées sous mes fesses, il me fait coulisser sur sa bite pendant que je l’embrasse sauvagement. Puis, il se recouche et je le chevauche une nouvelle fois.

Au bout de quelques minutes, il me fait changer de position et je me retrouve à quatre pattes. Il enfonce d’un coup sa queue dans mon anus et je sens son gros ventre contre mon dos. Il se met à me défoncer.

Puis, il se couche sur moi et je tombe à plat ventre sous l’effet de son poids. Il me fait rapprocher mes jambes à l’aide de ses cuisses et il reprend sa baise. Je sens bien sa grosse queue me pénétrer et m’ouvrir l’anus. Il me pilonne à fond. Son ventre donne de gros coups dans mon dos ce qui le fait bien vaciller.

Très vite, il ressort de mon cul, il me place sur le dos et il s’enfonce de nouveau en moi. Mes jambes se retrouvent collées contre son corps et il me baise tel un marteau-piqueur. Je gueule fort. On se regarde droit dans les yeux. Mais du coin de l’œil, j’observe aussi son ventre gras être parcouru de vagues quand il frappe mon cul. Ses mains viennent alors serrer mon cou. Je commence à manquer d’air mais son air autoritaire me fait garder le silence.

- Qui est ton maître ?
- Vous, maître !
- Tu vas m’obéir et manger pour grossir autant que je le souhaite ?
- Oui, maître !
- Je peux te faire grossir jusqu’à combien de kilos ?
- 130 ? Comme vous ?
- Et si je veux plus ?
- Ainsi soit-il alors.
- Bien ! Tu feras tout ce que je dis ? Sans t’y opposer ?
- Oui, maître !

Ses doigts se resserrent sur ma gorge et je commence à ne plus avoir d’air. Je subis et peu avant que je suffoque, Thomas me relâche.

Au bout de 5 minutes, il se bloque en moi et il beugle tel un buffle. Je sens sa bite prendre du volume et soudain, une vague chaude m’envahit. Ses jets ne sont pas puissants mais ils sont très abondants. Ils remplissent bien mon cul. Son orgasme dure une dizaine de secondes pendant lesquelles je me fais ensemencer.

Mon maître ressort de mon trou qui dégouline de sa semence. Il me fait poser sur le lit et il regarde ma bite tendue.

- Branle-toi en massant ton ventre.

Je saisis ma queue et je commence à me masturber. Mon autre main plaque sur mon ventre. Mes doigts s’enfoncent dans la graisse qui s’est formée. J’ai l’impression de commencer à toucher un coussin, c’est vraiment agréable. Ma queue durcit, rien à qu’à cette pensée. Je mate le ventre de Thomas... et une envie irrésistible d’en avoir un comme le sien... ou encore plus gros, s’empare de moi. Ma bite se durcit. Sentant mon orgasme approché, je plonge encore plus mes doigts dans mon ventre, il s’y enfonce, et soudain 5 énormes jets jaillissent hors de ma queue et viennent recouvrir mon ventre ainsi que mon torse. Mes doigts sont recouverts de sperme chaud et liquide...

- Putain ! C’était trop bon !, dis-je en couchant, épuisé.
- Je suis fier de toi, Nicolas. Tu es sûr le bon chemin !
- Merci, maître !

A suivre...

Merci à Nicolas pour ses idées.

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